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Etude génotypique de norovirus humains et bovins contemporains et mise au point de méthodes rapides de détection et de quantification

Scipioni, Alexandra 25 May 2009 (has links)
Les Norovirus (NoV), appartenant à la famille des Caliciviridae, sont une cause majeure dépidémies et de cas sporadiques de gastroentérites hautement contagieuses chez lhomme. Leur transmission emprunte la voie fécale-orale et ils sont à l'origine dune part importante des toxi-infections humaines d'origine alimentaire, en particulier dues à la consommation de mollusques bivalves. Ils possèdent un génome constitué dARN monocaténaire de polarité positive et sont classeés par analyse de proximité génétique en cinq génogroupes, contenant chacun plusieurs génotypes. Un problème majeur réside dans lincapacité à multiplier facilement les NoV en culture de cellules. La RT-PCR est devenue la méthode de choix pour leur détection dans les échantillons de matières fécales, les denrées alimentaires et les prélèvements effectués dans lenvironnement. Il est important de disposer de techniques à la fois sensibles et permettant également la détection dun large panel de NoV. La quantification de la charge virale est possible par lutilisation des techniques de RT-PCR en temps réel et est primordiale pour non seulement déterminer le niveau de contamination dun prélèvement, mais également pour étudier et caractériser la pathogénie de linfection à NoV. Des NoV ont été détectés dans diverses espèces animales, dont lespèce bovine. Ces découvertes ont soulevé d'importantes questions sur une éventuelle transmission zoonotique et l'existence d'un réservoir animal pour les NoV. La caractérisation moléculaire des deux prototypes de NoV bovins, nommément le virus Newbury2 et le virus Jena, a révélé qu'ils étaient génétiquement proches et associés aux NoV humains. Parmi les hypothèses évoquées, les animaux pourraient être soit des porteurs passifs de NoV, soit infectés de manière active par ces virus, responsables dès lors d'une zoonose. Caractériser les NoV circulant chez lhomme et les espèces animales est intéressant dans le but détudier leurs voies de transmission et léventuel passage inter-espèce de ces virus. Un mécanisme important d'évolution des NoV est la recombinaison, dun grand intérêt dans létude des NoV, générant des modifications du génome viral aboutissant à la création dun génome « chimère » à partir de deux génomes parentaux différents. Elle crée ainsi de la variation génétique et par là lémergence de nouveaux virus. En effet, il est bien documenté que la recombinaison se produit souvent parmi les NoV et contribue à la diversité génétique de ces virus ainsi quà lapparition de nouvelles épidémies. La prévalence des souches de NoV recombinants peut être sous-estimée par le fait que la caractérisation des NoV est habituellement basée sur le séquençage partiel du gène de lARN polymérase-ARN dépendante uniquement, alors quidéalement il faudrait séquencer différentes parties du génome, principalement lARN polymérase-ARN dépendante et la protéine de capside, pour identifier de tels virus. Il est important de déterminer précisément l'implication exacte de la recombinaison sur lévolution des NoV afin de comprendre les mécanismes dévolution des souches et l'avantage sélectif conféré pour certaines dentre elles. Etudier ce mécanisme permettra de mieux comprendre lavantage sélectif observé pour certains NoV et aidera à élucider les voies de transmission des NoV. Létude de ces deux points (transmission zoonotique et virus recombinants) est primordiale. En effet, le franchissement de la barrière despèce affecterait à la fois l'épidémiologie et l'évolution de ces virus, et compliqueraient également la capacité au développement dun vaccin ou dun traitement. Dans d'autres espèces animales, comme les chevaux ou les oiseaux, aucun NoV na été détecté à ce jour mais ces dernières années, des NoV ont été décrits dans de nombreuses espèces