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Contribution à l'étude de l'Amdouat : les variantes tardives du Livre de l'Amdouat dans les papyrus du Musée du Caire /

Sadek, Abdel-Aziz Fahmy, January 1985 (has links)
Thèse 3e cycle--Lyon 2, 1976. / Bibliogr. p. 329-333. Index.
2

Aʻmāl maǧmaʻ al-luġaẗ al-ʻarabiyyaẗ bi-al-Qāhiraẗ : manāhiǧ tarqiyyaẗ al-luġaẗ tanẓīrā wa-muṣṭalaḥā wa-muʻǧamā /

Ḥamzāwī, Muḥammad Rašād al-, January 1988 (has links)
Texte trad. de: Thèse de doctorat--Etudes arabo-islamiques--Paris-Sorbonne, 1972. Titre de soutenance : L'académie de langue arabe du Caire : histoire et oeuvre. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : L'@Académie de langue arabe du Caire : histoire et oeuvre / Rached Hamzaoui. Bibliogr. p. 599-612. Index.
3

La capitale de l'Égypte jusqu'à l'époque fatimide, al-Qāhira et al-Fusṭāṭ : essai de reconstitution topographique /

Sayyid, Ayman Fuʼād, January 1998 (has links)
Texte remanié de: Th. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : ʻ@Āsimaẗ Miṣr ḥattá nihāyaẗ al-ʻaṣr al-fāṭimī, al-Qāhiraẗ wa al-Fusṭāṭ : dirāsaẗfī iʻādaẗ tah̲ṭīṭihā. Contient, en appendices, des documents en arabe, ainsi qu'un résumé de l'ouvrage également en arabe. Bibliogr. p. 693-716. Index. Glossaire.
4

Text und Sprache der hebräischen Weisheitsschrift aus der Kairoer Geniza /

Nebe, G. Wilhelm, January 1900 (has links)
Dissertation--Heidelberg, 1991. / Textes en allemand et hébreu. Bibliogr. p. 407-429.
5

Al-Qāhiraẗ fī al-adab al-miṣrī al-ḥadīt̲ wa al-muʻāṣir min ḥulm al-madinaẗ al-kabīraẗ ilá ʻuzlaẗ al-ḍawāḥī /

Hišmat, Dīnā, January 2006 (has links)
Texte traduit de: Thèse de doctorat--Langues, civilisations et sociétés orientales--Paris 3, 2004. Titre de soutenance : L'évolution des représentations de la ville du Caire dans la littérature égyptienne moderne et contemporaine. / Bibliogr. p. 281-297.
6

The citadel of Cairo : a new interpretation of royal Mamluk architecture /

Rabbat, Nasser Omar. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Diss. Ph. D.--Cambridge, Mass.--Massachusetts institute of technology, 1991. / Bibliogr. p. 311-325. Index.
7

Annäherung und Distanz : Schia, Azhar und die islamische Ökumene im 20. Jahrhundert /

Brunner, Rainer. January 1996 (has links)
Modifié de: Diss.--Gemeinsame Aussschuß der philosophischen Fakultäten--Freiburg-im-Breisgau Universität, 1995. / Bibliogr. p. 303-319. Index.
8

La Stèle triomphale de Piânkhy au Musée du Caire : JE 48862 et 47086-47089 /

Grimal, Nicolas, January 1981 (has links)
Th. 3e cycle--Hist.--Paris 4, 1977. / Bibliogr. p. XVII-XXVII. Index.
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Assabeyya : idiome de détresse : exploration anthropologique de la détresse psychologique de femmes dans le Caire contemporain

