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Contribution à la planification tactique et opérationnelle du transport forestier

Moad, Kamel 24 April 2018 (has links)
Thèse en cotutelle, Université Laval, Québec et Université de Bordeaux, France. / Cette thèse est une contribution à la modélisation, la planification et l’optimisation du transport pour l’approvisionnement en bois de forêt des industries de première transformation. Dans ce domaine, les aléas climatiques (mise au sol des bois par les tempêtes), sanitaires (attaques bactériologiques et fongiques des bois) et commerciaux (variabilité et exigence croissante des marchés) poussent les divers acteurs du secteur (entrepreneurs et exploitants forestiers, transporteurs) à revoir l’organisation de la filière logistique d’approvisionnement, afin d’améliorer la qualité de service (adéquation offre-demande) et de diminuer les coûts. L’objectif principal de cette thèse était de proposer un modèle de pilotage améliorant la performance du transport forestier, en respectant les contraintes et les pratiques du secteur. Les résultats établissent une démarche de planification hiérarchique des activités de transport à deux niveaux de décision, tactique et opérationnel. Au niveau tactique, une optimisation multi-périodes permet de répondre aux commandes en minimisant l’activité globale de transport, sous contrainte de capacité agrégée des moyens de transport accessibles. Ce niveau permet de mettre en œuvre des politiques de lissage de charge et d’organisation de sous-traitance ou de partenariats entre acteurs de transport. Au niveau opérationnel, les plans tactiques alloués à chaque transporteur sont désagrégés, pour permettre une optimisation des tournées des flottes, sous contrainte des capacités physiques de ces flottes. Les modèles d’optimisation de chaque niveau sont formalisés en programmation linéaire mixte avec variables binaires. L’applicabilité des modèles a été testée en utilisant un jeu de données industrielles en région Aquitaine et a montré des améliorations significatives d’exploitation des capacités de transport par rapport aux pratiques actuelles. Les modèles de décision ont été conçus pour s’adapter à tout contexte organisationnel, partenarial ou non : la production du plan tactique possède un caractère générique sans présomption de l’organisation, celle-ci étant prise en compte, dans un deuxième temps, au niveau de l’optimisation opérationnelle du plan de transport de chaque acteur. / The present manuscript tackles the supply chain forest transportation problem in the context of forestry primary industry. In this context, several risks may affect the forest supply chain: the unpredictable weather conditions (tree falling provoked by major storms); sanitary emergencies (tree pest and diseases); and, diverse commercial circumstances (the variability of market demands). The aforementioned issues motivate the diverse forest sector protagonists (entrepreneurs, forest operators and drivers) to seek support for improving their logistic operations. The aim of this effort is to improve the service quality (offer-demand agreement) diminishing in this way the total costs. Therefore, the main goal of this thesis is the proposal of a novel management model which improves forest-to-mill transport performance. At the same time, the proposed model accounts for the forest sector manners and constraints. The contribution of this thesis is threefold: first a transportation model is developed, later on the transport planning is managed, and finally an optimization procedure is proposed. The thesis results propose a hierarchical planning for the forestry transportation. Two decision levels are suggested: tactic and operational. At a tactic level, a multi-period optimization is considered. The multi-period optimization strategy meets the customer supply demands while minimizes the global transportation activity. Such strategy takes into account the restrictions of the total available transportation means. Moreover, at this level the activity balancing politics may be developed, as well as subcontractors coordination between transport companies. On the other hand, at the operational level, the tactic planning assigned for each transporter is divided so an optimization of the fleet’s transport assignation is done considering the vehicles constraints. The decision process is modelled as a Mixed Linear Programming formulation. The application considers a data set coming from the industry settled at the Aquitaine region in France. The results have shown a significant improvement on the transport capabilities with respect to the conventional transport practices. It is worth to mention that the decision models were designed such that they may be adapted to different context either collaborative or not. In both cases, the tactic planning has a generic purpose, in other words, it is independent of the kind of organization involved, whereas specific organizations are taken into account when planning actors’ activities at the operational level.
