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Représentation et altérité : la vision du païen par les chrétiens latins de Charlemagne aux croisades de Prusse

Provost-Brien, Louis 08 1900 (has links)
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Gott im Bild : Eidôlon : Studien zur Herkunft und Verwendung des Septuagintabegriffes für das Götterbild / L'image de Dieu : Eidôlon : études sur l'origine et l'emploi du concept de la Septante pour désigner l'effigie des déités / The image of God : Eidôlon : the origin and the usage of the concept of idolatry in the Septuagint

Plangger, Stefanie 28 September 2018 (has links)
Actuellement, le concept « idole » a basculé dans la sphère triviale du culte de personnes et renferme, néanmoins, des traces du sens antique du mot. Le terme d’idole met l’accent sur le moment de la vénération et c’est précisément là que réside la difficulté : la combinaison de l’adoration et de la plasticité d'une image va à l’encontre de la théologie de l’Ancien Testament de la vénération unique et sans image de JHWH. Le point de départ de cette étude est le mot grec eidôlon, qui est ancré dans le sujet de l’image des divinités depuis la Septante et qui fait office de terme fixe pour désigner les déités étrangères. Il en ressort qu’il n’existe pas d’expression standard pour une image de culte dans la culture grecque. La comparaison et l’analyse exacte des équivalents hébreux et grecs forment la majeure partie de la thèse. Dans le cas d’eidôlon il n’existe pas d’équivalent standard mais un bon nombre de termes hébreux qui sont tous reproduits par le terme grec dans la LXX. Par ailleurs, le terme eidôlon apparaît dans des textes d’importance cruciale pour la foi israélite (voir sa fréquence dans le deuxième commandement du Décalogue et dans le Chant de Moïse). Il s’agit d’une manœuvre stratégique et théologique des traducteurs, car ce terme renferme tous les éléments majeurs des divinités étrangères. Il existe donc une différenciation claire entre le dieu d’Israël et toutes les autres divinités. / The concept “idol” derives from ancient Greek, which is still used today. Nowadays, an Idol designates first and foremost the cult of personality but the traces of the ancient meaning are partly preserved. The term idol focuses on the veneration of foreign deities and their pictorial representations. Therefore, idols contrast with the monotheism and an iconism of the god of Israel. This study elaborates the original meaning of the Greek word eidôlon which becomes the standard expression for divine images since its usage in the Septuagint and afterwards. It seems that there did not exist a major term for cult images in the Greek culture. The comparison and the exact analysis of the Hebrew and Greek equivalents form the major part of the thesis. In the case of eidôlon there does not exist a Hebrew standard equivalent but a variety of Hebrew lexemes which are all translated by the Greek word in the Septuagint. In general, eidôlon appears in important and authoritative texts (Exodus 20: the Second Commandment,Deuteronomy 32: The Song of Moses). Concerning the choice of terminology, eidôlon is astrategic and theological move of the translators because this Greek expression includes allmajor characteristics of foreign deities. A clear distinction between JHWH the god of Israel andall other deities becomes clear.
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Proust prestidigitador. Estudo da metáfora da leitura como tratamento de miopia na Busca do Tempo Perdido / Proust Prestidigitateur: étude de la métaphore de la lecture comme traitement de myopie dans À la Recherche du Temps Perdu

Pereira, Alan Luís 31 October 2014 (has links)
Assim como a questão essencial da teoria do efeito estético reflete sobre a possibilidade de descrever o processo complexo denominado leitura, esse estudo não procura compreender em toda sua extensão como o ato de leitura é representado na Busca do Tempo Perdido e teorizado por parte do escritor, mas descrever o modo pelo qual a metáfora da leitura como tratamento de miopia encarna-se em estruturas narrativas, ou seja - realiza-se no tempo - em feixes de acontecimentos que compõem o relato de uma vocação invisível, notadamente a singularidade do modo de leitura da figura central da obra de Proust, a que chamarei de leitura centrífuga, força de persuasão do livro que remete o leitor ao mundo não ficcional, que, embaralhando o fora e o dentro, resulta numa espécie de oftalmia. Pode a obra literária, tanto quanto a pintura, a fotografia e o cinema, desautomatizar a percepção visual? Pode a escrita, e o correlato da leitura, tal como as altas temperaturas, volatilizar os hábitos visuais anestesiados e acostumar os olhos a estesias imprevistas? Pode a leitura a prestidigitação? E o que pode, enfim, o leitor diante do prestidigitador? Empenha-se essa dissertação em escapar ao aprisionamento, à fixação, à consumação dos significados da metáfora da miopia, acompanhando apenas, como sombra movente ao lado do Narrador, suas mutações de sentido e a virtualidade de seus efeitos. / De même que la question essentielle de la théorie de leffet esthétique réfléchit à propos de la possibilité de décrire le processus complexe nommé lecture, cette étude ne cherche pas à comprendre dans toute son étendue comment lacte de lecture est représenté dans À la Recherche du Temps Perdu, et sa théorisation par lécrivain, mais à décrire comment la métaphore de la lecture comme traitement de myopie sincarne en des structures narratives, cest-à-dire, - se réalise dans le temps en des faisceaux dévénements qui composent le récit dune vocation invisible, notamment la singularité de la façon de lire du personnage central de loeuvre de Proust qui sera désignée comme lecture centrifuge, puissance de persuasion du livre qui renvoie le lecteur au monde non-fictionnel, embrouille le dehors et le dedans et résulte dans une espèce dophtalmie. Loeuvre littéraire peut-elle, autant que la peinture, la photographie et le cinéma, désautomatiser la perception visuelle? Lécriture peut-elle, et le corrélat de la lecture, ainsi que les hautes températures, dissoudre les habitudes visuelles anesthésiées et accoutumer les yeux à des esthésies imprévues? La lecture peut-elle la prestidigitation? Et quest-ce que peut le lecteur, finalement, en face du prestidigitateur? Cette dissertation singénie à échapper à lapprivoisement, à la fixation, à la consommation des signifiés de la métaphore de la myopie, en suivant seulement, comme une ombre changeant à côté du Narrateur, ses mutations des sens et la virtualité de ses effets.

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