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Ratio particularis : la doctrine des sens internes d'Avicenne à Thomas d'Aquin : contribution à l'étude de la tradition arabo-latine de la psychologie d'Aristote /

Di Martino, Carla. January 2008 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Philosophie--Paris--École pratique des hautes études-Ve section, 2003. Texte remanié de: Thèse de doctorat--Philosophie--Université de Padoue, 2003. / Bibliogr. p. 167-183.
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L'âme et l'unité de l'homme dans la pensée de Fārābī / the soul and the unity of the human individual in al-Fārābī’s thought

Jabbour, Jawdath 12 December 2016 (has links)
Notre étude interroge de manière systématique ce qu’est l'âme humaine et comment elle constitue un individu dans la pensée de Fārābī. Nous y avons établi que la triade néoplatonicienne nature, âme et intellect structure sa pensée naturelle et qu’elle correspond en l'homme à la substantialité, la vie – en tant que principe général aux êtres vivants – et la pensée. Cette triade est liée à la notion de substantification et permet de comprendre la manière par laquelle différentes fonctions, naturelles, animées et intellectives, peuvent émaner d’une substance une. La constitution de l'individu humain se présente ainsi comme une substantification progressive par ces trois principes. Elle est marquée par une forte téléologisation qui assure l’unité substantielle de l’homme, puisque, lors de la génération de ce dernier, la substance réalisée par la nature puis par l'âme est dès le départ en vue de la réalisation de l'intellect et de sa perfection ultime, comprise comme un retour à soi. Face aux lectures dualistes de son époque, Fārābī revient à une compréhension particulière de l'âme comme forme du corps, et comme principe de l'unité le plus parfait dans le monde sublunaire. Sa compréhension originale de l'hylémorphisme permet de soutenir en même temps la séparabilité de l'intellect, à travers des éléments issus de la tradition néoplatonicienne, notamment l’organisation des fonctions et principes présents en l’homme en différents rangs intermédiaires. / Our work examines in a systematic way what is the human soul and how it constitutes an individual in al-Fārābī’s thought. We have shown in it that the Neoplatonist triad of nature, soul and intellect structures his natural thought and that it corresponds in man to substantiality, life – as a principle shared with all the living creatures – and thought. This triad is linked to the notion of substantification and allows us to understand the way different functions can emanate from what is a single substance. The way man is constituted by these three principles is presented as a progressive substantification characterized by a strong teleologisation. This teleologisation insures man’s substantial unity since, in the process of his generation, the substance realized first by nature and then by soul exists for the sake of its realization by the intellect and the attainment of man’s perfection, perceived as a return to the self. Facing the dualist positions of his time, al-Fārābī upheld a particular reading of the soul as the form of a body and as the most accomplished principle of unity in the sublunary world. His original comprehension of hylemorphism asserts the separability of the intellect through his usage of neoplatonist elements, notably the organization of the principles and functions that are present in the human substance into various intermediary ranks
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Habermas et le monde arabe : les limites de la décontextualisation

Lavallée, Guillaume 29 May 2021 (has links)
Ce mémoire s'intéresse à l'universalité de la modernité occidentale et donc au rapport que cette modernité entretient avec son Autre, c'est-à-dire celui qui n'est pas moderne ou qui n'est pas perçu comme étant moderne. L'Autre prend ici la figure du monde arabomusulman que j'ai cherché à rencontrer chez lui, sur le sol de ses écrits, sur le terrain de sa langue. L'enjeu de cette lecture du rationalisme arabe est relativement simple, il s'agit d'identifier les bases d'une modernité arabe pour nourrir le sol de la philosophie politique contemporaine. Partant ainsi du cadre de l'éthique de la discussion développée par Jürgen Habermas, ce mémoire focalise sur la notion de " décontextualisation " comme passage de l'agir communicationnel - par lequel se reproduisent les valeurs d'une communauté donnée (pour nous) - à la discussion argumentée où ces valeurs sont mises à distance pour que puisse être recomposé un jugement moral universel (pour tous). Selon mon hypothèse, ce passage du " pour nous " au " pour tous " se complique dans le monde arabe en vertu de deux pôles identitaires : la religion, mais surtout la solidarité clanique.
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Métaphysique et perfection : l’articulation fārābīenne du théorique et du pratique / Metaphysics and Perfection : the Fārābian articulation between the theoretical and the practical

