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Gouverner le travail par la loi ? : l'espace d'action des salariés et le rôle du syndicat au sein des entreprises

Wu, Tong 05 May 2010 (has links) (PDF)
Depuis la fin des années 90, avec l'accélération des réformes économiques et l'aggravation des conflits sociaux, les recherches sur le marché du travail chinois et les relations entre travailleurs, patronat et l'Etat se sont multipliées. Cependant, peu d'études ont cherché à créer un lien entre les activités quotidiennes, la gouvernance de l'autorité locale et l'évolution institutionnelle en Chine, c'est-à-dire, entre la tolérance, la soumission et la protestation de travailleurs au niveau de base, l'intervention de l'autorité locale au niveau intermédiaire et la promulgation des politiques et des lois au niveau supérieur. Afin de combler cette lacune, nous sommes tout d'abord partis de l'observation participante au sein d'un syndicat local. Puis nous étendons notre recherche aux départements administratifs, aux syndicats d'office administratif du quartier, du bourg, aux entreprises privées ainsi qu'aux entreprises à capital mixte, chinois et étranger, aux gestionnaires et aux travailleurs qualifiés ou non. Les matériaux empiriques riches nous permettent de réfléchir à deux questions principales : d'une part, depuis la réforme économique, quels changements ont eu lieu dans l'espace d'action des travailleurs et quel est le rôle du syndicat avec la mise en place du système juridique chinois; D'autre part, il est nécessaire de se pencher sur les raisons qui ont contribué à ces changements et, en même temps, sur doubles résultats conflictuels de constructions institutionnelles qui ont favorisé et défavorisé l'extension de cet espace d'action. Cela signifie que notre thèse ne cherche pas seulement à décrire les changements dans les relations professionnelles qui ont eu lieu en Chine, ceci à travers un arrondissement à Shanghai, mais aussi nous nous proposons d'étudier les transitions que connaissent les relations professionnelles sous 4 angles : 1) On doit analyser les transformations à partir des réformes juridiques et économiques mises en œuvre parallèlement depuis 1978, qui amènent de grands changements au système de relations professionnelles en Chine. 2) Et depuis alors la transition du rôle que joue la Fédération nationale des syndicats chinois (FNSC) a eu lieu également. Quel lien ont créé la FNSC et ses sections locales avec les sections syndicales au sein des entreprises ? Peuvent-elles représenter les intérêts de travailleurs, et comment ? 3) Dans le contexte de la réforme économique et juridique, l'espace d'action des travailleurs est aussi étendue par rapport la période de l'économie sans respect de règlements. Comment font-ils pour défendre leur droits du travail ? Nous analysons les protestations de salariés, les activités de sections syndicales au sein des entreprises, les participations démocratiques et les ONG de défense des droits du travail. 4) L'interaction entre l'Etat et la société doit être réfléchie. L'Etat n'est pas si tout-puissant comme avant. Il se dégage de certains domaines sociaux, met en place des règles avec lesquelles gouverne-t-il la société indirectement. Par contre, la promulgation de règles n'est pas suffisante. Tandis que les bonnes lois sont anticipées, l'exécution est encore un grand problème. Avec de plus en plus de manifestations, comment le gouvernement y répond-il ? Quelles stratégies utilisent les travailleurs en face de violation des droits du travail ? Grâce à ces analyses, le système de relations professionnelles en Chine est fait sortir progressivement, qui encadre les acteurs individuels ou collectifs, toutes les entreprises et les régions uniques avec des dispositifs familiers.
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L'espace péripersonnel : un espace pour inter-agir / The peripersonal space : a space to inter-act

