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Danses modernes d'Allemagne à Paris : critiques de danses et danses critiques dans la France des années 30 / Modern dances from Germany to Paris : reviews of dance and dance criticism in the France of the 30s

Sage, Marion 16 June 2017 (has links)
A partir des expériences singulières de danseurs expressionnistes allemands qui débutent leur carrière sous la République de Weimar et émigrent à Paris dans les années 30, il s’agira d’analyser des esthétiques politiquement engagées à gauche : quel langage scénique produit l’investissement politique de ces danseurs d’Allemagne ? Nous relèverons alors les différentes formes chorégraphiques de l’engagement, nous distinguerons plusieurs registres de la dénonciation et, à plus petite échelle, nous tenterons de répertorier une palette de gestes politiques à l’œuvre dans ces danses.Il faudra ensuite étudier l’évolution esthétique des chorégraphies au cœur du processus d’émigration : comment la lutte politique utopiste de la République de Weimar devient-elle un acte de survie pendant le temps de l’exil à Paris ? Quels réseaux artistiques et sociaux construisent les danseurs exilés pour continuer leur métier dans les contraintes de l'émigration?Par ailleurs, une étude comparative des deux contextes de réception – celui de l’Allemagne des années 20 et celui de la France des années 30-40 – permettra de mettre en avant les différents lieux de représentation, les divers publics de la danse et le regard particulier porté par les spectateurs et les critiques parisiens sur la danse d’expression allemande.En quoi en effet, l’exil politique de ces danseurs d’Allemagne constitue-t-il un véritable phénomène transculturel à travers la confrontation avec un nouveau mode de réception et malgré la montée des nationalismes également présents dans le milieu chorégraphique des années 30-40 ? / Pas de résumé disponible
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Ce dont sont faits les corps anthropophages : la participation des danseurs à la mise en ceuvre chorégraphique comme facteur de construction de corps dansants chez deux chorégraphes brésiliennes

Dantas, Monica Fagundes January 2008 (has links)
Cette recherche a pour but premier de mieux comprendre la participation des danseurs à la mise en oeuvre chorégraphique comme un facteur de construction des corps dansants. Pour rendre compte de cela, j’ai proposé une étude de l’oeuvre de deux chorégraphes contemporaines brésiliennes, Lia Rodrigues et Sheila Ribeiro. Cette recherche a également pour but d’identifier des manifestations de brésilités présentes dans les deux oeuvres chorégraphiques analysées, Aquilo de que somos feitos, de Lia Rodrigues et Marché aux puces : nous sommes usagés et pas chers, de Sheila Ribeiro et ce, tout en se demandant si ces manifestations de brésilités imprègnent aussi les corps dansants. Cette étude s’inscrit dans un paradigme postpositiviste et adopte une approche ethnographique comme méthodologie de recherche utilisant l’observation et l’entrevue comme instruments de cueillette de données. Le travail sur le terrain a pris la forme de deux études indépendantes, afin de favoriser l’immersion dans le travail de chaque compagnie. L’analyse et l’interprétation des données ont été réalisées à travers l’identification d’unités d’analyse et leur rassemblement dans des catégories d’analyse, en gardant un contact permanent avec les données brutes et le cadre théorique développé lors de la revue de littérature. La participation active des danseurs aux processus de mise en oeuvre chorégraphique est l’un des principaux aspects de la construction de corps dansants dans le contexte de Aquilo de que somos feitos et de Marché aux puces : nous sommes usagés et pas chers. Celle-ci demande aux danseurs de se détacher de leurs habitudes techniques, interprétatives et créatives pour pouvoir répondre aux sollicitations des chorégraphes, de même que pour proposer du matériau et des procédés pour la création et la recréation chorégraphique. Ainsi, la collaboration à la mise en oeuvre chorégraphique permet-elle aux danseurs de réinventer leurs corps en vue d’un projet chorégraphique, mais aussi en vue d’un projet de vie. Au-delà de certains éléments de la culture brésilienne qui peuvent être plus clairement discernés dans la mise en oeuvre de chaque pièce, je considère que ces deux chorégraphies présentent des aspects faisant référence à des représentations de brésilités liées à l’anthropophagie. L’anthropophagie, mouvement artistique développé au Brésil à partir des années 1920, se réactualise ponctuellement dans la démarche de certains artistes contemporains brésiliens. Ainsi, la métaphore anthropophagique condense-t-elle des manifestations de brésilités présentes dans Aquilo de que somos feitos et Marché aux puces : nous sommes usagés et pas chers. De même, le corps anthropophage devient une figure féconde pour comprendre la construction de corps dansants dans les démarches de Lia Rodrigues et de Sheila Ribeiro, tout en considérant que dans leurs créations se manifestent certains traits des brésilités.
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Ce dont sont faits les corps anthropophages : la participation des danseurs à la mise en ceuvre chorégraphique comme facteur de construction de corps dansants chez deux chorégraphes brésiliennes

