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Can the "Peasant" Speak? Forging Dialogues in a Nineteenth-Century Legend CollectionPooley, William 01 December 2010 (has links)
The folklore collections amassed by Jean-François Bladé in nineteenth-century southwestern France are problematic for modern readers. Bladé's legacy includes a confusing combination of poorly received historical works and unimportant short stories as well as the large collections of proverbs, songs, and narratives that he collected in his native Gascony. No writer has ever attempted to study any of Bladé's informants in detail, not even his most famous narrator, the illiterate and "defiant" Guillaume Cazaux.
Rather than dismissing Bladé as a poor ethnographer whose transcripts do not reflect what his informant Cazaux said, I propose taking Bladé's own confusion about authenticity seriously. This confusion suggests that Bladé was trapped between three competing models that depicted the authenticity of folklore as residing in either the audience or folklorist, or the tradition, or the performer.
The texts of Cazaux's legends that Bladé published were not just invented by Bladé, but forged in a dynamic interaction between the folklorist, Cazaux, and the force of tradition. When Cazaux described his beliefs in witchcraft to Bladé, he did not just reveal his own worldview; he also relied on the power of anonymous forces and silence to threaten and coerce the folklorist. The legend texts that Bladé published are not simply monovocal re-writings of some things Cazaux said; they enact a conversation between the two men about place and time. This conversation is a very limited example of an important question that has occupied historians: the "modernization" of the rural population by national forces. Although Bladé and Cazaux had very different backgrounds and education and only knew each other for ten years, their memories are intertwined for posterity.
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Wild Normativity: Lyotard's Search for an Ethical AntihumanismMcLennan, Matthew 22 September 2011 (has links)
In spite of its thematic and stylistic heterogeneity, Jean-François Lyotard’s corpus may be plausibly interpreted as, by and large, an attempt to grapple with the following problem set: a) In general: if we reject all transcendent/systematic philosophical frameworks, can we consistently make normative claims? Can we ground them in any way? Do we need to? b) In particular: if we reject the philosophical framework of humanism, what does this mean for ethics and/or politics? Can one be an antihumanist without abandoning ethics? The basic issue is over the titular possibility of a “wild normativity” – that is, a normativity that does not derive its force from any kind of transcendent guarantor. As I reconstruct him, Lyotard begins from a methodological rejection of transcendent guarantors in general; this plays itself out in particular terms as a rejection of humanism. Thus, beginning from a thought not of universality and totality but of singularity and difference, and wishing at a certain point in his career to ensure that the problem of justice stays firmly on the agenda, Lyotard gives us to think the very possibility of an ethical antihumanism. My dissertation is both an interpretation of Lyotard’s work as it unfolds in time, as well as a contribution to thinking through the general-particular problem set that I argue is at play in his work.
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Wild Normativity: Lyotard's Search for an Ethical AntihumanismMcLennan, Matthew 22 September 2011 (has links)
In spite of its thematic and stylistic heterogeneity, Jean-François Lyotard’s corpus may be plausibly interpreted as, by and large, an attempt to grapple with the following problem set: a) In general: if we reject all transcendent/systematic philosophical frameworks, can we consistently make normative claims? Can we ground them in any way? Do we need to? b) In particular: if we reject the philosophical framework of humanism, what does this mean for ethics and/or politics? Can one be an antihumanist without abandoning ethics? The basic issue is over the titular possibility of a “wild normativity” – that is, a normativity that does not derive its force from any kind of transcendent guarantor. As I reconstruct him, Lyotard begins from a methodological rejection of transcendent guarantors in general; this plays itself out in particular terms as a rejection of humanism. Thus, beginning from a thought not of universality and totality but of singularity and difference, and wishing at a certain point in his career to ensure that the problem of justice stays firmly on the agenda, Lyotard gives us to think the very possibility of an ethical antihumanism. My dissertation is both an interpretation of Lyotard’s work as it unfolds in time, as well as a contribution to thinking through the general-particular problem set that I argue is at play in his work.