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Acceptabilité visuelle et émulation des feux en forêt boréale : un compromis possible?

Plante, Caroline 19 April 2018 (has links)
En forêt boréale, la stratégie d'agglomération de coupes est utilisée pour émuler les grands feux dans un contexte d'aménagement écosystémique. Socialement, ces grandes coupes totales sont mal perçues principalement à cause de leurs impacts visuels importants. Cette étude présente une analyse de l'efficacité de deux mesures d'atténuation de l'impact visuel des grandes coupes dans le moyen plan, en forêt boréale. Elle vérifie si l'augmentation de la rétention de peuplements à l'échelle du paysage et le verdoiement du parterre de coupe par une rétention d'arbres à l'échelle du peuplement permettent d'améliorer le niveau d'acceptabilité visuelle des coupes agglomérées en pessière noire à mousses de l'Est. Il en ressort que l'acceptabilité visuelle est possible en ayant 50 % de rétention de peuplements. De plus, le verdoiement permet aux paysages avec 30 % de rétention de peuplements d'être considérés comme acceptables visuellement. Les résultats ne permettent pas de conclure à l'influence de l'apport d'informations écologiques expliquant le bien-fondé des coupes agglomérées.
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Évaluation du potentiel d'atténuation du secteur forestier québécois dans la lutte contre les changements climatiques

Moreau, Lucas 28 September 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 25 septembre 2023) / Le rôle des forêts dans la réalisation des réductions d'émissions de gaz à effet de serre (GES) prévues à l'échelle planétaire pourrait être substantiel. Comprendre le rôle du secteur forestier va devenir d'autant plus important que la demande en bois risque d'être toujours plus soutenue dans le futur. Il existe cependant un grand degré d'incertitude quant à la stratégie sectorielle à mettre en œuvre pour maximiser les réductions de GES : faut-il chercher à maximiser la production de bois (c'est-à-dire à augmenter les niveaux de récolte) ou gérer les écosystèmes sous un régime de protection (c'est-à-dire diminuer les niveaux de récolte) ? L'incertitude augmente en raison des impacts potentiels des changements climatiques sur la capacité des écosystèmes à stocker du carbone et à répondre aux besoins en bois des marchés. Les actions d'atténuation du secteur forestier ne se limitent cependant pas aux forêts. Il est aussi nécessaire de considérer les émissions de GES issues de la décomposition des produits du bois et l'utilisation de ces produits en remplacement de matériaux et sources d'énergie à plus forte empreinte carbone. Une sélection non exhaustive ne peut conduire qu'à des conclusions partielles qui pourraient s'avérer contreproductives dans la lutte contre les changements climatiques. L'objectif de cette thèse est donc d'évaluer le potentiel d'atténuation du secteur forestier québécois, en identifiant les obstacles à éviter et les opportunités à saisir, afin de développer une stratégie sectorielle efficace dans la lutte contre les changements climatiques. Les résultats de cette thèse suggèrent que, de l'échelle du peuplement à l'échelle de la province, les stratégies d'aménagement basées sur l'augmentation du volume de bois récolté n'apportent généralement pas de bénéfices climatiques, contrairement à celles qui visent à réduire le volume récolté par rapport à la stratégie de référence. La perte de carbone dans les écosystèmes forestiers, due à une augmentation des superficies récoltées, couplée à une augmentation des émissions de GES des produits n'est pas compensée par des effets de substitution trop faibles et incertains. Ces conclusions s'appliquent autant à moyen (2050) qu'à long terme (2100), et avec ou sans prise en compte de l'impact des changements climatiques sur les écosystèmes forestiers. Cette conclusion est d'ailleurs exacerbée lorsque les analyses ne sont plus faites en dioxyde de carbone équivalent, mais selon le forçage radiatif des émissions, donc avec une meilleure prise en compte de la temporalité des émissions de GES et de leur pouvoir réchauffant. Cependant, ces travaux démontrent aussi que les deux grands types de stratégies d'aménagement forestier peuvent coexister pour maximiser le potentiel d'atténuation du secteur forestier provincial. Tout d'abord, car certains peuplements forestiers pourraient bénéficier des perturbations pour redynamiser leur productivité. La nécessité de considérer les caractéristiques initiales des peuplements et l'impact d'une perturbation sur leurs dynamiques est donc primordiale. D'autre part, l'augmentation du volume de bois récolté pourrait apporter un bénéfice climatique si une meilleure substitution moyenne pouvait être atteinte et/ou une meilleure gestion des émissions, notamment de méthane, engendrées par la fin de vie des produits du bois était mise en place. Ces effets permettraient donc une coexistence des deux grands types d'aménagement par rapport à la stratégie de référence. Une stratégie de réduction de la récolte n'est pas exempte de toute incertitude. C'est un risque de saturation de la séquestration des écosystèmes, mais aussi un risque pour des stocks de carbone sensibles à