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小型開放經濟體系下信用機制對於貨幣政策和浮動匯率的影響 / The credit channel of monetary policy and exchange rate flexibility in a small open economy

楊馥珉, Yang, Fu Min Unknown Date (has links)
The objective of this study is to consider the credit channel operation under a small open economy by including the banking sector and money in a dynamic stochastic general equilibrium (DSGE) model. This study examines the role of the banking sector in a small open economy and the impact of the degree of economic openness. In the steady state analysis, we find that the banking sector’s efficiency and the degree of the openness of an economy will affect the equilibrium. The dynamic analyses show the exchange rate movement amplifies the responses of the economy to exogenous shocks.
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Essais sur les frictions financières dans les modèles d'équilibre général dynamique

Solomon, Bernard Daniel 06 1900 (has links)
Cette thèse examine les effets des imperfections des marchés financiers sur la macroéconomie. Plus particulièrement, elle se penche sur les conséquences de la faillite dans les contrats financiers dans une perspective d'équilibre général dynamique. Le premier papier construit un modèle qui utilise l'avantage comparatif des banques dans la gestion des situations de détresse financière pour expliquer le choix des firmes entre les prêts bancaires et les prêts du marché financier. Le modèle réussit à expliquer pourquoi les firmes plus petites préfèrent le financement bancaire et pourquoi les prêts bancaires sont plus répandus en Europe. Le premier fait est expliqué par le lien négatif entre la valeur nette de l'entreprise et la probabilité de faire faillite. Le deuxième fait s'explique par le coût fixe d'émission de bons plus élevé en Europe. Le deuxième papier examine l'interaction entre les contraintes de financement affectant les ménages et les firmes. Une interaction positive pourrait amplifier et augmenter la persistance de l'effet d'un choc agrégé sur l'économie. Je construis un nouveau modèle qui contient des primes de financement externes pour les firmes et les ménages. Dans le modèle de base avec prix et salaires flexibles, j'obtiens une faible interaction négative entre les coûts de financement des firmes et des ménages. Le facteur clé qui explique ce résultat est l'effet du changement contre cyclique du coût de financement des ménages sur leur offre de travail et leur demande de prêts. Dans une période d'expansion, cet effet augmente les taux d'intérêt, réduit l'investissement et augmente le coût de financement des entreprises. Le troisième papier ajoute les contraintes de financement des banques dans un modèle macroéconomiques avec des prêts hypothécaires et des fluctuations dans les prix de l'immobilier. Les banques dans le modèle ne peuvent pas complètement diversifier leurs prêts, ce qui génère un lien entre les risques de faillite des ménages et des banques. Il y a deux effets contraires des cycles économiques qui affectent la prime de financement externe de la banque. Premièrement, il y a un lien positif entre le risque de faillite des banques et des emprunteurs qui contribue à rendre le coût de financement externe des banques contre cyclique. Deuxiément, le lissage de la consommation par les ménages rend la proportion de financement externe des banques pro cyclique, ce qui tend à rendre le coût de financement bancaire pro cyclique. En combinant ces deux effets, le modèle peut reproduire des profits bancaires et des ratios d'endettement bancaires pro cycliques comme dans les données, mais pour des chocs non-financiers les frictions de financement bancaire dans le modèle n'ont pas un effet quantitativement significatif sur les principales variables agrégées comme la consommation ou l'investissement. / This Dissertation examines the effect of financial market imperfections on the Macroeconomy. More particularly, it focuses on the consequences of equilibrium default using a Dynamic General Equilibrium approach. The first paper builds a dynamic general equilibrium model that emphasizes banks' comparative advantage in monitoring financial distress in order to explain firms' choice between bank loans and market debt. Banks can deal with financial distress more cheaply than bond holders, but this requires a higher initial expenditure proportional to the loan size. In contrast, bond issues may involve a small fixed cost. Entrepreneurs' choice of bank or bond financing depends on their net worth. The model can explain why smaller firms tend to use more bank financing and why bank financing is more prevalent in Europe than in the US. The first fact can be explained by the negative link between the net worth of a business and its default probability. Explaining the second fact requires taking into account the higehr fixed cost of issuing market debt in Europe. The second paper examines the possibility of feedback effects between between the financing constraints of households and of firms. A positive interaction between the financial strength of household and firm balance sheets may amplify aggregate shocks and increase the persistence of aggregate fluctuations. I develop a new model that incorporates both firm and household external finance spreads and time varying leverage. Contrary to a common intuition, the baseline Real Business Cycle model with credit constraints produces a small negative interaction between the costs of external financing for firms and households. The key factor in this result is the effect of changes in the external finance premium on borrowers' labour supply and the demand for loans. The reduction in households' cost of borrowing in a boom decreases labour supply and raises houshold loan demand. This increases interest rates, crowds out investment, and raises borrowing costs for financially constrained firms. The third paper integrates household financing frictions with bank financing frictions and house price fluctuations in a dynamic general equilibrium model. The key assumption in the model is that a bank cannot fully diversify shocks, leading to a link between household and bank sectors' default risks. The cyclical behaviour of banks' external funding cost is determined by two main factors. On one hand, booms improve the financial health of the banks' borrowers which tends to reduce the cost of bank funding. On the other hand, consumption smoothing by savers and borrowers during booms increases the proportion of external financing in the banks' balance sheet which tends to increase the cost of bank funding. As a result of these opposing effects, the model matches procyclical profits and leverage in the financial sector, as observed in the data, but for non financial shocks the banking frictions in the model have an insignificant impact on the main macroeconomic aggregates such as output, consumption and investment.
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Essais sur les frictions financières dans les modèles d'équilibre général dynamique