animales (chien, lion, mouton). Cela laisse donc présager dune gamme despèce cible encore plus étendue. Ce travail sinscrit dans le cadre de létude des voies de transmission des NoV avec comme objectif, après la mise au point de méthodes rapides et sensibles de détection et de quantification, dapporter un éclaircissement aux questions importantes relatives à lévolution des NoV et à leur catégorie dhôte. Dans un premier temps, la RT-PCR conventionnelle a été utilisée afin de détecter les NoV dans les espèces humaine et bovine. Ensuite, une RT-PCR utilisant la technologie SYBR Green a été développée et utilise un contrôle interne constitué dARN ajouté au même tube. Ce test est capable de détecter des NoV humains et bovins appartenant aux génogroupes I, II et III et permet de faire la distinction entre les NoV et le contrôle interne par lanalyse des courbes de dissociation. Une dilution 10 fois des échantillons sest révélée la méthode de choix pour lever les inhibitions. Afin de pouvoir confirmer directement le résultat et de permettre la quantification des NoV, une RT-PCR en temps réel utilisant la technologie TaqMan a été développée. Elle utilise un contrôle interne dARN et un standard dARN. De façon très intéressante, cette méthode peut détecter les NoV humains appartenant au génogroupes I, II et bovins du génogroupe III. Les inhibitions furent efficacement levées par une dilution 10 fois de léchantillon ou lajout de sérum albumine bovine au mix de RT-PCR. Ces deux RT-PCR en temps réel ont montré une sensibilité supérieure comparée à la RT-PCR conventionnelle. Avec pour objectif de comprendre les voies de transmission des NoV, la situation en Belgique a été investiguée et des NoV humains et bovins ont été détectés et analysés par séquençage partiel. Des NoV appartenant à différents génogroupes ont été détectés : GI et GII chez lhomme et GIII chez les bovins. Par analyse de la proximité génétique, les NoV bovins se sont révélés de génotype GIII.2 et les NoV humains de différents génotypes, mais majoritairement de génotype GII.4. Ces analyses ont permis également lidentification dune co-infection et de deux recombinants naturels, ces derniers étant proches de génotypes différents en fonction de la région du génome analysée (polymérase ou capside). L'identification de zones privilégiées pour la recombinaison dans la région située à la jonction de l'ORF (open reading frame) 1 et de lORF2 confirme l'importance de cette région dans ce phénomène. Afin détudier lévolution des NoV bovins, un NoV bovin détecté en Belgique fut séquencé complètement (Bo/B309/2003/BE) et comparé à la souche originale Newbury2 (isolée dans les années 80). Dune part, cette études a permis daboutir à la mise au point et la validation doutils permettant la détection et létude les NoV humains et animaux, tant pour leur pathogénie, que leur évolution ou leurs voies de transmission. Dautre part, basée sur le panel déchantillons recueillis durant cette étude, lanalyse phylogénétique des NoV détectés va dans le sens des études réalisées dans dautres pays tendant à montrer que les NoV bovins constituent un groupe de virus distincts, différents des NoV humains. Cela suggère que les NoV bovins ne représentent pas un risque pour la santé humaine. Néanmoins, la possibilité dune infection zoonotique ou dun réservoir animal ne peut pas être exclue vu la proximité de séquence entre les NoV humains et animaux et aussi la relation étroite et proche entre les populations humaines et les élevages danimaux. La détection dune co-infection et de deux recombinants naturels démontre les possibilités dévolution des NoV et limportance dune analyse complète de leur génome pour leur caractérisation. Ce travail a été pionnier dans létude des NoV au laboratoire et a ouvert la voie à dautres sujets de recherche sur les NoV et à de nouvelles thèses de doctorat, notamment sur létude de linteraction NoV-hôte (NoV dans lespèce bovine) et létude de la recombinaison des NoV in vitro (NoV murins).