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La nouvelle université : réponse à la thèse du naufrage de l'université de Michel FreitagTremblay, Thomas January 2008 (has links) (PDF)
Nous proposons un essai traitant du rôle de l'université d'aujourd'hui. Pour articuler notre étude, nous avons choisi de critiquer la thèse de Michel Freitag présentée dans Le naufrage de l'université. Selon cet auteur, le rôle fondamental de l'université serait d'orienter réflexivement la civilisation. Constatant l'effritement de sa capacité à élaborer une normativité civilisatrice, l'auteur déclare donc le naufrage de l'université en tant qu'institution. Cette étude critique la position de Freitag en fonction du modèle universitaire auquel il se rattache. Le rôle de l'université y est questionné. Doit-elle nécessairement contribuer au développement d'une transcendance normative pour remplir son rôle d'institution? Nous sommes d'avis que non. Pour bien défendre cette position, cet essai présente trois théories qui placent la finalité de l'université dans la subjectivité. À l'aide de la théorie de la postmodernité de Jean-François Lyotard, il est possible de comprendre que l'université d'aujourd'hui correspond aux vérités théoriques de la postmodernité. Au sens de cette théorie, l'université doit répondre aux exigences mouvantes de la subjectivité. Par la suite, à l'aide de la théorie de la démocratie de Jacques Rancière, nous avons pu démontrer que la nouvelle université d'aujourd'hui répondait aux conditions de la démocratie réelle au plus près de la vie. Au sens de cette théorie, l'université doit chercher à se définir en fonction des subjectivités qui la fréquentent pour être réellement démocratique.
Finalement, nous avons présenté la théorie phénoménologique de Michel Henry qui soutient que l'essence de toute chose s'exprime dans sa manifestation. Au sens de cette théorie, l'université existerait seulement dans les relations subjectives qu'elle entretient avec les individus qui la fréquentent. En s'inscrivant contre l'idée d'un naufrage de l'université, nous soutenons donc la thèse selon laquelle la nouvelle université se définit maintenant en puisant dans la subjectivité. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Michel Freitag, Université, Modernité, Normativité, Postmodernité, Subjectivité.
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La réécriture filmique du roman d'Alessandro Baricco par François Girard : une réflexion sur l'altéritéLongval-Laverdière, Gabrièle 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour sujet la démarche artistique de François Girard, plus précisément son plus récent long-métrage, Silk, sorti en 2007. Cette coproduction internationale a été le lieu de multiples et fructueuses rencontres interculturelles et le film traduit une importante réflexion sur l'altérité, l'interculturalité et, ultimement, l'intermédialité. Nous nous intéressons donc à la manière dont le réalisateur intègre dans son art et dans son film l'apport culturel de l'Autre afin de réfléchir sur les rapports entre Orient et Occident. Pour réaliser ce film, il s'est notamment inspiré de la peinture sinojaponaise et de la poétique du haïku: la forme même du film fait écho à l'histoire transculturelle d'Hervé Joncour. En plus d'être caractérisé par la mise en contact de plusieurs cultures, le projet de Girard, en tant qu'adaptation cinématographique, s'appuie sur un autre rapport d'altérité, c'est-à-dire la différence entre deux démarches artistiques et deux médias distincts. En effet, le réalisateur s'est réapproprié le roman d'Alessandro Barrico intitulé Seta, en tâchant de réconcilier sa liberté créatrice et sa volonté d'être « fidèle» au texte écrit. Dans le but de montrer combien il est réducteur de juger de la qualité d'une telle adaptation uniquement en fonction d'un critère de fidélité, nous nous attardons au travail de (ré)écriture de Girard. Il est un artiste qui prône, à travers son oeuvre, non seulement la fusion entre les arts, mais aussi le dialogue entre les cultures.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : François Girard, Silk, altérité, adaptation cinématographique, réécriture, transferts culturels, (néo) japonisme
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Théâtralité du désir et de l'aliénation dans l'oeuvre de François ArchambaultLavigne, Mathilde 11 1900 (has links) (PDF)
Nous nous intéresserons ici particulièrement au théâtre de François Archambault en nous attardant à quatre de ses pièces : La société des loisirs (2003), Cul sec (1996), 15 secondes (1998) et Les gagnants (1996-2002). Ces pièces traitent d'une génération désemparée, perdue, sans foi. Une critique de la société actuelle se donne ici à entendre dans la violence du langage, le cynisme et l'humour noir. Le réalisme qui se dégage du théâtre d'Archambault s'inspire aussi d'autres médias comme la télévision, le cinéma, en mettant en scène de brefs tableaux, en exploitant un minimalisme dans le jeu, les gestes, l'action, et s'impose à travers les dialogues où règnent l'anodin, les décors et objets triviaux du quotidien. À ces éléments concrets s'ajoute la prégnance de discours culturels très contemporains (marqués par les impératifs de jouissance). Ce réalisme intègre cependant les jeux avec l'espace-temps (hors-temps, hors-lieux) et met en scène des personnages caricaturaux qui cherchent à se valoriser par les objets qu'ils possèdent ou veulent posséder, cachent leurs malaises par une parole superficielle et apparemment vide trahissant leur misère et la difficile reconnaissance d'un désir non-dit. Dans ce mémoire, nous explorerons la théâtralité et l'anti-théâtralité. L'aliénation à l'image de soi dans le regard de l'autre, les jeux de camouflage et de dévoilement des désirs, les dispositifs d'écriture et de jeu tels que l'inadéquation entre geste et parole, les jeux de masques, la dualité des personnages, l'intertextualité, les scansions des tableaux, le rapport temps-espace mis en scène par Archambault participent d'une poétique qui lui est propre et permettent de lever le voile sur une société contemporaine malade, une génération en mal de vivre, obsédée par la consommation à outrance, plongée dans une vie préprogrammée où il n'y a plus de place pour les véritables désirs, où tout n'est qu'apparence, mensonge et superficialité. Les dispositifs de la parole et les effets théâtraux produits par Archambault témoignent d'un grand Malaise dans la culture, d'une recherche vaine du bonheur.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : théâtre, François Archambault, théâtralité, réalisme, désir, dénégation, Freud.
