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L'âme et l'unité de l'homme dans la pensée de Fārābī / the soul and the unity of the human individual in al-Fārābī’s thought

Jabbour, Jawdath 12 December 2016 (has links)
Notre étude interroge de manière systématique ce qu’est l'âme humaine et comment elle constitue un individu dans la pensée de Fārābī. Nous y avons établi que la triade néoplatonicienne nature, âme et intellect structure sa pensée naturelle et qu’elle correspond en l'homme à la substantialité, la vie – en tant que principe général aux êtres vivants – et la pensée. Cette triade est liée à la notion de substantification et permet de comprendre la manière par laquelle différentes fonctions, naturelles, animées et intellectives, peuvent émaner d’une substance une. La constitution de l'individu humain se présente ainsi comme une substantification progressive par ces trois principes. Elle est marquée par une forte téléologisation qui assure l’unité substantielle de l’homme, puisque, lors de la génération de ce dernier, la substance réalisée par la nature puis par l'âme est dès le départ en vue de la réalisation de l'intellect et de sa perfection ultime, comprise comme un retour à soi. Face aux lectures dualistes de son époque, Fārābī revient à une compréhension particulière de l'âme comme forme du corps, et comme principe de l'unité le plus parfait dans le monde sublunaire. Sa compréhension originale de l'hylémorphisme permet de soutenir en même temps la séparabilité de l'intellect, à travers des éléments issus de la tradition néoplatonicienne, notamment l’organisation des fonctions et principes présents en l’homme en différents rangs intermédiaires. / Our work examines in a systematic way what is the human soul and how it constitutes an individual in al-Fārābī’s thought. We have shown in it that the Neoplatonist triad of nature, soul and intellect structures his natural thought and that it corresponds in man to substantiality, life – as a principle shared with all the living creatures – and thought. This triad is linked to the notion of substantification and allows us to understand the way different functions can emanate from what is a single substance. The way man is constituted by these three principles is presented as a progressive substantification characterized by a strong teleologisation. This teleologisation insures man’s substantial unity since, in the process of his generation, the substance realized first by nature and then by soul exists for the sake of its realization by the intellect and the attainment of man’s perfection, perceived as a return to the self. Facing the dualist positions of his time, al-Fārābī upheld a particular reading of the soul as the form of a body and as the most accomplished principle of unity in the sublunary world. His original comprehension of hylemorphism asserts the separability of the intellect through his usage of neoplatonist elements, notably the organization of the principles and functions that are present in the human substance into various intermediary ranks
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L'éthique du futur et le défi des technologies du vivant

Amegatsevi, Kokou Sename 19 April 2018 (has links)
Ce travail vise à mettre en avant une éthique du futur à l'ère des technologies du vivant à partir de la biologie philosophique de Hans Jonas en passant au crible a priori les fondements des technosciences. Jonas estime que le problème n'est pas la technique elle-même qui soit en cause mais l'identité qu'elle accorde à l'homme dans cette logique instrumentale envahissante, en d'autres termes, le matérialisme réductionniste. Le problème aussi n'est pas les effets visibles inquiétants et désastreux de la technique mais l'ontologie qu'elle inspire. Outre les manifestations réelles de destruction qu'elle génère, c'est l'être qu'elle confère ou plus exactement dont elle prive l'homme qui est catastrophique. L'homme finit par se considérer comme un fond exploitable. Il s'agira donc de formuler une éthique qui a pour soubassement une biologie philosophique qui récuse une anthropologie mécaniste d'inspiration matérialiste, une ontologie du pas-encore qui fonde les sciences modernes. Réduire l'homme à des lois physico-chimiques, c'est violer notre individualité. Le métabolisme est la preuve de notre individuation. Dans la matière, gît l'esprit. Au-delà de l'anthropomorphisme qui se dégage, l'homme est le seul animal symbolisant doué d'une conscience réflexive. Une responsabilité politique s'impose pour protéger l'intégrité et l'image de l'homme à l'ère des technologies du vivant qui espèrent améliorer ou modifier l'espèce humaine. Mais cette responsabilité politique qui promeut « un marxisme désenchanté » ne tardera pas à renforcer voire devenir une rationalité instrumentale et idéologique à l'image du lyssenkisme. Une autre responsabilité s'impose : une responsabilité scientifique formulée par Charles De Koninck qui interpelle et invite les scientifiques à ne pas sacrifier l'être humain par leurs recherches sur l'autel des subventions financières, du dualisme au relent matérialiste. La science, dans son élan est invitée à tenir compte du facteur « humain ». Cette responsabilité scientifique va au-delà des règles de bonnes pratiques et déontologiques des comités et des expertises scientifiques. Elle nécessite une éducation scientifique pour une science citoyenne pour éviter une science aveugle et idéologique. Bref, à partir de ces paradigmes, nous voulons montrer que les rêves de l'amélioration, de l'augmentation des performances de l'espèce humaine sont des chimères.
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La technique et le vivant en biologie de synthèse : réflexion sur l'actualité de Georges Canguilhem