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Performances laitières des bovins en stations au Burundi/ Milk production in bovine husbandry stations in Burundi

Hatungumukama, Gilbert 29 February 2008 (has links)
Résumé Létude des performances laitières des bovins en stations au Burundi a été réalisée dans les stations de Mahwa et de Rukoko de lInstitut des Sciences Agronomiques du Burundi (ISABU). Elle a pour objectifs principaux de quantifier les effets des facteurs non génétiques et de croisement sur la production laitière journalière et de prédire les paramètres génétiques et de croisement de la production laitière journalière des bovins de ces stations. Elle a également pour objectifs secondaires de décrire lélevage bovin laitier au Burundi et de proposer des perspectives et solutions damélioration de cette activité. 1.Elevage bovin laitier au Burundi Lélevage bovin laitier au Burundi est limité par plusieurs contraintes dont les principales sont la diminution des pâturages en raison de la croissance continue de la population, la présence de diverses pathologies animales incontrôlées, linsuffisance des structures publiques ou privées destinées à promouvoir lélevage laitier et à améliorer la génétique bovine, le manque de formation pratique des éleveurs burundais et labsence dune filière lait. Ces conditions défavorables ont été accentuées par la guerre de 1993 qui a entraîné une diminution des effectifs bovins, la réduction de la quantité du lait déjà déficitaire ainsi que la suspension des activités des projets délevage bovin entre autre dans les stations de lISABU. 2.Influence des facteurs environnementaux et du croisement sur la production laitière journalière. La production laitière des bovins des stations de lISABU est influencée par différents facteurs dont la durée de lactation, lâge au vêlage, la parité, le type de croisement entre bovins, le mode dallaitement des veaux, lannée et la saison de lactation. Ces effets ont été quantifiés à laide dun modèle linéaire permettant destimer les moyennes des moindres carrés de la production laitière journalière pour chaque facteur. Les résultas de ces analyses montrent que la production laitière journalière était plus élevée en saison des pluies quen saison sèche. Les meilleures productions ont été observées chez les bovins croisés avec 50 à 75% Bos taurus (Ayrshire et Jersey). La guerre de 1993 a provoqué une chute de production laitière journalière de 53,14% (en moyenne) qui serait due à linsuffisance des moyens financiers pour assurer un niveau alimentaire et un suivi vétérinaire suffisants. Cette détérioration des conditions délevage est à lorigine des faibles performances laitières observées dans les stations de lISABU. Pour les bovins Ayrshire x Sahiwal x Ankole, le maximum de production laitière journalière a été observé au 8ème jour (7,16 ± 0,07 l/jour) de lactation chez 150 vaches allaitées et traites pendant les 120 premiers jours (avant le sevrage) et traites ensuite (vaches AT). Il a été observé au 8ème jour (7,63 ± 0,39 l/jour) chez 8 bovins allaités et traits pendant toute la lactation (vaches A) et au 7ème jour (7,34 ± 0,39 l/jour) pour 7 bovins uniquement traits (vaches T). Ladéquation à la fonction de Wood (1976) des courbes de lactation a été vérifiée chez les bovins AT et T mais pas chez les animaux A. Chez les frisonnes, la courbe de lactation était normale avec un pic de lactation au 15ème jour de lactation (11,48 ± 0,20 l/jour). La courbe de lactation des croisées Jersey x Sahiwal x Ankole nétait pas normale. Le maximum de production laitière journalière (12,67 ± 0,42 l/jour) a été observé au 43ème jour de lactation. La production était plus élevée chez les bovins A que chez les bovins T. Une chute de production laitière autour de 120 premiers jours de lactation (période de sevrage) a été observée chez les bovins AT. Les meilleures productions laitières journalières ont étés observées chez les Ayrshire x Sahiwal x Ankole qui ont vêlé en première parité à un âge moyen de 31 mois (6,30 ± 0,15 l), en deuxième parité à un âge moyen de 49 mois (6,25 ± 0,10 l) et en troisième parité et plus à un âge moyen de 66 mois (4,62 ± 0,05 l). Chez les Frisonnes, la production laitière a augmenté avec lâge au vêlage en première et troisième et plus parité mais a évolué de manière curvilinéaire descendante avec un maximum de production laitière à lâge au vêlage de 44 mois en deuxième parité. La production laitière moyenne a été de 11,47 ± 0,30 l/jour, 5,23 ± 0,09 l/jour et de 10,11 ± 0,06 l/jour pendant respectivement la première, la deuxième et la troisième et plus lactation. 