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Le sacrifice humain dans la littérature latine, mythes, légendes, historicité, représentations

Fournis, Jean-Yves 05 March 2012 (has links) (PDF)
Soixante auteurs latins, du troisième siècle avant JC jusqu'au cinquième siècle de notre ère, sont convoqués dans ce travail pour contribuer comme annalistes, historiens, généraux ou Césars à démêler l'écheveau des mythes, légendes, faits historiques attestés relatant un sacrifice humain à Rome et dans l'Empire. Bien peu de ces faits furent eux-mêmes reçus comme sacrifices humains par les Romains toujours prompts à les interdire dans les provinces conquises, affirmant ainsi la supériorité de leur civilisation. Notre regard de penseurs modernes, soutenu par la rémanence toujours actuelle de véritables sacrifices humains dans le monde, nous conduit à explorer la littérature latine et, nous appuyant sur les textes dans une approche comparative, à tenter de distinguer les meurtres, assassinats, châtiments, des pratiques rituelles de mises à mort sacrées d'êtres humains. Le recensement de ces sacrifices, au sens où notre conscience actuelle nous enjoint de les définir comme tels, aboutit à une typologie dans laquelle sacrifiés, sacrificateurs, divinités allocutaires prennent la place que des siècles de respect absolu de la Loi, de la tradition, de la religion ont désignée comme nécessaire à la pérennité des institutions et de l'imperium romains. Au cœur de ces pratiques, souvent maintenues pendant des siècles, la puissance du sacré émerge comme un fondement consubstantiel à l'Urbs, le substrat de croyances générées par l'époque archaïque et consolidées par une fidélité indéfectible aux prescriptions des patres conscripti. L'angoisse des Romains affrontés aux peuples italiques puis aux barbares du nord et du sud, le constat amer que leurs légions ne sont pas invincibles et furent souvent vaincues, génèrent au fil des siècles une psychose de pérennité et de domination imposant un recours constant aux dieux protecteurs. Confortés par l'enseignement des mythes, généreux dans la transmission des légendes et l'admiration des héros, tout imprégnés de la cruauté de récits sanglants, les auteurs latins ne conçoivent les sacrifices humains que comme la mise en œuvre de rites religieux légaux à valeur expiatoire ou propitiatoire dans les situations de danger extrême pour la Cité. Il faut attendre l'apparition des premiers apologistes chrétiens pour qu'émerge une condamnation définitive de toutes les pratiques sacrificielles tant animales qu'humaines, en parallèle au rejet des divinités et croyances ancestrales. Une ère nouvelle s'annonce pour Rome, ère qui ne verra pas la disparition totale de tout sacrifice humain dans l'Empire.
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Les mouvements sociaux dans le contexte de conflits armés. Causes et effets de la défense des droits humains (1980-2012). Association nationale paysanne-unité et reconstruction (ANUC-UR); Fédération des paysans et mineurs du Sud de Bolivar (FÉDÉAGROMISBOL); Conseils des communautés afro-descendantes Jiguamiandó et Curvaradó

Celis, Leila 18 March 2013 (has links)
La place de plus en plus prépondérante qui occupe la défense des droits humains dans les organisations paysannes en Colombie est sans doute une transformation très importante. La présente recherche analyse les dynamiques qui ont amenées les organisations paysannes à s’engager dans cette voie et étudie les conséquences qui en découlent. Deux dynamiques ont retenu notre attention dans le but de comprendre pourquoi la défense des droits humains devient si importante au sein des organisations paysannes depuis le milieu des années 1980. D’un côté, la recrudescence de la répression et, d’un autre côté, la reconnaissance croissante des droits. En effet, à partir des années 1980, les relations sociales d’appropriation et de domination se caractérisent par le contrôle paramilitaire imposé à sang et feu; alors que sous l’auspice international une série des politiques néolibérales favorables au discours des droits sont mises de l’avant. Pour les organisations paysannes, ces deux dynamiques paradoxales se transforment en opportunité politique propice au déclenchement de mobilisations et d’organisation. Cette opportunité politique s’articule autour de la défense des droits humains. Pour les organisations paysannes, la défense des droits humains entraîne des effets paradoxaux qui vont de la radicalisation à l’institutionnalisation, tout en reléguant d’autres revendications parce que moins urgentes que la défense de la vie. Par ses caractéristiques, la dynamique de la lutte paysanne depuis les années 1990 correspondent à une lutte de résistance. La résistance, qui est initialement pour la défense de la vie, prend des routes différentes selon les communautés parviennent à rester sur le territoire ou contrairement sont obligées au déplacement. Les communautés qui restent sur le territoire, lient la défense des droits humains à la défense du territoire et ce faisant imprègnent la défense des droits d’une interprétation nouvelle axée sur la justice sociale et judiciaire. Les communautés déplacées et leurs organisations, doublement fragilisées, sont cantonnées à une dynamique défensive qui est très peu en continuité avec les luttes pour la terre et pour la construction d’une économie paysanne qu’elles menaient avant la recrudescence de la répression et la consécutive défense des droits humains.
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Sépultures du cimetière St. Matthew : étude sur les critères paléodémographiques et la représentativité d'une collection d'ossements témoignant de la présence protestante à Québec entre 1771 et 1860 /

