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Fer-fonte-acier: l'industrie sidérurgique en Brabant wallon :histoire des Forges de Clabecq des origines à 1939

Jacquemin, Madeleine 12 December 2013 (has links)
Cette thèse est composée, d'une part, d'un inventaire des 300 mètres linéaires d'archives déposées aux Archives de l'État et, d'autre part, d'une monographie consacrée aux Forges de Clabecq, avec comme fil rouge le développement de l'entreprise de la fin du XVIIIe siècle à la veille de la Seconde Guerre mondiale. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Une industrie et son village : les forges du Saint-Maurice, 1729-1764

Fortier, Marie-France 25 April 2018 (has links)
Malgré de nombreuses tentatives de la part d'administrateurs coloniaux conscients, dès les débuts de la colonie, de l'importance de l'industrie lourde pour une jeune collectivité, ce n'est qu'en 1729 que sont établies les premières Forges en Nouvelle-France. Les Forges du Saint-Maurice sont d'abord gérées par leur initiateur, François Poulin de Francheville qui s'associe subséquemment à quatre autres personnages de la colonie. Au décès de Francheville, l'établissement est repris en main par deux associés de la précédente compagnie auxquels se joignent un nouvel administrateur et deux maîtres de forge français. De sérieuses erreurs techniques, une administration à distance et des difficultés ouvrières conduisent cette association â la faillite financière en 1741.L'industrie connaît dès lors une régie d'Etat jusqu'en 1760, moment où elle passe sous le contrôle du régime militaire britannique. Pendant ces trente (30) années d'administration française sont apparus sur les bords de la rivière Saint-Maurice une industrie et son village. Un ensemble industriel, composé d'un haut-fourneau et de deux forges avec les constructions qui leur sont connexes servent à la transformation du minerai de fer. Des bâtiments résidentiels et de services sont à l'usage de la communauté ouvrière contribuant au fonctionnement de l'entreprise. Un édifice aux dimensions imposantes, surnommé la grande-maison, constitue le centre nerveux de cette agglomération par les multiples fonctions qui s'y concentrent. Les liens qui unissent l'entreprise et ceux qu'elle emploie sont très étroits. Tissés au fil même de l'évolution de l'industrie, ils sont marqués par ses exigences. La structure administrative et celle du travail s'inspirent directement des besoins de production. L'importante communauté ouvrière, à laquelle se joignent femmes et enfants, est essentiellement hiérarchisée selon le métier exerce. Le mode de vie, enfin, tant sur le plan des préoccupations aussi quotidiennes que l'habitation, l'alimentation et le vêtement que sur celui du comportement social et économique est relie aux particularismes de l'industrie. Cette profonde interdépendance marquera de façon définitive l'établissement des Forges du Saint-Maurice et de leur village. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Évolution fonctionnelle de la forge haute à travers la transformation des ouvrages

Mousseau, Claire 25 April 2018 (has links)
La première tentative d'exploitation des forges du Saint-Maurice par le sieur François Poulin de Francheville, vers 1729, se résume à l'adoption d'un procédé de réduction directe du minerai de fer, pour la production du fer en barres. S'avérant peu rentable, la forge de Francheville, abritant un fourneau semblable aux cheminées de forge et un marteau hydraulique, est démolie sous l'administration Cugnet pour faire place à la forge basse. Ce nouveau bâtiment s'inscrit dans les plans de réorganisation de l'entreprise sous Olivier de Vézin, qui font appel cette fois, à un procédé de réduction indirecte requérant la construction d'un haut fourneau pour la production de fonte à partir du minerai de fer, et d'une forge où l'on décarbure la fonte pour obtenir du fer malléable. Le haut fourneau et la forge basse sont prêts à fonctionner à l'automne de 1737; mais dès 1738, le débit du ruisseau ne permettant pas de faire fonctionner tous les mouvements de la forge basse, un projet de construction d'une seconde forge est soumis. L'addition de la forge haute au complexe industriel existant, doit ainsi doubler la production annuelle de fer en barres et combler le déficit encouru depuis le début de l'exploitation des forges du Saint-Maurice. Etablie dans une cuvette, à mi-chemin entre le haut fourneau et la forge basse, la forme rectangulaire de la forge haute permet d'opposer à la voie d'eau des mouvements localisée le long du ruisseau, une halle pour entreposage des matières premières. A l'automne de 1740, la construction du complexe de la forge haute est achevée. Dès le troisième quart du XVIIIe siècle, vient se greffer à la forge, un atelier de moulage de boulets de canon qui, quoique temporaire, fait appel à des techniques de fonderie et marque l'introduction du moulage de seconde fusion, sur le site de la forge haute. Ce n'est en fait que le début d'une série de réaménagements qui ne prendront fin qu'avec la fermeture de l'industrie en 1883. La présente étude vise à comprendre à travers les réaménagements successifs de l'aire de travail, l'évolution d'une technologie. Ces réaménagements étant synonymes de la transformation des bases d'équipement ou ouvrages, leur identification permet ainsi de retracer l'évolution fonctionnelle de la forge haute, qui s'inscrit dans le cadre d'un renouvellement technologique. Pour ce faire, toutes les données archéologiques ont été intégrées dans le présent rapport depuis l'intervention du Ministère des Affaires culturelles du Québec, qui permit de localiser les fondations du bâtiment et d'un fourneau, le fourneau neuf, partiellement dégagé depuis l'abandon du site en 1883. La recherche entreprise à l'intérieur de la forge, lors de la saison 1973, nous donna rapidement un aperçu de la complexité des vestiges. La superposition de ces mêmes vestiges et l'absence de stratigraphie â l'intérieur de la forge, nous amenèrent à privilégier la fouille à ciel ouvert. Cette technique de reconnaissance permit de dégager les ouvrages successivement, tout en respectant leur contemporanéité, et de répartir les lots en fonction des vestiges; l'enregistrement s'est déroulé conformément aux normes de Parcs Canada. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Les Forges du Saint-Maurice : les débuts de l'industrie sidérurgique au Canada, 1730-1883 / Débuts de l'industrie sidérurgique au Canada, 1730-1883