Habib, Heba Allah 24 April 2018 (has links)
Cette recherche s’est fixé de nombreux objectifs dont le principal est celui d’explorer ‘assabeyya afin de découvrir si c'est un idiome de détresse exprimé et manifesté par de nombreuses femmes égyptiennes. Elle a ensuite cherché à savoir si ‘assabeyya est l'expression d'une souffrance émotionnelle, exprimée à travers ‘les nerfs’, et secondaire à l'exposition à de nombreux événements traumatiques violents (violence directe ou violence indirecte comme violence structurelle et symbolique / culturelle) comme dans nervios. Le troisième objectif a été de voir s'il existe une biomédicalisation de cette souffrance sociale représentée par ‘assabeyya, et enfin, le dernier objectif a été de découvrir si ‘assabeyya et trouble de la personnalité limite (TPL) sont en fait liés et s'ils résultent tous deux des conséquences traumatiques de l'exposition des femmes égyptiennes à ces nombreuses sources de violence. Des entretiens approfondis inspirés du modèle explicatif de la maladie ont été mis en place pour recueillir des informations, notamment sur le type de souffrance et l'exposition à la violence de femmes d'une banlieue du Caire (patientes psychiatriques et non psychiatriques). La présence de symptômes caractéristiques du TPL et de l’état de stress post-traumatique complexe (ESPT) a aussi été recherchée. Les entretiens se sont également déroulés auprès de professionnels de la santé mentale et de la santé plus globalement, ainsi qu’auprès de personnes ressources issues de la même communauté. L’analyse des données a permis tout d’abord de confirmer les hypothèses avancées puis de dépeindre une vision synthétique de ‘assabeyya, vision gravitant autour de la notion clé d’assujettissement. La relation de l’assujettissement à ‘assabeyya a été analysée selon l’approche tridimensionnelle de disease, illness et sickness (Kleinman et al. 1980, 2006) ainsi que les mécanismes de coping que cet assujettissement induit et les types d’agencéité qu’il inspire, dont la victimcy (Honwana 2000). Assujettissement et ‘assabeyya ont été ensuite abordés, selon l’approche ethnopsychiatrique à travers les concepts de ‘assabeyya khaldunienne (Ibn Khaldun 1986), d’aliénation et d’anomie (Durkheim 1960) ; et ethnopsychanalytique (Freud 1914-1916 ; 1961 ; Butler 1997). Enfin une approche existentielle a tenté d’explorer la relation de ‘assabeyya à l’assujettissement donnant ainsi à ‘assabeyya une portée qui dépasse le domaine de l’anthropologie et de la psychiatrie pour atteindre ceux de la politique et de la philosophie. / This research has set many objectives, the main one was to explore 'assabeyya in order to discover if it is an idiom of distress expressed and manifested by many Egyptian women. The research investigated then whether ‘assabeyya is the expression of an emotional suffering, expressed through ‘nerves', secondary to exposure to many violent traumatic events (direct or indirect violence as structural and symbolic /cultural violence) as in nervios, nevra, nervos or even nerves. The third objective was to see if there is a biomedicalization of this social suffering represented by ‘assabeyya, and finally the last objective was to discover if ‘assabeyya and borderline personality disorder (BPD) are in fact related resulting both from the traumatic consequences of Egyptian women's exposure to these numerous sources of violence. In-depth interviews based on the explanatory model of the disease were set in order to gather information on the type of suffering and exposure to violence of women in a Cairo suburb, who were psychiatric and non-psychiatric patients. The presence of characteristic symptoms of BPD and Post-Traumatic Stress Disorder (PTSD) was also investigated. In addition, interviews were conducted with mental health professionals and more broadly with health professionals, as well as with resource persons from the same community. The analysis of the data allowed, first, to confirm the hypotheses put forward, and then to depict a synthetic vision of ‘assabeyya, a vision revolving around the key notion of subjugation. The relationship between subjugation and ‘assabeyya has been analyzed according to the three-dimensional approach of disease, illness and sickness (Kleinman et al., 1980, 2006), along with the coping mechanisms induced by this subjugation and the types of agency it inspires, including victimcy (Honwana 2000). Subjection and ‘assabeyya were then analyzed according to the ethnopsychiatric approach through the concepts of Khaldunian ‘assabeyya (Ibn Khaldun 1986), alienation and anomie (Durkheim 1960); and through the ethnopsychanalytic one (Freud 1914-1916, 1961; Butler 1997). Finally, an existential approach has attempted to explore the relation of ‘assabeyya to subjugation, providing ‘assabeyya with a scope beyond the field of anthropology and psychiatry, to reach those of politics and philosophy.
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Yūḥannā al-Armanī al-Qudsī et le renouveau de l'art de l’icône en Égypte ottomane / Yūḥannā al-Armanī al-Qudsī and the renewal of icon art in Ottoman Egypt

