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Le rôle de la catégorisation dans l'utilisation des médianes dans le verbe innu

Lachapelle, Magali January 2008 (has links) (PDF)
La morphologie des langues algonquiennes permet l'incorporation dans le verbe de morphèmes qui réfèrent à des entités. Ces éléments sont nommés "médianes" en ce qu'ils se situent au centre du radical verbal. Ces médianes peuvent être soit des noms existants, soit être dérivés de noms, soit ne sont reliées à aucun nom. Certaines d'entres elles sont des classificateurs. Ces éléments ont fait l'objet de peu d'études à ce jour. Dans ce mémoire, nous les analyserons du point de vue de la Linguistique Cognitive, école qui s'intéresse au rapport entre la sémantique et la cognition. Les médianes, qu'elles soient de type classificatoire ou non, ont la possibilité d'adopter plusieurs significations. Nous proposons que la catégorisation est d'importance cruciale dans la polysémie des médianes. Les effets de prototype, la métonymie et la métaphore sont les principales opérations de la catégorisation qui permettent cette polysémie. Les effets de prototypes permettent de déterminer le référent des médianes classificatoires. La métaphore permet d'exprimer des idées abstraites en termes concrets. Les métonymies permettent aux médianes non classificatoires de référer à plusieurs entités. À la fin nous, concluons que les opérations issues de la catégorisation permettent l'économie morphologique. Les effets de prototypes empêchent l'incorporation de plusieurs morphèmes en position médiane. La métaphore bloque également l'incorporation de morphèmes. La métonymie permet une économie sémantique en ce qu'elle permet de stocker davantage de sens à partir d'un seul morphème. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Incorporation nominale, Médiane, Catégorisation, Métaphore, Métonymie.
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Polysémie et structure conceptuelle du morphème verbal -ipal- en innu

Renaud-Roy, Émilie 02 1900 (has links) (PDF)
La structure verbale de l'innu comprend trois composantes : l'initiale, la médiane et la finale. Le morphème -ipal- apparait en position finale dans plusieurs verbes de mouvement sur place, mais aussi de déplacement, de fonctionnement, de changement d'état et de déroulement. Les sens distincts empruntés par la finale suggèrent qu'il s'agisse d'une finale polysémique. Cette étude comprend deux objectifs, le premier consiste à identifier les relations sémantiques qui unissent les sens distincts de la finale dans une perspective polysémique, le second est d'établir les patrons de lexicalisation de chacune des acceptions observées afin d'établir la correspondance entre la structure conceptuelle du verbe et ses composantes. L'ensemble de l'analyse repose sur la sémantique cognitive, à savoir les modèles de catégorisation et la polysémie (Kleiber 1990 ; Lakoff 1987 ; Evans et Tyler 2003) ainsi que les patrons conceptuels (Jackendoff 1990). Le corpus à l'étude comprend exclusivement des verbes intransitifs formés du morphème -ipal-. Ce mémoire s'inscrit dans le groupe de recherche sur la grammaire innue dirigé par Lynn Drapeau et financé par une subvention du CRSH (Conseil de Recherche en Sciences Humaines du Canada # 856-2004-1068). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : innu, algonquien, sémantique cognitive, polysémie, mouvement.
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L'expression de l'ancrage temporel dans la traduction du thaï vers le français

Lahpetch, Wiriya 06 May 2011 (has links) (PDF)
Cette présente recherche se situe dans le cadre des études contrastives. Elle recouvre, dans une perspective d'analyse, en matière de traduction d'une oeuvre littéraire du thaï au français, en particulier sur l'utilisation des temps verbaux. Puisque des différences importantes existent entre ces deux langues qui ne sont pas linguistiquement proches, il y a souvent des difficultés dans la traduction de l'expression du temps d'une langue à l'autre. En la matière, la principale différenciation réside dans le fait que le thaï, langue sans morphologie, possédant des mots invariables, exprime le temps par l'adjonction de morphèmes. De plus, le thaï utilise le système temporel primaire avec trois temps principaux : présent, passé et futur. Au contraire, pour le français, langue flexionnelle, le verbe transporte avec lui la marque de temps, et dès lors, chaque forme verbale indique un temps grammatical : une forme verbale fait référence au moment où se déroule le procès. L'expression de temps en français se sert des temps divisés en des époques de sous-divisions, dont le système temporel secondaire. Le thaï utilise des moyens très différents pour se référer aux moments du déroulement des événements par rapport au système du français. Alors, les objectifs de cette recherche sont d'étudier les systèmes qui commandent l'usage des temps verbaux de chaque langue afin de chercher des formes équivalentes. Nous espérons que cette recherche constituera un bon point de départ pour des études de linguistique comparée thaï - français
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L'expression de l'ancrage temporel dans la traduction du thaï vers le français / Expression of temporal anchoring in the translation of Thai to French