Samson, Roch 24 April 2018 (has links)
Les Forges du Saint-Maurice témoignent de l'implantation de la sidérurgie ancienne en Nouvelle-France au XVIIIe siècle, à quelques kilomètres au nord de Trois-Rivières. Leur fondation donne lieu à l'établissement d'une « usine à fers » ou de « grosses forges », suivant les désignations de l'époque, au coeur de la forêt de la Mauricie où abonde, sous forme de veines de surface, le minerai de fer « des marais » ou « des savanes ». L'entreprise, fondée par le seigneur François Poulin de Francheville en 1730, prend d'abord l'allure d'une petite forge utilisant le procédé de réduction directe du minerai. Mais, entre 1736 et 1739, grâce à l'implication financière du ministère de la Marine, on remplace cette modeste installation par un « établissement de forge complet » comportant haut fourneau et forges, suivant son concepteur le maître de forges champenois Olivier de Vézin, qui adopte le procédé de réduction indirecte du minerai utilisant le charbon de bois comme combustible. Cet établissement donne naissance à la première communauté industrielle au Canada qui ne disparaîtra qu'en 1883. Cette thèse a pour but d'étudier les Forges du Saint-Maurice comme une industrie issue de l'univers particulier de la sidérurgie ancienne dont elle constitue une réplique dans le milieu colonial du XVIIIe et du XLXe siècle. Elle s'appuie sur les résultats de la recherche historique et archéologique entreprise au sein de Parcs Canada depuis la création du lieu historique national des Forges-du-Saint-Maurice en 1973. L'approche théorique s'inscrit dans un courant scientifique qui vise à comprendre et à caractériser les formes industrielles de production qui se manifestent avant l'Industrialisation comme telle. Cette thèse propose de rendre raison de la mise en oeuvre, du fonctionnement, de l'évolution et du destin de la première industrie sidérurgique au Canada en examinant toutes les dimensions nécessaires aux opérations de l'entreprise dans le contexte évolutif de ses 150 années d'existence. Une telle démarche conduit à mieux comprendre la sidérurgie ancienne et les conditions de la viabilité de ce milieu industriel dans le contexte colonial canadien. Dans une portée plus générale, cette thèse contribue à un domaine d'études qui tend à renouveler l'histoire de l'industrialisation et en particulier celle de l'industrie avant l'Industrialisation. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Sound and Silence in the Forge: Work, Space, and Communication in Early Cistercian Monasticism

Roosa, Jacob Bradley 26 July 2017 (has links)
No description available.
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Étude d'un atelier de finition et d'assemblage de poêles et contenants de fonte aux forges du Saint-Maurice

Lapointe, Camille 25 April 2018 (has links)
Dans le cadre des fouilles effectuées aux Forges du Saint-Maurice, nous avons exploré une structure identifiée, sur un plan de 1845, selon les termes "Hangar et boutique de forgeron". Cependant, l'inventaire des artefacts nous incitait à croire qu'il s'agissait, plus précisément, d'un atelier de finition et d'assemblage de poêles et contenants de fonte. Nous avons donc tenté de vérifier cette hypothèse. Après avoir défini les contextes historique et archéologique, nous analysons la répartition des artefacts, en particulier celle des produits, déchets de production et outils. Nous étudions ensuite ces artefacts en regard des opérations de finition et d'assemblage des articles de fonte. Selon le contexte historique, la stratigraphie et le matériel céramique, la construction du hangar et boutique de forgeron se situe entre les années 1807 et 1820. Son activité se prolonge au moins jusqu'en 1883, date de fermeture de l'industrie. Toutefois, sa fonction a pu changer après 1863. Nous avons observé deux activités artisanales distinctes dans le secteur fouillé. L'analyse de la répartition des artefacts nous a permis d'associer le travail de maréchal-ferrant à la partie sud du bâtiment voisin et le travail de finition et d'assemblage au hangar et boutique de forgeron. De plus, du moulage d'objets de fonte a pu être effectué à proximité de ce bâtiment. L'examen des artefacts en regard des opérations de finition et d'assemblage indique que l'ébarbage était exécuté, en tout ou en partie selon les pièces, dans le hangar et boutique de forgeron, de même que l'assemblage. Le polissage, en tant qu'étape intermédiaire entre l'ébarbage et l'assemblage, devait donc se faire sur place. On produisait aussi les pièces de poêle de fer forge. La partie hangar du bâtiment abritait probablement les produits avant leur expédition aux magasins de la compagnie à Québec, Montréal, Kingston et York. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012

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