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François Bon : la fabrique du présentLepage, Mahigan 12 1900 (has links) (PDF)
Le travail littéraire de l'auteur contemporain François Bon (né en Vendée en 1953) reçoit une attention critique grandissante, en particulier dans les universités. Il semble pourtant qu'il fasse l'objet de certains malentendus. « Réaliste », « engagée », l'écriture de Bon aurait aussi une visée « mémorielle ». À l'encontre de ces idées reçues, la présente thèse affirme la prédominance d'une esthétique de l'immédiat présent. Alors que, depuis une dizaine d'années, on redécouvre l'hétérogénéité de la temporalité moderne, caractérisée par la coprésence du passé, du présent et du futur, certaines pratiques artistiques contemporaines, dont l'art narratif de Bon est un très bon exemple, concentrent plutôt leur attention sur le seul présent. L'immédiat présent n'étant pas donné immédiatement, il y a à le construire au moyen des mots et des formes. C'est ce travail de construction qu'il s'agit ici d'interroger. Le problème tient à la discontinuité irréductible de l'immédiat présent, c'est-à-dire à l'alternance qu'il impose entre « venue » et « retrait » (Heidegger). Si l'art de la prose réside dans la fabrication du continu (Goux), comment dès lors faire récit d'un temps fondamentalement disjoint? Pour explorer cette question, on parcourra l'essentiel des écrits de Bon de Sortie d'usine (1982) aux expériences numériques les plus récentes, en analysant d'abord les usines et les garages (première partie), puis les paysages (deuxième partie), enfin les villes (troisième partie). Il s'agira chaque fois de révéler les cohérences intrinsèques (inscrites à l'intérieur des textes) et extrinsèques (les rapports qui s'établissent d'un texte à l'autre) de l'écriture du présent de Bon. Tout du long, on mesurera la portée politique de cet effort esthétique qui vise à la réappropriation de la surface temporelle du monde où se joue le plus immédiat de nos pratiques sociales contemporaines.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : François Bon, Temps, Présent, Esthétique, Récit, Contemporain.
