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Essai sur la politique pythagoricienne ...

Delatte, Armand, January 1900 (has links)
Inaug.-diss.-Université de Liége. / "Table des auteurs cités": p. [269]-282.
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Les Épîtres des Frères en Pureté (Rasāʾil Iḫwān aṣ-ṣafā), une pensée de la totalité : établissement de la paternité historique et commentaire philosophique de l’ouvrage / Epistles of the Brethren in Purity (Rasāʾil Iḫwān aṣ-ṣafā), thinking totality

Vaulx d'Arcy, Guillaume de 19 November 2016 (has links)
Les Épîtres des Frères en Pureté forment une encyclopédie des sciences philosophiques (au sens hégélien) composée par Aḥmad b. aṭ-Ṭayyib as-Saraḫsī vers 280/894 à partir des travaux effectués par les Frères en Pureté, héritage du « cercle d’al-Kindī ». Le système trouve ses fondations dans l’arithmétique de Nicomaque de Gérase, est composé de la science kindienne, et s’élève sur les préoccupations politiques d’al-Ǧāḥiẓ, mais réalise une construction philosophique originale. Historiquement, une fois démontrée l’unicité du rédacteur, établi qu’Abū Ḥātim puise sa réfutation d’Abū Bakr ar-Rāzī dans la doctrine rasaélienne de l’héritage scientifique des prophètes, compris que les Rasāʾil sont alimentées par le kindisme, repéré que le seul héritier d’al-Kindī apte à cette entreprise est as-Saraḫsī, la comparaison des fragments saraḫsiens avec les épîtres révèle l’identité de style et de doctrine. L’identification de surcroît d’as-Saraḫsī au réviseur de l’Introduction arithmétique de Nicomaque autorise à postuler un système philosophique fondé mathématiquement. Préoccupées par le problème ontologique de la diversité du réel sous l’unité du Créateur, par le problème épistémologique de la divergence des méthodes et des doctrines scientifiques et religieuses malgré l’unité de la vérité et par le problème politique de la discorde malgré l’interdépendance des hommes, les Rasāʾil Iḫwān aṣ-Ṣafā entreprennent d’unifier la multiplicité empirique des êtres, de coordonner les savoirs et de réconcilier les hommes en une communauté vertueuse au moyen de trois concepts mathématiques : par leur origine dans l’émanation des êtres à partir du Créateur exprimée par la suite arithmétique, dans leur structure par la compréhension des analogies et des puissances entre les choses que révèle le rapport harmonique, et dans leur finalité au moyen de l’abstraction géométrique des formes hors de la matière constituée en modèle initiatique des âmes à la séparation d’avec le corps. / The Epistles of Brethren in Purity are an encyclopedia of philosophical sciences (in the Hegelian meaning) and were composed by Aḥmad b. aṭ-Ṭayyib as-Saraḫsī around 280/894. They are based on the work of the Brethren in Purity, which are the social inheritance of the “circle of al-Kindī.” The system itself is based on the arithmetic works of Nicomaque of Gerase. It is full of kindian science and erected on al-Ǧāḥiẓ political concerns. But as-Saraḫsī builds a very particular philosophical object. At the historical level, once we determine that the author is unique, that his views on the scientific heritage of the prophets is largely used by Abū Ḥātim ar-Rāzī to dispute with Abū Bakr, that the epistles are full of kindian elements, that the only al-Kindī’s student able to write such a book is Aḥmad b. aṭ-Ṭayyib as-Saraḫsī, we can compare the text with his fragments and reveal that they both share a particular style and philosophical ideas. So, because as-Saraḫsī is also the corrector of Nicomaque’s Introduction on Arithmetics, we can assume that he gives great importance to mathematics and base his system on it. The Epistles are focused on the ontological problem of the diversity of reality under the reign of the Creator’s unity, on the epistemological problem of contrariety of sciences and religions in methods and beliefs, and on the political problem of adversity of men in spite common interdependence. So they unify the effective multiplicity of beings, order the different disciplines of knowledge and build human reconciliation in the virtuous city, thanks to three mathematical concepts: they rewrite the emanation of beings from the Creator’s spring with the arithmetical sequence, they unify the actual structure of the world with the harmonic relation that rationalizes the different analogies and the mutual powers of their parts, and they educate the soul to its spiritual end with the geometric abstraction of forms from the material.
