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Frühe dysphorische Stimmungsbeeinträchtigungen bei türkischen und deutschen Wöchnerinnen in Zusammenhang mit sozialer Unterstützung und subjektiver Negativität des GeburtserlebnissesKrusemark, Sylvia. January 2006 (has links)
Ulm, Univ. Diss., 2006.
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Le biais de surgénéralité en mémoire autobiographique : un facteur de vulnérabilité aux troubles dépressifs? Etudes chez l'enfant entre 7 et 13 ansDeplus, Sandrine 18 April 2008 (has links)
La question du biais de surgénéralité comme facteur de vulnérabilité à la dépression guide notre revue de la littérature. Nous envisageons les explications théoriques du développement du biais de surgénéralité, ainsi que les nombreuses études qui analysent ce biais en lien avec la dépression. Notre cheminement dans la littérature sur le biais de surgénéralité au travers de la question de son éventuel effet sur la vulnérabilité à la dépression nous amène à nous poser la question de sa présence chez l’enfant : sa présence chez des enfants présentant un premier épisode de dépression, avant toute récurrence du trouble, voire même chez l’enfant présentant des niveaux sub-cliniques de dépression avant l’occurrence de tout trouble dépressif.La partie empirique de ce travail porte donc sur l’étude du biais de surgénéralité chez l’enfant dépressif. Elle comprend 6 chapitres développant nos différentes questions. Le Chapitre 1 consiste en une première étude du biais de surgénéralité chez l’enfant présentant des troubles dépressifs. Suite à cette étude, il nous semble important de retravailler la tâche de mémoire autobiographique utilisée et de nous cibler sur des enfants présentant un TDM. L’adaptation d’une Tâche d’Evaluation de la Mémoire Autobiographique à l’enfant (TeMA) fait donc l’objet du Chapitre 2. L’étude de la spécificité du rappel à cette tâche chez des enfants sans trouble psychologique (Chapitre 3) précède la comparaison entre des enfants présentant un TDM et des enfants sans trouble psychologique (Chapitre 4). Le Chapitre 5 envisagera la présence du biais de surgénéralité dans un échantillon d’enfants présentant des niveaux sub-cliniques de dépression, et le Chapitre 6 chez des enfants présentant un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH). Le travail se clôture par une discussion générale qui nous permet d’intégrer notre cheminement théorique et les résultats de nos études.
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Le biais de surgénéralité en mémoire autobiographique : un facteur de vulnérabilité aux troubles dépressifs? Etudes chez l'enfant entre 7 et 13 ansDeplus, Sandrine 18 April 2008 (has links)
La question du biais de surgénéralité comme facteur de vulnérabilité à la dépression guide notre revue de la littérature. Nous envisageons les explications théoriques du développement du biais de surgénéralité, ainsi que les nombreuses études qui analysent ce biais en lien avec la dépression. Notre cheminement dans la littérature sur le biais de surgénéralité au travers de la question de son éventuel effet sur la vulnérabilité à la dépression nous amène à nous poser la question de sa présence chez l’enfant : sa présence chez des enfants présentant un premier épisode de dépression, avant toute récurrence du trouble, voire même chez l’enfant présentant des niveaux sub-cliniques de dépression avant l’occurrence de tout trouble dépressif.La partie empirique de ce travail porte donc sur l’étude du biais de surgénéralité chez l’enfant dépressif. Elle comprend 6 chapitres développant nos différentes questions. Le Chapitre 1 consiste en une première étude du biais de surgénéralité chez l’enfant présentant des troubles dépressifs. Suite à cette étude, il nous semble important de retravailler la tâche de mémoire autobiographique utilisée et de nous cibler sur des enfants présentant un TDM. L’adaptation d’une Tâche d’Evaluation de la Mémoire Autobiographique à l’enfant (TeMA) fait donc l’objet du Chapitre 2. L’étude de la spécificité du rappel à cette tâche chez des enfants sans trouble psychologique (Chapitre 3) précède la comparaison entre des enfants présentant un TDM et des enfants sans trouble psychologique (Chapitre 4). Le Chapitre 5 envisagera la présence du biais de surgénéralité dans un échantillon d’enfants présentant des niveaux sub-cliniques de dépression, et le Chapitre 6 chez des enfants présentant un trouble déficitaire de l’attention avec hyperactivité (TDAH). Le travail se clôture par une discussion générale qui nous permet d’intégrer notre cheminement théorique et les résultats de nos études.