Lahpetch, Wiriya 06 May 2011 (has links)
Cette présente recherche se situe dans le cadre des études contrastives. Elle recouvre, dans une perspective d’analyse, en matière de traduction d’une oeuvre littéraire du thaï au français, en particulier sur l’utilisation des temps verbaux. Puisque des différences importantes existent entre ces deux langues qui ne sont pas linguistiquement proches, il y a souvent des difficultés dans la traduction de l’expression du temps d’une langue à l’autre. En la matière, la principale différenciation réside dans le fait que le thaï, langue sans morphologie, possédant des mots invariables, exprime le temps par l’adjonction de morphèmes. De plus, le thaï utilise le système temporel primaire avec trois temps principaux : présent, passé et futur. Au contraire, pour le français, langue flexionnelle, le verbe transporte avec lui la marque de temps, et dès lors, chaque forme verbale indique un temps grammatical : une forme verbale fait référence au moment où se déroule le procès. L’expression de temps en français se sert des temps divisés en des époques de sous-divisions, dont le système temporel secondaire. Le thaï utilise des moyens très différents pour se référer aux moments du déroulement des événements par rapport au système du français. Alors, les objectifs de cette recherche sont d’étudier les systèmes qui commandent l’usage des temps verbaux de chaque langue afin de chercher des formes équivalentes. Nous espérons que cette recherche constituera un bon point de départ pour des études de linguistique comparée thaï – français / The present research is situated in the domain of contrastive studies. It covers, in an analytical perspective, the translation of a literary work from Thai to French and in particular the use of verb tenses. Since these two languages are not linguistically close and are significantly different, difficulties arise when translating the expression of tenses from one language to the other. The main difference comes from the fact that Thai language, which does not have any inflectional morphology and possesses invariable words, expresses tenses by addition of morphemes. Furthermore, Thai uses the primary tense system of three main moments : past, present and future. On the contrary, in French, which is an inflectional language, the verb carries the tense mark, and as such, every verbal form indicates a grammatical tense : a verbal form indicates the moment at which the process occurs. To express tenses, French uses tenses which are divided into periods which include the secondary temporal system. Compared to the French tense system, Thai language uses different ways of expressing the moments at which an event occurs. Therefore, the objectif of this reserach is to study the system which commands the usage of verbal tenses of each language in order to find equivalent forms. We hope that this research will provide a good starting point for comparative linguistics studies between Thai and French
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Les effets d'un programme de développement de la compétence morphologique sur la compétence morphologique, l'identification et la production des mots écrits chez des élèves arabophones de 2e cycle du primaire scolarisés en français

Fejzo, Anila 06 1900 (has links) (PDF)
La présente recherche vise à examiner les effets d'un programme de développement de la compétence morphologique sur l'identification et la production des mots écrits chez des lecteurs et des scripteurs intermédiaires arabophones en FL2. Dans ce but, 53 élèves arabophones de 3e et 4e année du primaire scolarisés en français ont participé à cette recherche. Les élèves du groupe expérimental ont suivi des activités de compétence morphologique accompagnées d'activités en lecture et en écriture pendant douze semaines. Afin de vérifier les effets de cette intervention, les élèves des deux groupes ont passé des tests de compétence morphologique, d'identification des mots et de production des mots avant et après l'intervention. Des tests sur des variables de contrôle telles que la conscience phonologique, la dénomination rapide et la capacité d'apprentissage ont été également administrés. Après l'analyse des résultats, il ressort que les élèves du groupe expérimental performent significativement mieux que ceux du groupe contrôle en compétence morphologique, en identification et production des mots écrits morphologiquement complexes. Ces résultats suggèrent que le développement de la compétence morphologique pourrait contribuer à l'amélioration de l'identification et de la production des mots écrits chez les lecteurs et les scripteurs intermédiaires arabophones en FL2. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : morphèmes, compétence morphologique, règles de jonction des morphèmes, identification des mots écrits, production des mots écrits, français langue seconde, clientèle en L2, population arabophone, intervention, programme de développement, enseignement explicite.
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Learning discrete word embeddings to achieve better interpretability and processing efficiency