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Critique de la modernité et philosophie de l'enracinement : la médiation des valeurs dans l'oeuvre de Simone Weil / Critique of the Modernity and the Philosophy of Root : the mediation of Values in Simone Weil's works

Enyegue abanda, Fabien Mathurin 12 February 2013 (has links)
Basée sur l’idée de progrès, la science moderne, d’inspiration cartésienne, est perçue par Simone Weil comme la principale cause de la crise moderne des valeurs. Sous-tendue par le mouvement droit, elle a perdu le principe d’analogie et s’est, de la sorte, dessaisie du monde ambiant des réalités quotidiennes. Aussi apparaît-elle non seulement comme à la source du scientisme, de la croyance en une raison scientifique autonome et du culte rendu aux applications techniques, mais aussi à l’origine du capitalisme industriel, du communisme révolutionnaire, du totalitarisme, de l’effondrement de l’ordre axiologique universel traditionnel concomitant à la crise de la civilisation. Les conséquences issues de ce mouvement de déracinement n’ont pas seulement conduit à l’oppression prolétarienne et coloniale ou au modernisme comme primat des valeurs d’innovation sur les valeurs de tradition, mais surtout à l’oppression généralisée et à l’oubli des structures axiologiques primordiales universelles que sont l’Etre, la Nécessité, le Passé, le Surnaturel. Fondé sur une dialectique structurelle déracinement-enracinement, pesanteur-grâce, le discours philosophique de Simone Weil sur la modernité poursuit un double enjeu. Sans se démarquer de la raison philosophique immanente, elle s’attelle à la fois à la dénonciation des propensions et défaillances qu’offrent les valeurs illusoires modernes d’argent, d’algèbre, de machinisme, d’impérialisme, de révolution, de démocratie, qu’à la conception d’une philosophie de la médiation des valeurs apte à contribuer à la renaissance d’une culture d’attention au capital axiologique de l’humanité. En effet, la modernité n’apparaissant plus que comme synonyme de crise des valeurs, il convient de tirer au clair ce piège qui fait de l’homme l’esclave de ses propres productions en y entreprenant une herméneutique ouverte non seulement au principe ontologique de nécessité, au-delà de toute projection avant-gardiste, mais surtout à une herméneutique des civilisations inspiratrices de l’humanité, en dehors de tout misonéisme passéiste, où le Surnaturel s’atteste dans sa plénitude comme critérium des valeurs authentiques et principe de médiation témoignant de l’enracinement de toutes choses dans l’être. Sans être en opposition avec les impératifs de découverte, d’invention et de développement, la philosophie weilienne de la médiation des valeurs se dévoile dans sa posture et sa validité comme une philosophie d’inspiration universelle à l’enracinement des peuples, des cultures et des nations, attentive à une pensée permanente des rapports entre la tradition et l’innovation, l’universalité et l’historicité. / Based on the idea of progress, the modern science, inspired by Descartes, is seen by Simone Weil as the primary cause of the modern crisis of values. Sustained by a linear movement, this science has lost the principle of analogy and, by consequent, it has lost its bindings with the surrounding world of everyday reality. Also, this science shows itself not only as the source of scientism, this belief in an independent scientific reason and the cult of the technical applications, but also as the source of industrial capitalism, of the revolutionary communism, of the totalitarianism, of the collapse of the traditional axiological order simultaneously to the crisis of civilization. Theses consequences resulting from the movement of uprooting not only led to the proletarian and the colonial oppression and to the modernism as the priority of the values of innovation on the values of tradition, but especially to a generalized oppression and the forgetting of the primordial universal axiological structures: the Being, the Need, the Past and the Supernatural.Based on a structural dialectic, the dislocation and the rooting, the fall and salvation, the philosophical discourse on modernity of Simone Weil seeks a double stake. Without a delimitation