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Bürgersinn und Parteiinteresse : Kommunalpolitik in Frankfurt am Main 1848-1914 /

Bartelsheim, Ursula, January 1900 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät--Universität Frankfurt am Main, 1996. / Bibliogr. p. 353-375.
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Im Zeichen des Expressionismus : Kompositionen Paul Hindemiths im Kontext des Frankfurter Kulturlebens um 1920 /

Bork, Camilla. January 2006 (has links)
Diss.--Philosophie--Berlin--Humboldt-Univ., 2001. / Bibliogr. p. 206-214.
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Frankfurt : Reformation und Schmalkaldischer Bund: die Reformations- Reichs- und Bündnispolitik der Reichsstadt Frankfurt am Main 1525-1536 /

Jahns, Sigrid. January 1976 (has links)
Inaug. Diss.--Philosphische Promotions-Kommission--Frankfurt am Main, 1972. / Résumé p. 405-415. Bibliogr. p. 417-431. Index.
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Die Revolution von 1848-49 im Rhein-Main-Raum : politische Vereine und Revolutionsalltag im Grossherzogtum Hessen, Herzogtum Nassau und in der Freien Stadt Frankfurt /

Wettengel, Michael, January 1989 (has links)
Diss.--Fachbereich Geschichtswissenschaft--Hamburg--Universität, 1989.
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Deux critiques de la modernité politique au lendemain de la Seconde Guerre mondiale : une étude comparée. Leo Strauss et Theodor Adorno / Two critiques of modernity after the Second World War : a comparative study of Leo Strauss and Theodor Adorno

Deng, Haochen 27 June 2018 (has links)
L’objectif de ce travail est d’étudier parallèlement les critiques de la modernité développées à partir de deux positionnements philosophiques en grande partie antithétiques représentées ici par leurs figures de proue : Leo Strauss et Theodor Adorno. Nés et décédés presque aux mêmes moments sans s’être connus, ils seront interrogés ici, en particulier, à partir de leurs manières respectives de faire face aux multiples défis lancés en 1945 à la réflexion philosophique. La première section de cette étude examine leurs philosophies comme celles de penseurs se représentant eux-mêmes à travers leurs réactions différentes à l’antisémitisme. La deuxième section analyse leurs relations critiques, de teneurs fortement distinctives, à la pensée de Heidegger, vis-à-vis de laquelle chacun élabore à sa manière une démarche de rupture. La troisième section aborde, comme constituant des points de croisement entre Strauss et Adorno, deux discussions jouant un rôle-clé dans leurs pensées : d’une part avec le positivisme des sciences sociales ; d’autre part, avec la modernité, identifiée comme affrontant une crise consubstantielle à ses options spécifiques. Ces deux discussions font apparaître paradoxalement plusieurs points de convergence entre des démarches si opposées. La dernière section examine les deux solutions à l’égard du problème de la modernité, l’une macrologique s’appuyant sur les sources médiévales, l’autre micrologique demeurant dans le sillage de l’Aufklärung. Une discussion s’amorce dans la conclusion quant à ce qu’il peut en être désormais de la postérité conceptuelle de ces deux pensées dans le nouveau contexte qui est aujourd’hui celui de la philosophie politique. / The aim of this study is to examine the critiques of modernity developed in parallel from two philosophical positions largely antithetical that are represented here by two main figures: Leo Strauss and Theodor Adorno. Born and died almost at the same time, these two thinkers are analyzed here from their way of facing different challenges imposed to the philosophical thinking in 1945. The first section examines their different reactions to the anti-Semitism. The second one analyzes their critical relations to Heidegger with whom each of them achieves a separation. The third section studies some junctions between them with two discussions: on the one hand, the discussion about the positivism in social sciences; on the other hand, the discussion about modernity considered as affronting a consubstantial crisis with their own options. These discussions make appear paradoxically several converging points between two opposing philosophical positions. The last section examines two solutions with regard to modernity: one, based on the medieval sources, is macrological, while the other, firmly devoted to the heritage of Aufklärung, is micrological. In the conclusion, this study will discuss the conceptual relevance of the posterity of these two thoughts in light of the actual context of the political philosophy.
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Liberté consommable : une critique de la raison folle du consumérisme / Consumable freedom : a critique of the insane reason of consumerism