Auber, Julien 29 November 2018 (has links)
Actif de 1740 à 1786, année de sa mort, Yūḥannā al Armanī al-Qudsī fut l’un des plus prolifiques peintres d’icônes que l’Égypte ottomane ait pu connaître. Bénéficiant d’un renouveau politique et économique, les chrétiens d’Égypte ont pu restaurer et mettre en valeur leur patrimoine religieux, notamment en faisant réaliser de nombreuses icônes pour décorer les églises. Yūḥannā al Armanī et son proche collègue Ibrāhīm al-Nāsiḫ répondirent à cet appel en développant de grands ateliers prêts à répondre à ces commandes. Le résultat est si spectaculaire que, encore aujourd’hui, il est difficile de ne pas visiter une église copte du Caire sans voir un panneau réalisé par l’un ou l’autre de ces hommes. La réunion d’un corpus de plus de quatre cents icônes permet désormais d’envisager l’ampleur du travail qui résulta de ce tandem. Le style des peintres est également ce qui fait la grande originalité de cette production. Souvent indéfinissable, comme le remarquait déjà en son temps A. J. Butler à la fin du XIXe siècle, celui-ci illustre les multiples sources qui ont été utilisées. On y trouve à la fois, pêle-mêle, des inspirations des traditions chrétiennes locales, des évocations de tissus ottomans ou des compositions issues de tableaux européens. Cette particularité tient dans un fait bien concret. Yūḥannā al Armanī, comme son nom l’indique, est issu d’une famille arménienne. Bien qu’étant né en Égypte et ayant épousé une Égyptienne copte, il n’en demeure pas moins très attaché à ses racines, aussi bien par son lieu d’habitation au Caire – proche de l’église arménienne – que par la sociabilité qu’il développe. Afin de mieux cerner ce peintre atypique et son œuvre, il convient de cerner les réseaux qui existent au Caire dans la seconde moitié du XVIIIe siècle. Ses sources d’inspiration ont ainsi pu notamment être découvertes au détour d’ouvrages liturgiques imprimés en Europe ou à la Nouvelle-Djoulfa et retrouvés dans la bibliothèque des pères franciscains du Mūski au Caire. Comprendre l’art de Yūḥannā al Armanī permet ainsi de mieux cerner la diffusion des iconographies chrétiennes en Afrique et au Proche-Orient, voguant, au gré des courants de la mer Méditerranée. Son œuvre montre qu’il n’est pas simplement entre Orient et Occident, il est au croisement de circulations complexes qui font éclater cette problématique. / Active from 1740 to 1786, the year of his death, Yūḥannā al Armanī al-Qudsī was one of the most prolific icon painters that Ottoman Egypt has ever known. Benefiting from a political and economic renewal, the Christians of Egypt have been able to restore and enhance their religious heritage, in particular by having many icons made to decorate churches. Yūḥannā al Armanī and his close colleague Ibrāhīm al-Nāsiḫ responded to this call by developing large workshops ready to respond to these orders. The result is so spectacular that, even today, it is difficult not to visit a Coptic church in Cairo without seeing a panel made by one or the other of these men. The gathering of a corpus of more than four hundred icons now makes it possible to consider the extent of the work that resulted from this tandem. The style of the painters is also what makes this production so original. Often undefinable, as already noted in his time A. J. Butler at the end of the 19th century, this one illustrates the many sources that have been used. There are both, jumbled together, inspirations from local Christian traditions, evocations of Ottoman fabrics or compositions from European paintings. This particularity is based on a very concrete fact. Yūḥannā al Armanī, as its name suggests, comes from an Armenian family. Although he was born in Egypt and married a Coptic Egyptian, he remains very attached to his roots, both by his place of residence in Cairo - close to the Armenian church - and by the sociability he develops. In order to better understand this atypical painter and his work, it is necessary to understand the networks that existed in Cairo in the second half of the 18th century. His sources of inspiration have been discovered in liturgical works printed in Europe or New Julfa and found in the Franciscan's Library at Mūski in Cairo. Understanding the art of Yūḥannā al Armanī thus makes it possible to better understand the diffusion of Christian iconographies in Africa and the Near East, sailing, according to the currents of the Mediterranean Sea. His work shows that he is not simply between East and West, he is at the crossroads of complex circulations that make this problem explode.

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