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Les finances des collectivités locales au début des années 1960. Une approche statistique au niveau des grandes villes de province

Fréville, Yves 29 March 1966 (has links) (PDF)
Ce texte est une reproduction à l'identique d'une thèse soutenue en 1966. Son intérêt est de faire resurgir une période oubliée de l'histoire des finances locales françaises pour peu que l'on néglige certains exercices de style propres à ce genre de travail. Il rend compte en effet de la situation des finances locales au début des années 1960. Un mouvement d'urbanisation accélérée et d'exode rural secouait alors le vieux réseau des communes et précédait la mise en place des grandes réformes de la décennie 1970 qui modernisèrent les finances locales à défaut de réviser la carte administrative. Les communes et départements -puisque n'existaient à l'époque ni régions ni EPCI à fiscalité propre- vivaient encore sous le régime d'après guerre des centimes additionnels, de la taxe locale sur le chiffre d'affaires, des subventions spécifiques de l'Etat et des emprunts administrés de la Caisse des Dépôts. Les finances locales étaient de plus au début des années 1960 une terra incognita que commençaient à découvrir au niveau national tous ceux qui, au Commissariat du Plan ou à la DATAR, se préoccupaient de la réalisation des équipements collectifs -alors que triomphait l'urbanisme opérationnel- et qui étaient confrontés aux difficultés de leur financement par les collectivités locales. Pour explorer ce nouveau domaine, l'apprenti chercheur que j'étais préféra à l'analyse macro-économique du secteur financier local, d'ailleurs alors presque impossible à mener en l'absence d'une documentation nationale suffisante, l'étude des choix fonctionnels et des conditions d'équilibre budgétaire de collectivités à un niveau plus microéconomique. Le dépouillement direct d'une décennie de comptes administratifs d'un large échantillon de grandes villes constitua alors une tâche ingrate et de longue haleine indispensable à la réalisation de cet objectif. Ainsi, ce travail témoigne des conditions et des limites d'une recherche statistique menée à une époque où les calculs s'effectuaient manuellement, sans l'aide d'un ordinateur, où n'était disponible aucune base de données et où cartes et graphiques devaient être dessinés à la main ! Il restera au lecteur indulgent la possibilité de découvrir l'origine souvent oubliée de certains aspects actuels des finances locales. Tant il est vrai que les réformes institutionnelles aujourd'hui les plus nécessaires continuent à se heurter au poids des contraintes historiques !
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Four essays about the link between improvements of urban transports and criminality in big cities : the case of Bogota / Quatre essais à propos du lien entre les améliorations de transports urbains et la criminalité dans les grandes villes : le cas de Bogota

Olarte Bacares, Carlos Augusto 10 January 2014 (has links)
Cette thèse cherche à d'étudier et à déterminer l'impact des améliorations des transports publics sur la configuration de la criminalité dans une grande ville comme Bogota. Dans une première étape, cette recherche cherche à préciser le nombre d'emplois joignables par les habitants de la ville dans trois différents intervalles de temps. La taille effective du marché du travail est donc définir dans le but de déterminer si les habitants des différentes zones qui composent la ville ont le même,èegré d'accessibilité aux emplois. Une fois définie l'accessibilité, cette étude fait une étude comparative par rapport aux caractéristiques socio-économiques des habitants par zone ainsi que par rapport à la présence ou le manque d'améliorations du système de transport dans chaque zone qui composent la ville de Bogota. La présence des améliorations du système de transport est définie par le passage du système de transport appelé Transmilenio (TM) dans chaque zone. Dans le but d'approfondir sur le lien qui existe entre les caractéristiques socio-économiques des habitants et la présence de TM dans chaque zone de la ville, nous nous concentrons, dans une deuxième étape, sur l'existence d'une possible relation endogène de la présence de TM dans la concentration des emplois et des hauts revenus à Bogota. L'objectif de cette analyse est de déterminer si les améliorations des transports publics ont une relation causale dans la localisation des emplois et des hauts revenus dans chaque zone de la ville. Nous adoptons ensuite l'hypothèse que les criminels préfèrent commettre leurs crimes dans les bassins d'emplois et dans les zones à forte concentration des hauts revenus (indépendamment de la localisation des zones