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Le potentiel musical des analyses sonores et autres phénomènes vibratoiresLarocque, Michaël 12 1900 (has links)
La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la Bibliothèque de l'Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU). / Cette thèse portant sur le potentiel musical des analyses sonores consiste en une recherche créative et artistique portant sur des propriétés caractéristiques du comportement sonore mis en lumière via divers types d'analyses et susceptibles d'assister la composition musicale. Ce travail présente l'élaboration des outils d'analyses programmés et utilisés à cette fin, en plus d'un corpus de 6 oeuvres dont l'ordre de présentation correspond à leur chronologie d'écriture, et dont la conception et l'analyse musicales sont inégalement exposées (du bref aperçu au survol exhaustif). Au fur et à mesure de la recherche, le répertoire ci-développé intègre, par élargissement conceptuel, des considérations analytiques pour d'autres phénomènes vibratoires (comme la lumière ou l'harmonie des sphères) et, esthétiquement, toute cette démarche est fondée sur le concept aristotélicien de la mimesis, où l'idéal artistique consiste en la sublimation de la nature. / This thesis about the musical potential of sound analysis consists in an artistic and creative research on characteristic properties of sound behavior revealed by various types of analysis and likely to assist musical composing. This work presents the elaboration of analysis tools programmed and used on purpose, in addition of a corpus of six works which the order of presentation corresponds to their chronology of writing, and which both conception and musical analysis are unevenly exposed (from brief to exhaustive overviews). As the research occurs, the featured repertory integrates, by a conceptual enlargement, some analytic considerations for other vibratory phenomena (as light or the harmony of the spheres) and, aesthetically, all that approach is founded on the aristotelician concept of mimesis, in which the artistic ideal consists in the sublimation of nature.
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De l'omphalos de la Terre à la cité céleste d'Apollon. Etudes sur la doctrine de la Tétractys dans le pythagorisme ancien jusqu'à Platon/ From Earth's Omphalos to Apollo's Celestial City. A study on the Doctrine of Tetractys in Ancient Pythagoreanism to PlatoViltanioti, Irini F 29 November 2010 (has links)
La doctrine pythagoricienne de la Tétractys est sans doute une des questions les plus délicates de l’histoire de la philosophie. Elle représente non seulement une des théories essentielles de l’arithmologie, mais aussi, ainsi que la doxographie ancienne en témoigne, « le plus grand secret et le fondement de la philosophie pythagoricienne ». Armand Delatte, dans ses classiques Etudes sur la littérature pythagoricienne, a souligné l’importance véhiculée par ce philosophème. Dans la première partie, « méthodologique », de notre étude, nous traitons du lien entre Platon et la pensée pythagoricienne, en prenant comme fil conducteur trois notions essentielles: le silence voué des initiés de l’ordre et la pratique du secret ; l’expression énigmatique et « symbolique » ; la pratique de l’allégorie (hyponoia), indissolublement associée, elle, à celle du mythe. La deuxième partie de notre travail est centrée sur le témoignage le plus ancien au sujet de la Tétractys, à savoir sur la fameuse maxime des Acousmatiques : « Qu’est-ce que l’oracle des Delphes ? La Tétractys, c'est-à-dire l’harmonie où se trouvent les Sirènes ». En outre, en modérant, d’une certaine manière, l’ « ésotérisme historique » de l’Ecole de Tübingen, dont nous nous prenons des distances quant à certains points (comme, par exemple, l’importance de la méthode allégorique), nous tentons, dans la troisième et dernière partie de notre étude, de lire certains passages mythiques de Platon comme des allégories susceptibles d’être comprises et de trouver leur cohérence à la lumière de la tradition indirecte, voire de la théorie platonicienne sur les nombres, théorie intimement liée à la doctrine pythagoricienne de la Tétractys. Dans cet ordre d’idées, à partir de la République et du Timée jusqu’au Phèdre et au Gorgias, la mathématisation platonicienne de la réalité se verrait intégrée aux mythes, dont la somptuosité poétique ne serait qu’une image de l’enchantement philosophique entraînant l’élévation de l’âme vers l’Un – Bien. Bien qu’ayant toujours présents à l’esprit les dangers auxquels notre étude s’expose, nous n’avons pas toujours su les éliminer. Nous ne méconnaissons aucunement ses lacunes et ses faiblesses. Nous considérons en revanche que son avantage réside en ce qu’elle tente de contribuer à éclairer d’une lumière nouvelle certains aspects méconnus. C’est sans doute là que se situe le danger, mais aussi son intérêt.
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De l'omphalos de la Terre à la cité céleste d'Apollon: études sur la doctrine de la Tétractys dans le pythagorisme ancien / From Earth's Omphalos to Apollo's celestial city: a study on the doctrine of Tetractys in ancient pythagoreanism to PlatoViltanioti, Irini Fotini 29 November 2010 (has links)
La doctrine pythagoricienne de la Tétractys est sans doute une des questions les plus délicates de l’histoire de la philosophie. Elle représente non seulement une des théories essentielles de l’arithmologie, mais aussi, ainsi que la doxographie ancienne en témoigne, « le plus grand secret et le fondement de la philosophie pythagoricienne ». Armand Delatte, dans ses classiques Etudes sur la littérature pythagoricienne, a souligné l’importance véhiculée par ce philosophème. Dans la première partie, « méthodologique », de notre étude, nous traitons du lien entre Platon et la pensée pythagoricienne, en prenant comme fil conducteur trois notions essentielles: le silence voué des initiés de l’ordre et la pratique du secret ;l’expression énigmatique et « symbolique » ;la pratique de l’allégorie (hyponoia), indissolublement associée, elle, à celle du mythe. La deuxième partie de notre travail est centrée sur le témoignage le plus ancien au sujet de la Tétractys, à savoir sur la fameuse maxime des Acousmatiques :« Qu’est-ce que l’oracle des Delphes ?La Tétractys, c'est-à-dire l’harmonie où se trouvent les Sirènes ». En outre, en modérant, d’une certaine manière, l’ « ésotérisme historique » de l’Ecole de Tübingen, dont nous nous prenons des distances quant à certains points (comme, par exemple, l’importance de la méthode allégorique), nous tentons, dans la troisième et dernière partie de notre étude, de lire certains passages mythiques de Platon comme des allégories susceptibles d’être comprises et de trouver leur cohérence à la lumière de la tradition indirecte, voire de la théorie platonicienne sur les nombres, théorie intimement liée à la doctrine pythagoricienne de la Tétractys. Dans cet ordre d’idées, à partir de la République et du Timée jusqu’au Phèdre et au Gorgias, la mathématisation platonicienne de la réalité se verrait intégrée aux mythes, dont la somptuosité poétique ne serait qu’une image de l’enchantement philosophique entraînant l’élévation de l’âme vers l’Un – Bien. Bien qu’ayant toujours présents à l’esprit les dangers auxquels notre étude s’expose, nous n’avons pas toujours su les éliminer. Nous ne méconnaissons aucunement ses lacunes et ses faiblesses. Nous considérons en revanche que son avantage réside en ce qu’elle tente de contribuer à éclairer d’une lumière nouvelle certains aspects méconnus. C’est sans doute là que se situe le danger, mais aussi son intérêt. <p> <p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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