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Vitesse de traitement de l'information et évaluation précoce chez les personnes âgées souffrant de démence

Fortier, Sylvie 17 February 2021 (has links)
Cette recherche vise à éprouver l'utilité de mesures de vitesse de traitement de l'information auprès de 69 adultes âgés de 51 ans à 90 ans, souffrant ou pas de démence. Elle a pour objectif général d'établir les relations que ces mesures (temps de réaction avec prise de décision et temps de réaction simple entretiennent entre elles avec des performances à des épreuves d'aptitudes intellectuelles, avec l'âge, ainsi qu'avec une mesure de détérioration cognitive. Le niveau de détérioration cognitive est évalué à partir des résultats à l'échelle du « Washington University Clinical Dementia Rating Scale » (CDR ; Hughes et al., 1982) Les résultats à cette épreuve ainsi que l'âge des participants sont mis en relation avec les résultats obtenus aux Tests de rendement cognitif (TRC ; Loranger & Pépin. 1993 ), au test Temps de réaction des Tests de rendement cognitif pour enfants (TRCE ; Loranger & Pépin. 1998) et au Test d'aptitudes informatise (TAI ; Pépin & Loranger. 1994). Ces trois différents tests informatises montrent des relations significatives entre eux allant de -0,30 à 0,73 (¡5 < 0,01 ). D'autre part, des relations non-significatives obtenues entre l'âge et la plupart des mesures de vitesse utilisées suggèrent l'absence d'un lien manifeste entre l'âge (50 a 90 ans) et la vitesse des opérations mentales. Par ailleurs, les variables de vitesse à l'étude démontrent une bonne capacité discriminante en fonction des différents niveaux de démence. En somme, cette étude montre que la vitesse mentale constitue une composante essentielle pour l'étude des processus de détérioration cognitive impliqués dans la démence.
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Structure factorielle d'une version française du nursing home behavior problem scale

Fraser, July 19 April 2018 (has links)
La majorité des personnes âgées atteintes de démence présente des symptômes comportementaux et psychologiques. Plusieurs instruments de mesure sont disponibles afin d’évaluer les troubles de comportement des personnes résidant en centre d’hébergement mais peu d’entre eux ont été traduits et validés en français. Ce mémoire a pour objectif principal de déterminer la structure factorielle de la version française du Nursing Home Behavior Problem Scale (NHBPS) auprès de personnes atteintes de démence et résidant en centre d’hébergement. Un objectif secondaire est de documenter les variables associées aux dimensions sous-jacentes de cet instrument. Les participants (N=155) ont un diagnostic de démence et sont usagers de trois centres d’hébergement et d’une unité de soins de longue durée d’un hôpital. Une infirmière a évalué les troubles du comportement des participants à l’aide du NHBPS ainsi que leurs caractéristiques personnelles. Une analyse factorielle confirmatoire montre un manque d’adéquation des données à deux solutions factorielles de la version anglaise du NHBPS. Une analyse en composantes principales révèle cinq dimensions expliquant 58 % de la variance. Plusieurs variables, notamment la consommation d’antipsychotiques, la présence d’un delirium, la douleur et la dépression, sont associées au score total du NHBPS et à ses différentes dimensions sous-jacentes. Bien que la solution factorielle de la version française du NHBPS soit similaire à celle de la version originale anglaise, nos résultats montrent également des différences qui peuvent dépendre de facteurs méthodologiques et culturels.
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Comparaison du niveau cognitif et fonctionnel entre deux cohortes d'usagers fréquentant les centres de jour du CSSS Vieille-Capitale