Kahraman, Omer Ersin 23 October 2015 (has links)
Depuis le début du 20e siècle, la consommation est devenue un appareil idéologique que les masses utilisent pour acquérir une auto-identité par la voie des sens symboliques des marchandises. Cette évolution de la consommation vers le consumérisme ne peut être expliquée de l’intérieur du consensus théorique de la Science sous influence du paradigme dominant. Toutefois, la transformation peut être comprise par la voie d’une critique immanente de la rationalité. La consommation peut être vue comme la nouvelle méthode de la socialisation que l’individu utilise afin de se lier à la communauté dans la mesure où il est dépourvu dans la modernité du lien direct avec ses semblables. Le consensus théorique de la partie idéologique de la Science montre cette nouvelle méthode comme moyen de pacification des conflits qui peuvent perturber l’unité sociale, alors qu’en réalité la consommation de masse est source de destruction et de contradiction. La thèse essaye de démontrer la contradiction de ce nouveau modèle de socialisation et de clarifier le véritable rôle de la consommation : assurer la passivité des masses en réponse aux conflits sociaux du début du 20e siècle. « La peur de la liberté » d’Erich Fromm est utilisé pour la base de la recherche et les idées de l’école de Francfort sont évoquées pour développer la méthode de recherche. / Since the beginning of the 20th century, the consumption has become an ideological apparatus which is used for acquiring a self-identity through the symbolic meanings of the products. This evolution of the consumption in the consumerism cannot be comprehended inside the theoretical consensus of Science which is under the influence of the dominating paradigm. However, the transformation can be understood through an immanent critique of the rationality. The consumption can be seen as the new method of socialization that the individual uses to link herself/himself to the community insofar as the individual lacks in the modernity the direct link with the others. The theoretical consensus of the ideological part of Science shows this new method as a way to pacify the individual conflicts which can disrupt the social unity, in reality the mass consumption is the source of destruction and contradiction. The thesis aims to point out that contradiction of the theory and to clarify the real role of the consumption: constitute the passiveness of the masses in response to the social conflicts of the beginning of 20th century. The book “Escape from Freedom” of Erich Fromm is used as the base of the research and the ideas of the Frankfurt School are evoked in order to develop the research method.
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Dialectique négative et théorie critique : pour une réflexion utopique en science politique

Girard-Demers, Catherine January 2010 (has links) (PDF)
Avant tout, ce travail comptait étudier le concept de théorie critique développé à l'École de Francfort afin d'en exposer la pertinence en science politique. Il nous a d'abord fallu saisir sa première définition, celle élaborée par Max Horkheimer durant les années 1930. En lisant les principaux essais de Horkheimer à ce sujet (dont les traductions françaises n'ont été publiées qu'en 1974 et 1978), et certains textes de ses collaborateurs (surtout ceux de Theodor Adorno), nous avons repéré deux thèmes qui ont eu une influence sur notre définition de la science politique: la méthode dialectique de la Phénoménologie de l'Esprit de Hegel, conçue pour permettre le développement d'une science philosophique, et la résurgence du concept d'utopie qui, par sa critique de la réalité politique et son recours à la négation, intéresse la science politique et lui confère un caractère dialectique, lui permet d'adopter un point de vue différent au sujet de la réalité qu'elle observe. En revendiquant ses origines au sein du même héritage que la philosophie politique, et pour se distinguer de la gestion sociale ou d'une connaissance purement technique de la société, la science politique doit reconnaître qu'elle constitue elle-même une science philosophique, qu'elle doit s'intéresser aux aspirations de l'humanité à une société rationnelle aussi bien qu'à la réalité politique quotidienne. Nous nous sommes donc attardés aux origines de la notion d'utopie, dans L'Utopie de Thomas More, puis à son utilisation, voire son dépassement, dans l'oeuvre de Marx. Nous avons aussi procédé à une relecture de la Phénoménologie hégélienne, en mettant en relief les principaux passages qui influenceront la Théorie critique horkheimerienne. Enfin, nous avons approfondi la définition de la Théorie critique en nous intéressant à des ouvrages plus récents, qui se rapprochent de l'oeuvre de Horkheimer ou de son concept de théorie critique, principalement ceux publiés par Axel Honneth et Michel Freitag. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Dialectique, Phénoménologie hégélienne, École de Francfort, Théorie critique, Utopie.
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Travail des eaux et conflit de reconnaissance : analyses réflexive, herméneutique et critique / Conflicts of recognition amongst water sectors workers : a reflective, hermeneutic, and critical analysis.

