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Deverbal Nouns in Modern Hebrew: Between Grammar and CompetitionAhdout, Odelia 19 September 2022 (has links)
Diese Arbeit beschäftigt sich mit den morphosyntaktischen und derivationellen Eigenschaften von Nominalisierungen im modernen Hebräisch und ihrer strukturelle Repräsentation. Eine zentrale Fragestellung im Rahmen von ‚hybriden‘ Wortbildungen wie Nominalisierungen ist die Ähnlichkeit bzw. die Unähnlichkeit zu den ihr zugrundeliegenden Verben. Unter Heranziehung des Hebräischen, einer Sprache mit reicher morphologischer Markierung, sowohl bei Verben als auch bei Nominalisierungen, werden mehrere Divergenzen zwischen Verben und entsprechenden Nominalisierungen im Bereich der Argument- und Ereignisstruktur eliminiert. Ausgehend von der einflussreichen These der Gleichsetzung von Nominalisierung und Passivierung untersucht diese Studie die syntaktische Struktur und deren Interaktion mit dem Wortbildungsprozess der Nominalisierung und zeigt, dass Eigenschaften, die für Passivformen typisch sind, in Nominalisierungen fehlen. Dabei präsentiert diese Studie mit der Untersuchung morphosyntaktischer Faktoren und deren Beziehungen zu Nominalisierungen, der Inkonsistenzen aufzeigt. Durch einen Vergleich von etwa 3000 Verben auf Basis der Verbklassenmorphologie ergibt sich eine signifikante Asymmetrie zwischen Nominalisierungen, die eine mediale/intransitive Markierung tragen, und Nominalisierungen, die als aktiv markiert sind, wobei sich die mediale Form in zwei klar definierten syntaktischen Kontexten als weniger produktiv erweist. Dies zeigt sich auch dadurch, dass alternierende Wurzeln, also Wurzeln die sowohl aktive als auch mediale Verbformen ausbilden können, bilden ihre Nominalisierungen auf Basis ihrer aktiven Form. Auf Basis der Konzepte von Konkurrenz und Markiertheit werden diese paradigmatischen Lücken nicht als grammatisch bedingte Inkompatibilitäten analysiert, sondern als eine generelle Präferenz für weniger markierte Formen (aktiv-markierte Nominalisierungen) gegenüber komplexeren (medial-markierte Nominalisierungen), wie in der Performanz häufig zu beobachten. / This study is concerned with the properties, structural representation and derivational patterns of deverbal nouns (DNs) in Modern Hebrew. A recurring question arises in the context of such ‘hybrid’ formations: precisely how similar or far-apart are these derivatives from the verbs from which they originate? Enlisting Hebrew, a language with rich morphological marking on both verbs as well as DNs, several loci of divergence between verbs and respective DNs in the domain of argument- and event-structure are eliminated. Taking as a point of reference the influential view which equates the processes of nominalization and passivization, this study scrutinizes syntactic structure and its interaction with nominalization, showing that behaviours typical of passives are absent from DNs. a finding which weakens long-standing beliefs bearing on this class. A novel area of exploration offered in this study is the examination of morpho-syntactic factors and their interaction with nominalization, a domain where inconsistencies do arise. What emerges from a comparison of some 3000 verbs based on verb-class (templatic) morphology is a significant asymmetry between DNs carrying Middle (intransitive) marking and DNs marked as Active, wherein Middle forms are found to be less productive in two well-defined syntactic contexts. Not entirely absent, however, the same roots which fail to surface with Middle morphology are perfectly licit when derived from the corresponding Active verb (in case of alternating roots). Building on the notions of competition and markedness, such paradigmatic gaps are analysed not as grammatically-determined incompatibilities, but as a consistent preference for less-marked forms (Active-marked DNs) over more complex ones (Middle-marked DNs), a trend which lies within the realm of performance. As such, Hebrew DNs constitute a case study of the interrelations between the syntactic and morphological modules, and pragmatics.
