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A critical examination of instrumentalism in John Dewey's pragmatism : extractum ex dissertatione ad doctoratum in facultae philosophiae /Eze, Hippolytus M. January 1991 (has links)
Diss. ad doctoratum--Facultas philosophiae--Romae--Pontifica universitas urbaniana, 1991. / Bibliogr. p. 149-189.
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L'Esse intentionale chez Saint Thomas d'Aquin: l'être de la "vertu instrumentale" et du conceptVerhulst, Christine January 1978 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Misère de la sociologie : Nicos Poulantzas et le débat anglais sur la question de l’État dans le MarxismeLegros, Benoit 16 May 2011 (has links)
La présente thèse a pour objet de contribuer à l’évaluation critique de la sociologie poulantzassienne à l’intérieur du champ de la théorie marxiste de l’État. Dans le cadre d’une appréciation critique du débat anglais, nous chercherons à voir comment peut-on traiter de la sociologie poulantzassienne de l’État - en tant que fondement du néo-marxisme - sur la base d’une théorie marxiste de l’État qui intègre à la fois les acquis du marxisme ouvert et du marxisme classique. Plus précisément, le cadre théorique guidant l’évaluation critique s’articule autour des concepts d’instrumentalisme et d’économisme du marxisme classique, ainsi que la critique du fétichisme des relations sociales de production développée par le marxisme ouvert. Cet examen permet de conclure que le structuro-fonctionnalisme poulantzassien, fondé sur la séparation formelle des structures et de la pratique d’une part, et la séparation formelle du politique et de l’économique d’autre part, mène à une théorie de l’autonomie relative de l’État qui, en plus d’appauvrir la compréhension de phénomènes sociaux contemporains, rejette à l’arrière plan la subjectivité politique et, par le fait même, sème la confusion sur le terrain de la lutte de classe concrète.
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Misère de la sociologie : Nicos Poulantzas et le débat anglais sur la question de l’État dans le MarxismeLegros, Benoit 16 May 2011 (has links)
La présente thèse a pour objet de contribuer à l’évaluation critique de la sociologie poulantzassienne à l’intérieur du champ de la théorie marxiste de l’État. Dans le cadre d’une appréciation critique du débat anglais, nous chercherons à voir comment peut-on traiter de la sociologie poulantzassienne de l’État - en tant que fondement du néo-marxisme - sur la base d’une théorie marxiste de l’État qui intègre à la fois les acquis du marxisme ouvert et du marxisme classique. Plus précisément, le cadre théorique guidant l’évaluation critique s’articule autour des concepts d’instrumentalisme et d’économisme du marxisme classique, ainsi que la critique du fétichisme des relations sociales de production développée par le marxisme ouvert. Cet examen permet de conclure que le structuro-fonctionnalisme poulantzassien, fondé sur la séparation formelle des structures et de la pratique d’une part, et la séparation formelle du politique et de l’économique d’autre part, mène à une théorie de l’autonomie relative de l’État qui, en plus d’appauvrir la compréhension de phénomènes sociaux contemporains, rejette à l’arrière plan la subjectivité politique et, par le fait même, sème la confusion sur le terrain de la lutte de classe concrète.
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Misère de la sociologie : Nicos Poulantzas et le débat anglais sur la question de l’État dans le MarxismeLegros, Benoit 16 May 2011 (has links)
La présente thèse a pour objet de contribuer à l’évaluation critique de la sociologie poulantzassienne à l’intérieur du champ de la théorie marxiste de l’État. Dans le cadre d’une appréciation critique du débat anglais, nous chercherons à voir comment peut-on traiter de la sociologie poulantzassienne de l’État - en tant que fondement du néo-marxisme - sur la base d’une théorie marxiste de l’État qui intègre à la fois les acquis du marxisme ouvert et du marxisme classique. Plus précisément, le cadre théorique guidant l’évaluation critique s’articule autour des concepts d’instrumentalisme et d’économisme du marxisme classique, ainsi que la critique du fétichisme des relations sociales de production développée par le marxisme ouvert. Cet examen permet de conclure que le structuro-fonctionnalisme poulantzassien, fondé sur la séparation formelle des structures et de la pratique d’une part, et la séparation formelle du politique et de l’économique d’autre part, mène à une théorie de l’autonomie relative de l’État qui, en plus d’appauvrir la compréhension de phénomènes sociaux contemporains, rejette à l’arrière plan la subjectivité politique et, par le fait même, sème la confusion sur le terrain de la lutte de classe concrète.
