Spelling suggestions: "subject:"bouddhisme""
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A history of Sanskrit grammatical literature in Tibet.Verhagen, Pieter Cornelis, January 1994 (has links)
Texte remanié de: Proefschrift--Rijksuniversiteit te Leiden, 1991. Titre de soutenance : Sanskrit grammatical literature in Tibet : a study of the Indo-Tibetan canonical literature on Sanskrit grammar and the development of Sanskrit studies in Tibet.
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Buddhism and deconstruction : towards a comparative semiotics /Wang, Youxuan. January 2001 (has links)
Texte remanié de: Ph. D. thesis--Bristol--University of the West of England, 1999. / Bibliogr. p. 227-236. Index.
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Ḍākiṇīs : zur Stellung und Symbolik des Weiblichen im tantrischen Buddhismus /Herrmann-Pfandt, Adelheid. January 1992 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Bonn--Rheinische Friedrich-Wilhelms-Universität, 1990.
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L'éducation bouddhique dans la société traditionnelle au Sri Lanka : les formes de pensée et les formes de socialisation /Bopearachchi, Elizabeth. January 1994 (has links)
Texte remanié de: Thèse--Sciences de l'éducation--Paris V, 1986. / Contient un choix de textes et documents. Bibliogr. p. 269-276.
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Wohlwollen, Mitleid, Freude und Gleichmut : eine ideengeschichtliche Untersuchung der vier apramāṇas in der buddhistischen Ethik und Spiritualität von den Anfängen bis hin zum frühen Yogācāra /Maithrimurthi, Mudagamuwe. January 1999 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fachbereich Orientalistik--Hamburg--Universität, 1998. / Contient le texte sanscrit, la version tibétaine et la trad. allemande de "Śrāvakabhūmi", le texte sanscrit et la trad. allemande de "Bodhisattvabhūmi" et de "Mahāyānasūtrālaṃkāra", la version tibétaine et la trad. allemande du commentaire d'Asvabhāva au "Mahāyānasūtrālaṃkāra" Résumé en anglais. Bibliogr. p. XIII-XXXII. Index.
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La jeune fille et la mort : misogynie ascétique et représentations macabres du corps féminin dans le bouddhisme japonais /Lachaud, François, January 2006 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Études japonaises--Paris--Institut national des langues et civilisations orientales, 1998. Titre de soutenance : La jeune fille et la mort : la représentation de l'impur et celle des neufs notions dans le Japon classique : une étude des représentations macabres du corps et du féminin. / Bibliogr. p. 353-373.
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Etude des cultes populaires en Birmanie dans l'art et les textes birmansRaymond, Catherine, January 1989 (has links)
Th. 3e cycle--Etud. indiennes--Paris 3, 1987.
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La sculpture bouddhique en bronze en Chine des origines au Ve siècle, analyses et datations / Bronze Buddhist sculpture in China from its origins to the 5th century, analysis and chronologyAllard-Latour, Sophie 19 December 2013 (has links)
L’arrivée en terre chinoise du bouddhisme et de ses images eut pour conséquence d’influencer de manière déterminante et durable la pensée et les expressions artistiques chinoises. Cette thèse se propose d’étudier la sculpture bouddhique en bronze en Chine des origines au Ve siècle, sa constitution et son processus d’élaboration dans le contexte social et culturel chinois des Ier et IIe siècles à partir des données archéologiques récentes et son évolution vers des formes iconographiques normatives, du IIIe au Ve siècle. Les images les plus anciennes découvertes à ce jour dans le Sichuan et la région du Yangzi apparaissent dans un cadre funéraire et s’inscrivirent dans un terreau de croyances locales ancestrales avec lesquelles elles formèrent un véritable syncrétisme pendant près d’un siècle. Leur fonction était semble-t-il protectrice, talismanique, apotropaïque et propitiatoire. Leur véritable fonction cultuelle vit le jour vers la fin du IIIe siècle avec l’émergence d’images individuelles du Buddha en bronze doré, conformes aux prescriptions iconographiques édictées par les textes. A partir des découvertes archéologiques réalisées ces trente dernières années, encore vierges de toute analyse, nous avons établi une classification et une chronologie de datation pour une centaine de sculptures bouddhiques en bronze datant du IIIe au Ve siècle et réalisé une étude stylistique et iconographique détaillée de celles-ci et de leurs sources d’influences. Une traduction en langue occidentale et une analyse inédites des inscriptions votives gravées sur ces images viennent pour la première fois éclairer les pratiques, les cultes et les courants doctrinaux à ces époques. / The arrival in China of Buddhism and its images had a determining and long-lasting influence on Chinese thought and artistic expression. This thesis proposes a study of bronze Buddhist sculpture in China from its origins to the 5th century, its development and process of elaboration in the Chinese social and cultural context of the 1st and 2nd centuries as evidenced by recent archeological data, and its evolution towards normative iconography from the 3rd to the 5th century. The oldest sculptures to date discovered in the Sichuan and Yangzi regions were found in tombs, and were an integral part of ancestral local beliefs with which they formed a veritable syncretism for almost a century. It seems that their function was a protective, talismanic, apotropaic, and propitiatory one. Their real religious function emerged around the end of the 3rd century with the appearance of individual gilt bronze sculptures of the Buddha that conformed to iconography as prescribed by the texts. On the basis of the archeological finds of the last 30 years, which have yet to be analyzed, this thesis establishes a classification and a chronological scale for a hundred bronze Buddhist sculptures dating from the 3rd to the 5th centuries, and proposes a stylistic and iconographic study of these sculptures and of their influencing sources. A translation in a Western language and an unprecedented analysis of the votive inscriptions engraved on the sculptures offer, for the first time, a glimpse into the practices, cults, and doctrines of those times.
