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L'assignation du genre grammatical en français langue seconde : transfert ou terminaisons des noms?

Gareau, Frédéric January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire traite de l'assignation du genre grammatical, élément particulièrement difficile à maîtriser par les apprenants du français langue seconde. II vise à déterminer si le transfert de la langue première (LI) est un facteur majeur (transfert positif ou négatif) pour cette question et à comparer cette stratégie potentielle à celle du recours aux terminaisons des noms. Plus spécifiquement, une comparaison a été faite entre les résultats d'assignation du genre pour une variété de substantifs français par des hispanophones et des sinophones (mandarin) apprenant le français. Une telle étude est d'un grand intérêt puisque l'espagnol possède deux genres, comme en français, mais distribués différemment, alors que le mandarin n'a pas de genre. Les participants étaient tous des adultes. Leur niveau de connaissance du vocabulaire de nos tests a été mesuré et il a déterminé, entre autres, le classement des participants. Il a ensuite été pris en considération lors de l'analyse des résultats. D'autres variables ont été observées (par ex. : l'influence du sexe des participants sur l'assignation du genre grammatical). Pour répondre à nos questions de recherche, les participants (60) ont été conviés à passer deux tests individuels, présentés sur support informatique: un de reconnaissance des noms et un d'assignation du genre grammatical. Les principales questions de recherche étaient de savoir quel serait le groupe qui obtiendrait les meilleurs résultats au test d'assignation du genre grammatical et concernaient le transfert et les terminaisons des noms. Les deux groupes linguistiques ont obtenu des scores globaux d'assignation du genre similaires, mais avec des résultats distribués très différemment. Nous avons confirmé nos hypothèses principales: les hispanophones ont obtenu des résultats reflétant systématiquement un transfert de leur LI, et ce, surtout lorsque les noms observés étaient congénères avec leurs homologues en espagnol. Si les congénères étaient du même genre, l'assignation correcte était de 96,0 %, donc un effet de transfert positif très évident. Par contre, si les congénères étaient d'un genre différent, l'assignation correcte du genre français était de 33,7 %, donc un effet évident de transfert négatif (un haut taux d'erreurs). Pour les sinophones, les résultats ont coïncidé avec une attribution du genre masculin lorsque les noms français ne possédaient pas de -e muet final et du genre féminin lorsque les noms français possédaient un -e muet final. Nous en avons conclu des retombées pédagogiques qui favorisent un enseignement différent du genre grammatical selon le groupe linguistique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Acquisition, Chinois, Congénères, Didactique, Espagnol, Français, Genre grammatical, Langue seconde, Lexique, Linguistique, Terminaisons, Transfert.
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L'assignation du genre nominal en français : effet d'un enseignement explicite des indices phonologiques en immersion au primaire

Tipurita, Manuela-Elena 10 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire traite d'une recherche quasi-expérimentale en immersion précoce sur l'enseignement explicite de certaines terminaisons régulières des noms, renfermant des indices prédicteurs fiables du genre. Notre travail trouve son point de départ dans les recherches antérieures portant sur la difficulté des apprenants de français langue seconde à apprendre et à maîtriser le genre grammatical. Cette difficulté n'épargne pas les élèves du programme immersif, et de nombreux linguistes et didacticiens ont essayé de proposer des stratégies pour aider les élèves dans leur acquisition du genre. Notre étude a pour but de vérifier l'effet d'une séquence d'enseignement explicite des règles d'assignation du genre sur la base des terminaisons nominales régulières à forte valeur prédictive, ce qui n'a pas encore été tenté avec les jeunes apprenants en immersion précoce. Nous avons ciblé les élèves de 2e année en prenant pour modèle la recherche de Harley (1998). À ce stade d'acquisition du français en immersion, nous avons dû aborder les terminaisons sous leur volet oral, ce que nous appellerons des indices phonologiques, en recherchant l'effet de leur enseignement sur la précision de l'assignation du genre aux noms à partir de l'input. Nous avons supposé qu'au terme de notre expérimentation, les apprenants auraient amélioré leur aptitude à reconnaître le genre des noms suite à l'application des règles enseignées et qu'ils seraient à même de généraliser ces règles en identifiant correctement le genre de noms très rares en français, donc inconnus pour eux. Nous avons élaboré un test de compréhension orale, que nous avons fait passer à cinq classes en pré-test, post-test immédiat et post-test différé. Parmi les cinq classes, quatre ont suivi notre traitement expérimental et une a servi de groupe contrôle. Au pré-test, nous n'avons pas remarqué de différences significatives entre les classes, mais au post-test immédiat et au post-test différé, les classes expérimentales ont montré une nette amélioration de leur aptitude à identifier le genre des noms, autant pour les noms connus que pour les noms inconnus. Pour ce qui est du rendement du groupe contrôle, nous n'avons noté aucun progrès d'un test à l'autre. Ces résultats pourraient s'expliquer, selon nous, par l'effet positif de l'enseignement explicite des terminaisons régulières des noms en français. En effet, les élèves des classes expérimentales ont attribué correctement le genre sans différence significative entre les noms masculins et féminins et avec des valeurs similaires pour les indices phonologiques enseignés. Nous concluons notre mémoire avec des suggestions pédagogiques et en ouvrant la porte à d'autres recherches impliquant l'enseignement explicite des règles d'assignation du genre. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : assignation du genre, enseignement explicite, français langue seconde, immersion précoce, indice phonologique
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Pronoms clitiques objets : fréquence et expression du genre grammatical dans le discours oral des enseignants en classes d'immersion