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Misère de la sociologie : Nicos Poulantzas et le débat anglais sur la question de l’État dans le MarxismeLegros, Benoit January 2011 (has links)
La présente thèse a pour objet de contribuer à l’évaluation critique de la sociologie poulantzassienne à l’intérieur du champ de la théorie marxiste de l’État. Dans le cadre d’une appréciation critique du débat anglais, nous chercherons à voir comment peut-on traiter de la sociologie poulantzassienne de l’État - en tant que fondement du néo-marxisme - sur la base d’une théorie marxiste de l’État qui intègre à la fois les acquis du marxisme ouvert et du marxisme classique. Plus précisément, le cadre théorique guidant l’évaluation critique s’articule autour des concepts d’instrumentalisme et d’économisme du marxisme classique, ainsi que la critique du fétichisme des relations sociales de production développée par le marxisme ouvert. Cet examen permet de conclure que le structuro-fonctionnalisme poulantzassien, fondé sur la séparation formelle des structures et de la pratique d’une part, et la séparation formelle du politique et de l’économique d’autre part, mène à une théorie de l’autonomie relative de l’État qui, en plus d’appauvrir la compréhension de phénomènes sociaux contemporains, rejette à l’arrière plan la subjectivité politique et, par le fait même, sème la confusion sur le terrain de la lutte de classe concrète.
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Une conception naturaliste et normative de l'axiologie scientifique contemporaine : analyse et dépassement de la théorie de LaudanVanier, François 08 1900 (has links)
Ce mémoire propose une conception naturaliste et normative de l'axiologie scientifique contemporaine, c'est-à-dire des buts de la science et des scientifiques. Nous commençons par présenter le naturalisme en philosophie des sciences, en particulier ses dimensions scientifique, méthodologique et ontologique. Nous discutons le sophisme naturaliste et l'objection de la normativité souvent adressée aux approches naturalistes, principalement à travers le prisme de l'épistémologie naturalisée de Quine (1969). Nous illustrons ensuite ces thèmes - naturalisme, normativité, et axiologie scientifique - au moyen de la théorie de Laudan (1987), qui articule un début de théorie axiologique de la science qui se veut naturaliste et normative. Nous soulignons le caractère insatisfaisant de sa théorie, et proposons une conception plus riche et plus détaillée de l'axiologie scientifique. Nous analysons pour ce faire différents liens entre la science, l'industrie, le gouvernement et la société. Nous dégageons en particulier une tendance axiologique pragmatique de la science contemporaine. Finalement, nous ébauchons un cadre normatif instrumental inspiré de Laudan (1987)pour réfléchir sur l'axiologie scientifique. / This master proposes a naturalist and normative conception of contemporary scientific axiology, i.e., of science's and scientists' goals. We start off by discussing some naturalistic positions in philosophy of science, their scientific, methodological and ontological dimensions as well. We review the naturalistic fallacy and the normativity objection against naturalistic approaches, mostly in light of Quine's (1969) naturalized epistemology. We then illustrate these themes - naturalism, normativity, and scientific axiology - by discussing Laudan's (1987) naturalistic and normative theory of scientific axiology. We underscore the unsatisfying character of his theory, and propose instead a richer and more detailed one. In order to do that, we analyse some relations between science, industry, government and society. We identify and discuss a pragmatic axiological trend in particular. Finally, we sketch an instrumental normative framework for thinking about scientific axiology.