El Hachimi, Lucile 23 November 2019 (has links)
Cette thèse présente la pensée d’al-Fārābī, premier des grands philosophes arabes aristotéliciens, comme une philosophie systématique de la réalisation. En partant du nœud problématique de l’articulation du théorique et du pratique, il s’agit d’interroger l’unification totalisante qui caractérise l’œuvre du « Second Maître ». Notre hypothèse est que cette réalisation, aussi bien intensive, comme parachèvement, qu’extensive comme intégration, s’opère grâce à une redéfinition de deux concepts (néo-)aristotéliciens : la métaphysique et la perfection. Ces deux notions qu’al-Fārābī transforme, afin de proposer des résolutions à des tensions propres aux positions aristotéliciennes, conduisent à un système philosophique original. La notion de fiṭra, qui définit la figure fārābīenne de l’homme, s’appuie sur l’interprétation essentialiste de la perfection d’Alexandre d’Aphrodise et permet de construire une nature humaine comme disposition prise dans une logique de substantialisation. Avec ce nouveau concept, al-Fārābī inscrit au cœur de la substance un dynamisme, tout en rendant essentiel son parachèvement. De cette étape fondationnelle, il fait émerger une véritable science pratique autour la vertu délibérative et des règles qu’elle produit. Or cela n’est possible que sur le fond de transformations ontologiques majeures : apparaît alors la chose, l’ontologie formelle qu’elle permet et la distinction entre l’essence et l’existence qu’elle présuppose. L’action politique du philosophe qui, par sa substantialisation, offre à tous, sous forme religieuse, leur réalisation permet l’intégration architectonique de l’ensemble des existants manifestant par là ce que c’est qu’être principe. / This PhD thesis is a study of the thought of al-Fārābī, the first of the main Aristotelian Arabic philosophers, and presents it as a systematic philosophy of realisation. Starting with the problematic crux of the articulation between the theoretical and the practical, it questions the totalizing unification that characterizes the “Second Master’s” work. Our hypothesis is that this realisation, both in its intensive form as completion and its extensive form as integration, takes place through a redefinition of two (neo-)Aristotelian concepts: metaphysics and perfection. These two notions, that al-Fārābī transforms in order to offer answers to tensions proper to the Aristotelian positions, lead to an original philosophical system. The notion of fiṭra, which defines the Fārābīan human figure, is based on Alexander of Aphrodisias’ essentialist interpretation of perfection. It enables an elaboration of human nature as a disposition in the logic of substantialization. With this new concept, al-Fārābī inscribes a dynamic at the heart of the substance while rendering its completion essential. From this foundational step, he erects a genuine practical science built around the deliberative virtue and the rules it produces. This is only possible through major ontological transformations: thus the concept of thing appears, as well as the formal ontology it enables and the distinction between essence and existence which it presupposes. Through his substantialization, the philosopher offers everyone their realisation in the form of religion, so that his political action enables the architectonic integration of all existents, hence showing what it is to be a principle.
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La notion de proposition chez les logiciens arabes au Moyen Âge

Moursli, Mohamed 07 February 2022 (has links)
Dans l'histoire générale de la logique, l'étape que constituent les travaux des logiciens arabes du Moyen Âge demeure en grande partie encore aujourd'hui terra incognita (Rescher, 1963). Portant sur la notion de proposition chez ces auteurs, la thèse se veut une contribution à l'exploration de cette étape importante du développement de la logique. Dans une première partie, on y trouve un exposé analytique de leur théorie de la signification. Une deuxième partie examine l'enseignement particulier des commentateurs arabes d'Aristote à propos des parties intégrales de la proposition. Une troisième et dernière partie, enfin, analyse les diverses définitions de la proposition que l'on trouve dans les écrits de cette époque. Les résultats de cette recherche tendent à montrer que la logique arabe, du moins pour le sujet et l'époque étudiés, même si elle a sa source chez Aristote, n'en demeure pas moins très fortement influencée dans son développement par le contexte général de la pensée arabo-musulmane, contexte dominé par la langue arabe (et sa grammaire) et la religion islamique (et son texte sacré, le Coran).
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LE CORPS SOUFFRANT AU REGARD DE LA PHILOSOPHIE MEDICALE CHEZ Al-RÂZÎ (865 ? - 925 ?) " Essai intégrant la philosophie, la médecine et le spirituel "

