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La réminiscence chez Platon: théorie de la connaissance; anthropologie; éthique

Pilote, Guillaume January 2016 (has links)
Platon expose la théorie de l’ἀνάμνησις dans le Ménon, le Phédon et le Phèdre; nous soutenons que la doctrine est cohérente malgré les écarts entre ces présentations. L’interprétation de la réminiscence demande également de s’interroger sur la nature de l’innéisme platonicien, la valeur épistémologique de l’expérience et le rôle réservé au mythe. Nous traitons ces questions au travers d’une interprétation du rôle de la théorie dans chaque dialogue, en comparant chaque fois nos résultats avec les deux autres. La réminiscence vise à rendre compte des expériences suivantes : la reconnaissance de la nécessité de certaines vérités, l’utilisation de notions universelles pour décrire des réalités contingentes et la conversion spirituelle permise par un amour noble. Ces trois phénomènes sont expliqués par la remémoration d’un savoir acquis avant la naissance et oublié au moment de l’incarnation; nous n’avons pas conscience de ce savoir, mais il détermine notre expérience du monde à notre insu. Pour cette raison, la meilleure façon de décrire le statut de notre souvenir de la connaissance prénatale est de le tenir pour un archétype. Pour transformer le souvenir d’une forme en connaissance, nous devons, grâce à la dialectique, embrasser dans une définition tous les cas (réels ou hypothétiques) qui lui sont attribués; en effet, nous reconnaissons leur appartenance à cette nature en vertu du ressouvenir. L’âme affranchie du corps jouit d’une intuition plénière des réalités intelligibles, mais son statut change au moment de l’incarnation; en vertu de son rapport au devenir, elle ne peut saisir l’unité d’une forme que de façon synthétique, par le logos. La doctrine de l’anamnèse comporte ainsi, en plus de sa fonction épistémologique, une dimension anthropologique : elle implique une compréhension de l’âme humaine comme intermédiaire entre les choses sensibles et intelligibles. Par conséquent, l’anamnesis a des répercussions éthiques. En effet, la vie doit être une médiation entre ces deux ordres de réalité auxquels nous appartenons, de façon à nous conformer aux archétypes de l’excellence humaine, que nous ne pouvons ignorer sans renier une partie de nous-mêmes.
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Silence et aveu dans Mithridate et Phèdre de Racine.

Bendayan, David. January 1971 (has links)
No description available.
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Silence et aveu dans Mithridate et Phèdre de Racine.

Bendayan, David. January 1971 (has links)
No description available.
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Andromaque et Phedre: correspondances entre l'heroique et le monstrueux

Young, Yvette Alice. January 1986 (has links)
Call number: LD2668 .T4 1986 Y68 / Master of Arts / Modern Languages
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La Phèdre de Sénèque : approche dramaturgique et philosophique / Phaedra of Seneca : dramaturgical and philosophical approach

Fathallah, Naoufel 30 September 2013 (has links)
La Phèdre de Sénèque. Approche philosophique et dramaturgique. Le sujet ainsi défini s'articule autour de trois centres d'intérêts majeurs. Il importe d’abord, d’analyser la genèse proche et lointaine du mythe de Phèdre. Il convient ensuite de mettre en évidence l’art dramaturgique de Sénèque ; enfin, c'est à travers la confrontation de deux visions antithétiques du monde (la parole épicurienne telle qu’elle est exprimée par la Nourrice et la vision stoïcienne de l'univers incarné par le personnage d’Hippolyte), ainsi que par l’insistance sur la dialectique des passions qui animent tour à tour chacun des protagonistes, qu’on dégagera les fondements mêmes de la lecture philosophique que propose Sénèque de sa Phaedra. / Phaedra of Seneca : dramaturgical and philosophical approach. This defined subject is divided into three important parties : First, we will analyze the near and the distant genesis of the myth of Phaedra. Then, it will be suitable to put in light the dramaturgical art of Seneca ; finally, it’s through the confrontation of two antithetical visions of the world (the epicurean speech is expressed by the nurse and the stoic vision of the universe incarnated in the Hippolytus persona) and also by the insistence of the dialectic of passions that animate every one of the protagonists that we can even draw the foundations of the philosophical ideas that has been proposed to us by Seneca in Phaedra.
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Phèdre et la femme de Putiphar dans les littératures des XIXe et XXe siècles : deux figures de tentatrices à l'épreuve de la condition féminine / Phaedra and Potiphar’s wife in the XIXth and XXth century Literatures : Two Figures of Temptation through the Female Condition