Paré-Lambert, Alexandra 23 April 2018 (has links)
Parallèlement au vieillissement de la population, une augmentation du nombre de démences chez les Québécois est observée. Actuellement, la majorité des services offerts aux personnes atteintes ainsi qu'à leur entourage visent le maintien à domicile. Les centres de jour font partie de cette politique et espèrent la diminution de l'impact du vieillissement et des démences autant chez les personnes atteintes que sur leur entourage. Plus particulièrement, ils apparaissent profitables pour les usagers (p. ex. amoindrir le sentiment de solitude, la tristesse et l'anxiété en plus de favoriser la stimulation cognitive), leurs proches (p. ex. permet un répit ainsi qu'une réduction de l'impression de fardeau, d'anxiété et de dépression) voire même, pour la société (diminution du coût total si l'institutionnalisation est retardée). Cependant, avec les nouveaux services fournis à l’externe en plus du vieillissement de la population, on peut penser que la clientèle actuelle soit touchée plus sévèrement que celle des années passées. C'est dans l'optique d'évaluer si la cohorte actuelle (2012) présente effectivement un niveau cognitif et fonctionnel plus atteint que celle fréquentant les mêmes centres de jour il y a cinq ans (2007) que le projet prend forme. La première hypothèse posée par cette étude est que le pourcentage de personnes atteintes de démence est plus élevé chez la clientèle des centres de jour que dans la population générale. Il est également stipulé que la proportion de personnes touchées en centre de jour a augmenté entre 2007 et 2012. La deuxième hypothèse postule que les usagers sont plus détériorés au niveau cognitif et fonctionnel en 2012 comparativement à 2007, tel que mesuré par les différentes échelles du Système de Mesure de l’Autonomie Fonctionnelle (SMAF), par le score total au Mini Mental State Examination (MMSE) et par l'âge moyen. Les résultats obtenus permettent, en grande partie, de confirmer les hypothèses. En effet, comme il a été avancé dans la première hypothèse, il y aurait un plus grand taux de démence en centre de jour que dans la population générale. Toutefois, la proportion ne semble pas varier en fonction de l'année d'inscription. En ce qui a trait à la deuxième hypothèse, les résultats confirment une disparité entre la cohorte de 2012 et celle de 2007 (SMAF total, SMAF fonctions mentales et MMSE). Aussi, ils attestent que la clientèle inscrite en 2012 est significativement plus âgée que celle de 2007. Par ailleurs, si les tendances actuelles se maintiennent, le score moyen au SMAF ainsi qu'au MMSE atteindra le seuil minimal d'ici quelques décennies, traduisant une aggravation du niveau cognitif et fonctionnel de la clientèle des centres de jour. Devant ce constat, potentialiser ce service devient un enjeu de taille. Avoir accès à un centre de jour optimal permettrait d'améliorer la qualité de vie de l'usager, de supporter les proches aidants, de retarder le recours à l'hébergement et de diminuer, par le fait même, les coûts associés au vieillissement. / The population aging increases the number of people suffering of dementia among Quebecers. Nowadays, a great majority of the services provided to people struggling with dementia and their entourage aim for home support services. Day care centers are part of the home support policy and should help to decrease the impact of aging and dementia on affected people or their entourage. Therefore, they appear to be favorable for users (ex. reduce the feeling of loneliness, sadness and anxiety while fostering cognitive stimulation), their relatives (ex. allows a respite as well as a reduction of the burden perceived, anxiety and depression) or even to society (ex. diminish the cost if the institutionalization is delayed). However, considering the new services provided externally for maintaining people at home along with the aging population, it is likely that current customers will be affected more severely than the ones from the past years. This is in order to evaluate whether the current clients (2012) have indeed a cognitive and functional level more affected than the clients that frequented the same day care centers five years ago (2007) that the project appears. The first assumption made by this study is that the percentage of people living with dementia is higher among users of day care center than in the general population. It is also stated that the proportion of people affected by dementia in day care centers has increased between 2007 and 2012. The second assumption states that current users (2012) are more deteriorated in cognitive and functional levels if compared to 2007, as measured by the different scales of the Functional autonomy measurement system (SMAF), using the total score of the Mini Mental State Examination (MMSE) and the average age. The results obtained in this project mostly allow to confirm the assumptions. Indeed, as it has been argued in the first assumption, there would be a higher rate of dementia in day care centers than in the general population. Nevertheless, the percentage of dementia does not seem to change according to the year of registration. Concerning the second assumption, the results confirm a disparity between the 2012 cohort and the one from 2007 (total SMAF, Mental Functions Scale &amp; MMSE). Thus, the results show that the clientele registered in 2012 is significantly older than in 2007. Furthermore, if current trends continue, the average SMAF and MMSE scores will reach the minimum level within a few decades, showing an aggravation of the cognitive and functional level of the day care centers customers. Given the situation, potentiate this services suddenly becomes a major issue. Giving the opportunity to have access to an optimal day care center would not only improve the quality of life of the users, but also help support the caregivers, delay the need for accommodation and thereby, decrease the costs associated with aging.
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Étude exploratoire sur l'impact d'un programme de coaching clinique sur la fréquence de la stimulation verbale et physique dans les activités de la vie domestique par les intervenants auprès des résidents hébergés atteints de troubles neurocognitifs majeurs