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Paul et Virginie : Christianizing Rousseau à la FénelonDeden, Christine 14 February 2011 (has links)
This thesis presents Bernardin de Saint-Pierre’s novel Paul et Virginie (1788) as a synthesis of the philosophy of Jean-Jacques Rousseau and the theology of François de la Mothe-Fénelon. While the novel’s prominent themes of the goodness of nature and the corruption of society are clearly associated with Rousseau, Bernardin rejects Rousseau’s ideals of independence and self-sufficiency as the basis for his moral theory and preference of nature. Instead, his novel appears to Christianize Rousseau’s philosophy by stressing dependence on a personal, beneficient God who is revealed through nature, thereby associating the natural life with a God-centered life where happiness can be found through dependence on God and selfless service to others. In seeking to pinpoint Bernardin’s Christian influence, this paper goes on to acknowledge Bernardin’s hyperbolic praise for François Fénelon, which leads to an investigation concerning, first, which of Fénelon’s teachings can be found in Paul et Virginie, and second, how Bernardin manages to preserve such enthusiastic admiration for a Christian thinker while also denying several important tenets of Christian orthodoxy. This investigation reveals that Fénelon appealed to Bernardin de Saint-Pierre not only on the basis of what he emphasized, but also what he failed to emphasize. On the one hand, a number of Fénelonian ideas find expression in Paul et Virginie, ideas such as a conception of worship that privileges inner realities over external performances; a glorification of pure, disinterested love toward God; an ideal lifestyle of simplicity and harmony with nature; and an acknowledgement of the role of sentiment in gaining knowledge of the divine. On the other hand, this paper also proposes that Bernardin’s unhindered admiration for Fénelon was made possible by his ability to misinterpret two of Fénelon’s most well-known works, Télémaque (1699) and the Traité de l’existence de Dieu (p. 1718), whose silence on particular doctrines like original sin and the authority of the Scriptures allowed Bernardin to preserve his beliefs about natural goodness and the sufficiency of natural revelation. / text
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The guitar anthology of Henry Francois de Gallot (1661): A preliminary studyCorcoran, Kathleen Anne, 1959- January 1988 (has links)
The manuscript entitled "Pieces de Guitarre de differende Autheure recuellis par Henry Francois de Gallot" (GB:Ob Ms. Mus. Sch. C94) is one of the largest single collections of music for the Baroque guitar. The source contains over 600 pieces by various composers, including Gallot and Corbetta. An overview of the physical characteristics, organization, and stylistic features of this important source is intended to provide a basis for further study and concordance search.
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L'essayiste entre deux chaises : hybridité et posture de l'énonciateur dans les essais de François ParéVeilleux, Rachel 06 1900 (has links) (PDF)
Les travaux de François Paré sont incontournables dans le champ de la recherche sur les littératures minoritaires au Canada. En 1992, la publication des Littératures de l'exiguïté a suscité un intérêt du milieu universitaire autant québécois que canadien pour les littératures francophones hors Québec, jusque-là peu étudiées. Traduit en plusieurs langues et devenu un classique dans les universités, l'essai a donné son titre à tout un corpus littéraire. Les trois essais qui lui ont succédé - Théories de la fragilité (1994), La distance habitée (2003) et Le fantasme d'Escanaba (2007) - ont également joui d'un succès critique considérable. Si les concepts développés par Paré dans ses essais ont fait l'objet de nombreuses recherches, les œuvres n'ont toutefois jamais été étudiées en tant qu'objets littéraires. Dans ce mémoire, nous nous intéresserons justement à la poétique essayistique de François Paré. Dans son article « L'héroïsme de la marge », François Ouellet observe chez l'essayiste « tout un art de la feinte [et de] la mise en scène », Paré se représentant comme un essayiste fasciné, hanté par son sujet. En se mettant constamment en scène écrivant, il insiste sur les conditions de son écriture - celles, exiguës, de l'Ontario français -, et brouille encore davantage la frontière séparant l'essayiste de son sujet, soit l'écrivain en situation minoritaire. Dans ce mémoire, nous chercherons à dépasser cette mise en scène afin de voir de quelle façon Paré envisage la nature de son travail essayistique et la place qu'il occupe dans le champ littéraire. À cheval entre la critique universitaire et l'essai, son œuvre présente en effet une hybridité particulière. Nous tenterons donc de voir dans quelle mesure cette hybridité peut être comprise comme résultant, et c'est là notre hypothèse, d'une tension entre une posture universitaire et celle, inassumée, de l'écrivain. Plus largement, l'objet des pages qui suivent pourrait se formuler ainsi : qu'est-ce qui, mis à part leur contenu théorique, fait l'unicité et l'originalité des essais de François Paré? Également, comment l'hybridité des œuvres peut-elle être envisagée comme le fondement d'une poétique paréenne? Le choix de notre corpus, constitué des Littératures de l'exiguïté (1993), de Théories de la fragilité (1994), de La distance habitée (2003) et du Fantasme d'Escanaba (2007), reflète notre ambition de rendre compte d'un parcours d'écriture, et nous permettra d'observer l'émergence d'un récit autobiographique, une « fiction de soi », qui se construit d'un essai à l'autre. Nous observerons entre autres la présence d'un discours narratif qui croît en importance au fil de l'œuvre, se dissociant peu à peu de sa fonction rhétorique pour converger de plus en plus vers l'imaginaire.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : François Paré, essai littéraire, essai critique, hybridité, identité culturelle, littérature franco-ontarienne, littérature franco-canadienne.
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