Patanè, Ivan 26 April 2018 (has links)
L'espace entourant notre corps est d'une importance vitale: nous surveillons attentivement les objets (animés et inanimés) qui entrent dans les limites de l'espace à immédiate proximité du corps pour interagir avec eux. Dans le domaine des neurosciences cognitives, cet espace est exemplifié par le concept d'espace péripersonnel (PPS), une représentation hautement plastique qui intègre des stimuli tactiles et visuels présentés sur et près du corps. Cette représentation semble contribuer au guidage efficace des actions, cependant dans la littérature on ne retrouve aucune preuve substantielle de l'implication du PPS dans le contrôle des actions. Un argument en faveurs de cette hypothèse dériverait de la preuve que la plasticité du PPS peut effectivement survenir avant le début du mouvement, plutôt que pendant le mouvement. Les résultats de la première étude (chapitre II) révèlent que les informations visuelles et tactiles interagissent de manière significative déjà au cours de la phase de planification de l'action et que cette interaction visuo-tactile augmente ultérieurement au cours des étapes successives du mouvement. Un tel processus de « remappage » visuo-tactile du PPS, qui précède temporellement et accompagne par la suite l'exécution de l'action motrice, semble donc idéalement adapté à pour aider au guidage de nos actions. Récemment, il a été suggéré que le PPS pourrait jouer un rôle dans le guidage des interactions motrices entre individus. En psychologie sociale, l'espace autour du corps est appelé espace interpersonnel (IPS), défini comme l'espace que les individus maintiennent autour d'eux et dans lequel les autres ne peuvent pas pénétrer sans susciter d'inconfort. En raison de certaines similitudes entre les représentions du PPS et du IPS, certains auteurs ont soulevé la question d'un éventuel partage de certaines caractéristiques fonctionnelles entre ces deux représentations. Le deuxième objectif de ma thèse etait de tester cette hypothèse en exploitant un autre processus de «remappage» plastique du PPS, c'est-à-dire celui induit par l'utilisation d'un outil. Les résultats de la deuxième étude (chapitre IV) montrent que l'utilisation «standard» d'un outil «allonge» le PPS, mesuré par la distance d'atteignabilité d'une autre personne, mais n'influence pas l'IPS, mesuré par la distance de confort envers la même personne. Dans la troisième étude (chapitre V), nous avons introduit une nouvelle variante plus sociale de l'utilisation d'un outil pour examiner la plasticité sensorimotrice et sociale des deux espaces. Les résultats obtenus révèlent que l'utilisation sociale d'un outil «allonge» le PPS et en même temps «réduit» l'IPS. La démonstration que l'on peut induire des changements directionnellement opposés entre les deux représentations, falsifie l'hypothèse selon laquelle il peut y avoir un chevauchement fonctionnel entre PPS et IPS. Ces exemples de dissociation fonctionnelle peuvent donc servir à éviter une association inappropriée entre les deux concepts. Si l'hypothèse de l'identité fonctionnelle avec l'IPS ne semble pas légitime, il n'en demeure pas moins que le PPS est également sensible aux variables sociales. La dernière étude (Chapitre VII) vise donc à explorer cette sensibilité du PPS vers une dimension sociale fondamentale, encore inexplorée: la propriété privée. Les résultats de la quatrième étude indiquent que la propriété d'un objet, qu'elle soit considérée comme individuelle ou partagée, est essentielle pour l'émergence des propriétés dynamiques du PPS. Les stimuli visuels influencent effectivement la perception tactile d'une manière plus marquée au début du mouvement, mais seulement lorsque l'objet appartient au participant. Il convient de noter qu'un effet similaire apparaît également lorsque l'on observe une autre personne agir sur l'objet qui lui appartient... [etc] / The zone that surrounds our body is of vital importance: we carefully monitor the objects (both animate and inanimate) that enter the boundaries of the immediate space around the body to interact with them. In the neurocognitive field such a space is captured by the concept of peripersonal space (PPS), a highly plastic representation that integrates tactile and visual stimuli presented on, and close to, the body. This system seems to contribute to the efficient guidance of actions, yet, a clear demonstration of a prominent role of PPS in control of actions is critically lacking. Strong support for this would derive from evidence that PPS plastic changes occur before rather than after movement onset. The results from the first study (Chapter II) reveal that visual and tactile information strongly interact already during the planning phase of action and this visuo-tactile interaction is further enhanced during subsequent movement phases. Such a visuo tactile remapping of PPS that temporally precedes and subsequently accompanies overt motor execution is ideally suited to planning and guiding actions. Recently, it has been suggested a possible involvement of PPS in the guidance of motor interactions between individuals. In social psychology, the space around the body is termed interpersonal space (IPS), defined as the area individuals maintain around themselves into which others cannot intrude without arousing discomfort. Because of some similarities between the PPS and IPS constructs, some authors have raised the question of whether they share some functional features. The second aim of my thesis is to test this hypothesis by taking advantage of another PPS remapping, namely that one induces by tool-use. The results of the second study (Chapter IV) show that “standard” tool-use ‘extends’ PPS, as measured by reaching distance toward a peer, but does not affect IPS, as measured by the comfort distance toward the same peer. In the third investigation (Chapter V), we introduced a novel form of “social” tool-use setting to test for both sensorimotor and social plasticity of the two spaces. The findings that social tool–use ‘extends’ PPS and ‘reduces’ IPS, inducing opposite changes on each representation, clearly disconfirms the hypothesis . that there might be functional overlap between these sectors of space. Such examples of functional dissociation may therefore be sufficient to warn scholars to refrain from risky conflations between the two concepts. If the assumption of functional identity with IPS does not appear to be legitimate, it is true that PPS is sensitive to social features. The last study (Chapter VII) is thus aimed at probing this sensitivity of PPS to a so far unexplored but fundamental social dimension: ownership. The results from the forth study indicate that, whether considered to be as individual or shared property, ownership of an object is critical for the PPS dynamic properties to emerge. Visual stimuli affected touch perception more strongly at the movement onset than before, but only when the object belonged to the acting participant. Interestingly, a similar remapping was found when simply observing the peer acting on her own belonging. In a follow-up experiment we investigated PPS plastic changes when property of the target object was shared between the two agents. In this case, PPS remapping emerged not only when acting in first person, but also when observing the peer acting upon the shared object. Taken together, these findings critically inform current theoretical models about space around our body and about its function in our sensorimotor and social inter-actions

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