Bouffard, Stéphane 14 April 2023 (has links)
Les conséquences négatives de l'absence de stimulation chez les personnes atteintes de troubles neurocognitifs majeurs (TNCM) vivant dans différents milieux d'hébergement ainsi qu'à domicile ont été démontrées dans plusieurs études. Le manque de stimulation peut provoquer une perte significative de l'autonomie fonctionnelle et cognitive affectant ainsi la qualité de vie en générale. Des effets positifs à la suite de l'implantation de formation et de programme de stimulation dans les activités de la vie quotidienne (AVQ) ainsi que dans les activités de la vie domestique (AVD) ont été observés dans les études antérieures. Le but de ce projet de maîtrise consiste à explorer, par un devis quasi expérimental de conception avant-après à groupe unique, l'impact d'un coaching clinique auprès des intervenants sur la fréquence de la stimulation verbale et physique dans les AVD auprès des résidents hébergés atteints de TNCM. Au total 17 intervenants ont été recrutés à partir d'une méthode d'échantillonnage non probabiliste de convenance ainsi que 14 résidents du milieu de vie. Les résultats obtenus n'ont pas permis de démontrer un effet statistiquement significatif du coaching clinique sur la fréquence des stimulations des AVD (p = 0.1561). Cependant, une analyse de sensibilité a pu démontrer une tendance nette à la hausse du nombre de stimulations. En effet, la fréquence de stimulation est passée de 28 en prétest et à 69 en posttest. À partir de ces résultats encourageants, il est indéniable que la recherche doit se poursuivre afin d'identifier les stratégies gagnantes favorisant la stimulation des résidents par les intervenants des milieux d'hébergement. / The negative consequences of the absence of stimulation in people with major neurocognitive disorders (MND) living in different residential settings as well as at home have been demonstrated in several studies. The lack of stimulation can cause a significant loss of functional and cognitive autonomy, thus affecting the quality of life in general. Positive effects following the implementation of training and stimulation program in the activities of daily living (ADL) as well as in the activities of domestic life (IADLs), have been observed in previous studies. The purpose of this master's project consists in exploring, by means of a quasi-experimental estimate of a single-group before-after design, the impact of clinical coaching with workers on the frequency of verbal and physical stimulation in IADLs with housed residents with TNCM. A total of 17 workers were recruited using a non-probability convenience sampling method, as well as 14 residents of the living environment. The results obtained did not demonstrate a statistically significant effect of clinical coaching on the frequency of IADLS's stimulation. (p = 0.1561). However, a sensitivity analysis was able to demonstrate a clear upward trend in the number of stimulations. Indeed, the stimulation frequency went from 28 in the pretest and to 69 in the posttest. Based on these encouraging results, it is undeniable that research must continue in order to identify the winning strategies favoring the stimulation of the residents by the workers in the long term care facility settings.
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Caractérisation du fonctionnement visuo-constructif dans le vieillissement normal et dans la démence de type Alzheimer

