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Optimální mix monetární a fiskální politiky v situaci nulových úrokových měr / Optimal Monetary and Fiscal Policy at Zero Lower BoundŠestořád, Tomáš January 2016 (has links)
This thesis concerns the interaction of monetary and fiscal policy. Using New Keynesian model, we show the impact of fiscal expansion under different specifications of monetary policy rules. The analysis of the transmission of fiscal expansion focuses on the situation in which central bank's nominal interest rate reaches zero lower bound. We verify the economic model using vector autoregression based on data of the United States. The results of the theoretical and empirical research suggest that the influence of government spending on the product is greater at the zero lower bound.
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Essays on Fiscal Policy and the Support for Economic Reform in Emerging EuropeEller, Markus 17 June 2011 (has links) (PDF)
This doctoral thesis addresses in a sequence of five essays the question how fiscal policy and economic output are interrelated in emerging Europe and how this relationship is shaped by the respective politico-economic environment and the individual-level support for economic reforms. Following main findings can be highlighted: (1) Countries in Central, Eastern and Southeastern Europe (CESEE) respond to a fiscal expansion in the euro area with fiscal easing at home, while the GDP response is mixed across countries.(2)Automatic fiscal stabilizers are comparatively small and discretionary fiscal policy has been largely pro-cyclical in CESEE. (3) The public spending and revenue structure is more "growth-friendly" in CESEEthan in the EU-15. (4) In transition economies with more democratic institutions and a better quality of governance, individuals with high market-relevant skills show a significantly larger support of the privatization status quo than individuals with low market skills. (5) The society in Russia - triggered by a lack of social capital - chooses to demand more state regulationand tolerate corruption to reduce negative externalities imposed by private business.(author's abstract)
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Essays on business taxationZeida, Teega-Wendé Hervé 09 1900 (has links)
Cette thèse explore les effets macroéconomiques et distributionnels de la taxation dans l’économie américaine. Les trois premiers chapitres prennent en considération l’interaction entre l’entrepreneuriat et la distribution de richesse tandis que le dernier discute l’arbitrage du mode de financement d’une diminution d’impôt sur les sociétés sous la contrainte de neutralité fiscale pour le gouvernement. Spécifiquement, le chapitre 1 en utilisant les données du Panel Study of Income Dynamics (PSID) , fournit des évidences selon lesquelles le capital humain ou l’expérience entrepreneuriale est quantitativement important pour expliquer les disparités de revenu et de richesse entre les individus au cours de leur cycle de vie. Pour saisir ces tendances, je considère le modèle d’entrepreneuriat de Cagetti et De Nardi (2006), modifié pour prendre en compte la dynamique du cycle de vie. J’introduis également l’accumulation de l’experience entrepreneuriale, laquelle rend les entrepreneurs plus productifs. Je calibre ensuite deux versions du modèle (avec et sans accumulation d’expérience d’entreprise) en fonction des mêmes données américaines. Les résultats montrent que le modèle avec accumulation d’expérience réplique le mieux les données. La question de recherche du chapitre 2 est opportune à la réforme fiscale récente adoptée aux États-Unis, laquelle est un changement majeur du code fiscal depuis la loi de réforme fiscale de 1986. Le Tax Cuts and Jobs Act (TCJA) voté en décembre 2017 a significativement changé la manière dont le revenu d’affaires est imposé aux États-Unis. Je considère alors le modèle d’équilibre général dynamique avec choix d’occupations développé au Chapitre 1 pour une évaluation quantitative des effets macroéconomiques du TCJA, tant dans le court terme que dans le long terme. Le TCJA est modélisé selon ses trois provisions clés : un nouveau taux de déduction de 20% pour les firmes non- incorporées, une baisse du taux fiscal statutaire pour sociétés incorporées de 35% à 21% et la réduction de 39.6% à 37% du taux marginal supérieur pour les individus. Je trouve que l’économie connait un taux de croissance du PIB de 0.90% sur une fenêtre fiscale de dix ans et le stock de capital en moyenne augmente de 2.12%. Ces