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Entre le marteau et l'enclume : l'expérience des parents de garçons non normatifs dans leur expression de genreSusset, Françoise January 2015 (has links)
Les garçons prépubères qui manifestent une masculinité non normative sont fréquemment ostracisés dès un jeune âge, aussi bien par leurs pairs que par les adultes responsables de leur développement. Contrairement à d’autres enfants provenant de groupes minoritaires, ils ne bénéficient pas systématiquement de la protection de leurs parents qui, eux-mêmes, vivent fréquemment un sentiment de marginalisation. La recherche nous informe que ces parents effectuent des pressions parfois abusives afin d’influencer les comportements non normatifs de leur fils dans la direction d’une plus grande conformité. Le manque de soutien, qui s’ajoute à la pression à se conformer, a des conséquences négatives sur la santé mentale du jeune. Si les parents se tournent vers les professionnels de la santé, la controverse qui marque ce domaine d’étude tend à contribuer à la confusion ressentie. Cette étude qualitative avec analyse par théorisation ancrée a pour but de donner la parole aux parents afin de mieux comprendre leur expérience. Plus précisément, l'auteure cherche à répondre à la question suivante : quel rapport existe-t-il entre l’explication du parent quant à l'expression non normative de masculinité de son enfant, les émotions vécues par rapport à cette différence et les comportements qu’il démontre envers celui-ci? Cinq parents de trois garçons non normatifs dans leur expression de genre ont été interviewés par l'auteure à partir d'une grille d'entrevue semi-dirigée. Bien qu'il s'agisse d'un nombre restreint de participants, l'analyse révèle que tous les parents contactent des sentiments de craintes pour le bien-être, l'épanouissement et la sécurité de leur enfant. Leurs peurs motivent les limites qu'ils peuvent parfois leur imposer, mais aussi le soutien d'un certain nombre de comportements non normatifs, car ils reconnaissent que d'interdire toute expression pourrait davantage vulnérabiliser leur enfant en limitant le développement de leur estime de soi et de leur confiance en eux. L'intervention de professionnels bien renseignés sur ce phénomène sert à rassurer les parents sur l'issue identitaire de leur enfant, à valider l'importance de réfléchir aux lieux où s'exprimeront ces comportements non normatifs et à encourager le soutien d'expressions non normatives chez leur enfant. Les parents évaluent le domicile familial comme étant le lieu le plus sécuritaire pour leur enfant, et l'école, comme le plus dangereux. Assurer la sécurité fondamentale de son fils est la préoccupation première du parent pour l'avenir de son enfant, particulièrement à partir de l'école secondaire. Des recommandations sont proposées afin de rendre les milieux qui accueillent les jeunes plus ouverts à la diversité des expressions de genre.
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Effects of quetiapine on anhedonia induced by withdrawal from chronic amphetamine administrationZhornitsky, Simon 10 1900 (has links)
Contexte: L’anhédonie, un état caractérisé par une capacité réduite d’éprouver du plaisir. Des études cliniques récentes montrent qu’un médicament antipsychotique atypique, la quétiapine, est bénéfique pour le traitement de la toxicomanie qui est supposé d’atténuer les symptômes de sevrage associés à l’usage abusif des drogues psychotropes. Le but de la présente étude était d’étudier les effets de l'administration aiguë de quétiapine sur la récompense chez des animaux en état de sevrage après un traitement chronique avec l’amphétamine. Notre hypothese est que la quetiapine va diminuer l’anhedonie causer par le sevrage.