Negovanovic, Catherine 11 December 2015 (has links)
Si rapprocher Phèdre et la femme de Putiphar peut sembler surprenant, cette étude a mis en évidence la gémellité structurelle de leurs histoires et une probable origine commune : l’affrontement d’Ishtar et Gilgamesh au 2e millénaire av. J.C. Le motif de la tentatrice refoulée qui se venge s’est ensuite décliné en deux branches d’évolution, l’une proche-orientale donnant l’épisode de la femme de Putiphar, et l’autre grecque produisant le mythe de Phèdre. Si l’histoire littéraire privilégie parfois l’une ou l’autre, une bipartition finit par s’observer, la femme de Putiphar s’arrogeant le 19e siècle et Phèdre le 20e. L’origine de la tentatrice biblique explique en partie le phénomène. Proche-orientale à une époque où s’exerce une fascination pour l’Orient, héritière d’une misogynie chrétienne séculaire et d’une influence sadienne, la figure entre en résonance avec le mythe de la femme fatale qui s’élabore dans la deuxième partie du siècle. Car face aux premiers soubresauts féministes, les hommes répondent à ce qu’ils ressentent comme une invasion par la fabrication de toutes pièces d’une figure féminine fantasmée et caricaturale : les avatars de l’Egyptienne deviennent des séductrices frénétiques. Mais la Première Guerre mondiale procède à un rééquilibrage et Phèdre revient en force. Investie de nouvelles croyances, elle se fait l’écho de la condition féminine. Agent du bouleversement, elle incarne le Désir et la réalisation globale du sujet féminin. Revendiquant une nouvelle place dans la société, balayant l’ordre ancien, portant des valeurs politiques et humaines éternelles, cette nouvelle Phèdre brille dans un 20e siècle chaotique comme une héroïne intemporelle. / Even if comparing Phaedra and Potiphar’s wife seems to be strange, this study has pointed out the structural similarity of their stories and probably a same origin : the confrontation between Ishtar and Gilgamesh in the 2nd millennium B.C. The pattern of the rejected temptress who takes revenge has split and has taken two directions. In the Near East, it became the Potiphar’s wife motif and in the Greek area Phaedra’s myth. Through literary history, the preference has gone sometimes to one, sometimes to the other, until this amazing situation : Potiphar’s wife overruns the 19th century and Phaedra the 20th. The origin of the biblical temptress explains the phenomenon. She’s oriental during a period in which Europe is fascinated by Orient and Orientalism. Furthermore, she has inherited Christian ancestral misogyny and Sade’s influence. Finally, the figure meets the myth of the femme fatale born in the second part of the century. In fact, in reaction to the beginnings of feminism as if it were an invasion, men build a phantasie of feminine Evil. And Potiphar’s wife and its avatars become lustful seductresses. But first Word War balances the situation and Phaedra comes back. Embodying new beliefs, she echoes back the female condition. Subversive, personifying Desire and the fulfilment of the feminine, claiming for a new place in society, sweeping ancient rules, embodying political and timeless human values, this new Phaedra is in the middle of this chaotic 20th century a bright and eternal heroine.
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Division et dialectique : évolution et unité dans les dialogues tardifs de Platon

Lalande-Corbeil, Anna-Christine 12 1900 (has links)
Le présent mémoire décrit le rôle et l’application de la méthode platonicienne des divisions telle que décrite dans le Sophiste, le Politique, le Phèdre et le Philèbe. Il met en relief les différences et les similitudes du rôle et de l’application de la méthode dans ces quatre dialogues, afin d’analyser la possibilité ou bien de postuler l’unité de la doctrine platonicienne, ou bien de retracer les lieux de son évolution. Certains auteurs du siècle dernier affirment qu’il n’est pas possible de retracer quelque évolution que ce soit dans la doctrine, et estiment même que la méthode des divisions est utilisée bien au-delà de ces quatre dialogues, et que son absence des dialogues de jeunesse ne doit en aucun cas être prise pour une absence de la doctrine de l’époque. D’autres sont au contraire convaincus que la méthode des divisions est propre à un stade de la pensée de Platon qui ne peut être que postérieur à l’introduction de la théorie des Formes intelligibles, et que cette méthode incarne même, à toutes fins pratiques, la dialectique platonicienne des dialogues tardifs. / This thesis aims to describe the role and application of Plato's method of divisions as it is seen and described mainly in Sophist, Statesman, Phaedrus, and Philebus. Through analysis of similarities and differences of the method in the different dialogues I intend to describe the possibilities of claiming the unity of Plato's doctrine, or to see in which regards it has evolved. In the last century some authors were convinced that no such evolution could clearly be seen in Plato's thought, and that the method of divisions was to be found in a lot of passages both before and after the four dialogues mentioned above, whereas others argue that the method of divisions is to be seen as specific t the later dialogues, because it cannot possibly be used before the introduction of the theory of the Forms, and further, that it is to be identified with Plato's later method of dialectic.
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Le Dialogue des langues. Style, énonciation et argumentation dans la première partie du Phèdre de Platon / The Dialogue of Languages. Style, Enunciation and Argumentation in the First Part of Plato’s Phaedrus