l'augmentation des perturbations naturelles. De plus, les risques de fuite sont importants. Le bois non récolté sera selon toute vraisemblance compensé par une récolte accrue dans d'autres juridictions pour satisfaire la demande en ressource biosourcée. Il apparait donc que ni une stratégie basée seulement sur la réduction et encore moins sur l'augmentation du volume de bois récolté ne soit une solution idéale. Il est nécessaire de déployer les actions d'atténuation avec un potentiel de réalisation important et qui ne seront dans aucun cas contreproductives dans le futur ; comme le boisement des territoires anthropisés, une gestion améliorée des émissions de fin de vie ou encore un soutien à l'innovation des produits du bois afin d'en augmenter la proportion qui possède une plus longue durée de vie. Dans le même temps, il faut développer les fondements opérationnels d'une optimisation des niveaux de récolte selon les caractéristiques des écosystèmes forestiers. Ce sont des étapes nécessaires pour permettre une prise de décision éclairée et le développement d'une stratégie sectorielle efficace. / The role of forests in achieving global greenhouse gas (GHG) emissions reductions could be substantial. Understanding the role of the forestry sector will become increasingly important as the demand for wood is likely to continue to grow in the future. However, there is a high degree of uncertainty regarding the strategy to implement in order to maximize GHG reductions in the forest sector: should we seek to maximize wood production (i.e., increase harvesting levels) or leave ecosystems unmanaged (i.e., decrease harvesting levels)? Furthermore, the potential effects of climate change on the ability of ecosystems to store carbon and meet the wood demands of markets are causing a rise in uncertainty. Mitigation actions in the forestry sector, however, are not limited to forests. It is also necessary to consider GHG emissions from the decomposition of wood products and the use of these products as replacements for materials and energy sources with a higher carbon footprint. A non-exhaustive selection can only lead to partial conclusions that could prove counterproductive in the fight against climate change. The objective of this thesis is to evaluate the mitigation potential of the Quebec forestry sector by identifying the obstacles to avoid and the opportunities to seize in order to develop an effective strategy in the fight against climate change. The results suggest that, from the forest stand to the provincial scale, management strategies based on increasing the volume of harvested wood generally do not provide climate benefits, unlike those aimed at reducing the volume harvested compared to the reference strategy. The loss of carbon in forest ecosystems due to an increase in harvested areas, coupled with an increase in greenhouse gas emissions from wood products, is not offset by substitution effects that are too low and uncertain. These conclusions apply to both the medium term (2050) and the long term (2100), with or without consideration of the impact of climate change on forest ecosystems. These findings are exacerbated when analyses are conducted using radiative forcing of emissions, rather than just carbon dioxide equivalent, as this approach better accounts for the temporality and warming potential of greenhouse gas emissions. However, these findings also demonstrate that both types of forest management strategies can coexist to maximize the potential for carbon mitigation in the provincial forest sector. Firstly, some forest stands may benefit from disturbances that can reinvigorate their productivity. Therefore, it is crucial to consider the initial characteristics of forest stands and the impact of disturbances on their dynamics. Secondly, increasing the volume of harvested wood could provide a climate benefit if better average substitution and/or management of emissions, particularly methane emissions from wood product end-of-life, were implemented. These effects would allow the coexistence of both types of management strategies compared to the reference strategy. A strategy of reducing harvest is not without uncertainty. There is a risk of saturation of ecosystem carbon sequestration in the long term, as well as a risk to carbon stocks that are sensitive to increased natural disturbances. In addition, the risks of leakage are significant. Unharvested wood will likely be compensated by increased harvesting in other jurisdictions to meet the demand for bio-resources. Therefore, neither a strategy based only on reduction nor one based only on increasing the volume of harvested wood is an ideal solution. It is necessary to deploy mitigation actions with a high potential for implementation that will not be counter productive in the future, such as afforestation of anthropized territories, improved management of end-of-life emissions, or support for innovation in wood products. At the same time, it is necessary to develop the operational foundations for optimizing harvesting levels according to the characteristics of forest ecosystems. These are necessary steps to enable informed decision-making and the development of an effective provincial forest sector strategy.