Guérin, Fanny 11 1900 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal. / Les objectifs pincipaux sont de caractériser le déclin visuo-constructif lié au vieillissement normal et de comparer ce profil à celui observé chez des patients atteints de démence de type Alzheimer à la lumière d'un cadre cognitif du traitement graphique. De telles études visent, entre autres, à l'identification d'outils neuropsychologiques d'évaluation qui permettront de valider le diagnostic de maladie d'Alzheimer du vivant du patient. Dans un premier temps, nous développons un cadre théorique illustrant le caractère multifactoriel du traitement graphique. Dans un deuxième temps, à partir de ce cadre théorique, nous évaluons directement chez les populations vieillissantes normales et atteintes de démence de type Alzheimer (DTA) trois habiletés sous-jacentes à la copie de figures. L'évaluation de ces dernières dans la DTA permettrait d'observer des différences entre les patients en début d'évolution, compte tenu de l'hétérogénéité dans la DT A, et de caractériser les différents profils de détérioration visuo-constructive selon la sévérité de la démence. Dans un but diagnostic, la comparaison des performances visuo-constructives des personnes âgées normales avec celles des patients DTA devraient apporter des indices de différenciations. Vingt-quatre sujets de plus de 60 ans et 13 jeunes adultes de moins de 40 ans, de scolarités similaires, ont participé à une première étude. De plus, huit patients qui rencontrent le diagnostic de démence de type Alzheimer probable et 24 sujets contrôles d'âge et de niveau d'éducation similaires ont participé à une deuxième étude. Tous les sujets ont été soumis à plusieurs tâches mesurant des habiletés visuo-constructives sous­tendant la copie de figures : tâches d'exploration visuelle, de jugement des relations spatiales coordonnées et catégorielles, de planification graphique. Dans la première étude, les performances des sujets âgés sur chaque habileté visuo­constructive sont significativement moins bonnes que celles des jeunes adultes, tel qu'analysées par le test t. De plus, seules les tâches de balayage visuel sont moins sensibles à l'âge. Dans la deuxième étude, la comparaison de groupes avec le test Mann-Whitney U montre que les patients DT A ont significativement plus de difficultés que les contrôles dans la copie de figures aux niveaux de l'exploration visuelle, du jugement des relations spatiales catégorielles et coordonnées, mais pas de la planification graphique. L'analyse des performances individuelles révèle que ce profil visuo-constructif demeure chez tous les patients présentant une apraxie visuo-constructive (AC), indépendamment de la sévérité de la démence. De plus, la sévérité des troubles visuo-constructifs évolue de façon homogène selon la sévérité de la démence. Les tâches d'exploration visuelle sont toutefois plus sensibles à la sévérité de la démence que les tâches de jugement des relations spatiales. Des variabilités individuelles sont également observées sans être forcément reliées à la sévérité de la démence. Des patients présentent des difficultés à juger davantage les relations spatiales catégorielles que coordonnées et d'autres patients présentent le profil inverse. De même, un patient ne présente pas de difficultés à copier des figures. Ces résultats suggèrent que les habiletés visuo-constructives évaluées ne permettent pas de distinguer qualitativement le vieillissement visuo-constructif normal de l' AC dans la DT A. De plus, la première manifestation de la DTA pourrait ne pas inclure l' AC étant donné que le patient le moins atteint cognitivement avait des performances quantitativement et qualitativement similaires à celles des contrôles. De nombreuses études demeurent à être effectuées de façon à mieux caractériser l' AC en début et en cours d'évolution de la DTA. Un modèle du traitement graphique ouvre de nombreuses voies dans l'étude de l'AC dans le vieillissement normal et pathologique. L' AC ne peut plus être considérée comme un trouble uniquement présent ou absent dans la DT A, mais un trouble dont les atteintes évoluent au cours de la maladie.
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L'acceptabilité des traitements de l'agitation verbale selon les personnes âgées