3.Paramètres génétiques et de croisement Les paramètres génétiques et de croisement pour la production laitière journalière des bovins Ayrshire x Sahiwal x Ankole ont été obtenus à laide dun modèle animal mixte répétable contenant les effets fixes : année (n = 26) et mois (n = 12) de lactation, semaines de lactation (n = 43) et mode dallaitement (n = 3), âge au vélage (n = 93) et parité (n = 3), groupe génétique (n = 5) ; les effets aléatoires génétiques additifs directs (n = 317) et les effets aléatoire liés à lenvironnement permanent (n = 184). La méthode du maximum de vraisemblance a été utilisée avec le programme de Misztal(1990) pour calculer les variances additive, environnementale et résiduelle. Les solutions des différents groupes génétiques ont été utilisées pour estimer les paramètres de croisement à laide du modèle de Dickerson (1969). Lhéritabilité et la répétabilité prédites étaient de 0.27 et 0.36, respectivement. La valeur prédite de leffet génétique additif direct pour la production laitière journalière de lAyrshire (5,22 l/jour) était positive et supérieure en valeur absolue à celles obtenues pour les races Sahiwal (-0,48 l/jour) et Ankole (-1,66 l/jour). Ces valeurs indiquent que la race Ayrshire contribue beaucoup à laugmentation de la production laitière journalière chez les bovins Ayrshire x Sahiwal x Ankole. Les valeurs estimées de lhétérosis direct pour la production laitière journalière des croisés Sahiwal x Ankole, Ayrshire x Ankole et Ayrshire x Sahiwal étaient respectivement de 1,97l/jour (35,8%), de 2,30 l/jour (41,9%) et de -2,33 l/jour (- 42,4%). Le pourcentage de lhétérosis direct des croisés Ayrshire x Ankole (41,9%) supérieur à celui des croisés Sahiwal x Ankole (35,8%) prouve quil serait plus productif de croiser lAnkole avec lAyrshire si les conditions délevage étaient améliorées. SUMMARY The current study was conducted on the Mahwa and Rukoko stations of the Institute of agronomic Sciences in Burundi (ISABU). The aim of the study was to assess the effects of environmental and crossbreeding factors on the daily milk yield (DMY) and to predict genetic and crossbreeding parameters for DMY of cows in those stations. The secondary objectives were to describe the dairy breeding in Burundi and to propose solutions of improvement of milk production in the country. 1. Dairy cattle breeding in Burundi In Burundi, dairy cattle breeding is limited by many constraints of which the principal are the low level of feeding, the presence of many and uncontrolled animal diseases, the lack of public and private institutions to help smallholders, the limited know-how of smallholders and the lack of milk market and conditioning equipments in rural area. The 1993 crisis accentuated the situation and caused the decrease of the dairy cattle population and disturbed breeding activities in ISABU stations and in other breeding projects. 2. Effects of non genetic and crossbreeding factors on the daily milk yield of cows in the stations Lactation length and suckling, calving age and parity, genetic groups, month and years of lactation were the principal factors that affected DMY of cows in the ISABU stations. A linear model was used to quantify effects of those factors on DMY. All factors influenced significantly (P<0.001) DMY. Milk production was significantly higher during the rainy than the dry season. Crossbreeding improved milk production and highest yields were observed with 50% to 75% of Bos Taurus (Ayrshire or Jersey) inheritance. Milk production increased from 1977 to 1992 due to the improvement of genetic and the interaction of environmental and animal management. The decrease observed