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Le Nigéria à l'épreuve du terrorisme : une analyse des racines sociohistoriques et politiques de la violence revendiquée par Boko Haram

Pitroipa, Rayanesalgo Anatole 23 April 2018 (has links)
Créé à la fin des années 90, Boko Haram est passé, en l’espace de dix ans, du stade de secte islamiste à celui de mouvement terroriste capable de défier l’État fédéral nigérian (première puissance militaire de l’Afrique de l’Ouest) et de mener des incursions dans des pays limitrophes (Cameroun, Tchad, Niger). Les objectifs, les méthodes et les cibles du groupe ont considérablement varié au cours de son évolution, ce qui obère toute tentative de catégorisation de la violence qu’il revendique. Les recherches existantes sur Boko Haram l’analysent en fonction de sa radicalisation à la fin des années 2000 et voient dans l’explosion de la violence au Nord du Nigeria une résultante du terrorisme international et transnational qui affecte le Sahel et plusieurs pays de la sous-région ouest-africaine. Or, la violence politique sur fond de revendications ethniques, économiques et religieuses fait partie de l’histoire politique du Nigeria, et Boko Haram est loin d’être une génération spontanée dans le pays qui abrite la plus forte population musulmane du continent africain. À partir d’un niveau d’analyse intraétatique, cette recherche propose une lecture sociohistorique et politique du contexte structurel à partir duquel Boko Haram a émergé au Nord du Nigeria. Puis, à partir d’une conception relationnelle du rôle de la violence politique, elle utilise l’approche de la violence instrumentale de Martha Crenshaw pour conceptualiser l’évolution des confrontations entre Boko Haram et l’État nigérian. Par rejet d’un système fédéral qu’il considère comme une survivance de l’administration coloniale, Boko Haram revendique effectivement la création d’un État islamique à l’image du Califat de Sokoto [1800-1903] dont les limites géographiques couvraient aussi bien le Nord du Nigeria que certaines parties du Niger, du Cameroun et du Tchad.
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Wake up mes bons amis! : la représentation de la nation dans l'œuvre cinématographique de Pierre Perrault, 1961-1971

Bureau Meunier, Mathieu 23 April 2018 (has links)
Ce mémoire traite de l’un des courants idéologiques dominants de la Révolution tranquille au Québec, le néonationalisme. Dans les pages qui suivent, nous analyserons ce courant à travers le regard de l’un de ses protagonistes, le cinéaste Pierre Perrault. Nous voulons savoir de quelle façon celui-ci se représente la nation et comment il interprète les changements sociopolitiques des années 1960 et 1970. Pour ce faire, nous nous attarderons sur ses cinq premiers longs métrages, réalisés et commercialisés entre 1961 et 1971. Ces films nous renseignent sur la façon dont Perrault perçoit la nation québécoise. Selon le cinéaste, cette dernière doit être indépendante du Canada. Toutefois, pour que la nation puisse être souveraine, les Québécois doivent être en mesure de se nommer, puis de prendre conscience de ce qui nuit à leur épanouissement pour finalement s’émanciper par la prise de possession de leur territoire physique, culturel et politique.
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Fin du cycle post-colonial au Katanga, RD Congo : rébellions, sécession et leurs mémoires dans la dynamique des articulations entre l'État central et l'autonomie régionale 1960-2007

Kennes, Erik 16 April 2018 (has links)
Après une longue période d'opposition au pouvoir central, le Katanga prend le pouvoir avec la présidence de Laurent Kabila. Toutefois, sa présidence ne réussit pas à dépasser l'Etat postcolonial. Elle semble, plus particulièrement au Katanga, coïncider avec sa fin ainsi qu'avec la fin de la génération politique de l'indépendance. Une question s'impose : dans quelle mesure l'opposition katangaise était-elle capable de développer une vraie et réelle alternative à l'Etat postcolonial ? La réponse nécessite une analyse à différents niveaux : (l)Au niveau de la spécificité des structures étatiques au Katanga, qui coïncident originellement avec l'industrie minière. Ces structures, tout comme celles de l'Etat postcolonial mobutiste, se sont effondrées sous l'effet des facteurs internes et externes. L'ouverture internationale du secteur minier accélérera sa progressive informalisation, jusqu'à envahir les structures économiques et politiques formelles. (2) Au niveau de la volonté d'autonomie de la part de l'élite politique katangaise. L'action de l'élite politique katangaise contribua au développement de l'identité katangaise de façon positive (en se référant à une mémoire historique des anciens "royaumes" façonnée par le régime colonial) mais surtout de façon négative (en s'opposant aux "non-authentiques" katangais). Cette action se situe toujours dans le cadre de référence de l'Etat postcolonial. (3) Au niveau des résistances armées katangaises à l'extérieur du pays. Elles reflètent la fracture au Katanga entre le Sud (majoritaire parmi les Tigres, armée basée en Angola pendant des décennies) et le Nord (section de la Balubakat qui se transformera en mouvement de guérilla au Sud-Kivu). L'histoire de ces deux résistances occultées mais mentalement fort présentes au Zaïre de Mobutu, représente la majeure partie du travail. Leur inefficacité militaire (Kabila) ou politique (Tigres) s'explique au moins en partie par leur mémoire déconnectée des réalités de l'époque post-Mobutu qui coïncide sous la présidence de Kabila avec la fin de l'Etat postcolonial. L'opposition katangaise semble ainsi, à tous les niveaux, trop tributaire de l'Etat postcolonial pour pouvoir développer une réelle alternative porteuse d'avenir. Bien que ce dernier demeure incertain, l'arrivée au pouvoir du gouverneur Moïse Katumbi au Katanga montre probablement le début d'une nouvelle génération politique, plus pragmatique et libérée davantage du poids de la mémoire postcoloniale.
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Ferdinand Ier de Bulgarie : politique étrangère et diplomatie (1887-1918) / Ferdinand I of Bulgaria : Foreign Policy and Diplomacy (1887-1918)