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Un monde en un mot du bouddhisme chinois : études autour du terme xiang à partir du Sūtra du diamant de Kumārajīva / A world in one word of Chinese Buddhism : studies about the concept xiang from Kumārajīva's Diamon SūtraWang, Han-Chi 03 May 2017 (has links)
Le Sūtra du diamant est réputé et populaire aussi bien en Orient qu’en Occident. Il s’est très tôt introduit en Chine et n’a pas cessé de faire l’objet de multiples traductions du Ve au VIIIe siècle ; il en existe six versions distinctes, toutes traduites par d’éminents moines, sous le contrôle officiel de la Cour Impériale. Toutefois, seule la première version de Kumārajīva (407) a été la cible de commentaires et d’annotations au cours du temps. Ceci nous permet d’approfondir la raison pour laquelle sa version mérite d’être étudiée dans ses différences par rapport aux autres versions. De là nous mettons en évidence la prédominance de l’emploi du terme xiang相 comme le concept le plus récurrent dans cette version. Il semble en effet que xiang ne dérive pas d’un seul et unique mot équivalent en sanskrit, d’où l’intérêt de notre recherche sur le décalage textuel entre l’original indien et sa traduction, ainsi que sur l’osmose culturelle entre le bouddhisme et la pensée traditionnelle chinoise. Dans cette optique nous axerons notre approche selon trois plans parallèles : philologique, philosophique et esthétique de la traduction. Nous évoquerons d’abord les facteurs extérieurs des textes-source et des textes-cible, puis nous entreprendrons l’analyse textuelle comparative entre les versions sanskrites et les traductions chinoises, en mettant en avant simultanément le sens terminologique et philosophique du texte. Comme xiang (phénomène) est aussi un concept clé dans l’ensemble des textes bouddhistes, nous élargirons notre vision dans une sphère plus globale, en nous référant à d’autres textes connexes. Nous finirons par l’étude de l’utilisation du terme, et son retentissement culturel dans le monde chinois dans la perspective traductologique, ce qui nous conduira également à réfléchir à la traduction bouddhique en français. / The Diamond Sūtra is renowned and popular in both the East and West. It was introduced very early in China and has not ceased to be the subject of numerous translations from the 5th to the 8th century; There are six distinct versions, all rendered by eminent monks, under the official control of Imperial Court. However, only the first translation of Kumārajīva (407) was the target of so many comments and annotations over time. This allows us to demand why this version merits further study of its differences to other versions. From here we find the use of the term xiang 相 as the most recurrent theme in the text. It seems that xiang is not derived from one single equivalent in Sanskrit, hence the focus of our research on the textual shift between the Indian origin of the word and its translation, as well as on the cultural osmosis between Buddhism and Chinese culture. With this view, our approach is based on three parallel axes: philological, philosophical researches and aesthetic study of translation. We will first deal with the questions about external factors of the source texts and the target texts. Then we undertake the comparative textual analysis between the Sanskrit and all Chinese translations, highlighting the terminological and philosophical meaning of the text. Since xiang (phenomenon) is also a key concept in Buddhist jargon, we suppose to reframe and refine our perspective by referring to other related texts. We will conclude with the use of the term and its cultural repercussions in the Chinese world from a translatological view, which leads us to think, going forward, about Buddhist translations into French.
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La transmission des savoirs dans les monastères tai lue du Laos / Tai Lue Budhist Monastic Education in LaosPhetchanpheng, Souvanxay 09 December 2013 (has links)
Au Laos, un pays d’environ 6,7 millions d’habitants, à peu près 58% de la population est bouddhiste. Les Tai Lue, population tai, habitent dans le nord du Laos entre les provinces dePhongsaly, Bokeo, Oudomxay, Sayaburi, Luang Prabang et Luang Nam Tha. Dans cette recherche, je m’interroge sur l’éducation des novices et la transmission des savoirs dans les communautés monacales lue. Cette étude s’intéresse aux pratiques didactiques des monastères tai lue en considérant que la transmission des savoirs entre les moines permet la réalisation des rites et cérémonies bouddhiques. Dans ces monastères, la transmission est basée en partie sur les textes mais aussi sur le savoir-faire. Comment les moines parviennent-ils à transmettre des savoirs oraux, textuels et corporels aux novices ? L'éducation dans certains monastères lue sera considérée notamment par l'étude des modes d'apprentissage corporels, des façons de faire et d'être. L'action conjointe en didactique est étudiée dans ces monastères. Elle est considérée comme étant une coopération entre le professeur et l'élève dans l’apprentissage d’un savoir. / In Laos, a country of about 6.7 million inhabitants, around 58% of the population isBuddhist1. There are an estimated 123,000 Tai Lue in Laos, mainly spread out in the north between the Phongsaly, Bokeo, Udomxay, Sayaburi, Luang Prabang, Luang Nam Tha provinces. My question is about novices’ education and knowledge transmission in the lue monastic community. I analyze the didactic relation which takes part in a novice’s identity education. In an anthropologic perspective, this research is based on the didactic system of a local network of North Laos lue monasteries. In a monastery, transmission is based on part of the textual knowledge (the explicit) and also on another part which is not determined officially (the implicit), the learning of which, (the know- how) is acquired by impregnation.With didactic supports how does the master transfer a corporal, textual and oral knowledge to his pupil? The education in some lue monasteries will be defined especially through the study of corporal learning modes, ways of doing and being. The combined action in the lue vat didactic system will be investigated. Didactically, the combined action is considered as the teacher and pupil’s cooperation in a learning acquirement.
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