Nou, Cécile 23 June 2016 (has links)
Sur la base d’enquêtes de terrain menées en France auprès de travailleurs du service eau potable et assainissement, cette thèse explore la façon dont se tissent au cœur du travail les relations à soi, aux autres et à la nature pour en déceler les distorsions respectives. L’idée centrale est que c’est par la médiation de cette triple relation à soi, aux autres et à la nature que se construit une subjectivité au travail. C’est aussi par cette triple médiation qu’une subjectivité peut manquer à se construire et à inscrire l’histoire de ses pratiques dans un monde. Une double origine de ces distorsions a été identifiée. Premièrement, le cadre normalisant de l’organisation productive qui étouffe la puissance normative du travailleur et sa possibilité de tisser réflexivement des liens signifiants avec les autres et son environnement, et ultimement, avec soi. Secondement, autour des eaux, eau potable, eaux usées, se sont solidifiées des pratiques dépréciées et des représentations dépréciatives. Ces deux composantes expliquent la forme que prend la relégation des travailleurs des eaux et leur sentiment d’injustice. L’expérience de l’injustice décelée dans ce parcours des existences au travail, renforce la portée éthique et politique de cette enquête. La thèse examine finalement la possibilité d’ouvrir un espace de délibération où s’articuleraient de telles expériences. L’appropriation significative du travail est la condition de leur expression et celle de pratiques subversives par lesquelles torsion peut être faite aux structures polarisantes dont les travailleurs héritent. / Based on field investigations conducted in France among workers in the sanitation and drinking-water services, this dissertation studies how relationships to self, others and nature develop at work, but also how the relations between these three elements may become distorted. The principal argument is that at the core of work subjectivity is built throughout the mediation of this triple relationship between self, other, and nature. Moreover, throughout this triple mediation, subjectivity can fail to construct itself and thus to engrave the story of its practices in a world. A double source of distortions were identified. First, the normalizing frame of the productive organization, which stifles the normative power of the worker, as well as the individual’s opportunity reflexively to develop significant bonds with others, the environment, and finally the self. Second, water has significances which are articulated within a structure of domination. These two components explain how the workers are marginalised, as well as the feeling of injustice that results from this marginalisation. The experience of injustice, revealed in the course of existences at work, reinforces the ethical and political impact of this investigation. The dissertation finally examines how a deliberative space can open up where such experiences could articulate and express themselves. The appropriation of work as meaningful is the condition of this expression, but also of subversive practices through which polarizing structures, inherited by the workers, can potentially be transformed.
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Critique de la vision phénoménologique / Kritik der phänomenologischen Vision / Criticising Phenomenological Vision

Dorn, René Sebastian 21 January 2015 (has links)
La Critique de la vision phénoménologique est une tentative de critique de la phénoménologie, à travers la Théorie Critique et la philosophie d’Emmanuel Lévinas, qui caractérise la phénoménologie comme une science eidétique. Nous proposons donc une bref histoire du concept de l’eidos, qui est compris comme un archétype idéal depuis le Platonisme. On aborde l’opposition du matérialisme et de l’idéalisme ancrée dans la Théorie des formes de Platon, l’hylémorphisme d’Aristote, et la Théorie matérialiste des simulacres de Lucrèce. La question substantielle : « matérialisme et/ou idéalisme » nous conduit aux principes de l’individuation, au formalisme et aux concepts de la réification. La phénoménologie de Husserl est née dans le Kulturkampf qui se caractérise par le déferlement du positivisme dans l’idéalisme. Sous cet angle, la phénoménologie est un certain tour de force idéaliste contre le positivisme. La phénoménologie essaie d’intégrer les courants contemporains de la philosophie allemande, et c’est ici et non en biologie que se situe la lutte pour la vie, selon Husserl. Le problème de la vision phénoménologique, en regard de la « race » comportant des significations qui ne sont pas particulièrement biologiques, est un problème qui remonte à Aristote. Selon lui, l’usage de l’eidos est aussi synonyme des catégories de genre et d’espèce. L’eidos d’Husserl inclut la conception d’Aristote, et se présente comme un moyen possible de construire un concept métaphysique de la race en dehors de la biologie. L’eidos en tant que type, tel qu’il est constitué dans la Lebenswelt, se caractérise finalement par la transformation de l’Umwelt en Heimwelt, dans lequel l’individu est passivement formé par la tradition, l’habitus, par terre et sang – un monde de la moyenne, de la « normalité ». Nous essayons de montrer, dans le processus de ce bouleversement irrationnel de la philosophie en Allemagne, le cas particulier et tragique du devenir de la phénoménologie de Husserl entre les mains de Heidegger, qui suggère une auto-limitation de la phénoménologie à la recherche d’un sens qui vise à l’unité du Dasein. Notre but ici est simple et radical : de même que Marx a montré que la philosophie de Hegel n’est rien d’autre que la collection des catégories de la philosophie bourgeoise en déclin, Lévinas et l’École de Francfort ont montré que la philosophie de Heidegger n’est rien d’autre qu’une poursuite de la philosophie hégélienne, mais à un niveau plus abstrait et aussi plus global. / This work is driven by the attempt to criticise Phenomenology with the help of Levinas. Similar to the Frankfurt School, he characterises it as a “vision of essences”. These eidetical essences are, and can never be fully absolute, not only because several movements of Hegelian Dialectics are refuted in submitting knowledge either to the imago of mere immanence, or to normative structures which are postulated as invariant like in certain versions of Neoplatonism, but because they function as an apriori of an eternally unfinished and fragmented Lebenswelt. Maybe it is to harsh to compare Husserl to the neoscholastic readings of Descartes and to the formalist interpretations of Kant. Husserl is well aware of the kinaesthetic foundations of consciousness and, contrary to Heidegger, he even promotes Spinozism in a certain phase of his which excels his adolescent fervour of Berkeley. Nevertheless, Husserl incorporates a subject-based, “monadic” transcendentalism, that paradoxically leads to the dissolution of subjective identity. Traditional reasoning itself is exfoliated to perfection in Heidegger afterwards. Husserl's halfhearted formalism ignores the materialist theory of the simulacrum by Lucretius. Heideggers philosophy widens this overseen aspect in calling the Eidos an Aussehen in referring to the Presocratics, but it despises any kind of method and finally flees in to poetry, maintaining its fatalist errors which it committed right form the start: this is why it gained the name of pseudo-concreteness. Cursed through a specific anti-sociological tendency caused by an anti-empiricist vision of history, their theories virtually (not conceptually) exclude the influences of society on philosophy: they are the end result of the era of Kulturkampf, in which idealism tried to battle positivism, naturalism and historicism. Husserl even defines this philosophical battle as the very struggle of existence. The formulation of the Eidos becomes performance. Aristotle used Eidos synonymous to genus and species. Hence the amplitudes of these philosophies foster the metaphysical standpoint of race, that got out of hand in the Nazi Era and even later on. The “topic” of blood and soil appears in Husserl's definition of Heimwelt and his Eurocentrism. Phenomenology is in no case to blame for National Socialism, and that it has very little to to with its causes. My work simply tries to make the same analogy that Marx had made for Hegel. It tries to describe, how two leading philosophers of the German Bourgeoisie are reproducing the categories of their surrounding society without even really observing it.
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L'hypothèse de Huber et les perturbations subjectives de la schizophrénie