LeBlanc, Valérie 16 April 2018 (has links)
Diverses interventions sont disponibles pour gérer l'agitation verbale (AV) chez les personnes atteintes de démence mais nos connaissances sur leur acceptabilité sont limitées. Cette étude a pour objectif de comparer l'acceptabilité de trois interventions pour la gestion de l'AV selon le point de vue de personnes âgées vivant dans la communauté : l'interaction directe (ID), le renforcement différencié des comportements incompatibles (RDCI) et le risperidone (Ris). Les autres objectifs sont (a) de vérifier si l'acceptabilité des interventions varie en fonction de la sévérité de l'AV, et (b) de déterminer si les caractéristiques des participants sont associées à l'acceptabilité. Les participants (N-69) ont évalué l'acceptabilité de chaque traitement par rapport à la description d'une personne fictive manifestant de l'AV agressive ou non agressive. Les données, incluant les jugements d'acceptabilité par rapport aux différents traitements, ont été recueillies à l'aide de questionnaires. Les résultats suggèrent que l'DO est l'intervention la plus acceptable, suivie du RDCI et du Ris. Une interaction entre le type d'intervention et la sévérité de l'AV est observée. Pour l'AV non agressive, l'JD est l'intervention la plus acceptable, suivi du RDCI et du Ris. Pour l'AV agressive, l'JD et le RDCI sont plus acceptables que le Ris mais ne diffèrent pas significativement l'une de l'autre. Lorsque chaque intervention est comparée à elles-mêmes selon le type d'AV, aucune différence significative n'est observée. Enfin, l'acceptabilité des interventions n'est pas associée aux caractéristiques des participants. Les implications de ces résultats sont discutées.
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Utilisation du RDA afin de réduire les comportements agressifs chez une femme âgée atteinte de démence en institution

Gosselin, Nancy 23 August 2021 (has links)
Le renforcement différentiel des comportements appropriés (RDA) est un bon moyen afin de diminuer les problèmes comportementaux chez les personnes atteintes de démence. Cette étude explore les effets du RDA sur la fréquence des comportements agressifs chez une adulte âgée avec démence mixte. L'étude suit un protocole à cas unique AB. Durant la première phase de la recherche, les niveaux de base des comportements agressifs ont été quantifiés. À la seconde phase, le RDA a été appliqué aux comportements physiquement non agressifs lors du toilettage du matin. Seulement 13 jours après l'introduction du RDA, la fréquence des comportements physiquement agressifs s'est retrouvée à zéro et celle des comportements verbalement agressifs a également diminué. Selon les employés, ces changements sont significatifs. Les améliorations comportementales se sont généralisées aux autres périodes de soins et se maintiennent toujours après six mois. La pertinence de cette intervention auprès de cette population est abordée.
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Étude descriptive des facteurs influençant la prise de décision des infirmières dans l'administration des psychotropes PRN lors de symptômes comportementaux de la démence en CHSLD

Gagnon, Amélie 17 April 2018 (has links)
En raison du phénomène lié au vieillissement de la population, on note un accroissement du nombre des aînés atteints de démence présentant des symptômes comportementaux de la démence (SCD) en centres d'hébergement et de soins de longue durée (CHSLD). La prise de décision relative à l'administration des psychotropes PRN (pro re nata, au besoin) constitue l'un des enjeux faisant partie de la démarche clinique des infirmières lors des SCD. Encore aujourd'hui, la médication demeure l'intervention la plus utilisée lors de SCD. Ce projet de recherche a pour but de décrire les facteurs qui influencent le comportement associé à la prise de décision des infirmières d'administrer les psychotropes PRN lors de l'apparition des SCD chez les aînés atteints de démence en CHSLD. Les résultats, soutenus par la théorie du comportement planifié (Fishbein & Ajzen, 1975), révèlent que la prise de décision des infirmières est influencée non seulement par leurs attitudes (cognitives, affectives et conatives), leurs normes sociales et leur perception de contrôle, mais aussi par la structure organisationnelle des milieux de soins. Les recherches futures devraient tenter d'explorer, en plus des attitudes et de la perception de contrôle, d'autres variables touchant l'infirmière telles que le climat organisationnel et les normes subjectives du milieu de soins comme étant des sources d'influence lors de la prise de décision d'administrer les psychotropes PRN.
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Development and evaluation of a nursing psycho-educational program focused on communication for family caregivers in early Alzheimer's disease