since 1993 in all cows was related to the civilian war which caused financial problems in the ISABU institution, decline in feeding and deterioration of the animal health. This situation was also responsible of the low milk production observed in the stations. For Ayrshire x Sahiwal x Ankole cows, the maximum of DMY was observed at 8th (7.16 ± 0.07 l/day), 8th (7.63 ± 0.39 l/day) and 7th day in milk (7,34 ± 0,39 l/ day) for suckled and milked (SM), suckled only (S) and milked only (M) cows. The incomplete gamma model using the Wood function was able to distinguish two groups of milk curve: standard shape for the M and SM cows and an atypical continuously decreasing shape for the S cows. For Friesian purebred cows, the lactation shape was typical and the maximum of DMY (11.48 ± 0.20 l/ day) was observed at 15th day in milk. The lactation shape for Jersey x Sahiwal x Ankole crossed cows was in disagreement with the theoretical curve and the maximum DMY (12.67 ± 0.42 l/ day) was observed at 43rd day in milk. Milk production was higher in SM cows than in M cows. For SM cows, a drop was observed at 120th day in milk corresponding to the weaning period. For Ayrshire x Sahiwal x Ankole crosses cows, highest least-squares means were observed at calving ages of 31 months (6.30 ± 0.15 l), 49 months (6.25 ± 0.10 l) and 66 months (4.62 ± 0.05 l) for SM cows in parities 1, 2 and 3 or more, respectively. For Friesian cows, milk production increased with the calving age in the 1st and 3rd and more parities. In the 2nd parity, the trend was curvilinear decreasing with the maximum production at the 44th month of age at calving. 3. Prediction of genetic and crossbreeding parameters for DMY of Ayrshire x Sahiwal x Ankole crosses cows The prediction of heritability, repeatability and crossbreeding parameters was only possible in the Ayrshire x Sahiwal x Ankole crosses cows due to the limited number of cows in the other groups. Data were analysed using an animal model that included year and month of lactation, age at calving, parity, suckling group, week in milk and genetic groups as fixed effects and the random effects for the direct additive genetic and the permanent environmental effects. The programs of Miztal (1990) were used to obtain REML estimates of the additive, environmental and residual variances. Solutions obtained for the genetic groups with the animal model were used to compute the crossbreeding parameters following Dickersons genetic model (1969). The overall average DMY was 5.49 l/day. Computed heritability and repeatability were 0.27 and 0.36, respectively. The predicted additive direct effects for DMY of Ankole (A), Sahiwal (S) and Ayrshire (A) breeds were -1.66 l, -0.48 l and 5.22 l, respectively. These values indicated that the Ayrshire breed contributed most to the increase in DMY of the Ayrshire x Sahiwal x Ankole crosses in the Mahwa station. The estimated direct heterosis effects for DMY of SA, YS and YA crosses were 1.97 l (35,8%), -2.33 l(- 42,4%) and 2.30 l (41,9%), respectively. Direct heterosis for YA was higher than that for SA crosses because A and Y cows are more different in their gene frequency than A and S cows. These values suggested that it is more productive to cross Ankole with Ayrshire (Bos Taurus) than with Sahiwal (Bos Indicus).
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Les campagnes limousines au XVIIIe siècle : une spécialisation bovine en pays de petite culture /

Delhoume, Jean-Pierre. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Limoges, 2007. Titre de soutenance : Une spécialisation bovine en pays de petite culture : l'élevage bovin en Limousin au XVIIIe siècle. / En appendice, choix de documents. Bibliogr. p. 407-437. Notes bibliogr. Index.
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Infection expérimentale par le virus respiratoire syncytial bovin étude des interactions entre la vaccination et l'évolution du virus /

Deutscher, Mathieu Meyer, Gilles January 2007 (has links) (PDF)
Reproduction de : Thèse d'exercice : Médecine vétérinaire : Toulouse 3 : 2007. / Titre provenant de l'écran titre. Bibliogr. p. 108-125.