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Contribution à l'amélioration de la sécurité et de la disponibilité des abatteuses façonneuses

El Rhalmi, Ayad 12 April 2018 (has links)
Au cours des dernières décennies, on assiste à une mécanisation massive des opérations forestières, notamment des travaux d'abattage façonnage. Des engins sophistiqués ont été introduits pour améliorer la productivité et répondre aux multiples exigences des clients en termes de coût, de qualité, de quantité et de délai. Le secteur de l'abattage façonnage a enregistré une augmentation significative des accidents de travail. Plusieurs facteurs ont été identifiés à priori. Le présent mémoire propose une analyse exhaustive de ce problème basée sur les travaux publiés dans la littérature et sur les observations effectuées sur le terrain. Un recensement des engins utilisés et une analyse des processus d'exploitation ont permis d'examiner plusieurs facteurs qui affectent, non seulement la sécurité mais également la productivité de ces machines. Une analyse des modes de défaillances de la tête d'abattage la plus représentative au Québec a été réalisée. Le mémoire analyse d'une manière détaillée, aussi bien les volets techniques liés à l'utilisation des têtes d'abattage que ceux inhérents aux processus d'exploitation dans la forêt.
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Dynamique spatiale et temporelle des propriétés du sol et de la végétation après perturbation dans la pessière noire à mousses

Lorente, Miren 17 April 2018 (has links)
Les pessières noires à mousses de la forêt boréale du Québec représentent près de 27% du territoire total québécois et se sont historiquement renouvelées selon un régime naturel de feux. Plus récemment, les coupes forestières totales ont graduellement laissé la place aux coupes avec protection de la régénération et des sols, qui limitent la circulation de la machinerie à des sentiers de débardage régulièrement espacés. Suite à l'ouverture du couvert forestier par la coupe forestière, les éricacées du sous-étage peuvent compromettre la régénération et la croissance de l'épinette noire. Dans le contexte de la recherche de stratégies d'aménagement forestier qui s'inspirent du régime des perturbations naturelles, l'objectif de cette thèse était de comparer les patrons spatiaux et temporels des propriétés physico-chimiques et microbiologiques du sol organique, de la taille, de la densité et de la régénération de l'épinette noire, et du recouvrement et de la biomasse aérienne des éricacées après feu et après coupe, dans la pessière noire à mousses. Nos résultats démontrent que les feux et les coupes ne laissent pas la même empreinte spatiale. Le feu est à l'origine des patrons à plusieurs échelles qui reflètent l'existence de zones brûlées à différentes intensités. La coupe impose une structure répétitive où les propriétés du sol et de la végétation sont différentes selon la zone occupée sur le parterre de coupe (i.e., sentiers de débardage ou zones de protection). En modifiant les processus et les propriétés du sol, ainsi qu'en affectant la distribution spatiale et la croissance de l'épinette noire selon les différentes zones d'occupation, les éricacées contribuent à maintenir les différences existantes (a) entre les sentiers et les zones de protection, et (b) à l'intérieur des zones de protection, entre les agrégats (i.e., patches) que les éricacées occupaient avant la coupe et les zones où le couvert forestier était fermé. Ces différentes signatures spatiales après feu et après coupe ne convergent pas à long-terme (62-98 ans). Cette thèse constitue un travail de recherche multidisciplinaire qui a apporté des connaissances originales concernant l'adéquation des méthodes numériques aux problématiques écologiques, l'écologie spatiale de la régénération des éricacées et la compréhension des régimes des perturbations naturelles et anthropogéniques, qui est une étape fondamentale au développement raisonné de l'aménagement écosystémique.