Méthodes: Les expériences ont été effectuées avec des rats mâles de la souche Sprague-Dawley entraînés à produire une réponse opérante pour obtenir une courte stimulation électrique au niveau de l'hypothalamus latéral. Des mesures du seuil de récompense ont été déterminées chez différents groupes de rats avant et pendant quatre jours après le traitement avec des doses croissantes (1 à 10 mg/kg, ip toutes les 8 heures) de d-amphétamine sulfate, ou de son véhicule, au moyen de la méthode du déplacement de la courbe. L’effet de deux doses de quétiapine a été testé 24 h après le sevrage chez des animaux traités avec l’amphétamine ou le véhicule.
Résultats: Les animaux traités avec l’amphétamine ont montré une augmentation de 25% du seuil de récompense 24 h après la dernière injection, un effet qui a diminué progressivement entre le jour 1 et le jour 4, mais qui est resté significativement plus élevé en comparaison de celui du groupe contrôle. La quétiapine administrée à 2 et 10 mg/kg pendant la phase de sevrage (à 24 h) a produit une augmentation respective de 10 % et 25 % du seuil de recompense; le meme augmentation du seuil a été observe chez les animaux traitées avec le véhicule. Un augmentation de 25 % du seuil de recompense a aussi été observés chez les animaux en état de sevrage à l'amphétamine. Un test avec une faible dose d’amphétamine (1 mg/kg) avant et après le sevrage a révélé une légère tolérance à l’effet amplificateur de cette drogue sur la récompense, un phénomène qui pourrait expliquer l’effet différent de la quétiapine chez les animaux traités avec le véhicule et ceux traités avec l’amphétamine.
Conclusions: Ces résultats reproduisent ceux des études précédentes montrant que la quétiapine produit une légère atténuation de la récompense. Ils montrent également que le sevrage à l’amphétamine engendre un léger état d'anhédonie et que dans cet état, une dose élevée de quetiapine et non pas une dose faible accentue l’état émotionnel négatif. Ils suggèrent qu’un traitement à faibles doses de quétiapine des symptômes de sevrage chez le toxicomane devrait ni aggraver ni améliorer son état émotionnel. / Background: Anhedonia, a condition in which the capacity of experiencing pleasure is reduced, is observed in patients that are under withdrawal from drugs of abuse. Recent clinical studies show that quetiapine may be beneficial in the treatment of substance abuse by alleviating the withdrawal-negative affect stage of addiction. This study investigated the effects of acute quetiapine on reward in animals under withdrawal from d-amphetamine.
Methods: Experiments were performed on male Sprague-Dawley rats trained for intracranial self-stimulation. Measures of reward threshold were determined with the curve-shift method in different groups of rats before, and during four days after treatment with escalating doses (1 to 10 mg/kg, i.p) of d-amphetamine sulphate or its vehicle. At 24h after withdrawal, the effects of two doses of quetiapine (2 and 10 mg/kg ip) were tested in all the animals.
Results: Animals treated with d-amphetamine showed 25% reward attenuation at 24h of withdrawal, an effect that decreased over the next three days. Quetiapine administered acutely at 2mg/kg and 10mg/kg on the first day of withdrawal produced 10% and 25% reward attenuation, respectively, in the vehicle-control animals, an effect also observed in the animals under withdrawal from d-amphetamine but only at the high dose.
Conclusions: These results show that quetiapine produced a mild attenuation of reward in normohedonic and in anhedonic animals. They suggest that quetiapine should be used at low doses for the treatment of substance abusers under withdrawal from psychostimulant drugs to avoid enhancement of the anhedonic state.
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Effects of quetiapine on anhedonia induced by withdrawal from chronic amphetamine administrationZhornitsky, Simon 10 1900 (has links)
Contexte: L’anhédonie, un état caractérisé par une capacité réduite d’éprouver du plaisir. Des études cliniques récentes montrent qu’un médicament antipsychotique atypique, la quétiapine, est bénéfique pour le traitement de la toxicomanie qui est supposé d’atténuer les symptômes de sevrage associés à l’usage abusif des drogues psychotropes. Le but de la présente étude était d’étudier les effets de l'administration aiguë de quétiapine sur la récompense chez des animaux en état de sevrage après un traitement chronique avec l’amphétamine. Notre hypothese est que la quetiapine va diminuer l’anhedonie causer par le sevrage.