Rioux, Alain 11 April 2018 (has links)
Les symptômes de base (Huber, 1957), aussi nommés plaintes cognitives par Cuesta, Peralta et Juan (1996), réfèrent à un groupe de symptômes moins connus mais dont l'intérêt s'est ravivé ces dernières années. Il s'agit de symptômes qui concernent spécifiquement le vécu expérientiel des personnes atteintes de schizophrénie et pouvant être qualifiés de perturbations subjectives. Ils se basent principalement sur le ressenti et non sur les altérations comportementales observables qui pourraient en découler. Une des premières échelles créées et la plus fréquemment utilisée pour mesurer les perturbations subjectives est le Questionnaire des plaintes de Francfort (QPF), élaboré par Sûllwold (1986). Le but de la présente thèse est d'explorer l'hypothèse de Huber à propos des perturbations subjectives telles que mesurées à l'aide du QPF. Selon Huber, ces perturbations constituent une partie essentielle des symptômes prodromiques et résiduels de la schizophrénie et elles seraient liées à la défaillance d'un processus élémentaire impliqué dans le filtrage de l'information. Dans cette optique, trois objectifs sont visés: 1. Examiner la structure factorielle du Questionnaire des plaintes de Francfort (QPF) ; 2. Étudier la relation entre les perturbations subjectives et la défaillance de certaines fonctions cognitives dans la schizophrénie ; 3. Étudier la relation entre les perturbations subjectives et d'autres catégories de symptômes de la schizophrénie. Les trois objectifs visés sont abordés comme des thèmes distincts qui se présentent sous la forme de trois articles. Sauf pour le premier article où la dimension statistique est au premier plan, c'est dans une approche de psychopathologie cognitive que se situent nos travaux. Ainsi, il s'agit d'expliquer une dimension symptomatologique de la schizophrénie (les perturbations subjectives) à partir du dysfonctionnement d'un processus élémentaire (Hardy-Bayle, 1997). L'article no 2 consiste en une étude corrélationnelle entre les perturbations subjectives et les fonctions cognitives d'inhibition et d'attention sélective. Quant à l'article no 3, il étudie la relation entre les perturbations subjectives et certaines dimensions symptomatologiques dont les symptômes positifs, négatifs et de psychopathologie générale. Suite aux articles, une discussion générale propose une synthèse et des perspectives de recherche.

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