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Distributed wood procurement planning within a multi-firm environment

Beaudoin, Daniel 12 April 2018 (has links)
La planification annuelle des approvisionnements forestiers est une tâche complexe qui vise à rendre des volumes de bois disponibles aux divers centres de transformation. Pour se faire, une multitude d'activités doivent être coordonnées dans le temps et l'espace afin de livrer les bons produits, aux bons endroits et aux bons moments. La coordination des diverses activités impliquées est davantage complexifiée lorsque plusieurs entreprises partagent les mêmes parterres de coupe et se rendent mutuellement des services d'approvisionnement. Dans ce contexte, un planificateur est confronté à deux problèmes inter reliés : la planification de ses opérations forestières sur le territoire et la coordination de celles-ci avec celles des autres entreprises. En général, la planification s'effectue sans support mathématique autre qu'une feuille de calcul pour équilibrer les livraisons de bois aux usines. Dans ces conditions, les planificateurs éprouvent de la difficulté à évaluer la qualité de leurs décisions et s'appuient principalement sur leurs intuition et expérience. Cette thèse vise à développer une approche de planification décentralisée des approvisionnements forestiers basée sur l'usage de modèles mathématiques afin de pallier à ce problème. Dans un premier temps, un processus de planification centralisée est présenté et testé. Par la suite, une approche de planification décentralisée des approvisionnements forestiers est proposée afin de coordonner les activités des diverses entreprises entre elles. L'approche de coordination proposée est testée et comparée à l'approche actuellement en usage. / Wood procurement planning is a complex task which aims to provide wood volumes to diverse processing mills. To do so, several activities must be coordinated in time and space in order to deliver the right volumes, to the right mill, and at the right moment. The coordination of the diverse activities involved in wood procurement planning is further complicated when several companies share the same procurement areas, and companies provide each other with procurement services. In this context, a planner faces two interdependent problems: planning its forest opérations over the land base, and coordination of its opérations with those of other companies. In gênerai, managers still largely rely on intuition and expérience without mathematical programming support other than a spreadsheet to try to balance wood delivery to their mills. Planners therefore struggle to evaluate the quality of their décisions. The aim of this thesis is to develop a distributed wood procurement planning approach based on the use of mathematical models to overcome this problem. First, a centralized planning process that allows a company to plan its procurement activities is presented and tested. Then, a distributed planning approach to coordinate the firms' procurement activities among themselves is proposed. The proposed coordination approach is tested and compared to the approach currently in use.