Djenane, Okba 04 May 2010 (has links) (PDF)
La thèse aborde la question du " corps souffrant " en interrogeant la philosophie médicale d'al-Râzî (865 ?-925 ?). Nous partons de l'hypothèse suivante : il y a un lien entre la dimension philosophique et métaphysique de la souffrance et la dimension " physico-spirituelle " de cette même souffrance : D'un côté la dimension philosophique et métaphysique de la souffrance provient de l'interpénétration de l'Ame éternelle dans le corps parce qu'elle est attirée par la Matière et penchée par " ignorance et erreur " vers les plaisirs du corps ; elle en devient ainsi prisonnière (le mythe de la chute de l'âme). D'un autre côté, la dimension " physico-spirituelle " de la souffrance apparaît dans le déséquilibre provenant du défaut ou de l'excès que représente " une transgression physique du corps " et/ou " une désobéissance spirituelle morale " résultant d'une " mauvaise conduite ". Il s'agit alors de se demander - et c'est l'enjeu de la thèse - si l'Art médical, par ses pratiques préventives et/ou curatives et, via ses itinéraires : le médecin et/ou l'hôpital, représente, selon al-Râzî, une prolongation de la conduite philosophique correctionnelle en restituant l'équilibre initial et veillant à effacer l'injustice faite à l'âme comme au corps. Sachant, la correction divine première, au plan métaphysique, est accordée à l'âme dans le but d'atteindre la vérité du monde et de la libérer de la matière, en lui allouant une connaissance philosophique salvatrice et purifiante.
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Les Épîtres des Frères en Pureté (Rasāʾil Iḫwān aṣ-ṣafā), une pensée de la totalité : établissement de la paternité historique et commentaire philosophique de l’ouvrage / Epistles of the Brethren in Purity (Rasāʾil Iḫwān aṣ-ṣafā), thinking totality

Vaulx d'Arcy, Guillaume de 19 November 2016 (has links)
Les Épîtres des Frères en Pureté forment une encyclopédie des sciences philosophiques (au sens hégélien) composée par Aḥmad b. aṭ-Ṭayyib as-Saraḫsī vers 280/894 à partir des travaux effectués par les Frères en Pureté, héritage du « cercle d’al-Kindī ». Le système trouve ses fondations dans l’arithmétique de Nicomaque de Gérase, est composé de la science kindienne, et s’élève sur les préoccupations politiques d’al-Ǧāḥiẓ, mais réalise une construction philosophique originale. Historiquement, une fois démontrée l’unicité du rédacteur, établi qu’Abū Ḥātim puise sa réfutation d’Abū Bakr ar-Rāzī dans la doctrine rasaélienne de l’héritage scientifique des prophètes, compris que les Rasāʾil sont alimentées par le kindisme, repéré que le seul héritier d’al-Kindī apte à cette entreprise est as-Saraḫsī, la comparaison des fragments saraḫsiens avec les épîtres révèle l’identité de style et de doctrine. L’identification de surcroît d’as-Saraḫsī au réviseur de l’Introduction arithmétique de Nicomaque autorise à postuler un système philosophique fondé mathématiquement. Préoccupées par le problème ontologique de la diversité du réel sous l’unité du Créateur, par le problème épistémologique de la divergence des méthodes et des doctrines scientifiques et religieuses malgré l’unité de la vérité et par le problème politique de la discorde malgré l’interdépendance des hommes, les Rasāʾil Iḫwān aṣ-Ṣafā entreprennent d’unifier la multiplicité empirique des êtres, de coordonner les savoirs et de réconcilier les hommes en une communauté vertueuse au moyen de trois concepts mathématiques : par leur origine dans l’émanation des êtres à partir du Créateur exprimée par la suite arithmétique, dans leur structure par la compréhension des analogies et des puissances entre les choses que révèle le rapport harmonique, et dans leur finalité au moyen de l’abstraction géométrique des formes hors de la matière constituée en modèle initiatique des âmes à la séparation d’avec le corps. / The Epistles of Brethren in Purity are an encyclopedia of philosophical sciences (in the Hegelian meaning) and were composed by Aḥmad b. aṭ-Ṭayyib as-Saraḫsī around 280/894. They are based on the work of the Brethren in Purity, which are the social inheritance of the “circle of al-Kindī.” The system itself is based on the arithmetic works of Nicomaque of Gerase. It is full of kindian science and erected on al-Ǧāḥiẓ political concerns. But as-Saraḫsī builds a very particular philosophical object. At the historical level, once we determine that the author is unique, that his views on the scientific heritage of the prophets is largely used by Abū Ḥātim ar-Rāzī to dispute with Abū Bakr, that the epistles are full of kindian elements, that the only al-Kindī’s student able to write such a book is Aḥmad b. aṭ-Ṭayyib as-Saraḫsī, we can compare the text with his fragments and reveal that they both share a particular style and philosophical ideas. So, because as-Saraḫsī is also the corrector of Nicomaque’s Introduction on Arithmetics, we can assume that he gives great importance to mathematics and base his system on it. The Epistles are focused on the ontological problem of the diversity of reality under the reign of the Creator’s unity, on the epistemological problem of contrariety of sciences and religions in methods and beliefs, and on the political problem of adversity of men in spite common interdependence. So they unify the effective multiplicity of beings, order the different disciplines of knowledge and build human reconciliation in the virtuous city, thanks to three mathematical concepts: they rewrite the emanation of beings from the Creator’s spring with the arithmetical sequence, they unify the actual structure of the world with the harmonic relation that rationalizes the different analogies and the mutual powers of their parts, and they educate the soul to its spiritual end with the geometric abstraction of forms from the material.

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