résultats sont consis- tants aux évaluations faites par le Congressional Budget Office et le Joint Committee on vi Taxation. Avec des provisions provisoires, le TCJA génère une réduction dans l’inégalité de la richesse et celle du revenu mais l’opposé se réalise une fois que les provisions sont faites permanentes. Dans les deux scénarios, la population subit une perte de bien-être et exprime un faible soutien. Le chapitre 3 répond à la question normative: Les entrepreneurs devraient-ils être imposés différemment? Par conséquent, j’analyse quantitativement la désirabilité d’une taxation basée sur l’occupation dans un modèle à générations imbriquées avec entrepreneuriat et une prise en compte explicite des cohortes transitionnelles. La reforme principale étudiée est le passage d’une taxation progressive fédérale identique tant pour les revenus du travail que pour le bénéfice d’entreprise au niveau individuel à un régime fiscal différentiel où le profit d’affaires fait face à un taux d’imposition proportionnel pendant que le revenu du travail est toujours soumis au code de taxation progressive. Je trouve qu’une taxe proportionnelle de 40% imposée aux entrepreneurs est optimale. Plus générale- ment, je montre que le taux d’imposition optimal varie entre 15% et 50%, augmentant avec l’aversion du planificateur pour les inégalités et diminuant avec son évaluation rel- ative du bien-être des générations futures. Dans le contexte de la réforme fiscalité des entreprises, le chapitre 4 évalue les compromis de neutralité fiscale de revenu dans le financement d’une réduction de l’impôt des sociétés. Pour respecter la neutralité fiscale, le gouvernement utilise trois instruments pour équilibrer son budget, à savoir l’impôt sur le revenu du travail, les dividendes et les gains en capital. Je construis ensuite un modèle d’équilibre général parcimonieux pour obtenir des multiplicateurs budgétaires équilibrés associés à une réforme de l’impôt sur les sociétés. En utilisant un calibration standard de l’économie américaine, je montre que les multiplicateurs liés à l’impôt sur le revenu du travail et l’impôt sur les dividendes sont négatifs, suggérant ainsi un compromis entre une réduction de l’impôt des sociétés et ces deux taux d’imposition. D’autre part, le multiplicateur lié à l’impôt sur les gains en capital est positif, ce qui prédit une coordination d’une double réduction des taux d’imposition des sociétés et des gains en capital. De plus, les gains de bien-être des différents scénarios sont mitigés. / This thesis explores the macroeconomic and distributional effects of taxation in the U.S. economy. The first three chapters take advantage of the interplay between entrepreneurship and wealth distribution while the last one discusses the trade-offs when financing a corporate tax cut under revenue neutrality. Specifically, Chapter 1 provides evidence using the Panel Study of Income Dynamics (PSID) that occupation-specific human capital or business experience is quantitatively important in explaining income and wealth disparities among individuals over their life cycle. To capture the data patterns, I build on Cagetti and De Nardi (2006) occupational choice model, modified to feature life-cycle dynamics. I also introduce managerial skill accumulation which leads entrepreneurs to become more productive with experience. I then calibrate two versions of the model (with and without accumulation of business experience) to the same U.S. data. Results show that the model with business experience margin is the closest one. Chapter 2's research question is timely to the recent tax reform enacted in the US, which is a major change of the tax code since the 1986 Tax Reform Act. The Tax Cuts and Jobs Act (TCJA) as of December 2017 significantly altered how business income is taxed in the US. I consider a dynamic general equilibrium model of entrepreneurship developed in Chapter 1 to provide a quantitative assessment of the macroeconomic effects of the TCJA, both in the short run and in the long run. The TCJA is modeled by its three key provisions: a new 20-percent-deduction rate for pass-throughs, a drop in the statutory tax rate for corporations from 35% to 21% and the reduction to 37% of the top marginal tax rate for individuals from 39.6%. I find that the economy experiences, a GDP growth rate of 0.90% over a ten-year window and average capital stock increases by 2.12%. These results are consistent with estimates made by the congressional budget office and the joint committee on taxation. With temporary provisions, the TCJA delivers a