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Facteurs associés à la poursuite de l'allaitement maternel jusqu'à six mois de vie de l'enfant : rôle des interactions mère-enfant, de la dépression postnatale et du tempérament de l'enfant

Lacombe, Marie January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Déterminants Psychosociaux et Culturels du Burnout Maternel et des Symptômes Dépressifs Périnataux / Psychosocial and Cultural Determinants of Maternal Burnout and Perinatal Depressive Symptoms

Loyal, Déborah 04 December 2017 (has links)
Alors qu’une maternité heureuse est une aspiration collective, il est établi que de nombreuses femmes souffrent de détresse psychologique dans la période périnatale. Or, la santé psychologique des femmes ne peut être considérée indépendamment de leurs rôles au sein de la société et des normes qui y sont attachées. Ce travail de recherche vise à tester un modèle psychosocial et culturel de compréhension des troubles de l'adaptation à la maternité, (symptômes dépressifs postpartum et burnout). Dans une première étude, différentes étapes auprès de plusieurs populations (N = 250, 22, 474, 249 et 231) ont mené à la validation en langue française d’une échelle de mesure des croyances associées au rôle maternel. Dans un second temps, un suivi longitudinal a été mis en place auprès de femmes rencontrées en fin de grossesse puis à 2 et 4 mois postpartum (N = 129). Ces travaux ont permis d’établir la validité convergente, prédictive et de construit du concept de burnout maternel. Par ailleurs, le poids des caractéristiques psychosociales et normatives du rôle maternel dans le développement de symptômes dépressifs et de burnout a été exploré. Pour finir, des analyses en cluster ont permis de dégager des profils d’articulation, plus ou moins adaptatifs, entre investissement dans la maternité et dans la vie professionnelle. Ces travaux ouvrent des perspectives de recherche concernant le concept de burnout maternel dans la période postpartum et la prise en compte des aspects socio-normatifs du rôle maternel dans la prévention et la prise en charge de ces troubles. / Whereas a happy motherhood is a collective aspiration, it is known that many women are reporting psychological distress during the perinatal period. Yet, women’s psychological health can not be considered regardless of their roles in society and norms associated. This research work aims to test a psychosocial and cultural model to understand adjustment disorder regarding motherhood (postpartum depressive symptoms and burnout). In a first study, various steps with different populations (N = 250, 22, 474, 249 and 231) have led to the validation in French of a scale assessing beliefs associated with the maternal role. Then, a longitudinal follow up was settled with women who were seen during late pregnancy and at 2 and 4 months postpartum (N = 129). This work has served to demonstrate the convergent, predictive and construct validity of maternal burnout. Furthermore, the impact of motherhood psychosocial and normative characteristics in the development of depressive and burnout symptoms have been explored. Finally, cluster analyses were conducted to identify more or less adaptive patterns regarding articulation of investment in motherhood and working life. This research work has opened research avenues regarding maternal burnout in the postpartum period and considerations of socio-normative aspects of the mothering role regarding prevention and care of those troubles.