of the reason of the immanent philosophy, she is equally attached to the denunciation of the propensities and the failures of the modern illusory values of the money, of the algebra, of the machinery, of the imperialism, of the revolution, of the democracy, and to the conception of a philosophy of the mediation of values able to contribute to the rebirth of a culture attentive to the axiological capital of the humanity. Indeed, if the modernity appears no more as a synonym of the crisis of values, we must clarify this trap that makes the man the slave of his own productions by a hermeneutic open not only to the ontological principle of necessary, beyond any avant-garde projection, but principally a hermeneutic of the inspired civilizations of the humanity, without any outdated misoneism, where the Supernatural is attested in its fullness as criterion of the authentic values and as a principle of mediation reflecting the roots of all things in the Being. Without being in a conflict with the requirements of the discovery, of the invention, of the progress, the weilian philosophy of values mediation reveals itself as a philosophy of universal inspiration, founding the rooting of peoples, of cultures and of nations, paying permanent attention to the relationship between the tradition and the innovation, between the universality and the historicity.
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De l'omphalos de la Terre à la cité céleste d'Apollon: études sur la doctrine de la Tétractys dans le pythagorisme ancien / From Earth's Omphalos to Apollo's celestial city: a study on the doctrine of Tetractys in ancient pythagoreanism to Plato

Viltanioti, Irini Fotini 29 November 2010 (has links)
La doctrine pythagoricienne de la Tétractys est sans doute une des questions les plus délicates de l’histoire de la philosophie. Elle représente non seulement une des théories essentielles de l’arithmologie, mais aussi, ainsi que la doxographie ancienne en témoigne, « le plus grand secret et le fondement de la philosophie pythagoricienne ». Armand Delatte, dans ses classiques Etudes sur la littérature pythagoricienne, a souligné l’importance véhiculée par ce philosophème. Dans la première partie, « méthodologique », de notre étude, nous traitons du lien entre Platon et la pensée pythagoricienne, en prenant comme fil conducteur trois notions essentielles: le silence voué des initiés de l’ordre et la pratique du secret ;l’expression énigmatique et « symbolique » ;la pratique de l’allégorie (hyponoia), indissolublement associée, elle, à celle du mythe. La deuxième partie de notre travail est centrée sur le témoignage le plus ancien au sujet de la Tétractys, à savoir sur la fameuse maxime des Acousmatiques :« Qu’est-ce que l’oracle des Delphes ?La Tétractys, c'est-à-dire l’harmonie où se trouvent les Sirènes ». En outre, en modérant, d’une certaine manière, l’ « ésotérisme historique » de l’Ecole de Tübingen, dont nous nous prenons des distances quant à certains points (comme, par exemple, l’importance de la méthode allégorique), nous tentons, dans la troisième et dernière partie de notre étude, de lire certains passages mythiques de Platon comme des allégories susceptibles d’être comprises et de trouver leur cohérence à la lumière de la tradition indirecte, voire de la théorie platonicienne sur les nombres, théorie intimement liée à la doctrine pythagoricienne de la Tétractys. Dans cet ordre d’idées, à partir de la République et du Timée jusqu’au Phèdre et au Gorgias, la mathématisation platonicienne de la réalité se verrait intégrée aux mythes, dont la somptuosité poétique ne serait qu’une image de l’enchantement philosophique entraînant l’élévation de l’âme vers l’Un – Bien. Bien qu’ayant toujours présents à l’esprit les dangers auxquels notre étude s’expose, nous n’avons pas toujours su les éliminer. Nous ne méconnaissons aucunement ses lacunes et ses faiblesses. Nous considérons en revanche que son avantage réside en ce qu’elle tente de contribuer à éclairer d’une lumière nouvelle certains aspects méconnus. C’est sans doute là que se situe le danger, mais aussi son intérêt. <p> <p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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