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Forme logique du jugement et déduction métaphysique chez Kant

Duranceau, Jacques January 2007 (has links) (PDF)
La présente recherche porte en bonne partie sur le premier chapitre de l'Analytique des concepts, également désigné par Kant comme étant la déduction métaphysique. Pour l'essentiel, ce chapitre présente deux tables, celle des formes logiques du jugement et celle des concepts purs de l'entendement. Notre objectif est de tenter de voir en quoi les formes logiques du jugement peuvent nous amener à déduire les concepts purs de l'entendement, ce qui est la prétention de Kant. Notre hypothèse est qu'un rapport déductif peut être envisagé entre les deux tables dans la mesure où on tient compte du type de jugement impliqué et des diverses significations qu'on peut donner à «déduction métaphysique». Au premier chapitre, nous analysons les types de logique chez Kant pour comprendre la nature exacte de la logique formelle et son rôle dans la déduction mètaphysique. Nous concluons que celui-ci consiste à clarifier les règles fondamentales de l'entendement et que, ce faisant, l'analyse de ces «lois» peut certainement fournir des indications sur les concepts purs. Notre étude des types de jugement nous amène par ailleurs à conclure que, selon toute vraisemblance, il ne peut s'agir dans la déduction métaphysique que du jugement déterminant. Le deuxième chapitre est d'ailleurs consacré à la structure interne du jugement déterminant et à ses diverses fonctions. La première partie conclut que l'acte de détermination temporelle est au coeur de notre problème et la seconde partie qu'il existe des liens inéquivoques entre le jugement et le concept en général. Si les deux premiers chapitres sont surtout analytiques et explicatifs, le troisième chapitre est plutôt évaluatif. Il propose une évaluation des critiques de Strawson, Heidegger et Longuenesse. Cette dernière étape permet de prendre du recul sur la signification de la déduction métaphysique et de considérer notre question en dehors de son cadre strict. Au terme de notre recherche, nous concluons qu'il semble impossible de parvenir à déduire les concepts purs des simples formes logiques du jugement, sans l'éclairage de la déduction transcendantale et du schématisme. En ce sens, il faut plutôt considérer le premier chapitre de l'Analytique des concepts comme le début d'une explication qui trouve son achèvement au terme de l'Analytique transcendantale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Kant, Jugement, Logique, Formes, Catégories, Déduction.
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Initiation à la preuve en classe de 6e année

Lemay, Isabelle 08 1900 (has links) (PDF)
De nombreuses recherches ont mis en évidence la difficulté des élèves quant au passage de la géométrie pratique à la géométrie théorique entre l'enseignement primaire et secondaire. Néanmoins, peu de celles-ci se sont penchées sur les solutions à mettre de l'avant afin d'atténuer cette rupture. C'est ce point qui retient notre attention dans le cadre de cette étude. Plusieurs possibilités sont envisageables pour diminuer la rupture entre les deux géométries. Pour notre part, nous avons choisi de nous concentrer sur des activités de géométrie pouvant mener graduellement les élèves de la géométrie pratique à la géométrie déductive. Notre hypothèse étant que les élèves de troisième cycle de l'école primaire sont en mesure de faire de la déduction et d'être initiés à la géométrie théorique. Cette hypothèse est d'ailleurs soutenue par les travaux de Lester (1975) et Douaire (1999). Afin de bien cerner les éléments qui distinguent la géométrie pratique de la géométrie théorique, nous avons fait appel aux travaux de Parzysz (2002) basés sur ceux de van Riele (1984) et de Houdement et Kuzniak (1999). Les outils qu'ils ont développés nous permettent de distinguer plusieurs paradigmes géométriques ainsi que les éléments clés qui les différencient. En nous basant sur ces précédentes études, nous avons mis sur pied une séquence d'activités mettant en lumière les limites de la démarche instrumentée (utilisation de la règle graduée et rapporteur d'angle) tout en souhaitant mettre à profit le développement du raisonnement déductif. Pour la construction de ces activités, nous avons utilisé une démarche de Design Research (Edelson 2002). De plus, nous avons fait appel aux travaux de Coppé et coll. (2005) quant aux différents types de dessin que l'élève rencontre en classe de géométrie. La séquence de neuf activités bâties a été expérimentée dans deux classes de 6e année sur une durée d'environ 4 mois. Les analyses découlant de ces expérimentations ont mis en évidence dans quelle mesure il est possible de favoriser le développement du raisonnement déductif chez les élèves en utilisant des activités d'initiation à la géométrie déductive. De plus, les analyses nous ont aussi permis d'identifier quelles étaient les tâches pouvant mener l'élève à délaisser la mesure au profit de la déduction, tâches qui étaient construites dans l'objectif que l'élève fasse le passage de la géométrie pratique vers la géométrie déductive. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : didactique des mathématiques, raisonnement déductif, paradigmes géométriques, niveaux de van Hiele.
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Une architecture de contrôle distribuée pour l'autonomie des robots