résidentielles). Dans le même ordre d'idée et afin d'établir une relation causal sur l'évolution de cinq différents types de crime dans chaque zone de la ville, cette étude réalise une analyse ex-ante et ex-post la mise en place de Transmilenio. En raison de la faiblesse de la base de donné pour les différentes périodes, les résultats de cette étape ne sont pas homogènes et ce qui les rend peu convaincants. Cependant, ils nous donnent une approximation pertinente de l'impact que Transmilenio peut avoir dans la configuration de la criminalité dans la ville. Ces résultats nous mènent à faire, dans une dernière étape, une analyse de causalité pour la période pour laquelle les données disponibles sont complets pour toutes les zones de la ville et ne montrent pas des problèmes de fiabilité. Après cette étape d'analyse, les résultats sont convaincants. Ils suggèrent qu'il existe bien une relation causale de la présence de Transmilenio sur l'évolution de trois des cinq types de crimes sujets de notre étude. Les résultats permettent également d'identifier une claire dépendance spatiale de la concentration des crimes dans la ville. Il semble donc que, malgré les multiples effets positifs que l'amélioration des transports publics peut avoir pour les habitants d'une ville, ceci peut aussi stimuler une hausse de certains types de crimes dans les zones desservies par Transmilenio. Malgré les limites de cette étude qui devront être résolues dans des futures recherches, les résultats obtenus, ainsi que la façon dont le sujet est abordé, représentent une perspective d'analyse innovatrice pour une meilleure compréhension des éventuelles conséquences négatives qui peuvent contrecarrer les objectifs des politiques des transports urbains dans les grandes villes. Nous pensons que cette thèse contribue à la complémentarité des études sur les effets des transports urbains. / The aim of this PhD dissertation is to study and reveal the impact of public transports' improvements on the configuration of the crime on a big city like Bogota. First, this research focuses on a calculation of the number of reachable jobs of bogotanians. The effective size of labor market is computed in order to establish if inhabitants have the same degree of accessibility to jobs with respect to their socio-economic situation and with respect to the presence of enhancements of public transports in zones where they live. The presence of improvements of public transports is defined by the presence of Transmilenio system in each zone of the city. Following the same intuition, this research also study, in a second time, the possible endogeneity of the presence of Transmilenio (TM) on the concentration of jobs and on the income of inhabitants of each zone. More precisely, the aim of this analysis is to determine if improvements of public transports may have a causal relation on the localization of jobs and the concentration of highest incomes in the city. The objective of this investigation is to establish that high incomes, jobs centers may be localized, in a big proportion, because of the presence of TM. Following the hypothesis suggested on several studies regarding the fact that criminals prefer to commit their crimes in zones with high density of jobs and in zones with highest incomes (regardless housing zones or job centers), this dissertation follow, in a thirdly, with an ex-ante and ex-post study of the evolution of cNme with respect to the opening of Transmilenio in each zone. The goal ofthis analysis is to establish a causal relation of enhancements of public transports on the evolution of five different types of crimes in each zone. Because of the weakness of available data, results are unfortunately not conclusive but give us an appropriate approximation of the impact that Transmilenio system may have on crime configuration. These results lead to make, on a final instance, a causal analysis for the year on which we have whole data. Results are conclusive: a causal relationship of Transmilenio on three of five types of crime object of this study is confirmed. ln addition, a spatial dependence on the concentration of crimes is also confirmed. It appears that, regardless the positive impacts that it could have, the presence of Transmilenio and hence, the enhancements of public transports in different zones of Bogota make raise sorne kinds of crimes. Even if this research presents sorne limitations that should be solved on future studies, the way how the issue is analyzed provides new perspectives for the comprehension of sorne negative consequences that can thwart positive objectives of urban transport policies. We believe that this PhD dissertation contributes to complement the studies about the effect of urban transports.