Rehbinder, André 01 December 2017 (has links)
La présente étude se fonde sur le postulat que le style de Platon dans le Phèdre entretient un lien nécessaire avec le contenu, que le style crée le contenu. Elle s’efforce de montrer que la description de ce lien suppose de prendre en compte les aspects énonciatifs de l’œuvre, c’est-à-dire à la fois la situation d’énonciation dans laquelle s’inscrit chaque réplique et la façon dont l’auteur s’adresse au lecteur. En effet, se fondant sur la notion bakhtinienne de dialogisme, elle définit la fonction du style par le fait d’orchestrer une pluralité linguistique : Platon représente différentes langues à l’intérieur du dialogue, la langue poétique, la langue technique des orateurs, ou encore la langue des philosophes qui l’ont précédé, et les met en dialogue, les confronte, créant ainsi une nouvelle conception de l’objet du dialogue, le discours d’abord, l’âme amoureuse ensuite. La situation d’énonciation révèle le travail sur le matériau linguistique et permet la mise en dialogue des différentes langues, tantôt en les distribuant entre différents personnages, qui deviennent chacun une source de sens pour les termes employés, tantôt en ajoutant au contexte immédiat dans lequel s’insère le mot un contexte large, qui demande, pour le même mot, un sens différent de celui qui est cohérent avec le contexte immédiat. En outre, certaines particularités de la situation d’énonciation remettent en cause les présupposés sur lesquels se fonde la compréhension d’un énoncé, notamment le principe de non-contradiction : ces particularités ne doivent pas être effacées, elles correspondent selon nous à l’intention de Platon et constituent des énigmes interprétatives qu’il pose au lecteur. / This study is based on the thesis that Plato’s style in the Phaedrus creates the content. The study attempts to show that in order to describe this interaction one has to take into consider the enunciative aspects of the text, that is the enunciative situation into which every phrase subscribes and the way the author addresses to the reader. In fact, based on Bakhtin’s notion of the dialogism, our work defines the function of the style by the means of orchestrating a linguistic plurality: Plato presents different languages inside the dialogue, such as the poetic language, the orators’ technic language or also the language of the philosophers who had preceded him; he makes them interact and confront between them, creating by this a new concept of the dialogue’s object, i.e. the speech and the enamoured soul. The enunciative situation reveals the work done on the linguistic material and permits to implement the dialogue between different languages either by attributing these languages to different characters, who become themselves a source of the sense for the terms employed, or by adding to the word’s immediate context a much larger context who demands, for the same word, a new sense different from the one who is coherent with the immediate context. In addition, some particularities of the enunciative situation question the assumptions on which is based the understanding of any statement, in particular, the principle of non-contradiction : according to our theory, these particularities shouldn’t be erased, they correspond to Plato’s intention and form the interpretative riddles that Plato addresses to the reader.
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De l'omphalos de la Terre à la cité céleste d'Apollon. Etudes sur la doctrine de la Tétractys dans le pythagorisme ancien jusqu'à Platon/ From Earth's Omphalos to Apollo's Celestial City. A study on the Doctrine of Tetractys in Ancient Pythagoreanism to Plato