Dantas, Monica Fagundes January 2008 (has links)
Cette recherche a pour but premier de mieux comprendre la participation des danseurs à la mise en oeuvre chorégraphique comme un facteur de construction des corps dansants. Pour rendre compte de cela, j’ai proposé une étude de l’oeuvre de deux chorégraphes contemporaines brésiliennes, Lia Rodrigues et Sheila Ribeiro. Cette recherche a également pour but d’identifier des manifestations de brésilités présentes dans les deux oeuvres chorégraphiques analysées, Aquilo de que somos feitos, de Lia Rodrigues et Marché aux puces : nous sommes usagés et pas chers, de Sheila Ribeiro et ce, tout en se demandant si ces manifestations de brésilités imprègnent aussi les corps dansants. Cette étude s’inscrit dans un paradigme postpositiviste et adopte une approche ethnographique comme méthodologie de recherche utilisant l’observation et l’entrevue comme instruments de cueillette de données. Le travail sur le terrain a pris la forme de deux études indépendantes, afin de favoriser l’immersion dans le travail de chaque compagnie. L’analyse et l’interprétation des données ont été réalisées à travers l’identification d’unités d’analyse et leur rassemblement dans des catégories d’analyse, en gardant un contact permanent avec les données brutes et le cadre théorique développé lors de la revue de littérature. La participation active des danseurs aux processus de mise en oeuvre chorégraphique est l’un des principaux aspects de la construction de corps dansants dans le contexte de Aquilo de que somos feitos et de Marché aux puces : nous sommes usagés et pas chers. Celle-ci demande aux danseurs de se détacher de leurs habitudes techniques, interprétatives et créatives pour pouvoir répondre aux sollicitations des chorégraphes, de même que pour proposer du matériau et des procédés pour la création et la recréation chorégraphique. Ainsi, la collaboration à la mise en oeuvre chorégraphique permet-elle aux danseurs de réinventer leurs corps en vue d’un projet chorégraphique, mais aussi en vue d’un projet de vie. Au-delà de certains éléments de la culture brésilienne qui peuvent être plus clairement discernés dans la mise en oeuvre de chaque pièce, je considère que ces deux chorégraphies présentent des aspects faisant référence à des représentations de brésilités liées à l’anthropophagie. L’anthropophagie, mouvement artistique développé au Brésil à partir des années 1920, se réactualise ponctuellement dans la démarche de certains artistes contemporains brésiliens. Ainsi, la métaphore anthropophagique condense-t-elle des manifestations de brésilités présentes dans Aquilo de que somos feitos et Marché aux puces : nous sommes usagés et pas chers. De même, le corps anthropophage devient une figure féconde pour comprendre la construction de corps dansants dans les démarches de Lia Rodrigues et de Sheila Ribeiro, tout en considérant que dans leurs créations se manifestent certains traits des brésilités.
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Ce dont sont faits les corps anthropophages : la participation des danseurs à la mise en ceuvre chorégraphique comme facteur de construction de corps dansants chez deux chorégraphes brésiliennes