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Étude multidisciplinaire des débroussailleurs forestiers au Québec : intégration des mesures de l'effort du travailleur dans le système de rémunération

Toupin, Dominic 11 April 2018 (has links)
Depuis 1986, les superficies traitées en dégagement mécanique de la régénération ont augmenté substantiellement au Québec. Les entrepreneurs en travaux sylvicoles ont cependant de la difficulté à recruter des travailleurs et à retenir cette main-d’œuvre compte tenu des conditions de travail difficiles et d’un manque de reconnaissance des métiers sylvicoles. Un projet de recherche comportant une étude de productivité, une étude ergonomique ainsi qu’une étude économique a été entrepris en 2000 pour comprendre la dynamique de l’effort du travailleur sylvicole dans un contexte de travail à forfait. Plus précisément, l’équipe de recherche s’intéressait au comportement des travailleurs face à l’incitatif de la rémunération variable et aux facteurs limitant leur productivité. Un inventaire forestier ainsi que des études de temps et mouvement ont permis de bâtir un modèle de prédiction de la productivité. Ce modèle inclut les variables de site qui expliquent le mieux les variations de la productivité des débroussailleurs. Il s’agit du recouvrement végétal des espèces de compétition (%) et de la densité initiale des arbres (tiges/ha). L’étude du coût physiologique par la mesure de la fréquence cardiaque et de facteurs climatiques ainsi que l’étude approfondie du système de rémunération ont contribué à approfondir les connaissances sur la dynamique de l’effort des travailleurs. Un modèle qui explique les variations de la fréquence cardiaque en relations avec les variables de site a été élaboré. Les résultats de productivité et de fréquence cardiaque ont permis de constater le comportement que les travailleurs adoptent devant des difficultés. Ce comportement a été comparé avec ceux décrits dans la littérature. Les différences observées pourraient s’expliquer par l’effet de la rémunération incitative à taux fixe et par la stratégie adoptée par le travailleur pour atteindre son objectif salarial. Il n’a pas été possible d’intégrer directement une mesure de l’effort du travailleur dans un modèle de productivité ou de rémunération. Cependant, l’utilisation d’un modèle de rémunération à taux variable (rémunération au rendement) a été suggérée pour les ouvriers expérimentés. L’effet du taux variable équivaudrait à une introduction indirecte d’une mesure de l’effort compte tenu de la présence des obstacles comme variable indépendante de la productivité. L’utilisation d’un taux variable à l’hectare amènerait les débroussailleurs à modifier leur comportement. / Since 1986, regeneration areas clean by motor-manual cleaning operations has increases noticeably. However poor working conditions and a lack of recognition contribute to the problem of labor shortage in this field. Silvicultural contractors have problems attracting and conserving a stable working crew. A research project including time studies, ergonomics and economics analysis was undertaken with the aim of understanding the workload dynamic of brushsaw operators paid on a piece rate system. The worker’s behaviour and productivity in relation to incentives, site and climatic factors was studied. This research involved the participation of forty-eight brushsaw operators. A productivity model was then produced based upon forestry inventory data and time studies’ results. The proportion of the area covered by competitive vegetation (%) and the stand density (stems/hectare) were the two variables with the highest determination coefficient. An improved knowledge of workload dynamic was gained through heart rate measurements. The relationship between site factors and heart rate was evaluated. Those results about productivity and heart rate were used to evaluate workers’ behaviour. This behaviour was compared to those found in the literature. Differences were explained by piece rate incentive at a fixed rate and the worker strategy to reach a weekly income goal. The use of a variable piece-rate to compensate brushsaw operators is recommended. Also a fixed wages is recommended during the learning period to decrease workers’ discouragement.
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Three essays on wood roof truss technology acceptance in China / 3 essays on wood roof truss technology acceptance in China

Karuranga, Égide 12 April 2018 (has links)
It is widely believed that the next battlegrounds for the forest products industry are India and China: the two most densely populated and highly deforested emerging markets. While production and trade of wood products remain concentrated in a few countries, Juslin and Hansen (2002) argue that consumption is rapidly shifting from traditional markets to emerging ones. This dissertation looks at the introduction of wood roof trusses technology (WRTT) as a new product and a new process within a network of Chinese firms. It is organised in three essays. First, Chinese environmental factors impacting the adoption of a new product are defined and measured. Second and building upon the findings in the first essay, Rogers' (1962) Innovation Diffusion Theory (IDT) and Davis (1989) Technology Acceptance Model (TAM) are combined in a structural equation model to explain the adoption process. The third essay is based on a qualitative survey aimed at completing and validating the findings in the first two essays. Findings in essay 1 suggest that the role of the state is not important, competitive pressure is nonsignificant in the early stage of adoption, and financial and non financial