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Influencia interlingüística y transferencia morfosintáctica en los aprendientes de español como lengua tercera (EL3) en el País Vasco Norte (Francia)Lacroix, Hugues 08 1900 (has links)
Cette thèse porte sur l’influence interlinguistique au cours du processus d’acquisition de l’espagnol comme langue tierce (L3) chez des enfants bilingues français/basque. Plus précisément, nous nous intéressons à l’accord en genre dans le syntagme déterminant et à la formation de composés nominaux (N+N et déverbaux). Le français et l’espagnol partagent les mêmes caractéristiques concernant les deux phénomènes puisqu’ils possèdent chacun deux genres grammaticaux (masculin et féminin) et qu’ils forment leurs composés avec la tête à gauche. Par contre, en basque, il n’y a pas de genre grammatical et les composés se forment avec la tête à droite. Cette configuration des langues, ainsi que les différents profils de nos participants, nous permettent d’explorer l’influence interlinguistique dès les étapes initiales d’acquisition de l’espagnol L3 à travers l’étude des facteurs les plus courants dans le domaine de l’acquisition de L3, tels que la typologie, l’usage et l’ordre d’acquisition des deux premières langues. Dans l’ensemble, une influence du français (typologiquement et structurellement plus proche de l’espagnol) pourrait avoir un effet facilitateur, tandis que le basque aurait un effet inhibiteur.
Pour explorer ces possibilités d’influence, nous avons administré un test de description d’image écrite pour obtenir 1) des syntagmes formés par un déterminant, un nom et un adjectif de couleur (par exemple, « la casa roja », c’est-à-dire, « la maison rouge »); 2) des composés N+N (par exemple, « hombre rana », c’est-à-dire, « homme-grenouille »); et 3) des déverbaux (par exemple, « abrebotellas », c’est-à-dire, « ouvre-bouteille ») à 52 enfants bilingues (français/basque, âge : 10-11 ans) qui apprenaient l’espagnol comme L3 et à un groupe témoin de 21 locuteurs natifs d’espagnol du même âge. Les participants de L3 ont été divisés en trois groupes, selon leur langue dominante : L1 basque, L1 français et 2L1 basque/français. À partir des données collectées, nous avons analysé le niveau de maitrise des structures cibles en fonction des facteurs les plus couramment étudiés en acquisition de L2. Concernant le genre grammatical, nous considérons le genre par défaut, le type d’accord (déterminant ou adjectif), la transparence de la terminaison (-a / -o) et le critère analogique. En ce qui a trait aux composés, nous nous intéressons à la directionnalité (tête initiale ou finale) et la productivité des deux types de composés. Plus spécifiquement pour les composés déverbaux, nous étudions également leurs caractéristiques formelles (flexion verbale et -s générique).
Conformément aux résultats de recherches antérieures sur le genre grammatical en espagnol, le taux d’erreur le plus élevé se produit avec le féminin, ce qui indique une stratégie consistant à utiliser le masculin comme genre par défaut. Nous avons également constaté que l’effet de la transparence de la terminaison était plus important chez les locuteurs ayant le basque comme langue dominante, qui ont acquis le français dans un contexte formel et qui ne l’utilisent pas quotidiennement à la maison. En revanche, le critère analogique semble avoir un impact plus important sur les locuteurs qui ont acquis le français à la maison et qui l’utilisent quotidiennement.
Concernant les composés, compte tenu des pourcentages élevés de composés avec la bonne directionnalité, nos résultats suggèrent un effet facilitateur du français pour tous les participants, quel que soit l’âge ou l’ordre d’acquisition de leur L1/L2.
En général, le français, la langue la plus proche, semble exercer une influence plus directe sur le processus d’acquisition de l’espagnol L3, mais le basque semble avoir une certaine influence sur les stratégies métalinguistiques mobilisées par nos participants. / This study focuses on the issue of cross-linguistic influence (CLI) throughout the acquisition process of Spanish as an L3 by bilingual French/Basque children. Specifically, we are interested in gender concord within the Determiner Phrase (DP) and the formation of nominal compounds (N + N and deverbals). French and Spanish share the same characteristics regarding the two phenomena, as they display two grammatical genders (masculine and feminine), and compounds are head-initial. Conversely, there is no grammatical gender in Basque and compounds are head-final. This configuration of languages, together with the different profiles of our bilingual participants, allows us to explore cross-linguistic influence from the initial stages of acquisition of L3 Spanish through the most common factors in the field of L3 acquisition, namely typology, use and order of acquisition of the first two languages. Overall, an influence of French (typologically and structurally closer) would have a facilitating effect, while Basque would have an inhibitory one.