Arpin, Caroline. January 2006 (has links) (PDF)
Thèse (M. A.)--Université Laval, 2006. / Bibliogr.: f. [118]-126. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Les marqueurs osseux d'activités physiques une étude des restes humains du cimetière St. Matthew à Québec (XVIIIe et XIXe siècles) /

Perron, Jean-Sébastien. January 1900 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 2006. / Titre de l'écran-titre (visionné le 28 mars 2007). Bibliogr.
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Coastal resources and settlement stability : a critical study of a Mesolithic site complex in Northern Sweden /

Broadbent, Noel D. Engelmark, Roger. January 1979 (has links)
Akademisk avhandling--Arkeologi--Uppsala, 1979. / Bibliogr. p. 242-254.
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Les campagnes de la cité de Béziers dans l'Antiquité : partie nord-orientale, IIe s. av. J-C.-VIe s. ap. J-C. /

Mauné, Stéphane. Forest, Vianney. Picon, Maurice. January 1998 (has links)
Texte remanié de: Th. univ.--Archéol.--Besançon, 1996. / Bibliogr. p. 506-532. Notes bibliogr.
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Potrero de Guadalupe : anthropologie funéraire d'une communauté pré-tarasque du nord du Michoacán, Mexique /

Pereira, Grégory. January 1999 (has links)
Texte remanié de: Th. / Bibliogr. p. 213-219.
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Molokwane, an iron age Bakwena village : early Tswana settlement in the western Transvaal /

Pistorius, Julius C. C. January 1992 (has links)
Texte remanié de: Th.--University of Pretoria, 1985. / Bibliogr. p. 76-79.
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An archaeological ethnography of a neolithic community : space, place and social relations in the Burnt Village at Tell Sabi Abyad, Syria /

Verhoeven, Marc, January 1999 (has links)
Texte remanié de: Proefschrift--Faculteit der Sociale Wetenschappen--Rijksuniversiteit te Leiden, 1999. / Résumé en néerlandais. Bibliogr. p. 267-294.
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La traite des êtres humains : étude normative / Trafficking in Human Beings : normative study