incentives are inefficient at the exception of the training offered by knowledgeable foreign companies. Key variables emerging from 2nd order confirmatory factor analysis include presence of infomediaries, peer usage, and training. Essay 2 adds to the contextual factors measurement model variables related to WRTT and adopting firms' characteristics. The final structural equations model suggests that relative advantage, infomediaries, and the size of the adopting organization positively impact the perception of usefulness which has a great influence on the intention to adopt new technologies. The perceived ease of use is highly dependent on training and relations between the adopter and the social system in which he evolves. In the third essay, qualitative analysis confirms the findings from essay 1 and 2 while adding new variables: cost and availability of the products. Entry modes and country of origins are discussed as well in essay 3. / Il est de plus en plus reconnu que les marchés futurs pour les produits en bois sont la l'Inde et la Chine, pays les plus densément peuplés et sans forêts parmi les marchés émergents. En effet, même si la production et la commercialisation restent concentrées dans certains pays, Juslin et Hansen (2002) avancent que la production se déplace rapidement des marches traditionnelles vers les marchés émergents. Cette thèse s'intéresse à l'introduction de la technologie des fermes de toit en bois comme nouveau produit et nouveau procédé à travers un réseau de firmes chinoises. Elle comprend trois essais. Dans le premier, les facteurs exogènes qui influencent l'adoption d'un nouveau produit sont définis et mesurés. Ensuite, après incorporation des variables du modèle de diffusion des innovations technologiques (IDT) et de celui de l'acceptation des technologies (TAM) au modèle de mesure du premier essai, le deuxième essai modélise par équations structurelles le processus d'adoption. Le troisième essai utilise une approche qualitative pour confirmer les résultats obtenus dans les deux premiers essais. Les résultats du premier essai suggèrent que : le rôle de l'Etat chinois n'est pas très important dans le processus de décision des firmes enquêtées, la pression compétitive est faible en début d'adoption, les incitatifs d'ordre financiers sont inopérants, la formation par les compagnies étrangères expertes en la matière est recherchée. Les variables identifiées par le modèle factoriel confirmatoire de deuxième ordre sont : la présence d'intermédiaires, l'usage par les pairs et la formation. Le deuxième essai ajoute à ces variables les caractéristiques du produit et du procédé ainsi que celle des firmes. Le modèle final d'équations structurelles suggère que l'avantage relatif, les intermédiaires, ainsi que la taille des firmes exercent un impact sur la perception d'utilité qui à son tour influence l'intention d'adopter les fermes de toit. La perception de la facilité d'utilisation est quant à elle influencée par la formation et les relations entretenues dans le réseau. Dans le troisième essai, une analyse qualitative confirme les résultats obtenus dans les deux premiers tout en ajoutant deux variables importantes: le prix et la disponibilité des produits. Les modes d'entrée et les pays d'origine sont aussi discutés dans l'essai 3.
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Mise en valeur des produits forestiers non ligneux dans une optique de développement socio-économique : le cas de la Première Nation des Innus Essipit

Moisan-De Serres, Annabelle 23 April 2018 (has links)
Le développement de la filière des produits forestiers non ligneux (PFNL) est souvent présenté comme un élément pouvant contribuer à la diversification économique des régions forestières. Toutefois, peu de projets ont étudié des façons de mettre en valeur ces produits de manière économiquement et socialement durable. Nous avons réalisé une étude de cas avec la Première Nation des Innus Essipit afin de développer deux stratégies de mise en valeur des PFNL pour la communauté, soit la cueillette en forêt aménagée et le récréotourisme. La méthodologie développée pour la cueillette en milieu forestier aménagé confirme qu’un arrimage est possible entre la mise en valeur des matières ligneuses et celle des PFNL sur un même territoire. Un sondage réalisé auprès de la clientèle touristique des Entreprises Essipit a révélé un fort intérêt pour les activités récréotouristiques. En somme, le potentiel existe pour le développement d’une filière PFNL sous ces deux stratégies, mais des validations seront nécessaires avant de poursuivre dans cette voie afin d’assurer une mise en valeur économiquement et socialement durable. / The development of non-timber forest products (NTFP) is often presented as one of the elements that can contribute to economic diversification of forest dependent regions. However, only few projects have studied how to promote these products in a way that is economically and socially sustainable. We have carried out a case study with the Innu First Nation of Essipit in order to develop two strategies to promote the community’s NTFP : picking in managed forests and recreotourism. The methodology developed for the picking in managed forest strategy confirms that compatible management of forests for timber and non-timber values is feasible. A survey conducted on the tourism customers of Entreprises Essipit revealed that there is a high interest for activities related to recreotourism. The potential to develop a NTFP industry under these strategies exists, but validations will be necessary in order to continue on this path and insure a promotion that will be economically and socially sustainable.