In order to explore these possibilities of influence, we administered a written image description task to elicit 1) phrases made up of a determinant, a noun and a color adjective (e.g., “una casa roja”, “a red house”), 2) N + N compounds (e.g., “hombre rana”, “frogman”) and 3) deverbal compounds (e.g., “abrebotellas”, “bottle opener”) to 52 bilingual children (French/Basque, age: 10–11 years) learning Spanish as an L3, and to a control group of 21 native speakers of Spanish of the same age. The L3 participants were divided into three groups, based on their dominant language: L1 Basque, L1 French, and 2L1 Basque/French. From the data collected, we analyzed the level of accuracy for the target structures in relation to the most commonly studied factors in L2 acquisition. Regarding grammatical gender, we considered the transparency of the ending (-a/-o), the default gender and the analogical criterion. Concerning the compounds, we studied directionality (head-initial vs. head-final) and the productivity of both types of compound. As for the deverbals, we also studied their formal characteristics (verbal inflection and generic -s).
In line with the results of previous research on Spanish grammatical gender, the highest error rates occur with feminine, which points to a strategy of using masculine as the default gender. We also found that the effect of the transparency of the ending was greater with Basque-dominant speakers, who acquired French later in a formal context and do not use it at home on a daily basis. In contrast, the analogical criterion seems to be favoured by speakers who acquired French at home and use it every day.
As for the compounds, given the high percentages of compounds with the correct directionality, our results suggest a facilitating effect of French for all participants, regardless of age or order of acquisition of their L1/L2.
In general, French, the closer language, seems to exert a more direct influence on the process of acquisition of L3 Spanish, but Basque seems to have some influence in terms of the metalinguistic strategies used by our participants. / La presente investigación se centra en la influencia interlingüística a lo largo del proceso de adquisición del español como L3 por parte de niños bilingües francés/euskera. Concretamente, nos interesamos por la concordancia de género dentro del sintagma determinante y la formación de compuestos nominales (N+N y deverbales). El francés y el español comparten las mismas características en cuanto a los dos fenómenos, al tener dos géneros gramaticales (masculino y femenino) y formar sus compuestos con el núcleo a la izquierda. En cambio, en euskera no hay género gramatical y los compuestos se forman con el núcleo a la derecha. Esta configuración de lenguas, junto con los diferentes perfiles de nuestros participantes bilingües, nos permiten explorar la influencia interlingüística desde las etapas iniciales de adquisición del español L3 a través de los factores más comunes en el campo de la adquisición de L3, como la tipología, el uso y el orden de adquisición de las dos primeras lenguas. De manera global, una influencia del francés (tipológica y estructuralmente más cercana y también la L2 de algunos participantes) podría tener un efecto facilitador, mientras que el euskera tendría un efecto inhibidor.
Para explorar esas posibilidades de influencia, administramos una prueba escrita de descripción de imágenes para elicitar 1) sintagmas formados por un determinante, un sustantivo y un adjetivo de color (p. ej., “la casa roja”), 2) compuestos N+N (p. ej., “hombre rana”) y 3) deverbales (p. ej., “abrebotellas”) a 52 niños bilingües (francés-euskera, edad: 10-11 años) que aprendían español como L3 y a un grupo de control de 21 hablantes nativos de español de la misma edad. Los participantes de L3 fueron divididos en tres grupos, según su lengua dominante: L1 euskera, L1 francés, y 2L1 euskera/francés. A partir de los datos recogidos, analizamos el nivel de dominio de las estructuras metas en función de los factores más comúnmente estudiados en adquisición de L2. En cuanto al género gramatical, consideramos el género por defecto, el tipo de concordancia, la transparencia de la terminación (-a/-o) y el criterio analógico. Con respecto a los compuestos, estudiamos la direccionalidad (núcleo inicial vs. final) y la productividad de ambos tipos de compuesto. En cuanto los deverbales, estudiamos además sus características formales (flexión verbal y -s genérica).
En línea con los resultados de investigaciones anteriores sobre el género gramatical en español, la tasa de error más alta ocurre con el femenino, lo cual apunta a una estrategia de uso del masculino como género por defecto. También encontramos que el efecto de la transparencia de la terminación era mayor con los hablantes que adquirieron el francés en un contexto formal y que no lo usan en casa de manera cotidiana. En cambio, el criterio analógico parece tener un impacto mayor en los hablantes que adquirieron el francés en casa y que lo usan todos los días.
En cuanto a los compuestos, dados los altos porcentajes de producción de compuestos con la direccionalidad correcta, nuestros resultados sugieren un efecto facilitador del francés para todos los participantes, independientemente de la edad o del orden de adquisición de sus L1/L2.