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Rome, l'inscription des violences politiques dans la ville au cours des années de plomb : (1966-1982) / Rome, the inscription of the political violence in the city during the years of lead : (1966-1982)

Guzzo, Domenico 06 June 2017 (has links)
En s’inscrivant dans le récent sillage historiographique consacré à la dimension métropolitaine de la conflictualité armée, cette recherche a analysé les milieux et les formes urbaines de l'extrémisme à Rome dans l’après-68. Par une approche interdisciplinaire - qui a intégré l’apport de la philosophie, de l'urbanisme, de la sociologie, de la géographie urbaine, des sciences politiques - cette étude a reconstruit la relation entre le territoire urbain et la mise en œuvre d’une violence subversive, souvent à caractère meurtrier et terroriste, dans le cadre de la modernisation nationale activée par le "boom économique" (1958-1963) et des dynamiques propres à la « guerre froide ».On a porté une attention particulière à l’appréhension des processus de transformation idéologique et culturelle, mûris au sein de la « crise urbaine » affectant le mauvais et difficile développement de Rome dans l'après-guerre, qui ont permis à la première métropole italienne de devenir l'écosystème unique et catalyseur de cette conflictualité extrême, au-delà des simples facteurs géopolitiques (crise européenne de l'idée d'atlantisme) et socio-économique (explosion des luttes sociales pour la revendication de biens et services propres à la modernité consumériste).Cette étude est remontée aux facteurs de division caractérisant la structure, le tissu et l’ambiance de Rome. Il s’agit des clivages fondamentaux, en place dès le début de l’époque républicaine (1946), sur lesquels s’implantent ensuite, au lendemain du boom économique, les processus de radicalisation qui accompagnent les multiples luttes revendicatives - dans les domaines du quartier, du travail, des écoles et de l’Université - engendrées par une modernisation de la capitale brutale et déséquilibrée. Notre recherche a, de ce fait, démontré que les différentes « expériences d’antagonisme » muries au sein de cette vaste contestation sociale, ont servi finalement d’incubateurs où une partie de la militance extraparlementaire romaine, issue de la mobilisation soixante-huitarde, s’est initiée à différentes pratiques subversives (notamment les répertoires de l’illégalité de masse et de la guérilla clandestine).La prise en compte de tous ces niveaux et ces dimensions a fait ressortir les particularités de la violence politique déployée à Rome dans l’après-68, tout en attribuant la juste proportion au « poids » de la capitale d’Italie dans le déploiement à l’échelle nationale de la « stratégie de la tension » (1969-1974) et des « années de plomb » (1975-1982).Cette recherche s’est donc engagée dans la reconstruction d’un cadre historique global, mettant en connexion diachronique les faits et les dynamiques internes à la ville (d’ordre social, économique, culturel, idéologique, politique et urbanistique) avec le système étatique centré à Rome – marqué par les pressions du « rideau de fer », les lourdes séquelles de la dictature fasciste et de la guerre civile, la fragilité gouvernementale et le manque de cohésion nationale – le long des années de la modernisation et de l’entrée dans la société d’abondance en Italie. / Following the new historiographical path focused on the urban dimension of the armed struggle, this research analyses the milieus and the forms of the political extremism in Rome after ‘68. By an interdisciplinary approach – which integrates the contribution of philosophy, of urban studies, of sociology, of urban geography, of political sciences – this study rebuilt the relation between urban territory and the implementation of a subversive violence, often lethal and terrorist, in the context of the national modernization activated by the “economic boom” (1958-1963) and of the “cold war” dynamics. A special attention is payed to the apprehension of the ideological and cultural evolutions - grown inside the “urban crisis” which affects the critical development of Rome in the post-war period – that transformed the biggest Italian metropolis in a perfect ecosystem for this extreme conflict, far beyond the only effects of the geopolitical  (European crisis of the Atlanticism) and socio-economic factors  (explosion of the social struggles claiming the fruition of goods and services created by for consumerist modernity). This study went back to the basic divisions of the structure, the society and the environment of Rome: the fundamental cleavages, appeared at the beginning of the republican time (1946), over which, after the “economic boom”, a process of radicalization (due to the growing of the social struggles in the fields of the local community, work, school and the University, generated by a brutal and unbalanced modernization of the town) is established. Our research, so showed that the various “experiments of antagonism” matured within this vast social protest, were used finally as incubators where part of the roman extremist militancy, resulting from the end of ’68 mobilization, was initiated with various subversive practices (in particular, the repertoires of the mass illegality and of the clandestine guerrilla). Considering of all these levels and these dimensions highlighted the characteristics of the political violence deployed in Rome after ’68, while allotting the right proportion to the “weight” of the capital of Italy in the national deployment of the “strategy of the tension” (1969-1974) and the “years of lead” (1975-1982). This research thus strives to reconstruct a comprehensive historical framework, putting of diachronic connection the facts and the dynamic of the metropolis (social economic, cultural, ideological, political and urban factors) with the State system based in Rome – characterized by the pressures of the “iron curtain”, the heavy after-effects of the fascist dictatorship and the civil war (1943-1945), the governmental frailty and the lack of national cohesion – along the years of modernization and of the entry in the age of abundance for Italy.

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