Dantas, Monica Fagundes January 2008 (has links)
Cette recherche a pour but premier de mieux comprendre la participation des danseurs à la mise en oeuvre chorégraphique comme un facteur de construction des corps dansants. Pour rendre compte de cela, j’ai proposé une étude de l’oeuvre de deux chorégraphes contemporaines brésiliennes, Lia Rodrigues et Sheila Ribeiro. Cette recherche a également pour but d’identifier des manifestations de brésilités présentes dans les deux oeuvres chorégraphiques analysées, Aquilo de que somos feitos, de Lia Rodrigues et Marché aux puces : nous sommes usagés et pas chers, de Sheila Ribeiro et ce, tout en se demandant si ces manifestations de brésilités imprègnent aussi les corps dansants. Cette étude s’inscrit dans un paradigme postpositiviste et adopte une approche ethnographique comme méthodologie de recherche utilisant l’observation et l’entrevue comme instruments de cueillette de données. Le travail sur le terrain a pris la forme de deux études indépendantes, afin de favoriser l’immersion dans le travail de chaque compagnie. L’analyse et l’interprétation des données ont été réalisées à travers l’identification d’unités d’analyse et leur rassemblement dans des catégories d’analyse, en gardant un contact permanent avec les données brutes et le cadre théorique développé lors de la revue de littérature. La participation active des danseurs aux processus de mise en oeuvre chorégraphique est l’un des principaux aspects de la construction de corps dansants dans le contexte de Aquilo de que somos feitos et de Marché aux puces : nous sommes usagés et pas chers. Celle-ci demande aux danseurs de se détacher de leurs habitudes techniques, interprétatives et créatives pour pouvoir répondre aux sollicitations des chorégraphes, de même que pour proposer du matériau et des procédés pour la création et la recréation chorégraphique. Ainsi, la collaboration à la mise en oeuvre chorégraphique permet-elle aux danseurs de réinventer leurs corps en vue d’un projet chorégraphique, mais aussi en vue d’un projet de vie. Au-delà de certains éléments de la culture brésilienne qui peuvent être plus clairement discernés dans la mise en oeuvre de chaque pièce, je considère que ces deux chorégraphies présentent des aspects faisant référence à des représentations de brésilités liées à l’anthropophagie. L’anthropophagie, mouvement artistique développé au Brésil à partir des années 1920, se réactualise ponctuellement dans la démarche de certains artistes contemporains brésiliens. Ainsi, la métaphore anthropophagique condense-t-elle des manifestations de brésilités présentes dans Aquilo de que somos feitos et Marché aux puces : nous sommes usagés et pas chers. De même, le corps anthropophage devient une figure féconde pour comprendre la construction de corps dansants dans les démarches de Lia Rodrigues et de Sheila Ribeiro, tout en considérant que dans leurs créations se manifestent certains traits des brésilités.
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Genre et pouvoir : relation entre danseurs nus et clientèle féminine et masculine

Robillard, Julie 12 1900 (has links)
L’objectif de ce mémoire est de comprendre l’influence du genre sur le rapport de force entre les danseurs nus et leur clientèle féminine et masculine. Depuis les années 1960, les bars de danseuses nues abondent à Montréal. De nombreuses recherches ont été menées à ce sujet, mais très peu concernent directement leurs homologues masculins, les bars de danseurs nus pour hommes et pour femmes. Notre mémoire analyse la relation de pouvoir entre les danseurs nus et leur clientèle féminine et masculine au 281 et au Stock bar. S’appuyant sur la littérature des bars de danseuSEs nuEs, nous étudions les quatre dimensions de la relation de pouvoir : l’influence des lieux sur les interactions, la liaison physique et sexuelle, l’échange marchand ainsi que le lien émotif. Pour répondre à notre question de recherche, nous avons effectué plusieurs séances d’observation non-dévoilée au 281 et au Stock bar. Afin d’analyser les données que nous avons recueillies, nous utilisons les théories de Judith Butler et la sociologie goffmanienne. Le concept de phallus de Butler nous permet de repérer qui domine en « ayant » le phallus et qui est dominé en « étant » le phallus. Nous concluons que les femmes sont, à quelques exceptions près, toujours celles qui « sont » le phallus pour les hommes danseurs et animateurs qui le « possèdent ». La structuration des soirées, établie selon le modèle hétérosexuel binaire prépondérant, rend très difficile pour elles de s’en emparer. En ce qui concerne le rapport entre les hommes danseurs et clients dans un contexte homosexuel, ce sont les danseurs qui « sont » le phallus pour les hommes clients qui l’« ont ». Leur relation est très similaire à celle que nous pouvons observer dans les bars de danseuses nues entre ces dernières et leur clientèle masculine. « Être » le phallus signifie que les danseuSEs nuEs ont le pouvoir de reconnaître ou non le phallus à l’homme client afin qu’il puisse (ou non) matérialiser son pouvoir masculin en subvenant à leurs besoins et en étant désirable à leurs yeux. Dans tous les cas, les danseurs nus font un travail émotionnel différent selon le genre des clientEs, rehaussant le statut social des hommes et diminuant celui des femmes. / Since the 1960s, there has been a glut of female strippers’ clubs in Montreal. Numerous researches have been written on the subject, but only few of them are about their masculine counterparts, male strippers’ clubs for men and women. Our thesis questions the power relation between male nude dancers and their female and male patrons at 281 and Stock bar. Using male and female strippers’ clubs literature, we study the four dimensions of their power relation: the physical and organizational space’s influence, the physical and sexual connection, the monetary exchange and the emotional link. Our objective is to understand the gender influence on this power relation between male strippers and their female and male patrons. To answer our research question, we have made several under cover observation sessions at 281 and Stock bar. In order to analyse our data, we use Judith Butler’s theories and goffmanian sociology. Butler’s phallus concept enables us to see who is dominating by “having” the phallus and who is dominated by “being” the phallus. We conclude that women are always, with a few exceptions, the ones “being” the phallus for the male strippers and masters of ceremony who “have” it. The Ladies’ night’s structure, set according to the predominant heterosexual binary model, makes it very difficult for them to seize it. As regards of male strippers’ and patrons’ connection in a homosexual context, strippers “are” the phallus for the patrons that “have” it. Their relationship is very similar to the one observed in female strippers’ clubs. “Being” the phallus means that female and male dancers have the power to acknowledge or ignore the male patron’s phallus possession, which will enable or undermine his masculine power to provide economically for their material needs and to be desirable in their eyes. In all cases, male strippers enact a different emotional labor according to patrons’ gender, by enhancing men’s social status and decreasing women’s.
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Genre et pouvoir : relation entre danseurs nus et clientèle féminine et masculine