reduction in wealth and income inequality but the opposite occurs once provisions are made permanent. In both scenarios, the population suffers a welfare loss and finds them difficult to support. Chapter 3 answers the normative question: Should entrepreneurs be taxed differently? Accordingly, I quantitatively investigate the desirability of occupation-based taxation in the entrepreneurship model of Chapter 1, when transitional cohorts are explicitly taken into account. The main experiment is to move from the federal single progressive taxation for both labor income and business profit at the individual level to a differential tax regime where business income faces a proportional tax rate and labor income is still subject to the progressive scheme. I find that a tax rate of 40% is optimal. More generally, the optimal tax rate varies between 15% and 50%, increasing with the planner's aversion to inequality and decreasing with its relative valuation of future generations' welfare. In the context of business tax reform, chapter 4 assesses revenue-neutral trade-offs when financing a corporate tax cut. To meet revenue neutrality, the policymaker uses three instruments to balance the government budget, namely labor income tax, dividend tax, and capital gains tax. I then construct a parsimonious general equilibrium model to derive balanced fiscal multipliers associated with corporate tax reform. Using a standard calibration, I show that both labor income tax and dividend tax multipliers are negative, suggesting a trade-off between a corporate tax cut and these two tax rates. On the other hand, the multiplier related to the capital gains tax is positive, which predicts the coordination of a double cut in both corporate and capital gains tax rates. Moreover, the welfare gains of the different scenarios are mixed.
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On the Measurement, Theory and Estimation of Fiscal Multipliers: A Contribution to Improve the Forecasting Precisison Regarding the Impact of Fiscal ImpulsesGechert, Sebastian 16 July 2014 (has links)
The study is intended to identify relevant channels and possibly biasing factors with respect to fiscal multipliers, and thus to contribute to improving the precision of multiplier forecasts. This is done by, first, defining the concept of the multiplier used in the present study, presenting the main theoretical channels of influence as discussed in the literature and the problems of empirical identification. Second, by conducting a meta-regression analysis on the reported multipliers from a unique data set of 1069 multiplier observations and the respective study characteristics in order to derive quantitative stylzed facts.
Third, by developing a simple multiplier model that explicitly takes into account the time elapse of the multiplier process as an explanatory factor that has been largely overlooked by the relevant theoretical literature. Fourth, by identifying, for US macroeconomic time series data, the extent to which fiscal multiplier estimates could be biased in the presence of financial cycles that have not been taken into account by the relevant empirical literature.:List of Figures IV
List of Tables VI
List of Acronyms VII
List of Symbols IX
1 General Introduction, Aim and Scope
2 Principles of the Measurement, Theory and Estimation of Fiscal Multipliers
2.1 Introduction 7
2.2 Definition and Measurement of the Fiscal Multiplier 7
2.3 Determinants of the Fiscal Multiplier 14
2.4 Principles of Estimating Fiscal Multipliers 29
2.5 Conclusions 38
3 A Meta-Regression Analysis of Fiscal Multipliers 43
3.1 Introduction 43
3.2 Literature Review 45
3.3 Data Set and Descriptive Statistics 49
3.4 Meta Regression—Method 54
3.5 Meta Regression—Moderator Variables 56
3.6 Meta Regression—Results 60
3.7 Conclusions 74
4 The Multiplier Principle, Credit-Money and Time 82
4.1 Introduction 82
4.2 Literature Review 85
4.3 Developing an Augmented Multiplier Model 89
4.4 Dynamic Stability of the Multiplier Process 106
4.5 Identifying the Lag-length 109
4.6 Conclusions 111
5 Financial Cycles and Fiscal Multiplier Estimations 114
5.1 Introduction 114
5.2 Literature Review 116
5.3 Asset and Credit Markets and Fiscal Multiplier Estimations 118
5.4 A Formal Framework 120
5.5 Empirical Strategy 124
5.6 Data 125
5.7 Structure and Identification 126
5.8 Effects of Fiscal Policy Changes—Baseline vs. Augmented Models 132
5.9 Robustness 140
5.10 Conclusions 142
6 General Conclusions and Research Prospects 148
Bibliography 153
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