Klodnicka Kouri, Kristyna January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Profils d'utilisation d'antipsychotiques en conditions réelles dans la population de personnes âgées démentes vivant à domicile : impact des interventions de communication de risque

Craig, Camille 11 1900 (has links)
Les antipsychotiques (APs) sont fréquemment prescrits pour les troubles comportementaux associés à la démence. Or, ces produits ont fait l'objet de trois mises en garde (2002, 2004, 2005) en raison d'une augmentation du risque d'événement cérébrovasculaire et de décès. L’objectif de ce mémoire est d’évaluer l'utilisation d’APs dans la population de personnes âgées démentes vivant à domicile, et de déterminer l’effet des mises en garde sur les profils observés. Une cohorte rétrospective de 10,969 personnes âgées démentes ayant débuté un traitement par AP entre le 1er janvier 2000 et le 31 décembre 2009 fut identifiée à partir des banques de données de la Régie de l'assurance maladie du Québec (RAMQ). Des séries chronologiques segmentées ont permis de quantifier l’effet des mises en garde sur l'utilisation d’APs. L'effet de la mise en garde de 2005 sur les caractéristiques des patients traités ainsi que sur les profils d'utilisation (dose et durée) a été évalué, respectivement par des modèles de régression logistique et de régression linéaire multivariés. Le taux délivrance d'APs atypiques a augmenté au cours du temps jusqu'à la mise en garde de 2005 pour ensuite diminuer de 8.96% (IC 95% : -11.91% – -6.02%). L'analyse par produit a révélé la même tendance pour la rispéridone, le seul AP approuvé au Canada pour les personnes âgées démentes. En revanche, le taux de délivrance de quétiapine, qui est hors-indication, a continué d'augmenter. Le taux d'initiation de traitement par APs a cependant diminué au cours du temps pour tous les produits. Les mises en garde ne semblent pas être associées avec un changement dans les caractéristiques des patients traités, ni avec les doses et durées d’utilisation. Le manque d'efficacité des mises en garde est probablement en partie lié à l'absence d'alternatives thérapeutiques pour le traitement des troubles psychologiques et comportementaux chez les patients atteints de démence. / Antipsychotics (APs) are frequently prescribed for the management of behavioural and psychological symptoms of dementia (BPSD). However, three safety warnings have been issued (2002, 2004 and 2005) due to an increased risk of cerebrovascular event and mortality. The aim of this thesis was to evaluate AP usage in the population of community-dwelling elderly with dementia, and to determine the effect of safety warnings on usage patterns. A retrospective cohort of 10,969 elderly with dementia who initiated an AP treatment between January 1st, 2000 and December 31st, 2009 was identified through in the databases of Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ). Segmented time series analysis was used to quantify the effect of safety warnings on AP dispensing rate. The effect of the 2005 warning on the characteristics of treated patients and on usage patterns (dose and duration) was evaluated, respectively through multivariate logistic and multiple linear regression models. Atypical AP dispensing rates increased until the 2005 safety warning and decreased by 8.96% (95% CI: -11.91% – -6.02%) thereafter. Analysis by individual products yielded similar trends for risperidone, the only AP approved in Canada for elderly with dementia. However, usage of quetiapine, which is off-label, kept increasing. For all products, rate of treatment initiation decreased over time. Safety warnings did not seem to be associated with either changes in prescribed treatment dosage or duration, nor with prescription channeling toward lower risk patients. Apparent lack of efficacy of safety warnings is likely due, in part, to absence of effective treatment alternatives for BPSD.

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