De manera general, el francés, la lengua más cercana, parece ejercer una influencia más directa en el proceso de adquisición del español L3, pero el euskera parece tener cierta influencia en las estrategias metalingüísticas movilizadas por nuestros participantes. / Tesi hau frantses / euskaldun elebidunek gaztelania hirugarren hizkuntza gisa (H3) ikasterakoan gertazen den hizkuntza arteko eraginari buruzkoa da. Zehazkiago, generoarekiko komunztadura aztertzen dugu determinatzaile sintagman eta hitz elkartuetan (izen + izen eta aditz elkartuak). Frantsesak eta gaztelaniak ezaugarri berdinak dituzte bi fenomenoei dagokienez, bakoitzak bi genero gramatikal (maskulinoa eta femeninoa) baitituzte eta hitz elkartuek burua ezkerrean dute. Bestalde, euskaraz ez dago genero gramatikalik eta hitz elkartuek burua eskuinean dute. Hizkuntzen konfigurazio honek, baita gure parte-hartzaileen profil desberdinak ere, gaztelania H3 gisa jabetzerakoan hizkuntza arteko eragina aztertzeko aukera ematen digu, hasierako urratsetatik, H3 jabekuntza arloko faktore ohikoenen azterketaren bidez (hala nola hizkuntzen tipologia, erabilera eta eskuratze hurrenkera). Orokorrean, frantsesaren eraginak (tipologikoki eta egituraz gaztelaniatik hurbilago) eragin errazgarria izan dezake, eta euskarak, berriz, eragin inhibitzailea.
Eragin posible hauek aztertzeko, idatzizko irudi deskribapenaren proba pasatu dugu, 1) izen bat eta kolore adjektibo batez osatutako sintagmak (adibidez, "la casa roja", hau da: "etxe gorria"); 2) izen + izen hitz elkartuak (adibidez, "hombre rana", hau da: "igel gizona"); eta 3) aditzez osatutako hitz elkartuak (adibidez, "abrebotellas", hau da, "botila irekitzekoa"). Gaztelania H3 gisa ikasten ari ziren 52 haur elebidunek (adina: 10-11 urte, frantsesa / euskara elebidun) eta gaztelania ama hizkuntza duten adin bereko 21 haur kontrolen talde batek parte hartu dute. Gaztelania H3ko partaideak hiru taldetan banatuak izan ziren, hizkuntza nagusiaren arabera: euskara H1, frantsesa H1 eta 2H1 euskara / frantsesa. Bildutako datuen oinarrian, xede-egituren ezagutza maila aztertu dugu bigarren hizkuntzaren jabekuntzan aztertu ohi diren faktoreen arabera. Genero gramatikalari dagokionez, genero defektiboa, komunztadura mota (determinatzailea edo adjektiboa), bukaeraren gardentasuna (-a / -o) eta irizpide analogikoa kontuan hartzen ditugu. Hitz elkartuei dagokienez, bi hitz elkarte moten norabidea (hasierako edo amaierako burua) eta produktibitatea interesatzen zaizkigu. Bereziki aditz elkartuentzat, haien ezaugarri formalak ere aztertzen ditugu (inflexioa eta -s generikoak).
Gaztelaniaz genero gramatikalari buruz egindako aurreko ikerketekin bat eginez, huts kopuru handiena femeninoarekin gertatzen da, maskulinoa genero defektibo gisa erabiltzeko estrategia erakutsiz. Gainera, ikusi da amaieraren gardentasunaren eragina handiagoa zela euskara hizkuntza nagusi zuten eta frantsesa testuinguru formalean eskuratu eta etxean egunero erabiltzen ez duten hiztunengan. Aldiz, badirudi irizpide analogikoak eragin handiagoa duela etxean frantsesa ikasi duten eta egunero erabiltzen duten hiztunengan.
Hitz elkartuei dagokienez, norabide zuzena duten hitz elkartuen ehuneko altuak direla eta, gure emaitzek frantsesaren eragin errazgarria erakusten dute parte-hartzaile guztientzat, H1 / H2 jabetze adina edo hurrenkera edozein dela ere.
Orokorrean, frantsesak, hizkuntza hurbilena, gaztelania H3 jabetzeko prozesuan eragin zuzenagoa duela dirudi, baina badirudi euskarak nolabaiteko eragina duela gure parte hartzaileek mobilizatutako estrategia metalinguistikoetan.
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