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Semen cryopreservation facilitates sperm DNA damage : relationship between sperm DNA stability and fertility in vivo /

Peris, Soliman. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2008. / Bibliogr. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Étude de l'activation de la transcription chez le jeune embryon bovin /

Vigneault, Christian. January 2008 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2008. / Bibliogr. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Analyse globale et quantitative de la réponse génique à la superovulation dans les ovocytes bovins

Chu, Thi Kieu Oanh 16 April 2018 (has links)
Mise en contexte: Pour augmenter le taux de succès du transfert d'embryons chez la vache l'administration de FSH (follicle stimulating hormone) comme un facteur de la superovulation a été étudiée depuis des années. Cependant, dans des récents articles publiés on note que l'utilisation de la superovulation chez la vache peut mettre en péril de la qualité de l'ovocyte au moment de l'ovulation et que la superovulation pourrait causer des anomalies de la stéroïdogénèse folliculaire et une mauvaise préparation de l'ovocyte. De plus elle peut causer de la méthylation aberrante. L'objectif de ce travail est donc d'analyser le rôle potentiel de la FSH sur le transcriptome ovocytaire. Méthode: Les ovocytes bovin sont obtenus soit d'un cycle naturel et ou un cycle superovulé · (299 UI de FSH deux fois par jours en diminuant pendant quatre jours, prostaglandines [22.5 · mg] administrées avec la première dose de FSH pour induire un nouveau cycle oestral) et les ovocytes sont récupérés 2 h pre LH, 6 h post LH et 22 .h post LH. Les ovocytes provenant d'ovocytes superovulés et non superovulés à différents stades de maturation sont extraits et leur ARN transcrit en ADN pour ensuite êtrè hybridés sur une micropuce d'ADNc bovine. Deux profils d'hybridation ont été établis, le premier volet contient trois hybridations avec les ovocytes superovulés, collectés in vivo à 2 h, 6 h et 22 h avec ceux de la nonsuperovulation, le deuxième volet contient quatre hybridations avec les ovocytes superovulés, collectés in vivo à 2 h pre LH, 6 h- et 2'2 h post LH et les ovocytes nonsuperovulés, collectés à la même heure. À partir des hybridations, 13 gènes candidats ont été sélectionnés en lien possible avec la compétence de l'ovocyte. Le RT-PCR en temps réel a été utilisé pour mesurer le niveau ARNm dans différences conditions: ovocytes superovulés et collectés à 2 h pre LH, 6 h post LH, 22 h post LH; ovocytes nonsuperovulés et collectés à 2 h preLH, 6 h post LH, 22 h . post LH. Résultat: Les gènes BTG4, PTTGI, LEOI et .PAPOLA présentent une différence significative au niveau de ARNm dans les ovocytes superovulés quelque soit le temps de maturation. Le GDF9 présente un taux d'ARNm le plus élevé dans les ovocytes collectés à 2 h pre LH et 6 h post LH comparativement à 22 h post LH quel que soit le traitement. La différence dans le niveau d'expression d'ARNm a amélioré nos connaissances de l'expression de gène chez les ovocytes superovulés par FSH et nous fournit un aperçu des voies moléculaires qui sont affectées par la stimulation ovarienne
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Analyse des profils de méthylation de l'ADN des spermatozoïdes de taureaux péri-pubères

Lambert, Simon 24 April 2018 (has links)