Méthodes: Les expériences ont été effectuées avec des rats mâles de la souche Sprague-Dawley entraînés à produire une réponse opérante pour obtenir une courte stimulation électrique au niveau de l'hypothalamus latéral. Des mesures du seuil de récompense ont été déterminées chez différents groupes de rats avant et pendant quatre jours après le traitement avec des doses croissantes (1 à 10 mg/kg, ip toutes les 8 heures) de d-amphétamine sulfate, ou de son véhicule, au moyen de la méthode du déplacement de la courbe. L’effet de deux doses de quétiapine a été testé 24 h après le sevrage chez des animaux traités avec l’amphétamine ou le véhicule.
Résultats: Les animaux traités avec l’amphétamine ont montré une augmentation de 25% du seuil de récompense 24 h après la dernière injection, un effet qui a diminué progressivement entre le jour 1 et le jour 4, mais qui est resté significativement plus élevé en comparaison de celui du groupe contrôle. La quétiapine administrée à 2 et 10 mg/kg pendant la phase de sevrage (à 24 h) a produit une augmentation respective de 10 % et 25 % du seuil de recompense; le meme augmentation du seuil a été observe chez les animaux traitées avec le véhicule. Un augmentation de 25 % du seuil de recompense a aussi été observés chez les animaux en état de sevrage à l'amphétamine. Un test avec une faible dose d’amphétamine (1 mg/kg) avant et après le sevrage a révélé une légère tolérance à l’effet amplificateur de cette drogue sur la récompense, un phénomène qui pourrait expliquer l’effet différent de la quétiapine chez les animaux traités avec le véhicule et ceux traités avec l’amphétamine.
Conclusions: Ces résultats reproduisent ceux des études précédentes montrant que la quétiapine produit une légère atténuation de la récompense. Ils montrent également que le sevrage à l’amphétamine engendre un léger état d'anhédonie et que dans cet état, une dose élevée de quetiapine et non pas une dose faible accentue l’état émotionnel négatif. Ils suggèrent qu’un traitement à faibles doses de quétiapine des symptômes de sevrage chez le toxicomane devrait ni aggraver ni améliorer son état émotionnel. / Background: Anhedonia, a condition in which the capacity of experiencing pleasure is reduced, is observed in patients that are under withdrawal from drugs of abuse. Recent clinical studies show that quetiapine may be beneficial in the treatment of substance abuse by alleviating the withdrawal-negative affect stage of addiction. This study investigated the effects of acute quetiapine on reward in animals under withdrawal from d-amphetamine.
Methods: Experiments were performed on male Sprague-Dawley rats trained for intracranial self-stimulation. Measures of reward threshold were determined with the curve-shift method in different groups of rats before, and during four days after treatment with escalating doses (1 to 10 mg/kg, i.p) of d-amphetamine sulphate or its vehicle. At 24h after withdrawal, the effects of two doses of quetiapine (2 and 10 mg/kg ip) were tested in all the animals.
Results: Animals treated with d-amphetamine showed 25% reward attenuation at 24h of withdrawal, an effect that decreased over the next three days. Quetiapine administered acutely at 2mg/kg and 10mg/kg on the first day of withdrawal produced 10% and 25% reward attenuation, respectively, in the vehicle-control animals, an effect also observed in the animals under withdrawal from d-amphetamine but only at the high dose.
Conclusions: These results show that quetiapine produced a mild attenuation of reward in normohedonic and in anhedonic animals. They suggest that quetiapine should be used at low doses for the treatment of substance abusers under withdrawal from psychostimulant drugs to avoid enhancement of the anhedonic state.
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