Degroote, Arnaud 05 October 2012 (has links) (PDF)
Pour des tâches simples ou dans un environnement contrôlé, la coordination des di érents processus internes d'un robot est un problème relativement trivial, souvent implémenté de manière ad-hoc. Toutefois, avec le développement de robots plus complexes travaillant dans des environnements non contrôlés et dynamiques, le robot doit en permanence se reconfigurer afin de s'adapter aux conditions extérieures et à ses objectifs. La définition d'une architecture de contrôle e cace permettant de gérer ces reconfigurations devient alors primordiale pour l'autonomie de tels robots. Dans ces travaux, nous avons d'abord étudié les di érentes architectures proposées dans la littérature, dont l'analyse a permis d'identifier les grandes problématiques qu'une architecture de contrôle doit résoudre. Cette analyse nous a mené à proposer une nouvelle architecture de contrôle décentralisée, générique et réutilisable, selon une démarche qui intègre une approche "intelligence artificielle" (utilisation de raisonneur logique, propagation dynamique de contraintes) et une approche "génie logiciel" (programmation par contrats, agents). Après une présentation des concepts qui sous-tendent cette architecture et une description approfondie de son fonctionnement, nous en décrivons une implémentation, qui est exploitée pour assurer le contrôle d'un robot terrestre d'extérieur dans le cadre de tâches de navigation, d'exploration ou de suivi. Des résultats sont présentés et analysés. Dans une seconde partie, nous nous sommes penchés sur la modélisation et la vérifiabilité d'une telle architecture de contrôle. Après avoir analysé di érentes solutions, nous décrivons un modèle complet de l'architecture qui utilise la logique linéaire. Nous discutons ensuite des di érentes approches possibles pour montrer des propriétés d'atteignabilité et de sûreté de fonctionnement en exploitant ce modèle. Enfin nous abordons di érentes voies d'enrichissement de ces travaux. En particulier, nous discutons des extensions possibles pour le contrôle d'un ensemble de robots coopérants entre eux, mais aussi de la nécessité d'avoir des liens plus forts entre cette couche de contrôle, et les approches de modélisation des fonctionnalités sous-jacentes.
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Introduction de raisonnement dans un outil industriel de gestion des connaissances

Carloni, Olivier 24 November 2008 (has links) (PDF)
Le travail de thèse présenté dans ce document porte sur la conception d'un service de validation et d'enrichissement d'annotations pour un outil industriel de gestion des connaissances basé sur le langage des Topic Maps (TM). Un tel service nécessitant la mise en oeuvre de raisonnements sur les connaissances, il a été nécessaire de doter le langage des TM d'une sémantique formelle. Ceci a été réalisé par l'intermédiaire d'une transformation réversible des TM vers le formalisme logique des graphes conceptuels qui dispose d'une représentation graphique des connaissances (les TM pouvant facilement en être munie d'une). La solution a été mise en oeuvre dans deux applications, l'une conçue pour la veille médiatique et l'autre pour la promotion de ressources touristiques. Schématiquement, des annotations sont extraites automatiquement des documents selon le domaine concerné (actualité/économie ou tourisme) puis ajoutées à la base de connaissances. Elles sont ensuite fournies au service d'enrichissement et de validation qui les complète de nouvelles connaissances et décide de leur validité, puis retourne à la base de connaissance le résultat de l'enrichissement et de la validation.

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