L'industrie bovine est un secteur de grande importance au Canada. En effet, à elle seule l'industrie laitière canadienne représentait un chiffre d'affaires de 15.7 milliards de dollars pour l'année 2013 (commission canadienne du lait). L'industrie laitière canadienne est reconnue pour la qualité génétique supérieure de son cheptel bovin, de même que pour ses programmes génétiques laitiers (c'est à dire les programmes de contrôle laitier et les programmes d'enregistrement du bétail laitier et de la classification pour le type). Le Canada détient 41 % du marché mondial d'exportation (2008) de bovins reproducteurs de race pure et d'embryons. La race holstein est la race laitière la plus importante (92 % du cheptel laitier). Les semences de bovins laitiers canadiens ont été exportées vers 84 pays différents principalement vers les États-Unis, les Pays-Bas, le Japon et l'Espagne. Le Canada est à l'avant-garde des nouvelles technologies en matière de génétique laitière. Grâce au génotypage, les généticiens peuvent déterminer le profil d'ADN d'un animal et produisent actuellement des évaluations génomiques pour plus de 60 caractères différents. Depuis août 2009, le Réseau laitier canadien (RLC) publie des évaluations génomiques qui combinent la valeur génomique directe (VGD) d'un animal avec son évaluation génétique traditionnelle. Pour rester compétitif, le Canada doit rester à l'affut des nouvelles technologies qui permettent de discerner les meilleurs animaux reproducteurs. La demande grandissante pour des animaux de qualité pousse l'industrie à utiliser les animaux de plus en plus jeunes. Il est reconnu que la qualité des gamètes des mâles âgés de moins de 16 mois est inférieure à celle des animaux matures. À ce jour il n'est pas clair si l'utilisation de gamètes immatures peut avoir un impact sur le phénotype des animaux issus de ces gamètes. La génétique permet de donner une information clé qu'an au potentiel reproducteur d'un animal et le génome d'un animal ne varie pas avec l'âge, toutefois il est possible que l'information épigénétique transmise par un gamète imparfait ait un impact négatif sur la descendance. L'étude des patrons épigénétique ainsi que le développement de méthode fiable pour récolter ces informations s'impose. Le réseau embryoGENE a développé une plateforme d'analyse épigénétique permettant d'établir un profil de méthylation de l'ADN à la grandeur du génome. Une lame de micro array comportant plus de 420 000 sondes combinées à une plateforme de bio-informatique permet une résolution sans précédent de l'épigénome bovin. Afin de déterminer si le méthylome des gamètes d'un animal évolue avec le temps. Quatre taureaux ont été récoltés alors qu'ils étaient âgés de 10, 12 et 16 mois. Les échantillons récoltés à 10 et 12 mois ont été comparés à l'échantillon mature (16 mois) afin de déterminer si les profils de méthylation ont varié dans le temps. Un total de 2604 sites différentiellement méthylés ont été détectés entre les échantillons de 10 mois à ceux de 16 mois. Cela démontre que les spermatozoïdes provenant de taureaux âgés de 10 mois n'ont pas un profil mature. Aucune différence significative au niveau des méthylations n'a pu être détectée lorsque l'on compare les échantillons de 12 mois à ceux de 16 mois. L'importance de ces différences pour l'embryon est méconnue. Il est toutefois connu que des altérations dans les marques épigénétiques portées par l'embryon soient à la source de plusieurs pathologies ou défauts embryonnaires. Il est raisonnable de soupçonner que l'utilisation de sperme immature puisse représenter un risque potentiel pour l'embryon.