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Mutualisation des capacités de production entre entreprises forestières : cas d'études des coopératives forestières du Québec

Le Lan, Maryse 23 October 2019 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales / De nouvelles formes de compétition jusqu’ici inconnues des entreprises du secteur forestier ont fait leur apparition dans la dernière décennie. Pour performer, les entreprises forestières doivent désormais opter pour de nouvelles stratégies organisationnelles qui leur permettront d’accroître leur compétitivité et leur agilité. Le défi réside dans l’équilibre de leur capacité de production qui doit être suffisante pour répondre à la variation de la demande sans qu’elle ne devienne excédentaire et ou sous-utilisée. La stratégie étudiée dans le cadre de cette étude est celle de la collaboration interentreprises, plus précisément celle du partage de ressources (expertise, matériel, monétaire) entre des entreprises forestières de tous les secteurs d’activités. L’objectif principal de l’étude est de développer un cadre de référence pour guider les entreprises forestières à saisir davantage les opportunités de collaboration. Dans un premier temps, des entrevues individuelles ont été menées avec huit entreprises forestières afin de connaître leur compréhension et leur volonté de collaborer. Dans un deuxième temps, les dimensions conceptuelles qui forment la structure de la collaboration interentreprises ont fait l’objet d’un groupe focus de discussion entre 14 dirigeants d’entreprises forestières. Finalement, quatre situations réelles de collaboration interentreprises ont été étudiées pour déterminer les conditions requises à l’instauration des ententes de collaboration. Les résultats démontrent que le succès de la collaboration est initialement une question de volonté, mais aussi de contexte favorable. Ce succès peut toutefois être compromis par plusieurs facteurs dont le manque de confiance. Le cadre de référence permet d’outrepasser les différences individuelles des entreprises pour qu’elles puissent saisir les opportunités de collaboration. L’identification des besoins de l’entreprise et de son potentiel de collaboration est une prémisse essentielle à l’instauration des ententes de collaboration. Le cadre de référence des relations de collaboration illustre ainsi la progression entre différents niveaux de collaboration structurés en huit dimensions. Une application du cadre de référence à une situation fictive de collaboration a finalement permis de démontrer son adaptabilité au contexte forestier québécois. La collaboration, principalement la mutualisation des ressources, permet aux entreprises forestières de mieux utiliser les capacités de production existantes. / New forms of unknown competition between forestry companies have emerged in the last decade. To perform, forest companies need to find new organizational strategies to increase their competitiveness and agility. The challenge is to balance their production capacity so it can be enough to meet variation in the demand without becoming in excess and unutilized. This study focusses on the strategy of inter-firm collaboration, more specifically resource sharing (expertise, equipment, financial) between competing forest companies. The main objective is to develop a framework to help forest companies grasping more collaboration opportunities. As a first step, one-on-one interviews were done with eight forest companies to assess comprehension and willingness about collaboration. In a second step, the conceptual dimensions of business collaboration were discussed in a focus group with 14 forest companies. Finally, four business collaboration cases were explored to determine the required conditions for collaborative agreements. Results show that the success of the collaboration is mostly a matter of willingness but also favorable context. This success, however, can be compromised by several factors including lack of trust. The proposed framework enables to go beyond companies’ individual differences to seize collaboration opportunities. Identifying business needs and its collaboration potential is therefore an essential premise for developing collaboration agreements. The framework for collaborative relationships illustrates the progression between different levels of structured collaboration in eight dimensions. The application of the reference framework to a fictitious situation of collaboration has finally demonstrated its adaptability to the Quebec forestry context. Collaboration, mainly the pooling of resources, allows forest companies to make better use of existing production capacities.

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