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The 2019 Canadian federal election and the Bloc québécois resurgence

Rebbani, Meissa 06 1900 (has links)
L’objectif de cette recherche est de découvrir la nature de l’appui au Bloc québécois lors des élections canadiennes de 2019. Dans le contexte de la diminution de l’appui à la souveraineté au Québec, cette recherche s’appuie sur l’hypothèse suivante : la résurgence du Bloc en 2019 peut être attribuée à la capacité du parti à transcender le clivage souverainiste-fédéraliste en réussissant à capturer l’électeur francophone moyen dans la province. En lien avec cette hypothèse, cette recherche se pose deux questions centrales : dans un premier temps, quels sont les sous-groupes d’électeurs que l’on retrouve au sein de cette coalition bloquiste et quel est le lien avec l’appartenance partisane provinciale, et dans un deuxième temps, quels facteurs et enjeux ont permis de rallier ces électeurs sous la bannière bloquiste? Cette recherche répond à ces questions en utilisant les données québécoises d’un sondage post-électoral national mené en 2019 par les professeurs Erick Lachapelle et Richard Nadeau de l’Université de Montréal et administré par la firme Léger Marketing. Les résultats de l’analyse de sondage confirment l’hypothèse de la coalition, les résultats montrant que le soutien au Bloc en 2019 était constitué de 47,1% d’adhérents du Parti Québécois et de 45,5% d’adhérents de la Coalition Avenir Québec. En outre, cette recherche révèle que si 75,5 % des péquistes ont voté Bloc en 2019, seulement 43,0% des caquistes en ont fait de même, suggérant que le Bloc a réussi à rallier une catégorie spécifique de caquistes. En somme, cette recherche révèle que ce sont les partisans nationalistes modérés de la CAQ qui ont permis la résurgence du BQ en 2019, et que l’appui au projet de loi 21 a été un facteur déterminant dans leur vote pour le BQ, alors que les partisans du PQ étaient plus fortement en appui à la souveraineté. / The goal of this research is to uncover the nature of Bloc Québécois support in the 2019 Canadian election. In the context of dwindling support for sovereignty in Quebec, this research theorizes that the resurgence of the Bloc in the 2019 election can be attributed to the party’s ability to cut across the sovereigntist-federalist divide and capture the median Francophone voter in the province. Following this, this research seeks to answer two central questions: Based on provincial party affiliation, what are the different sub-groups of voters that can be found within the 2019 BQ coalition, and what issues and factors have rallied these voters behind the Bloc? This research answers these questions using Quebec data from a nationwide post-electoral survey conducted by Professors Erick Lachapelle and Richard Nadeau from Université de Montréal in 2019 and carried out by Leger Marketing. The survey analysis results confirm the coalition hypothesis, with findings showing that 2019 Bloc Québécois support is constituted of 47,1 % of Parti Québécois adherents and 45,5 % of Coalition Avenir Québec adherents. Furthermore, this research finds that whereas 75,5% of péquistes voted for the BQ in 2019, only 43,0% of caquistes did so, showing that the party was able to capture a specific category of CAQ adherents. In sum, this research finds that it was the moderate nationalist CAQ adherents that gave the Bloc Québécois a boost in 2019, and that support for Bill 21 was a determining factor behind their vote for the BQ, whereas Parti Québécois adherents felt more strongly about sovereignty.
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Les partis politiques de droite sont-ils favorisés par le suffrage féminin au Canada et au Québec