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Déterminants et effets des trajectoires de stress prénatal sur les issues de la grossesse et la dépression postpartum / Determinants and effects of changes in prenatal stress on obstetric complications in childbirth and postpartum depression

Douteaud, Stéphanie 16 December 2014 (has links)
Introduction : En France, comme ailleurs, la prévalence de la dépression post-partum (DPP) (environ 10% des femmes) n'est pas plus importante que celle d'autres formes de dépression mais elle pose un important problème de dépistage car, les femmes consultent moins rendant difficile sa prévention. Les recherches visant à améliorer la prévention de la DPP s'appuient sur deux modèles principaux, le modèle de la vulnérabilité au stress et le modèle bio-psycho-social. L'un comme l'autre décrivent le stress psychologique prénatal comme étant un important déterminant de la DPP. Néanmoins, si le stress est fréquemment évalué, il n'est mesuré en général qu'une fois et tardivement dans la grossesse. Il n'est donc actuellement pas possible de connaître ni son évolution ni l'effet de cette évolution sur la DPP. En conséquence, un premier objectif de ce travail doctoral est d'identifier et de caractériser des trajectoires de stress afin d'évaluer leurs effets sur la DPP. Par ailleurs, certaines recherches montrent que les complications obstétricales lors de l'accouchement ont un effet délétère sur la santé psychologique des femmes en postpartum et d'autres que le stress prénatal augmente le risque de complications obstétricales. Nous faisons donc l'hypothèse qu'une élévation du stress associée à des complications obstétricales à l'accouchement augmente considérablement le risque de DPP, mais que cela diffère d'une femme à l'autre en fonction du niveau des déterminants du stress.Méthode : La santé des mères, leur trait d'anxiété et des variables socio-économiques ont été relevées chez 164 femmes avant la fin des deux premiers mois de la grossesse. Le stress perçu, l'état d'anxiété, le soutien social et les stratégies de coping ont été évalués à 2, 6 et 9 mois de grossesse pour 163 femmes puis à 1 et 6 mois postpartum pour 91 d'entre elles. Par ailleurs, les résultats du dépistage prénatal des pathologies fœtales, le terme de la grossesse, le poids de naissance du bébé, ses résultats à l'Apgar et le type d'accouchement (dystocique versus eutocique) ont également été relevés. Enfin, la mesure de la DPP a été effectuée 6 mois après l'accouchement. Nous avons calculé des trajectoires individuelles de stress et mesuré l'effet de ces trajectoires sur les variables liées à l'accouchement pour 163 femmes puis sur la DPP pour 91 d'entre elles.Résultats : Trois trajectoires ont été identifiées en prépartum comme en postpartum. Une première où le stress est faible en début de grossesse, augmente jusqu'en début de post-partum et diminue légèrement en fin de période postnatale. Une seconde où le stress est modéré en début de grossesse, diminue jusqu'au milieu de la grossesse, augmente en fin de grossesse et se stabilise en période postnatale. Une dernière où le stress est élevé en début de grossesse, puis diminue jusqu'en fin de grossesse et continue de diminuer en période postnatale. Lorsque le stress suit les trajectoires 2 et 3, la durée de gestation est plus courte, F(2,138) = 3,45, p < 0,05, η2 = 0,048, l'usage de la césarienne est plus fréquent, OR = 2,62,p < 0,05, IC95% = [1,01 – 6,75] ainsi que l'accouchement dystocique, OR = 3,54, p < 0,005, IC95% = [1,18 – 10,52]. En revanche, les trajectoires de stress n'ont pas d'effet sur la DPP.Discussion : Nos résultats sont encourageants et permettent de montrer que l'évolution de la perception du stress pendant la grossesse a un effet sur la durée de gestation, les complications obstétricales et l'usage de la césarienne. En revanche, elle n'en a pas sur la DPP. Cependant nos résultats suggèrent que le stress pourrait avoir un effet uniquement chez les femmes vulnérables et que la DPP s'insèrerait dans un continuum dépressif, alors contigu à la vulnérabilité au stress. Les recherches ultérieures devraient donc évaluer le lien entre des trajectoires individuelles de dépression et de stress du début de la grossesse en fin de postpartum afin de tester cette hypothèse. / Introduction : In France, as well as in other countries, the prevalence of postpartum depression (PPD) (about 10% of women) is not more important than other forms of depression, but it is a major problem of screening, because women less consult, making prevention difficult. Researches to improve the prevention of DPP are essentially based on two models, the stress-vulnerability model and the bio-psycho-social model. The both models describe the prenatal psychological stress as an important determinant of the PPD. However, if stress is frequently