Poirier, James 01 1900 (has links) (PDF)
L'objectif principal de la présente étude est d'étudier la fréquence et la répartition des pronoms objets directs de la 3e personne : le, la, les, l’ (pronoms clitiques) dans l'input oral des enseignants en immersion française. De plus, nous évaluons la propension des pronoms clitiques à indiquer le genre grammatical. Deux corpus oraux ont été analysés : l'un provenant de six classes d'immersion différentes dans la région de Montréal, l'autre, pour des fins de comparaison, tiré de dialogues familiaux. Nos résultats ont démontré que les pronoms clitiques sont peu fréquents (0.74 %) dans l'input des enseignants et dans celui des parents (1,45 %). La répartition des pronoms clitiques se lit comme suit en ordre décroissant : le > l’ > les > la; une tendance définitive qui se dessine chez les deux groupes et qui laisse entendre qu'il existe un élément intrinsèque en français qui nécessite ces distributions et ce sans distinction de contexte. En contexte scolaire, 71 % des pronoms clitiques employés dans l'input des enseignants ne fournissent aucun indice du genre grammatical comparé à 54 % dans le discours des parents du corpus. Dans l'input des enseignants, 52 % des occurrences du pronom le sont employées comme forme neutre à la différence des parents qui emploient le le sous sa forme neutre 19,7 % du temps. Nous proposons que la dislocation dans l'input oral serve à mettre en évidence le référent et par la même occasion son pronom clitique et son genre grammatical. Nos résultats laissent entendre un lien possible entre l'input restreint des enseignants et certaines lacunes langagières qu'éprouvent les élèves en immersion. À cet effet nous proposons que les enseignants prennent conscience de leur input au regard des traits langagiers qui ne sont ni fréquents ni saillants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : pronoms clitiques, genre grammatical, discours de l'enseignant, immersion française
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Le rôle des marques d'accord orales dans la catégorisation grammaticale des noms en français

Couture, Guylaine 10 1900 (has links) (PDF)
En français, les locuteurs doivent savoir à quelle classe de genre appartiennent obligatoirement les noms inanimés qu'ils emploient pour produire des accords grammaticaux, c'est-à-dire pour choisir la forme appropriée des éléments variables en genre qui peuvent accompagner le nom. Cette tâche complexe, maîtrisée très tôt par les enfants francophones, pose un problème notoire aux locuteurs non natifs pour qui cet aspect de la langue française demeure un casse-tête même après plusieurs années d'apprentissage. Comment les locuteurs natifs associent-ils des noms comme poil, toile, musée, fusée, ail et paille à une classe de genre? Certains chercheurs suggèrent que la terminaison d'un nom est le critère qui sert à déterminer son genre. Nous voyons, dans le cadre de cette étude, que la terminaison nominale comme indice du genre des noms inanimés a une portée limitée (aux plans descriptif et explicatif) et que l'apprentissage au cas par cas sur la base d'une association entre le nom et d'autres mots est nécessaire pour un ensemble important du lexique. Cette recherche vise à vérifier dans quelle mesure les marques d'accord orales sont des indices suffisants pour permettre aux locuteurs natifs d'associer des noms à une classe de genre sans le recours aux terminaisons nominales. Plus spécifiquement, nous vérifions si les locuteurs natifs sont capables de catégoriser des nouveaux noms sur la base d'une seule marque d'accord orale et si le déterminant et l'adjectif marqués oralement pour le genre ont un effet équivalent sur la catégorisation des noms. Pour répondre à nos questions, nous avons conduit une épreuve expérimentale à mesures répétées, en modalité auditive, en utilisant des noms fictifs dont les propriétés formelles ne sont pas typiquement associées à une classe de genre. Les principaux résultats montrent que les locuteurs natifs sont capables, suite à une brève exposition à des données de la parole, de catégoriser des noms nouveaux sur la base d'une seule marque d'accord orale. L'effet de catégorisation semble supérieur lorsque les noms apparaissent dans un contexte où la marque d'accord orale est sur le déterminant que lorsqu' elle est sur l'adjectif. Il est suggéré que les marques d'accord orales ont un effet mnémonique très fort qui facilite l'apprentissage du genre grammatical des noms chez les locuteurs natifs. Une application au domaine de l'apprentissage du français langue seconde est proposée en conclusion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : catégorisation, classe nominale, genre grammatical, marque d'accord orale, acquisition, nouveau mot, français.

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