Vandewalle, Virginie 08 1900 (has links)
Pendant la période de la Première Guerre mondiale, les démocraties ont commencé à accorder le droit de vote aux femmes. Bien qu’il existe certaines exceptions ayant permis aux femmes de voter partiellement ou provisoirement avant 1893, les femmes n’étaient pas officiellement autorisées à voter avant cette date. Au Québec, ce droit n'a été accordé qu'en 1940, ce qui en a fait la dernière province canadienne à accorder le droit de vote aux femmes. Cela soulève des interrogations concernant l’impact de ce retard sur les résultats électoraux en faveur des partis politiques de droite. Ce mémoire entreprend d'évaluer l'impact de l'obtention du droit de vote des femmes sur les résultats électoraux, avec une attention particulière portée sur la province du Québec. Ce mémoire se base sur l’hypothèse postulant que l'obtention du suffrage féminin augmente le soutien aux partis politiques de droite. Cette hypothèse découle d'un cadre théorique plus large envisageant d'autres possibilités, telles que le fait que les femmes pourraient soutenir les partis progressistes ou adopter un comportement politique similaire à celui des hommes engendrant aucune différence dans les résultats du vote. La préférence pour s’attarder aux partis de droite est justifiée par les valeurs et l'influence de la religion catholique au Québec. Deux types d’analyses sont présentées dans ce mémoire, l'une visant à établir si le droit de vote des femmes a eu un impact sur le soutien aux partis de droite à travers les provinces canadiennes, alors que l'autre porte sur le Québec uniquement. L’analyse portant sur les provinces canadiennes utilise des données couvrant la période de 1897 à 1960 alors que la deuxième analyse se concentre sur le Québec en examinant les circonscriptions entre 1927 et 1960. À l’échelle des provinces canadiennes, l'élargissement du droit de vote des femmes semble lié à un déclin du soutien envers les partis de droite. Toutefois, les résultats de l'analyse effectuée au Québec révèlent une tendance opposée au niveau des circonscriptions : les élections qui ont suivi l'obtention du droit de vote ont engendré un soutien accru envers les partis de droite, principalement l'Union nationale. Ainsi, l'hypothèse ne se confirme que dans le contexte spécifique du Québec. / During the period of World War I, democracies began to grant women the right to vote. Although there were some exceptions that allowed women to vote before partially or provisionally 1893, women were not officially allowed to vote before that date. In Quebec, this right was not granted until 1940, making it the last Canadian province to grant women the right to vote. This raises questions about the impact of this delay on the electoral results in favor of right-wing political parties. This dissertation undertakes to evaluate the impact of obtaining the right to vote for women on electoral results, with particular attention paid to the province of Quebec. This thesis is based on the hypothesis postulating that obtaining female suffrage increases support for right-wing political parties. This hypothesis arises from a broader theoretical framework considering other possibilities, such as that women might support progressive parties or engage in similar political behavior to men resulting in no difference in voting outcomes. The preference to focus on right-wing parties is justified by the values and influence of the Catholic religion in Quebec. Two types of analyzes are presented in this dissertation, one aimed at establishing whether women's right to vote had an impact on support for right-wing parties across the Canadian provinces, while the other focuses on Quebec. uniquely. The analysis relating to the Canadian provinces uses data covering the period from 1897 to 1960 while the second analysis focuses on Quebec by examining the constituencies between 1927 and 1960. At the level of the Canadian provinces, the expansion of the right women's voting rate appears linked to a decline in support for right-wing parties. However, the results of the analysis carried out in Quebec reveal an opposite trend at the constituency level: the elections which followed obtaining the right to vote generated increased support for right-wing parties, mainly the Union Nationale. Thus, the hypothesis is only confirmed in the specific context of Quebec.
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Faire confiance au gouvernement? : évaluation des caractéristiques individuelles, étatiques et sociales qui sont liées à la confiance envers le gouvernement

Savoie, Louis-Philippe 06 1900 (has links)
La confiance envers le gouvernement est une notion fréquemment évoquée dans le discours public et dans la littérature, mais il s’agit d’une notion imprécise, malgré des innovations depuis sa première spécification par David Easton en tant que support systémique. Cette revue de littérature propose de faire le point sur la question de la confiance envers les gouvernements démocratiques. Je définis d’abord la confiance envers le gouvernement comme un concept relationnel et relativement stable dans le temps. Ce mémoire se penche sur 26 facteurs qui sont liés à la confiance envers le gouvernement dans trois grandes catégories : les caractéristiques individuelles, étatiques et sociales. Je démontre que les explications culturelles de la confiance sont nettement supérieures aux explications économiques, et ce à toutes les échelles. Cependant, les jeunes démocraties présentent un profil un peu différent des démocraties plus anciennes : l’économie y joue un rôle un peu plus important. / Trust in government is a hotly debated topic in public discourse as well as the scientific literature. It is, however, an unclear notion, although a few theoretical innovations have helped refine the concept since its inception as system support by David Easton. This literature review examines current trends in study of trust in democratic governments. I define trust in government as a relational concept that is relatively stable through time. This thesis identifies 26 factors that are linked to trust in government in three categories: individual, state and social characteristics. I demonstrate that cultural explanations better explain variations in trust in government than economic approaches at all scales. However, young democracies have a different profile, in which economic approaches have a slightly bigger role.

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