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C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré ; suivi de Sudbury : l’habitabilité de la poésie chez Patrice Desbiens

Martineau, Julien 12 1900 (has links)
Composé de fragments narratifs et poétiques, C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré retrace le parcours d’un jeune homme de retour dans sa ville natale, Québec. En déambulant à travers les rues, mais également à travers sa propre mémoire, le narrateur trouvera sur son chemin le point de rupture entre passé et présent. C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré élabore une réflexion sur ces lieux et ces époques qui, même révolus, semblent ne jamais vouloir nous quitter, le tout dans une écriture où le silence est parfois aussi éloquent que la parole. Comme son nom l’indique, Sudbury : l’habitabilité de la poésie chez Patrice Desbiens est un essai traitant de la poésie comme espace d’habitation dans Sudbury de Patrice Desbiens, une œuvre mettant en scène le quotidien d’une petite ville du nord de l’Ontario. Face à ce lieu froid et désert où rien ne semble vouloir subsister, dans cette ville qu’il décrit à la fois comme factice, violente et inhabitable, Desbiens semble croire que seule l’écriture est authentique et porteuse d’une vérité. Dès lors, en signant son recueil Sudbury, le nom de cette ville qu’il habite, le poète ne se pose-t-il pas comme le véritable auteur des lieux? Ne donne-t-il pas un sens à ce qui, auparavant, en était dépourvu? N’y a-t-il pas, au final, substitution de l’espace urbain oppressant par celui, plus hospitalier, de la poésie? / Composed of narrative and poetic fragments, C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré follows the journey of a young man returning to his hometown, Québec. While wandering in the streets, but also through his own memories, the narrator will find on his path the point of rupture between past and present. C’est ici que le verbe habiter s’est déchiré proposes a reflexion on these places and times that, even if over, seem to never abandon us, all within a style of writing where silence is sometimes as eloquent as speech. As it’s name indicates, Sudbury: l’habitabilité de la poésie chez Patrice Desbiens is an essay regarding poetry as a living space within the poem Sudbury from Patrice Desbiens, a work that stages the daily routine of a small town in northern Ontario. Confronted to a cold and deserted place where nothing seems to subsist, within this town that he depicts at the same time as artificial, violent and unlivable, Desbiens seems to believe that only writing is authentic and bearer of truth. Hence, by entitling his work Sudbury, the name of the town where he lives, does the poet not present himself as the genuine author of the place? Does he not give a meaning to something that, before, was deprived of one? Is there not, in the end, a substitution of the opressive urban space for the one, more welcoming, of poetry?
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Au nord du Nord, au nord de soi, au nord de l’Autre... Une analyse du thème du Nord dans Décalage de Patrice Desbiens et dans L’espace éclaté de Pierre Albert

Sylvain, Véronique 26 April 2012 (has links)
Le Nord a souvent inspiré des artistes de différentes disciplines (par exemple, en littérature, notamment au Canada français). Au fil des années, dans le milieu franco-ontarien, nombreux sont les chansonniers, les poètes et les romanciers qui ont nourri leur plume de cet imaginaire. Toutefois, est-ce que le Nord, dans des œuvres poétiques écrites à partir des années 1980, aurait encore la place qu’il occupait en poésie durant les années 1970 en Ontario français? C’est la présence de cette thématique dans les chansons, les poèmes et les romans franco-ontariens, écrits depuis la période d’effervescence culturelle en Ontario français, qui a attiré notre attention. Nous avons remarqué, dans la production poétique de poètes du nord de l’Ontario, qui y ont vécu ou qui l’ont traversé, que l’espace septentrional alimentait l’imaginaire collectif de plusieurs créateurs. Dans le cadre de notre thèse de maîtrise, nous avons analysé le thème polymorphe du Nord dans deux recueils de poésie franco-ontarienne contemporaine, soit dans Décalage de Patrice Desbiens et dans L’espace éclaté de Pierre Albert. Pour ce faire, nous avons eu recours à la « critique thématique » telle que définie par Gaston Bachelard et Jean-Pierre Richard, ainsi qu’à une grille d’analyse inspirée, entre autres, des recherches du chercheur, professeur et spécialiste du Nord, Daniel Chartier, du géographe du Nord canadien, Louis- Edmond Hamelin, et des spécialistes de la littérature franco-ontarienne, Fernand Dorais, François Paré et Johanne Melançon.
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Au nord du Nord, au nord de soi, au nord de l’Autre... Une analyse du thème du Nord dans Décalage de Patrice Desbiens et dans L’espace éclaté de Pierre Albert

Sylvain, Véronique January 2012 (has links)
Le Nord a souvent inspiré des artistes de différentes disciplines (par exemple, en littérature, notamment au Canada français). Au fil des années, dans le milieu franco-ontarien, nombreux sont les chansonniers, les poètes et les romanciers qui ont nourri leur plume de cet imaginaire. Toutefois, est-ce que le Nord, dans des œuvres poétiques écrites à partir des années 1980, aurait encore la place qu’il occupait en poésie durant les années 1970 en Ontario français? C’est la présence de cette thématique dans les chansons, les poèmes et les romans franco-ontariens, écrits depuis la période d’effervescence culturelle en Ontario français, qui a attiré notre attention. Nous avons remarqué, dans la production poétique de poètes du nord de l’Ontario, qui y ont vécu ou qui l’ont traversé, que l’espace septentrional alimentait l’imaginaire collectif de plusieurs créateurs. Dans le cadre de notre thèse de maîtrise, nous avons analysé le thème polymorphe du Nord dans deux recueils de poésie franco-ontarienne contemporaine, soit dans Décalage de Patrice Desbiens et dans L’espace éclaté de Pierre Albert. Pour ce faire, nous avons eu recours à la « critique thématique » telle que définie par Gaston Bachelard et Jean-Pierre Richard, ainsi qu’à une grille d’analyse inspirée, entre autres, des recherches du chercheur, professeur et spécialiste du Nord, Daniel Chartier, du géographe du Nord canadien, Louis- Edmond Hamelin, et des spécialistes de la littérature franco-ontarienne, Fernand Dorais, François Paré et Johanne Melançon.
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Expérience précaire du monde et représentation de la poésie dans La fissure de la fiction et Désâmé de Patrice Desbiens