Beland-Leblanc, Samuel 12 1900 (has links)
L’omniprésente utilisation des plongements de mot dans le traitement des langues naturellesest la preuve de leur utilité et de leur capacité d’adaptation a une multitude de tâches. Ce-pendant, leur nature continue est une importante limite en terme de calculs, de stockage enmémoire et d’interprétation. Dans ce travail de recherche, nous proposons une méthode pourapprendre directement des plongements de mot discrets. Notre modèle est une adaptationd’une nouvelle méthode de recherche pour base de données avec des techniques dernier crien traitement des langues naturelles comme les Transformers et les LSTM. En plus d’obtenirdes plongements nécessitant une fraction des ressources informatiques nécéssaire à leur sto-ckage et leur traitement, nos expérimentations suggèrent fortement que nos représentationsapprennent des unités de bases pour le sens dans l’espace latent qui sont analogues à desmorphèmes. Nous appelons ces unités dessememes, qui, de l’anglaissemantic morphemes,veut dire morphèmes sémantiques. Nous montrons que notre modèle a un grand potentielde généralisation et qu’il produit des représentations latentes montrant de fortes relationssémantiques et conceptuelles entre les mots apparentés. / The ubiquitous use of word embeddings in Natural Language Processing is proof of theirusefulness and adaptivity to a multitude of tasks. However, their continuous nature is pro-hibitive in terms of computation, storage and interpretation. In this work, we propose amethod of learning discrete word embeddings directly. The model is an adaptation of anovel database searching method using state of the art natural language processing tech-niques like Transformers and LSTM. On top of obtaining embeddings requiring a fractionof the resources to store and process, our experiments strongly suggest that our representa-tions learn basic units of meaning in latent space akin to lexical morphemes. We call theseunitssememes, i.e., semantic morphemes. We demonstrate that our model has a greatgeneralization potential and outputs representation showing strong semantic and conceptualrelations between related words.
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Variations de formes dans la langue Mbochi (Bantu C25) / Forms variations in mbochi language (bantu C25)

Kouarata, Guy Noël 10 October 2014 (has links)
Notre étude s’intitule variations de formes dans la langue Mbochi (bantu C25). Elle s’inscrit dans le cadre de la linguistique historique bantu.A travers une analyse dialectométrique, elle identifie et localise les dix parlers mbochi. Elle montre que le mbochi est une langue bantu parlée dans le nord de la République du Congo, dans le département de la Cuvette (dans les districts de Boundji, Ngoko, Tchikapika et Oyo) et celui des Plateaux (dans les districts d’Ongogni, Ollombo, Abala, Alembe). Il compte dix dialectes (Olee, Mbonzi, Tsambitso, Ngilima, Bokwele, Bonyala, Ngae, Obaa, Eboyi et Ondinga). Visant une meilleure compréhension des mécanismes linguistiques qui sous-tendent la diversification linguistique dans le pays mbochi, notre analyse se focalise sur les variations phoniques, morphologiques et lexicales qui s’opèrent d’un dialecte mbochi à un autre. Elle dégage les divergences et les convergences entre les différents parlers. Aussi présente-t-elle une description phonologique et morphologique des parlers mbochi actuels (synchronie). Elle examine les correspondances phonologiques et morphologiques ainsi que les réflexes du proto-bantu en mbochi avant de procéder à la reconstruction des phonèmes et des morphèmes du proto-mbochi, mère hypothétique des parlers actuels.La présente étude divise les parlers mbochi en trois principaux sous-groupes selon leurs convergences phonologiques et morphologiques. Elle montre l’impact de la proximité géographique, du contact des langues dans la diversification de celles-ci. / Our study entitled “variations of forms in Mbochi language (Bantu C25)” is considered as part of the Bantu historical linguistics. It identifies and locates the ten Mbochi dialects through a dialectometric analysis. It shows that Mbochi is a Bantu language spoken in the northern part of Republic of Congo, mainly in the Cuvette (in the districts of Boundji, Ngoko, Tchikapika and Oyo) and Plateau (in the Ongogni districts Ollombo, Abala Alembé) departments. It has ten dialects (Olee, Mbonzi, Tsambitso, Ngilima, Bokwele, Bonyala, Ngae, Obaa, Eboyi and Ondinga).Our analysis targets a better understanding of the underlying language mechanisms of linguistic diversity of Mbochi and is focused on sound, morphological and lexical variations from one dialect to another. It highlights the differences and similarities between these dialects. It also presents a phonological and morphological description of the current Mbochi dialects (synchrony). It examines the phonological and morphological correspondences to the proto-bantu before reconstructing the phonemes and morphemes of proto-Mbochi, the hypothetical source of the current Mbochi dialects.This study divides the Mbochi dialects into three main sub-groups according to their phonological and morphological similarities. It shows both the impact of geographical proximity and that of language contact in the diversification of these dialects.

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