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La conversation républicaine, sine qua non de la démocratie américaine, première victime de la guerre au terrorismeAndré, Marie-Kettlie 03 1900 (has links) (PDF)
Se présentant comme une démocratie modèle fondée sur un contrat sans cesse renégocié au travers de la conversation républicaine, les États-Unis se sont dotés d'un système politique respectueux des droits de la personne et garant des libertés civiles dans tous les secteurs d'expression sociale. Ce régime, imparfait à sa naissance, a progressé de façon lente, mais constante. Même à la fin du XXe siècle, il n'avait pas encore atteint son plein épanouissement. La démocratie américaine reste perfectible! Bien sûr, des forces restreignent la réalisation du projet initial. Même si, dès 1789, elle a permis d'élaborer la Constitution et, plus tard, ses principaux amendements, la conversation républicaine, SINE QUA NON de la démocratie, n'a jamais pu fonctionner pleinement. L'exclusion d'importantes parties de la population (infortunés, minorités ethniques, femmes) donne une idée des lacunes qu'elle a plus ou moins comblées avec le temps. Déjà limitée en temps de paix, durant les conflits, la conversation républicaine est confrontée à des « mesures de guerre » porteuses de censure et d'autres procédures transformant la communication en propagande et l'information en désinformation. Propagande et désinformation promeuvent alors les intérêts des élites politiques et économiques. La guerre ralentit donc considérablement la mise en pratique des idéaux et elle entraîne même la régression de ce régime.
Ces constats de ralentissement, d'arrêts ou de reculs nous interpellent sur la place de la pratique démocratique aux États-Unis. Nous nous sommes demandée si ce pays, très souvent en guerre, s'est effectivement doté d'une démocratie dont le fonctionnement et la progression normale auraient été malencontreusement stoppés par de nombreux épisodes guerriers ou si, au contraire, le recours récurrent aux mesures de guerre porteuses d'entraves au bon fonctionnement de la conversation républicaine n'est pas, finalement, le scénario rêvé par l'Establishment pour faciliter et rendre incontestable, la gestion efficace du système économique et financier dont cette puissance mondiale est devenue le champion? Pour répondre à cette question, nous avons suivi une approche chronologique qui nous permet de procéder à une analyse des faits et des idéologies qui ont légitimé les guerres. Nous avons étudié les épisodes guerriers qu'ont connus les États-Unis, de la Révolution de 1776 aux conflits locaux qui ont failli « faire éclater » la « guerre froide ». Évidemment, nous avons particulièrement insisté sur la « guerre au terrorisme » menée par Georges W. Bush, au lendemain des attentats du 11 septembre 2001. Nous en arrivons à croire qu'en lançant cette Guerre, le Président des États-Unis, conseillé par les Néoconservateurs, a contraint les Américains à abandonner leur idéal de « conversation républicaine ». L'examen précis du contexte de la guerre au terrorisme étaye notre hypothèse. Il souligne le caractère instrumental de cette guerre, et rend compte ainsi de l'impraticabilité de « la conversation républicaine ». Pour garantir la pratique efficace du capitalisme sauvage, l'idéal de « conversation républicaine » a été transformé en un simple outil de propagande, un symbole publicitaire, un thème central de campagne de relations publiques! Nous concluons en soulignant que la guerre au terrorisme dans laquelle Bush a précipité les États-Unis a un impact considérable sur la façon d'interpréter l'histoire de cette grande puissance. Loin d'être « une grande démocratie » temporairement malmenée par quelques conflits, depuis la guerre au terrorisme, nous percevons l'histoire de ce pays comme celle d'une oligarchie qui ne peut fonctionner efficacement que dans un état de guerre permanente où l'idéal démocratique de « conversation républicaine » est remplacé par celui de l'American way of life, sorte de culte de la consommation propice à l'enrichissement des managers et des financiers américains.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Communication, États-Unis, espace public, guerre, guerre au terrorisme, démocratie, conversation républicaine, censure, désinformation, répression, sceau de secret, secret d'État, propagande, sécurité nationale, intérêts public et national, Destinée Manifeste, pragmatisme managérial de Thayer-Ravault, instrumentalisme de Habermas.