assessed, it is usually measured only once and late in pregnancy. So, by now, it is not possible to know its evolution or to know its effects on PPD. Accordingly, a primary objective of this doctoral work is to identify and characterize trajectories of stress to assess their effects on the DPP. Moreover, some researches showed that obstetric complications during childbirth have a deleterious effect on the psychological health of postpartum women. Others proved that prenatal stress increases the risk of obstetric complications. So we assume that an elevated stress associated with obstetric complications in childbirth significantly increases the risk of PPD. Neverthless it differs from one woman to another depending on the level of stress determinants.Method: The health of mothers, their anxiety-trait level and socio-economic variables were recorded among 164 women before the end of two months of pregnancy (T0). Perceived stress, state anxiety, social support and coping strategies were evaluated at 2, 6 and 9 months of pregnancy for 163 women and at 1 and 6 months postpartum for 91 of them. Moreover, the results of prenatal screening for fetal pathologies, the term of pregnancy, baby's birth weight, results of Apgar and type of delivery (dystocic versus eutocic) were recorded. Finally, the measurement of the PPD was performed 6 months after delivery. We calculated trajectories of stress and we measured the effect of these trajectories on the variables related to childbirth for 163 women and on DPP for 91 of them.Results: Three trajectories were identified in prepartum and postpartum. A first trajectory where the stress is low in early pregnancy, increases until early postpartum and decreased slightly at the end of the postnatal period. A second where the stress is moderate in early pregnancy decreases until the middle of pregnancy, increases in late pregnancy and postpartum. A final trajectory where stress is high in early pregnancy and then decreases until the end of pregnancy and continues to decrease in postpartum. When the stress follows the paths 2 and 3, the gestation period is shorter, F(2,138) = 3.45, p <0.05, η2 = 0.048, the use of cesarean section is more common, OR = 2.62, p < 0.05, CI 95% = [1.01- 6.75] as well as dystocic labor, OR = 3.54, p <0.005, CI 95% = [1.18-10.52]. In contrast, the trajectories of stress does not have an effect on the PPD.Discussion: Our results are encouraging and show that the perception of stress during pregnancy has an effect on the duration of pregnancy, obstetric complications and the use of cesarean section. However it has no effect on the DPP, but our results suggest that stress may have an effect only among vulnerable women and that the DPP would fit into a depressive continuum, while adjacent to the vulnerability to stress. In conclusion, future researches should assess the link between trajectories of stress and depression from early pregnancy to late postpartum to test this hypothesis.
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Utilisation en grossesse des antidépresseurs et les risques maternels associés : focus sur le diabète gestationnel et la dépression postpartum

Dandjinou, Maëlle 12 1900 (has links)
La dépression affecte environ 20 % des femmes en âge de procréer et environ 5 % à 15 % des femmes enceintes. Les troubles anxieux, souvent concomitants de la dépression maternelle sont de l’ordre de 15 % durant la grossesse. Au cours des dernières années, l’utilisation gestationnelle des antidépresseurs s’est accrue, malgré les risques associés pour la mère et l’enfant rapportés dans la littérature. Les risques maternels tels que le risque de diabète gestationnel et de dépression postpartum ont été peu étudiés avec des résultats souvent contradictoires. De plus, les données sur l’évolution dans le temps de la prévalence de la dépression/anxiété et de l’utilisation des antidépresseurs durant la grossesse sont très peu disponibles dans la littérature. La Cohorte des Grossesses du Québec (CGQ) a été utilisée pour cette recherche et la thèse a été organisée en trois volets. Dans un premier volet, nous avons réalisé une étude descriptive pour étudier la prévalence et les tendances d’utilisation des antidépresseurs et de la dépression maternelle/anxiété durant la grossesse, sur la période allant de 1998 à 2015. La prévalence d’utilisation des antidépresseurs durant la grossesse a triplé, allant de 2,2 % en 1998 à 6,2 % en 2015, alors que la prévalence de dépression maternelle/anxiété a été multipliée par 1,3 (de 5 % en 1998 à 7 % en 2015). Le deuxième volet consistait à réaliser une étude utilisant le devis cas-témoins niché dans une cohorte pour évaluer si l’utilisation gestationnelle des antidépresseurs était associée à une augmentation du risque du diabète gestationnel. Nous avons trouvé que l’utilisation des