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L'Amphictionie des Pyles et de Delphes : recherches sur son rôle historique, des origines au IIe siècle de notre ère /

Sánchez, Pierre, January 2001 (has links)
Texte remanié de: Th. / Bibliogr. p. 539-547. Index.
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The treasuries at Delphi : an architectural study /

Partida, Elena C. January 2000 (has links)
Texte remanié de: Thesis--University of Birmingham, 1996. / Bibliogr. p. 322-333.
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L'aire du pilier des Rhodiens : fouille 1990-1992 : à la frontière du profane et du sacré /

Luce, Jean-Marc. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Histoire--Dijon, 1993. Titre de soutenance : Fouille à Delphes, 1990-1992 : l'habitat et le sanctuaire de 1200 à 500 av. J.-C. / Bibliogr. vol. 1, p. 443-458. Notes bibliogr.
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Les thèmes de la propagande delphique

Defradas, Jean. January 1954 (has links)
Thèse--Paris. / Without thesis statement. "Textes cités et étudiés": p. 294-295. Bibliographical footnotes.
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La langue de l'Apollon de Delphes : analyse linguistique, poétique et systématique des recueils d'oracles / The language of the god Apollo at Delphi : linguistic, stylistic and systematic analysis of the oracular collections

Rainart, Gérard 08 December 2014 (has links)
La présente thèse tend à démontrer l’existence d’une langue oraculaire, spécifique au sanctuaire apollinien de Delphes ; elle s’appuie sur un corpus de deux cent vingt et un oracles conçus dans l’esprit de la divination chresmologique delphique. Ces textes recueillis par les inscriptions, et surtout par la littérature qui les cite abondamment, servent de supports d’analyse pour dégager les traits caractéristiques de la formulation oraculaire, linguistiques, stylistiques et poétiques au sens large du terme. L’étude part des recueils d’oracles qui se sont constitués dès l’époque classique, avec des buts divers, et ont perduré jusqu’à l’époque impériale romaine. La première partie, qui analyse la présence de la chresmologie dans les textes, vise à y retrouver des traces de la divination delphique et à établir toutes les étapes de la production et de la réception oraculaire. Une fois ces données présentées, la deuxième partie fait une étude systématique des recueils d’oracles delphiques, de l’Antiquité à nos jours ; elle envisage aussi les oracles cités. La troisième partie a pour but de travailler les seuls textes dans le seul contexte de leur production et de révéler ce qui fait à la fois l’unité et la diversité du corpus : en relevant des procédés de langue et de style, l’étude définit une langue spécifique à l’Apollon de Delphes : la langue d’Apollon. / The study of 221 oracles from the Delphic sanctuary shows how a language has been created, specific to the sanctuary of Delphi : it is the voice of the god Apollo and his own language. The oracular texts, conceived in the spirit of the Delphic chresmologic divination, collected by inscriptions and especially by the literature which quotes them abundantly, are used as supports to analyse the linguistic, stylistic and poetic aspects and processes of the Delphic oracular language. The first part, which analyses the presence of the Delphic divination in the texts, shows that linguistically the oracles are exchanges between an enquirer and the god ; it is possible to find all the stages of their production and reception. The second part analyses the setting up of the Delphic collections, from Antiquity to our times. The third part shows a strong propensity for establishing linguistical codes, when it offers examples of meticulous, argumentative constructions. It also underlines the importance of the images (metaphors), puns, plays on syntactic or lexical antitheses, frequent riddles which the god subjects to the clearsightedness of the enquirers. The Delphic oracles are considered to be quoted texts which vary less in their enunciation than in their functions. We can tell that an oracular genre really exists, but the particular genre cannot exist without the others genres and depends on them. A Delphic oracular genre really exists, because the Delphic shrine was very powerful and very well known in the ancient Greek civilization as a cultural center, because we find in the Greek literature imitations of the oracles (pastiche and parody). Even if the texts do not belong to a specific and independent work, they present many linguistic and stylistic common marks : La langue d’Apollon (Apollo’s language).
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Constraints on dark matter models using a fast simulation of the ATLAS detector

Taylor, Samantha H. 13 August 2021 (has links)
Data collected at the LHC are analyzed by the ATLAS collaboration for evidence of dark matter. In this thesis, a fast simulation of the ATLAS detector response using the Delphes software is assessed for dark matter models with a leptonically decaying Z boson and a pair of dark matter particles in the final state. Limits for the Two Higgs Doublet plus pseudoscalar dark matter model are obtained using simplified systematics, and found to be nearly indistinguishable to limits obtained using the more complex standard ATLAS analysis. / Graduate
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Delphes et les Attalides en 160/159 av. J.-C. : un cas d'évergétisme royal