Pelletier, Guillaume 08 June 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2017-2018 / La biologie de synthèse est souvent dépeinte comme étant l’irruption de principes d’ingénierie dans les sciences de la vie. À partir de pratiques telles que la standardisation et la modélisation, les promoteurs de cette discipline relativement jeune espèrent en arriver à réduire suffisamment les difficultés liées à la complexité du monde vivant afin de rendre la conception de réseaux génétiques analogue à celle de circuits électroniques. Ce genre d’aspiration a récemment remis à jour, dans la littérature philosophique, des questionnements relatifs aux relations entre machine et organisme ainsi qu’à la portée de notre maîtrise technique du vivant. Pour alimenter ces réflexions, il nous semble pertinent de recourir à la pensée du philosophe français Georges Canguilhem (1904-1995). Selon Canguilhem, les mécanismes construits par l’être humain ont pour condition préalable la propriété du vivant à produire des mécanismes, nous obligeant ainsi à envisager la technique dans son origine et sa finalité biologique. Sans poser de principes métaphysiques tels qu’une âme ou une force vitale, la reconnaissance des origines vitales de la technique conduit néanmoins à reconnaitre que la capacité de l’organisme à instituer des normes demeure irréductible à la division et à l’analyse scientifique du vivant. À partir d’une exploration de la philosophie biologique de Canguilhem, nous montrerons qu’il est possible, au-delà des ambitions premières de la biologie de synthèse, de retrouver dans plusieurs de ses pratiques les plus récentes une attitude qui, en instrumentalisant les propriétés de la vie, actualise certaines des positions canguilhemiennes concernant la technique et le vivant. / Synthetic biology is often depicted as the application of engineering principles in the life sciences. Through practices such as standardisation and modeling, promoters of this relatively young discipline hope to overcome difficulties related to the complexity of living organisms, in order to make the design of genetic network similar to that of electronic circuits. This kind of aspiration recently brought up philosophical questions concerning the relations between organism and machine, as well as the scope of our technical mastery of life. The thought of French philosopher Georges Canguilhem (1904-1995) seems especially relevant to these issues. According to Canguilhem, man-made devices presuppose the ability of living organisms to produce mechanisms, and requires us to consider the vital purpose and origin of technology. Without assuming the existence of a soul or a vital force, the origin of technology nevertheless forces us to acknowledge that the capacity of organisms to create norms is irreducible to the scientific analysis of living beings. After exploring the biological philosophy of Canguilhem, I will argue that synthetic biology, despite its main discourses and ambitions, frequently exploit the properties of life in a way that actualizes some of Canguilhem’s perspectives regarding life and technology.
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Art, Gattung, System : eine logisch-systematische Analyse biologischer Grundbegriffe /

Heuer, Peter. January 2008 (has links)
Zugl.: Leipzig, Univ., Diss., 2006. / Karl Alber Preis 2008 des Philosophischen Jahrbuchs.

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