Viltanioti, Irini F 29 November 2010 (has links)
La doctrine pythagoricienne de la Tétractys est sans doute une des questions les plus délicates de l’histoire de la philosophie. Elle représente non seulement une des théories essentielles de l’arithmologie, mais aussi, ainsi que la doxographie ancienne en témoigne, « le plus grand secret et le fondement de la philosophie pythagoricienne ». Armand Delatte, dans ses classiques Etudes sur la littérature pythagoricienne, a souligné l’importance véhiculée par ce philosophème. Dans la première partie, « méthodologique », de notre étude, nous traitons du lien entre Platon et la pensée pythagoricienne, en prenant comme fil conducteur trois notions essentielles: le silence voué des initiés de l’ordre et la pratique du secret ; l’expression énigmatique et « symbolique » ; la pratique de l’allégorie (hyponoia), indissolublement associée, elle, à celle du mythe. La deuxième partie de notre travail est centrée sur le témoignage le plus ancien au sujet de la Tétractys, à savoir sur la fameuse maxime des Acousmatiques : « Qu’est-ce que l’oracle des Delphes ? La Tétractys, c'est-à-dire l’harmonie où se trouvent les Sirènes ». En outre, en modérant, d’une certaine manière, l’ « ésotérisme historique » de l’Ecole de Tübingen, dont nous nous prenons des distances quant à certains points (comme, par exemple, l’importance de la méthode allégorique), nous tentons, dans la troisième et dernière partie de notre étude, de lire certains passages mythiques de Platon comme des allégories susceptibles d’être comprises et de trouver leur cohérence à la lumière de la tradition indirecte, voire de la théorie platonicienne sur les nombres, théorie intimement liée à la doctrine pythagoricienne de la Tétractys. Dans cet ordre d’idées, à partir de la République et du Timée jusqu’au Phèdre et au Gorgias, la mathématisation platonicienne de la réalité se verrait intégrée aux mythes, dont la somptuosité poétique ne serait qu’une image de l’enchantement philosophique entraînant l’élévation de l’âme vers l’Un – Bien. Bien qu’ayant toujours présents à l’esprit les dangers auxquels notre étude s’expose, nous n’avons pas toujours su les éliminer. Nous ne méconnaissons aucunement ses lacunes et ses faiblesses. Nous considérons en revanche que son avantage réside en ce qu’elle tente de contribuer à éclairer d’une lumière nouvelle certains aspects méconnus. C’est sans doute là que se situe le danger, mais aussi son intérêt.
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De l'omphalos de la Terre à la cité céleste d'Apollon: études sur la doctrine de la Tétractys dans le pythagorisme ancien / From Earth's Omphalos to Apollo's celestial city: a study on the doctrine of Tetractys in ancient pythagoreanism to Plato

Viltanioti, Irini Fotini 29 November 2010 (has links)
La doctrine pythagoricienne de la Tétractys est sans doute une des questions les plus délicates de l’histoire de la philosophie. Elle représente non seulement une des théories essentielles de l’arithmologie, mais aussi, ainsi que la doxographie ancienne en témoigne, « le plus grand secret et le fondement de la philosophie pythagoricienne ». Armand Delatte, dans ses classiques Etudes sur la littérature pythagoricienne, a souligné l’importance véhiculée par ce philosophème. Dans la première partie, « méthodologique », de notre étude, nous traitons du lien entre Platon et la pensée pythagoricienne, en prenant comme fil conducteur trois notions essentielles: le silence voué des initiés de l’ordre et la pratique du secret ;l’expression énigmatique et « symbolique » ;la pratique de l’allégorie (hyponoia), indissolublement associée, elle, à celle du mythe. La deuxième partie de notre travail est centrée sur le témoignage le plus ancien au sujet de la Tétractys, à savoir sur la fameuse maxime des Acousmatiques :« Qu’est-ce que l’oracle des Delphes ?La Tétractys, c'est-à-dire l’harmonie où se trouvent les Sirènes ». En outre, en modérant, d’une certaine manière, l’ « ésotérisme historique » de l’Ecole de Tübingen, dont nous nous prenons des distances quant à certains points (comme, par exemple, l’importance de la méthode allégorique), nous tentons, dans la troisième et dernière partie de notre étude, de lire certains passages mythiques de Platon comme des allégories susceptibles d’être comprises et de trouver leur cohérence à la lumière de la tradition indirecte, voire de la théorie platonicienne sur les nombres, théorie intimement liée à la doctrine pythagoricienne de la Tétractys. Dans cet ordre d’idées, à partir de la République et du Timée jusqu’au Phèdre et au Gorgias, la mathématisation platonicienne de la réalité se verrait intégrée aux mythes, dont la somptuosité poétique ne serait qu’une image de l’enchantement philosophique entraînant l’élévation de l’âme vers l’Un – Bien. Bien qu’ayant toujours présents à l’esprit les dangers auxquels notre étude s’expose, nous n’avons pas toujours su les éliminer. Nous ne méconnaissons aucunement ses lacunes et ses faiblesses. Nous considérons en revanche que son avantage réside en ce qu’elle tente de contribuer à éclairer d’une lumière nouvelle certains aspects méconnus. C’est sans doute là que se situe le danger, mais aussi son intérêt. <p> <p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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