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Évaluation des technologies de refroidissement utilisées chez la vache laitière au Québec

Khlif, Bouthayna 20 March 2023 (has links)
Le stress de chaleur chez la vache laitière est une problématique reconnue pour entraîner des diminutions de performances se répercutant ultimement sur la profitabilité de la filière laitière. Plusieurs technologies de refroidissement sont actuellement disponibles sur le marché. Le projet présenté dans le cadre de ce mémoire avait comme objectifs de quantifier le nombre de jours par année pouvant provoquer un stress de chaleur dans les principales régions laitières de la province, d'évaluer le taux d'adoption des technologies de refroidissement au Québec et d'évaluer leur efficacité dans le contexte québécois. Pour les années 2019-2021, une moyenne de 91,0 ± 9,9 jr/année, 171,5 ± 1,1 jr/année et 153,0 ± 2,8 jr/année étaient susceptibles de déclencher une diminution de la production de lait, de gras ou de protéines due au stress de chaleur, respectivement dans les deux régions les plus chaudes de la province (Lanaudière et Montérégie-Ouest). En comparaison, dans les deux régions les plus froides (Abitibi-Témiscamingue et Bas-Saint-Laurent), ce sont en moyenne 54,3 ± 11,3 jr/année, 118,7 ± 27,3 jr/année et 106,5 ± 20,3 jr/année qui étaient susceptibles de déclencher une baisse de production de lait, de gras ou de protéines respectivement. L'analyse de la banque de données a démontré que 23% des troupeaux ont rapporté employer une technologie de refroidissement pendant l'été. Peu importe le type de stabulation, la technologie de refroidissement la plus utilisée était les ventilateurs de recirculation. Les modèles multivariés de prédiction des performances pendant l'été ont démontré une association significative positive entre la présence d'une stratégie de refroidissement et les performances des animaux. De plus, nos résultats ont démontré que la présence de technologie de refroidissement diminue (odds ratio 0,587 ; 95% IC : 0,420-0,820 ; P = 0,002) le risque de chute de lait en été alors qu'elle n'a aucun lien (P > 0,05) avec la chute des composants. / Heat stress to dairy cattle is a known issue that leads to reduced performance that ultimately affects the profitability of the dairy industry. Several cooling technologies are currently available on the market. The objectives of the project of this M. Sc. thesis were to quantify the number of days per year that can cause heat stress in the main dairy regions of the province of Québec, to evaluate the rate of adoption of cooling technologies and to evaluate their effectiveness in the Quebec context. For the years 2019-2021, an average of 91.0 ± 9.9 days/year, 171.5 ± 1.1 days/year, and 153.0 ± 2.8 days/year were likely to trigger a decrease in production of milk, fat, or protein due to heat stress, respectively in the two warmest regions of the province (Lanaudière et Montérégie-Ouest). In comparison, in the two coldest regions (Abitibi-Témiscamingue and Bas-Saint-Laurent), the average is 54.3 ± 11.3 days/year, 118.7 ± 27.3 days/year, and 106. 5 ± 20.3 days/year which was likely to trigger a drop in milk, fat or protein production respectively. The analysis of the database showed that 23% of herds reported using cooling technology during the summer. Regardless of the type of barn, the most used cooling technology was recirculation fans. Multivariate performance prediction models during summer demonstrated a significant positive association between the presence of cooling technology and animal performance. In addition, our results demonstrated that the presence of a cooling technology decreases(odds ratio 0.587; 95% CI: 0.420-0.820; P = 0.002) the risk of suffering a milk drop in summer while it has no association (P > 0.05) with milk component drop.
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Caractérisation de l'activité phosphodiestérase chez les spermatozoïdes bovins

Hébert, Audrey 18 April 2018 (has links)
Les nucleotides cycliques (AMPc (adenosine monophosphate cyclique) et GMPc (guanosine monophosphate cyclique)) sont des molécules de signalisation intracellulaire, reconnues comme seconds messagers. L'AMPc et le GMPc régulent plusieurs fonctions de la physiologie du spermatozoïde. L'AMPc, en particulier, joue un rôle déterminant dans le processus de maturation des spermatozoïdes, la motilité, la capacitation et la réaction de l'acrosome. Les nucleotides cycliques activent des kinases, des phosphodiesterases et certains types de canaux ioniques en plus d'affecter l'activité des protéines G via les «EPAC» et les «GEF». La concentration intracellulaire d'AMPc dépend autant de sa synthèse par les cyclases que de sa dégradation par les phosphodiesterases (PDEs). Encore peu d'études se sont attardées à mesurer l'activité phosphodiesterase chez les spermatozoïdes, tant chez le bovin que chez les autres espèces. Ce projet avait donc pour objectifs le développement d'une méthode capable de mesurer l'activité phosphodiesterase et l'étude de l'activité phosphodiesterase, à l'aide d'inhibiteurs spécifiques, chez les spermatozoïdes bovins en s'attardant plus particulièrement à étudier la PDE10 dont l'inhibiteur spécifique est la papaverine.

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