Solomon, Bernard Daniel 06 1900 (has links)
Cette thèse examine les effets des imperfections des marchés financiers sur la macroéconomie. Plus particulièrement, elle se penche sur les conséquences de la faillite dans les contrats financiers dans une perspective d'équilibre général dynamique. Le premier papier construit un modèle qui utilise l'avantage comparatif des banques dans la gestion des situations de détresse financière pour expliquer le choix des firmes entre les prêts bancaires et les prêts du marché financier. Le modèle réussit à expliquer pourquoi les firmes plus petites préfèrent le financement bancaire et pourquoi les prêts bancaires sont plus répandus en Europe. Le premier fait est expliqué par le lien négatif entre la valeur nette de l'entreprise et la probabilité de faire faillite. Le deuxième fait s'explique par le coût fixe d'émission de bons plus élevé en Europe. Le deuxième papier examine l'interaction entre les contraintes de financement affectant les ménages et les firmes. Une interaction positive pourrait amplifier et augmenter la persistance de l'effet d'un choc agrégé sur l'économie. Je construis un nouveau modèle qui contient des primes de financement externes pour les firmes et les ménages. Dans le modèle de base avec prix et salaires flexibles, j'obtiens une faible interaction négative entre les coûts de financement des firmes et des ménages. Le facteur clé qui explique ce résultat est l'effet du changement contre cyclique du coût de financement des ménages sur leur offre de travail et leur demande de prêts. Dans une période d'expansion, cet effet augmente les taux d'intérêt, réduit l'investissement et augmente le coût de financement des entreprises. Le troisième papier ajoute les contraintes de financement des banques dans un modèle macroéconomiques avec des prêts hypothécaires et des fluctuations dans les prix de l'immobilier. Les banques dans le modèle ne peuvent pas complètement diversifier leurs prêts, ce qui génère un lien entre les risques de faillite des ménages et des banques. Il y a deux effets contraires des cycles économiques qui affectent la prime de financement externe de la banque. Premièrement, il y a un lien positif entre le risque de faillite des banques et des emprunteurs qui contribue à rendre le coût de financement externe des banques contre cyclique. Deuxiément, le lissage de la consommation par les ménages rend la proportion de financement externe des banques pro cyclique, ce qui tend à rendre le coût de financement bancaire pro cyclique. En combinant ces deux effets, le modèle peut reproduire des profits bancaires et des ratios d'endettement bancaires pro cycliques comme dans les données, mais pour des chocs non-financiers les frictions de financement bancaire dans le modèle n'ont pas un effet quantitativement significatif sur les principales variables agrégées comme la consommation ou l'investissement. / This Dissertation examines the effect of financial market imperfections on the Macroeconomy. More particularly, it focuses on the consequences of equilibrium default using a Dynamic General Equilibrium approach. The first paper builds a dynamic general equilibrium model that emphasizes banks' comparative advantage in monitoring financial distress in order to explain firms' choice between bank loans and market debt. Banks can deal with financial distress more cheaply than bond holders, but this requires a higher initial expenditure proportional to the loan size. In contrast, bond issues may involve a small fixed cost. Entrepreneurs' choice of bank or bond financing depends on their net worth. The model can explain why smaller firms tend to use more bank financing and why bank financing is more prevalent in Europe than in the US. The first fact can be explained by the negative link between the net worth of a business and its default probability. Explaining the second fact requires taking into account the higehr fixed cost of issuing market debt in Europe. The second paper examines the possibility of feedback effects between between the financing constraints of households and of firms. A positive interaction between the financial strength of household and firm balance sheets may amplify aggregate shocks and increase the persistence of aggregate fluctuations. I develop a new model that incorporates both firm and household external finance spreads and time varying leverage. Contrary to a common intuition, the baseline Real Business Cycle model with credit constraints produces a small negative interaction between the costs of external financing for firms and households. The key factor in this result is the effect of changes in the external finance premium on borrowers' labour supply and the demand for loans. The reduction in households' cost of borrowing in a boom decreases labour supply and raises houshold loan demand. This increases interest rates, crowds out investment, and raises borrowing costs for financially constrained firms. The third paper integrates household financing frictions with bank financing frictions and house price fluctuations in a dynamic general equilibrium model. The key assumption in the model is that a bank cannot fully diversify shocks, leading to a link between household and bank sectors' default risks. The cyclical behaviour of banks' external funding cost is determined by two main factors. On one hand, booms improve the financial health of the banks' borrowers which tends to reduce the cost of bank funding. On the other hand, consumption smoothing by savers and borrowers during booms increases the proportion of external financing in the banks' balance sheet which tends to increase the cost of bank funding. As a result of these opposing effects, the model matches procyclical profits and leverage in the financial sector, as observed in the data, but for non financial shocks the banking frictions in the model have an insignificant impact on the main macroeconomic aggregates such as output, consumption and investment.

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