antidépresseurs est associée à une augmentation du risque de diabète gestationnel (aOR = 1,19, IC 95% : 1,08-1,30) et particulièrement pour la venlafaxine (aOR = 1,27, IC 95% :1,09-1,49) et l’amitriptyline (aOR = 1,52, IC 95% :1,25-1,84). Le troisième volet consistait en une analyse de survie pour déterminer si différentes trajectoires d’utilisation d’antidépresseurs durant la grossesse, chez des femmes déprimées avant la grossesse pouvaient affecter le risque de dépression postpartum. Nos résultats montrent que les femmes exposées en continu durant la grossesse (aHR=1,69; IC à 95 % : 1,01-2,84), celles exposées au deuxième/troisième trimestre (aHR=2,56; 95 % CI : 1,33-4,90), et celles avec une exposition intermittente (aHR=2,41; 95 % CI : 1,59-3,66) ont un risque plus élevé de dépression postpartum que les femmes enceintes déprimées, non exposées pendant la gestation. A contrario, celles exposées uniquement au premier trimestre (aHR=1,35; IC à 95 % : 0,81-2,25) étaient moins à risque de dépression postpartum par rapport aux femmes non exposées. En conclusion, les antidépresseurs sont de plus en plus utilisés en grossesse et nous avons observé une augmentation modérée du risque de diabète gestationnel associé à leur utilisation, principalement pour la venlafaxine et l’amitriptyline. En ce qui concerne leur efficacité en vie réelle dans la prévention de la dépression postpartum, nous n’avons pas trouvé de diminution du risque pour les utilisatrices au sein d’une cohorte de femmes avec une dépression prénatale. Néanmoins, malgré certaines limites méthodologiques, ces résultats renforcent la nécessité d’une approche de traitement personnalisée pour chaque femme enceinte souffrant de dépression, afin de faire les meilleurs choix pour sa santé et celle de l’enfant à naitre. / Depression affects about 20% of women of childbearing age and about 5% to 15% of pregnant women. Anxiety disorders, often concomitant with maternal depression, are in the order of 15% during pregnancy. In recent years, gestational use of antidepressants has increased, despite the associated risks to mother and child reported in the literature. Maternal risks such as the risk of gestational diabetes and postpartum depression have been little studied with often contradictory results. In addition, data on the evolution over time of the prevalence of depression / anxiety and the use of antidepressants during pregnancy are very limited in the literature. The Quebec Pregnancy Cohort (QPC) was used for this research and the thesis was organized in three parts. In a first part, we carried out a descriptive study to determine the prevalence and the trends of use of antidepressants and maternal depression / anxiety during pregnancy. over the period from 1998 to 2015. We observed that the prevalence of antidepressants use during pregnancy has tripled, ranging from 2.2% in 1998 to 6.2% in 2015, while the prevalence of maternal depression / anxiety has increased by 1.3 (from 5% in 1998 to 7% in 2015). The second part consisted of carrying out a study using the nested case-control design to assess whether the gestational use of antidepressants was associated with an increased risk of gestational diabetes. We have found that the use of antidepressants is associated with an increased risk of gestational diabetes (aOR = 1.19, 95% CI: 1.08-1.30) and particularly for venlafaxine (aOR = 1.27, 95% CI: 1.09-1.49) and amitriptyline (aOR = 1.52, 95% CI: 1.25-1.84). The third part consisted of a survival analysis to determine whether different trajectories of antidepressant use during pregnancy in women depressed before pregnancy could affect the risk of postpartum depression. Our results show that women exposed continuously during pregnancy (aHR = 1.69; 95% CI: 1.01-2.84), those exposed in the second / third trimester (aHR = 2.56; 95% CI: 1.33-4.90), and those with intermittent exposure (aHR = 2.41; 95% CI: 1.59-3.66) have a higher risk of postpartum depression than depressed pregnant women, not exposed during gestation. Conversely, those exposed only in the first trimester (aHR = 1.35; 95% CI: 0.81-2.25) were less at risk of postpartum depression compared to unexposed women. In conclusion, antidepressants are increasingly used in pregnancy and we have observed a moderate increase in the risk of gestational diabetes associated with their use, mainly for venlafaxine and amitriptyline. Regarding their real-life efficacy in preventing postpartum depression, we found no decreased risk for users in a cohort of women with prenatal depression. Nonetheless, despite some methodological limitations, these results reinforce the need for a personalized treatment approach for each pregnant woman with depression, in order to make the best choices for her health and that of the unborn child.

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