Robillard, Julie 12 1900 (has links)
L’objectif de ce mémoire est de comprendre l’influence du genre sur le rapport de force entre les danseurs nus et leur clientèle féminine et masculine. Depuis les années 1960, les bars de danseuses nues abondent à Montréal. De nombreuses recherches ont été menées à ce sujet, mais très peu concernent directement leurs homologues masculins, les bars de danseurs nus pour hommes et pour femmes. Notre mémoire analyse la relation de pouvoir entre les danseurs nus et leur clientèle féminine et masculine au 281 et au Stock bar. S’appuyant sur la littérature des bars de danseuSEs nuEs, nous étudions les quatre dimensions de la relation de pouvoir : l’influence des lieux sur les interactions, la liaison physique et sexuelle, l’échange marchand ainsi que le lien émotif. Pour répondre à notre question de recherche, nous avons effectué plusieurs séances d’observation non-dévoilée au 281 et au Stock bar. Afin d’analyser les données que nous avons recueillies, nous utilisons les théories de Judith Butler et la sociologie goffmanienne. Le concept de phallus de Butler nous permet de repérer qui domine en « ayant » le phallus et qui est dominé en « étant » le phallus. Nous concluons que les femmes sont, à quelques exceptions près, toujours celles qui « sont » le phallus pour les hommes danseurs et animateurs qui le « possèdent ». La structuration des soirées, établie selon le modèle hétérosexuel binaire prépondérant, rend très difficile pour elles de s’en emparer. En ce qui concerne le rapport entre les hommes danseurs et clients dans un contexte homosexuel, ce sont les danseurs qui « sont » le phallus pour les hommes clients qui l’« ont ». Leur relation est très similaire à celle que nous pouvons observer dans les bars de danseuses nues entre ces dernières et leur clientèle masculine. « Être » le phallus signifie que les danseuSEs nuEs ont le pouvoir de reconnaître ou non le phallus à l’homme client afin qu’il puisse (ou non) matérialiser son pouvoir masculin en subvenant à leurs besoins et en étant désirable à leurs yeux. Dans tous les cas, les danseurs nus font un travail émotionnel différent selon le genre des clientEs, rehaussant le statut social des hommes et diminuant celui des femmes. / Since the 1960s, there has been a glut of female strippers’ clubs in Montreal. Numerous researches have been written on the subject, but only few of them are about their masculine counterparts, male strippers’ clubs for men and women. Our thesis questions the power relation between male nude dancers and their female and male patrons at 281 and Stock bar. Using male and female strippers’ clubs literature, we study the four dimensions of their power relation: the physical and organizational space’s influence, the physical and sexual connection, the monetary exchange and the emotional link. Our objective is to understand the gender influence on this power relation between male strippers and their female and male patrons. To answer our research question, we have made several under cover observation sessions at 281 and Stock bar. In order to analyse our data, we use Judith Butler’s theories and goffmanian sociology. Butler’s phallus concept enables us to see who is dominating by “having” the phallus and who is dominated by “being” the phallus. We conclude that women are always, with a few exceptions, the ones “being” the phallus for the male strippers and masters of ceremony who “have” it. The Ladies’ night’s structure, set according to the predominant heterosexual binary model, makes it very difficult for them to seize it. As regards of male strippers’ and patrons’ connection in a homosexual context, strippers “are” the phallus for the patrons that “have” it. Their relationship is very similar to the one observed in female strippers’ clubs. “Being” the phallus means that female and male dancers have the power to acknowledge or ignore the male patron’s phallus possession, which will enable or undermine his masculine power to provide economically for their material needs and to be desirable in their eyes. In all cases, male strippers enact a different emotional labor according to patrons’ gender, by enhancing men’s social status and decreasing women’s.

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