Murray, Geneviève 16 April 2018 (has links)
Le sanctuaire de Delphes est l'un de ceux qui ont reçu le plus grand nombre de donations de la part des grands rois hellénistiques, donations dont nous avons gardé trace le plus souvent sous forme d'inscriptions. Or, l'histoire nous a conservé un corpus exceptionnel de quatre décrets delphiens, tous datés de l'année 160/159 avant Jésus-Christ, qui témoignent d'importantes donations à Delphes de la part des rois attalides, qui, sans contredit, ont été les plus généreux des rois hellénistiques. Comprendre et expliquer, de la façon la plus exacte possible, les relations entre la cité de Delphes et le royaume de Pergame au cours de cette année est le but premier de ce mémoire. Par ailleurs, une seconde problématique se dégage de ce travail, en filigrane: celle de la vitalité de la cité à l'époque hellénistique. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Le prix de la construction en Grèce aux IVe et IIIe siècles avant J.-C. : étude sur les chantiers financés par les sanctuaires de Delphes, d’Epidaure et de Délos / Cost of construction in Greece (4th and 3rd C. BC) : a study on building sites financed by Delphi, Epidauros and Delos sanctuaries

Mathé, Virginie 27 November 2010 (has links)
Comment évaluer le prix d’un édifice grec ? Cette étude, qui se fonde sur les comptes de construction et les vestiges de Delphes, d’Epidaure et de Délos, tente de répondre à cette question en suivant deux voies heuristiques. On peut estimer le coût d’un chantier en analysant la totalité des données épigraphiques et architecturales qui s’y rapportent. C’est la démarche adoptée dans les trois premiers chapitres qui ont trait au temple d’Apollon à Delphes (1), au temple d’Asklèpios et à la Tholos d’Epidaure (2), à neuf temples et sanctuaires déliens (Pôrinos, Grand temple d’Apollon, Pythion, Artémision, Archègésion, Kynthion, Asklèpieion, Dioskourion, Thesmophorion) (3). On peut aussi comparer des inscriptions relatives à plusieurs bâtiments pour estimer le coût des matériaux, de leur transport et de leur mise en œuvre et déterminer les principaux critères de fixation des prix : le quatrième chapitre est consacré à l’analyse des prix des bois, des pierres, des briques et des terres cuites architecturales, ainsi que des métaux.La nature et l’état de la documentation invitent à la prudence : les séries de données issues des inscriptions ne sont ni complètes, ni homogènes ; la confrontation avec les vestiges se heurte à plusieurs difficultés ; le sujet est restreint à la construction d’édifices généralement à vocation cultuelle, financés par les sanctuaires, aux IVe et IIIe s. av. J.-C., et les conclusions ne peuvent être appliquées telles quelles à d’autres types d’architecture, à d’autres époques et à d’autres domaines de l’économie antique. Seul le prix du temple d’Apollon à Delphes et celui du temple d’Asklèpios à Epidaure peuvent être estimés sans grande marge d’erreur : le premier a coûté 400 talents, le second 24 talents. Pour les autres édifices, comme pour les matériaux, il n’est pas possible de proposer un chiffre tant l’impression de disparate domine. Il ne semble pas que les commanditaires aient recherché le moindre coût : ils visent à la somptuosité et à la pérennité de leurs entreprises, témoins de leur piété et de leur prestige. / How may we evaluate the cost of a greek building ? In this study, based on building accounts and on Delphi, Epidauros and Delos vestiges, we tried to answer this question following two ways. A greek building cost can be estimated while studying all epigraphical and architectural data of the site. We followed this path in the first third chapters treating of the Apollo temple in Delphi (1), the Asklepios temple and Tholos in Epidauros (2) and then nine temples and sanctuaries in Delos (Pôrinos, Grand temple d’Apollon, Pythion, Artemision, Archegesion, Kynthion, Asklepieion, Dioskourion, Thesmophorion) (3). We can also compare building accounts of several constructions in order to estimate materials, freight and work costs, and deduce from this data how the costs were fixed. The 4th chapter consists of researches on prices of timber, stones, moist clay bricks, tiles and metals. We have to be aware of that epigraphical data series are incomplete and not necessarily similar. It is hard to make connections between these and archeological evidences. We had to restrict our study to moistly 4th and 3rd c. B.C. cultual buildings financed by sanctuaries, and our conclusions would not be valid for any type of construction, any time or other classic economic sectors. We can only estimate, within a short range, the cost of the Apollo temple in Delphi and the Asklepios temple in Epidauros. The first one cost 400 talents, the second 24 talents. We can not give any conclusion for other buildings. The contexts are so different that it is difficult to give a representative price of materials. Anyway, people who ordered the construction of sanctuaries did not try to save money : they wanted these buildings to be an eloquent testimony to devotion and prestige.
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De l'omphalos de la Terre à la cité céleste d'Apollon. Etudes sur la doctrine de la Tétractys dans le pythagorisme ancien jusqu'à Platon/ From Earth's Omphalos to Apollo's Celestial City. A study on the Doctrine of Tetractys in Ancient Pythagoreanism to Plato