Nicollet, Charlotte 13 October 2016 (has links)
Fondée en 1878 par le traité de San Stefano, mutilée par celui de Berlin, la principauté autonome de Bulgarie voit ses destinées confiées en 1887 à Ferdinand de Saxe-Cobourg et Gotha. Le nouveau knyaz est contraint dès son avènement à imposer sa personne et les ambitions de son pays dans l’arène internationale. Après une lutte de longue haleine pour obtenir la reconnaissance de son titre par le concert européen, il s’évertue à mener les Bulgares vers la réalisation de leurs idéaux nationaux. Il se heurte aux blocages dus aux liens unissant Sofia à Constantinople, à la rivalité des États environnants et aux politiques balkaniques contradictoires des puissances. Le prince aiguise au fil des ans son sens de la diplomatie et déploie une politique extérieure visant à tirer profit à la fois de la position stratégique de son pays et des rivalités des forces en présence, tout en exploitant à bon escient les circonstances successives. Sa politique de bascule aux ressorts progressivement définis est mise en œuvre, et à l’épreuve, au cours des secousses qui rythment les deux premières décennies du XXe siècle. Si elle permet à la Bulgarie d’accéder à l’indépendance, et au statut de royaume, dans le sillage de la crise bosniaque de 1908, ses revers sont patents pendant les Guerres balkaniques et le premier conflit mondial. Pourtant, force est de constater que ses échecs ne sont pas imputables au seul Ferdinand dont l’examen des faits tend à atténuer les responsabilités dans les « Catastrophes nationales », les deux défaites vécues par les Bulgares en 1913 et 1918, conséquences d’un écheveau de causes d’une grande complexité. / The boundaries of an autonomous Bulgarian principality established by the provision of the San Stefano Treaty in 1878 were substantially reduced by the Great Powers at Berlin. Many unresolved problems between Sofia and Saint-Petersburg led to suspension of the bilateral relations and the abdication of Alexander of Battenberg. Ferdinand of Saxe-Cobourg and Gotha was elected Prince in 1887. After a “controversial” accession to the Bulgarian throne, the young knyaz was committed to impose himself and his country’s national interests to the international scene. After a long-term efforts aimed at recognition of his title of king amongst European chancelleries, he tried hard to realise Bulgarian national ideas. However, it undermined relationship between Sofia and Constantinople but also contributed to the rivalry between surrounding States and the Great Powers in the Balkans. Due to his diplomatic experience, Ferdinand opted for a new foreign policy strategy designed to benefit both from the Bulgaria’s strategic position and the rivalry between powers. Thus, the first two decades of the 20th century were marked by the tumult of Balkan politics. However, it allowed Bulgaria to gain independence, the status of the Kingdom in the wake of the Bosnian crisis in 1908, and the defeats during the Balkan Wars and the First World War. The defeats are not attributable entirely to Ferdinand who was the most responsible for the “National Catastrophes” in 1913 and 1918. This research has shown that fact-based analysis provides a more nuanced picture of Ferdinand’s reign which was effected by a complexity of contributing factors that inevitably plunged the country into international isolation and defeat in the Great War.
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D'une littérature de la souveraineté vers une souveraineté littéraire : l'ironie dans le discours essayistique de Liberté de 1980 à 1986

Vallières, Gabrielle 11 December 2018 (has links)
Ce mémoire a pour corpus les essais parus dans Liberté entre mars 1980 et février 1986, période pendant laquelle François Ricard assumait la direction de la revue. Il veut mesurer la place de l’ironie dans la revue et circonscrire ses formes diverses en se penchant principalement sur les textes de Ricard lui-même, d’André Belleau et d’Yvon Rivard, mais également la mettre en relation avec l’indépendantisme québécois. En quoi une conception de l’indépendance partagée dans la revue migre-t-elle de la chose au mot ? Nous tenterons de comprendre le rôle d’une culture globalisante de l’ironie dans ce déplacement. Si les travaux critiques englobant la question de l’essai québécois des années 1980 ont souvent noté un repli sur l’intime propre à cette décennie, le Québec demeure, à Liberté, une pierre angulaire du discours essayistique. L’ironie peut-elle émerger comme compromis entre un désir de se défaire d’« une question nationale obsessionnelle et indépassable » et le besoin, toujours existant, de revendiquer une forme d’indépendance, dorénavant plus littéraire que politique ?

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