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Une conception naturaliste et normative de l'axiologie scientifique contemporaine : analyse et dépassement de la théorie de LaudanVanier, François 08 1900 (has links)
Ce mémoire propose une conception naturaliste et normative de l'axiologie scientifique contemporaine, c'est-à-dire des buts de la science et des scientifiques. Nous commençons par présenter le naturalisme en philosophie des sciences, en particulier ses dimensions scientifique, méthodologique et ontologique. Nous discutons le sophisme naturaliste et l'objection de la normativité souvent adressée aux approches naturalistes, principalement à travers le prisme de l'épistémologie naturalisée de Quine (1969). Nous illustrons ensuite ces thèmes - naturalisme, normativité, et axiologie scientifique - au moyen de la théorie de Laudan (1987), qui articule un début de théorie axiologique de la science qui se veut naturaliste et normative. Nous soulignons le caractère insatisfaisant de sa théorie, et proposons une conception plus riche et plus détaillée de l'axiologie scientifique. Nous analysons pour ce faire différents liens entre la science, l'industrie, le gouvernement et la société. Nous dégageons en particulier une tendance axiologique pragmatique de la science contemporaine. Finalement, nous ébauchons un cadre normatif instrumental inspiré de Laudan (1987)pour réfléchir sur l'axiologie scientifique. / This master proposes a naturalist and normative conception of contemporary scientific axiology, i.e., of science's and scientists' goals. We start off by discussing some naturalistic positions in philosophy of science, their scientific, methodological and ontological dimensions as well. We review the naturalistic fallacy and the normativity objection against naturalistic approaches, mostly in light of Quine's (1969) naturalized epistemology. We then illustrate these themes - naturalism, normativity, and scientific axiology - by discussing Laudan's (1987) naturalistic and normative theory of scientific axiology. We underscore the unsatisfying character of his theory, and propose instead a richer and more detailed one. In order to do that, we analyse some relations between science, industry, government and society. We identify and discuss a pragmatic axiological trend in particular. Finally, we sketch an instrumental normative framework for thinking about scientific axiology.
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Critiques de la raison instrumentale : Horkheimer, Adorno, HabermasProulx, Alexandre 17 April 2018 (has links)
À travers l'examen de plusieurs critiques de la raison instrumentale, ce mémoire cherchera à déterminer s'il en est une qui soit le mieux à même de répondre de la complexité de la société occidentale moderne. Tout d'abord, la problématique sera introduite avec la lecture de Max Weber proposée par Jürgen Habermas. Il sera question chez Weber du phénomène de la rationalisation de la société. Partant de l'évidence que la sphère cognitive-instrumentale de la raison s'impose fortement dans la modernité, notamment par le complexe monétaire-bureaucratique, il s'agira d'expliquer, en revenant sur le processus historique du désenchantement du monde, comment la rationalité par rapport à une fin a-t-elle pu devenir aussi dominante dans nos institutions sociales? Ensuite, la critique de la réification de Max Horkheimer et Theodor W. Adorno sera abordée. Elle voudra montrer que la raison est totalitaire dans son essence; la raison a toujours produit de la domination et de la violence dans tous ses rapports: à la nature, à la société et à la subjectivité. Depuis le tout premier mot de l'homme, mana, jusqu'à l'Aufklärung en passant par le mythe, la raison est totalitaire. Enfin, Jürgen Habermas proposera un changement de paradigme qui, selon lui, est nécessaire pour dépasser le concept de raison réduit à son seul potentiel cognitif-instrumental. C'est dans le paradigme du langage que Habermas trouvera les ressources manquantes pour saisir le riche potentiel de la rationalité communicationnelle. Puis, grâce à ce nouveau paradigme, il pourra adéquatement conceptualiser les deux niveaux qui composent la société moderne: le système et le monde vécu. C'est seulement après avoir considéré l'importance du rôle que joue le système pour la reproduction matérielle et le monde vécu pour l'intercompréhension que Habermas abordera la colonisation systémique du monde vécu, une critique de la raison instrumentale nuancée et représentative de l'ambivalence qui caractérise la société moderne.
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