Viltanioti, Irini F 29 November 2010 (has links)
La doctrine pythagoricienne de la Tétractys est sans doute une des questions les plus délicates de l’histoire de la philosophie. Elle représente non seulement une des théories essentielles de l’arithmologie, mais aussi, ainsi que la doxographie ancienne en témoigne, « le plus grand secret et le fondement de la philosophie pythagoricienne ». Armand Delatte, dans ses classiques Etudes sur la littérature pythagoricienne, a souligné l’importance véhiculée par ce philosophème. Dans la première partie, « méthodologique », de notre étude, nous traitons du lien entre Platon et la pensée pythagoricienne, en prenant comme fil conducteur trois notions essentielles: le silence voué des initiés de l’ordre et la pratique du secret ; l’expression énigmatique et « symbolique » ; la pratique de l’allégorie (hyponoia), indissolublement associée, elle, à celle du mythe. La deuxième partie de notre travail est centrée sur le témoignage le plus ancien au sujet de la Tétractys, à savoir sur la fameuse maxime des Acousmatiques : « Qu’est-ce que l’oracle des Delphes ? La Tétractys, c'est-à-dire l’harmonie où se trouvent les Sirènes ». En outre, en modérant, d’une certaine manière, l’ « ésotérisme historique » de l’Ecole de Tübingen, dont nous nous prenons des distances quant à certains points (comme, par exemple, l’importance de la méthode allégorique), nous tentons, dans la troisième et dernière partie de notre étude, de lire certains passages mythiques de Platon comme des allégories susceptibles d’être comprises et de trouver leur cohérence à la lumière de la tradition indirecte, voire de la théorie platonicienne sur les nombres, théorie intimement liée à la doctrine pythagoricienne de la Tétractys. Dans cet ordre d’idées, à partir de la République et du Timée jusqu’au Phèdre et au Gorgias, la mathématisation platonicienne de la réalité se verrait intégrée aux mythes, dont la somptuosité poétique ne serait qu’une image de l’enchantement philosophique entraînant l’élévation de l’âme vers l’Un – Bien. Bien qu’ayant toujours présents à l’esprit les dangers auxquels notre étude s’expose, nous n’avons pas toujours su les éliminer. Nous ne méconnaissons aucunement ses lacunes et ses faiblesses. Nous considérons en revanche que son avantage réside en ce qu’elle tente de contribuer à éclairer d’une lumière nouvelle certains aspects méconnus. C’est sans doute là que se situe le danger, mais aussi son intérêt.
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Musiques et musiciens à Delphes de l’époque archaïque à l’Antiquité tardive / Musics and musicians in Delphi, from Archaic Times to Late Antiquity

Perrot, Sylvain 07 December 2013 (has links)
Le sanctuaire de Delphes a connu pendant toute la période une vie musicale effervescente, notamment par la tenue périodique des prestigieux concours pythiques Cependant, on ne s’était jamais demandé pourquoi la musique y a connu une telle faveur. Il faut remarquer que bien des aspects des musiques données à Delphes sont communs à d’autres sanctuaires : l’Apollon citharède honoré à Delphes est panhellénique et les offrandes qui lui sont consacrées, instruments comme compositions, se trouvent sur d’autres sites. Mais Delphes a ses spécificités : l’interaction d’un environnement sonore adéquat, de la pratique oraculaire et de la volonté amphictyonique de distinguer les concours de pythiques, dans la mesure de leur liberté, en font un cas unique. C’est ainsi que l’on peut parler de « centre musical », au sens où Delphes est une étape obligée des parcours géographiques et sociaux des musiciens et un terrain d’échanges privilégié tant dans la pratique que la théorie musicales. Au terme de cette étude, il paraît clair que Delphes a occupé une place originale dans l’histoire de la musique antique, éminemment paradoxale : c’est un site incontournable pour les musiciens, alors même qu’il n’y eut jamais d’école de musique locale forte à Delphes. C’est là que se trouve sans doute la réponse à notre question : la prospérité musicale de Delphes peut venir de ce que le sanctuaire est un terrain qui était perçu comme neutre par tous les musiciens du monde grec, où ils se retrouvaient égaux par les règles spécifiques en usage à Delphes et qui n’avantageaient aucun musicien originaire des lieux. / The musical life was particularly brilliant in the sanctuary of Delphi, especially during the prestigious Pythian contests. Indeed, no scholar has ever wondered why music was so pregnant in Delphi. Many aspects of the musical life in Delphi are common in comparison to other Greek sanctuaries: Apollo Kitharoidos is a panhellenic god and votive offerings for him (instruments and scores) can be found elsewhere. However, there are some specific features: due to the interaction between an impressive soundscape, the oracular cult and the decision of the Amphictiony to make a distinction between Pythian contests and other ones, Delphi is unique. That is why Delphi can be considered as a “musical centre”: all Greek musicians travel to Delphi, so as to increase their social status; furthermore, there were lots of musical transferts between musicians; so that they may change their own way of playing or understang music. At the end of our study, it is obvious that Delphi has got a specific place in the history of ancient music, but it is quite paradoxical: it is necessary for musicians to come to Delphi, although there is no local music school at all in Delphi. It could be the answer to our preliminary question: Delphi may have been seen by all of the Greek musicians as a neutral site, where no advantage was given to anybody else. In fact, all musicians were equally treated because of the specific rules used in Delphi.

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