Tosun, Leman 15 June 2011 (has links)
La présente étude porte sur l’encadrement juridique et pas sur la mise en oeuvre, car nous souhaitons nous interroger sur l’existence d’une volonté des Etats de combattre à travers du droit positif le phénomène. Dans l’ensemble on constate qu’il existe un lien indissociable entre la prévention et la répression de la traite et la protection des droits fondamentaux des victimes. L'histoire du droit international relatif à la traite remonte à 1904, la date d’adoption du premier instrument juridique international sur la question. En 1926 a été élaboré la première Convention relative à l’esclavage. Suite à l’ampleur du phénomène, la Convention relative à la répression de la traite des êtres humains et à l’exploitation de la prostitution d’autrui de 1949 et la Convention supplémentaire relative à l’abolition de l’esclavage, de la traite des esclaves et des institutions et pratiques analogues à l’esclavage de 1956 ont été adoptées. Ces conventions, ne prenaient pas en compte tous les aspects du problème, étaient antérieures à la plupart des pratiques modernes relatives au trafic de personnes, et ne disposaient pas d’organe de contrôle au niveau international. Le Protocole additionnel de la Convention des Nations Unies contre la criminalité transnationale organisée visant à prévenir, réprimer et punir la traite des personnes, et en particulier des femmes et des enfants donne pour la première fois une définition conventionnelle la plus élaborée du phénomène. De son côté le Statut de Rome de la Cour pénale internationale institue un nouvel organe international pour la traite en citant la réduction en esclavage au nombre des crimes considérés comme étant des crimes contre l'humanité. A coté des conventions universelles plusieurs organisations internationales et régionales se penchent sur le phénomène. La Convention du Conseil de l'Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains est l'instrument du Conseil la plus susceptible de contribuer de manière efficace à la lutte contre la traite des êtres humains. L’Union européenne a adoptés plusieurs résolutions spécifiques concernant la traite, au niveau du continent Américain, l’Organisation des États Américains a adopté plusieurs instruments concernant la traite, à l’échelle du continent africain, il y a des initiatives importantes qui se préoccupent directement du problème. Au niveau étatique les États membres disposent dans l’ensemble de dispositions pénales spécifiques permettant d'incriminer la traite en introduisant des sanctions effectives et dissuasives. En établissant des dispositions dans les différents codes, la Turquie prévoit une efficace répression en répriment toutes les formes de la traite. De son coté l’Ukraine pays d’origine de la traite doit non seulement sanctionner sévèrement les trafiquants, mais en même temps doit se conformer aux normes et exigences internationales. Avec le développement du phénomène une protection aux victimes est assurée, non seulement à travers les conventions à vocation universelle, mais aussi à travers diverses institutions régionales. Avec le Protocole de Palerme la communauté internationale a mis en place un cadre juridique international visant assurer une meilleure protection. De son côté dans le Statut de Rome de la Cour pénale internationale la protection et l’assistance proposées aux victimes sont applicables à toutes victimes de crime. Tandis que les deux conventions de Conseil de l’Europe, la Convention des droits de l’homme et la Convention sur la traite des êtres humains protègent efficacement les victimes, et les instruments adoptés au niveau de l’Union européenne contribuent à l’harmonisation des politiques de protection, les engagements pris par l’OSCE ne prévoient pas de dispositions contraignantes, de la manque de mécanisme de contrôle. / This study examines the legal framework of the trafficking in human beings, because we want to question the existence of a will of states to fight the phenomenon through positive law. Overall we find that there is an inextricable link between prevention and repression of trafficking and protection of victims' rights. The history of international law on the trafficking dates back to 1904, the date of adoption of the first international legal instrument on this issue. The first convention on slavery was developed in 1926. Following the magnitude, the Convention for the Suppression of the Traffic in Persons and of the Exploitation of the Prostitution of Others in 1949, Supplementary Convention on the Abolition of Slavery, the Slave Trade and Institutions and Practices Similar to Slavery of 1956 were adopted. These agreements, not taking into account all aspects of the problem predated the most modern practices relating to trafficking in persons, and did not have supervisory body at the international level. The Additional Protocol to the United Nations Convention Against Transnational Organized Crime to Prevent, Suppress and Punish Trafficking in Persons, especially Women and Children first gives the most elaborate definition of the phenomenon in the convention. For its part the Rome Statute of the International Criminal Court establishes a new international body for human trafficking, citing enslavement as a crime treated as crimes against humanity. Besides the universal conventions several international and regional organizations are looking at the phenomenon. The Convention of the Council of Europe, Convention on Action Against Trafficking in Human Beings is the instrument of the Council most likely to contribute effectively to the fight against trafficking in human beings. The European Union has adopted several resolutions concerning the specific processes; in America, the Organization of American States has adopted several instruments on trafficking; there are important initiatives that directly concern the problem in African continent. At the state level, the member States have in all specific criminal provisions to criminalize trafficking in human beings by introducing effective and dissuasive sanctions. In provisions in the various codes, Turkey provides an effective crackdown repress in all forms of trafficking. For its part the Ukraine country of origin of trafficking must not only severely punish traffickers, but at the same time must comply with international standards and requirements. With the development of the phenomenon, protection for victims is provided, not only through the conventions of international, but also through various regional institutions. With the Palermo Protocol the international community has established an international legal framework to ensure better protection. For his part in the Rome Statute of the International Criminal Court, protection and assistance shall apply to all victims of the crime. While both conventions Council of Europe Convention on Human Rights and the Convention on Trafficking in Human Beings effectively protect victims. While instruments adopted at the EU contribute to the harmonization of policies to protect, the commitment of the OSCE does not provide binding provisions because of the lack of control mechanism. Protection across America and Africa is rather ensured by the provisions concerning human rights, and the provisions regarding the protection of victims are very limited. At the state level the current trend of European states about protection and assistance to victims is a prerequisite for their cooperation with law enforcement authorities In all these countries, as well as Turkey and Ukraine, protection of victims is conditioned, but the last two do not have specific provisions for the protection of victims, contain provisions to protect witnesses and victims in general.

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