Daigle-Roy, Alice 03 1900 (has links)
Diverses œuvres de poésie moderne et contemporaine mettent en scène le rapport à l’écriture d’un sujet lyrique. Une telle problématique trouve une incarnation particulièrement intéressante dans l’œuvre de Patrice Desbiens, notamment dans certains de ses textes des années 1990 et 2000, où elle apparaît avec plus d’acuité. Pourtant, sa pratique auto-réflexive a fait l’objet de très peu de recherches. Afin d’éclairer le rapport qu’entretient Patrice Desbiens avec l’écriture et avec la poésie, ce mémoire s’intéresse à deux de ses textes, soit La fissure de la fiction (1997) et Désâmé, (2005) en accordant davantage d’espace au premier, que je considère comme un texte-charnière dans la production poétique de Desbiens. Dans un premier temps, mon travail présente ainsi la précarité qui caractérise le protagoniste de La fissure de la fiction et, sous un autre angle, le sujet lyrique de Désâmé. Dans cette optique, la figure du poète est étudiée dans La fissure de la fiction à la lumière de la reprise ironique du mythe de la malédiction littéraire et du sens que la réactualisation de ce mythe confère au personnage dans ce récit poétique. Dans un second temps, ce mémoire s’attache à montrer que la cohérence et la vraisemblance des univers mis en scène dans La fissure de la fiction et Désâmé sont minées. C’est à l’aune de ces analyses que peut ensuite être envisagé le rôle d’une poésie qui, en dernière instance, comporte malgré tout un caractère consolateur, en dépit ou en raison de l’esthétique du grotesque, tantôt comique, tantôt tragique, dans laquelle elle s’inscrit et que nous tâcherons de mettre en lumière. / Diverse pieces of modern and contemporary poetry offer representations of a lyrical subject’s attitude towards the act of writing. Studying such an issue in the works of Patrice Desbiens offers a distinctively interesting perspective, especially in the case of some of his publications from the 1990s and the 2000s wherein such representations appear quite clearly. Yet the treatment of the act of writing in his work has received very little research attention. The aim of this Master’s thesis is to shed further light on how Patrice Desbiens’s works deal with representations of writing and poetry. The thesis focusses on two of his published works, La fissure de la fiction (1997) and Désâmé, (2005), with greater emphasis placed on the former, as it is in my own perspective a key piece in his poetic legacy. To begin, my work puts forth the concept that the protagonists in La fissure de la fiction and Désâmé are both characterized by precariousness, but in different ways. In La fissure de la fiction, the character of the poet is understood from the perspective of an ironic revival of the literary curse myth. The meaning this myth confers to the main character of this poetical story is also discussed. Secondly, the thesis argues that the coherence and the plausibility of the universes of La fissure de la fiction and Desâmé are undermined. In light of these analyses, one can envision the role of a poetry which, ultimately and despite everything, bears a consolatory character. It does so in spite of, or perhaps precisely because of, its grotesque aesthetic, sometimes comic, sometimes tragic, in which it is written.
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L'imaginaire des genres littéraires, de Platon à Patrice Desbiens

Simard, Mathieu 30 April 2019 (has links)
La théorie des genres se trouve à l’origine même de la conceptualisation par les études littéraires de leur objet. Les théoriciens des genres ont d’abord analysé les caractéristiques internes des genres comme entités réelles. Cette approche a provoqué une crise portant précisément sur la réalité — ou l’irréalité — de ces catégories, que les chercheurs ont voulu résoudre au XXe siècle grâce à une posture pragmatiste s’intéressant aux conséquences pratiques des catégorisations génériques davantage qu’aux genres littéraires en tant que tels. En s’attardant ainsi sur les conséquences pratiques de la généricité, la perspective pragmatiste, qui domine de nos jours la génologie, a mis de côté la composante imaginaire des genres. Cette dernière s’avère néanmoins centrale pour comprendre le rapport complexe des individus et des collectivités à la littérature. Aussi cette thèse argue-t-elle que les genres littéraires, loin d’être de simples catégories abstraites, sont des représentations. Après avoir revisité la notion de genre à partir de celle de représentation, la présente recherche s’engage dans une exploration de l’imaginaire des genres littéraires. Des exemples tirés de la théorie des genres, des origines à nos jours, permettent d’observer que même les génologies construisent des représentations des genres qu’elles entendent pourtant aborder de manière objective. Ensuite, la thèse se penche sur la littérature franco-canadienne contemporaine, qui constitue un formidable laboratoire pour explorer cette nouvelle théorisation du problème des genres littéraires, montrant que les catégories génériques reflètent dans ce corpus des enjeux sociaux, politiques ou existentiels. Les analyses présentées invitent en fin de compte les chercheurs à élargir leur compréhension de la généricité et à porter attention à sa dimension imaginaire, qui n’a, jusqu’ici, jamais été introduite dans une théorisation générale de la question des genres littéraires.

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