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Vertus et éducation moraleGagnon, Alex 08 1900 (has links)
L’éducation morale est un aspect central de l’éthique de la vertu de tradition aristotélicienne. De nombreux auteurs sont attachés à l’idée qu’une bonne théorie éthique doit nous informer sur la manière de former de meilleurs agents moraux. Les éthiciens de la vertu considèrent que c’est par une éducation du caractère que l’on peut façonner des agents vertueux. Or, une telle éducation est-elle vraiment possible? Et si elle l’est, en quoi consiste-t-elle? Ce mémoire entend répondre à ces questions en explorant les horizons de la théorie des vertus, horizons qui dépassent maintenant les limites de la philosophie. En s’interrogeant d’abord sur le naturalisme moral en théorie des vertus, le naturalisme libéral est retenu comme la position métaéthique la plus réaliste pour l’avenir de la théorie. Celle-ci doit tenir compte des avancées scientifiques, notamment en psychologie sociale, si elle souhaite accomplir ses objectifs éducatifs. Pour suivre cette démarche, les caractéristiques centrale du concept de vertu sont identifiés, puis mis à l’épreuve par la critique situationniste des vertus. Selon le situationnisme, de nombreuses études empiriques montreraient que les comportements moraux des agents sont déterminés par des facteurs circonstanciels et arbitraires. Par conséquent, une caractéristique centrale de la théorie, la robustesse des vertus, est abandonnée. Cet abandon ne marque toutefois pas la fin de la théorie des vertus : elle est alors orientée vers l’éducation morale où elle demeure pertinente grâce à la littérature sur l’expertise et sur l’intelligence émotionnelle. Ce cadre théorique et empirique permet de donner une solide fondation pour l’éducation de vertus. Certaines difficultés demeurent présentes quant à l’implantation de programmes concrets d’éducation des vertus dans les écoles. Pour le futur, les chercheurs devront relevés les défis que représentent l’environnement scolaire et la mesure de vertus. / Moral education is a central aspect of the virtue ethics of Aristotelian tradition. Many authors are attached to the idea that a good ethical theory should inform us about how to form better moral agents. The ethicists of virtue consider that it is through an education of character that virtuous agents can be fashioned. But is such an education really possible? And if it is, what does it consist of? This thesis aims to answer these questions by exploring the horizons of the theory of virtues, horizons that now exceed the limits of philosophy. By first questioning moral naturalism in the theory of virtues, liberal naturalism is retained as the most realistic metaethical position for the future of the theory. It must take into account scientific advances, particularly in social psychology, if it wishes to achieve its educational objectives. To follow this approach, the central characteristics of the concept of virtue are identified and then tested by the situationist critique of virtues. According to the situationism, many empirical studies would show that the moral behaviors of the agents are determined by circumstantial and arbitrary factors. Therefore, a central feature of the theory, the robustness of virtues, is abandoned. This abandonment, however, does not mark the end of the theory of virtues: it is then oriented towards moral education where it remains relevant thanks to the literature on expertise and emotional intelligence. This theoretical and empirical framework makes it possible to give a solid foundation for the education of virtues. Some difficulties remain in implementing concrete curricula for the education of virtues in schools. For the future, researchers will have to take up the challenges of the school environment and the measurement of virtues.
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Enhancing emotional competences in the context of unemployment : a longitudinal analysis of the effects on well-being and employability / Amélioration des compétences émotionnelles des personnes en recherche d'emploi : impact sur le bien-être et l'employabilitéHodžić, Sabina 24 November 2015 (has links)
De nombreuses études ont montré que l'intelligence émotionnelle (IE) permet de prédire différents comportements cognitifs émotionnels et sociaux (Di Fabio, Palazzeschi, Asulin-Peretz et Gati, 2013; Fugate, Kinicki & Ashfort, 2004; Joseph & Newman, 2010; Salovey et Mayer, 1990; Van Rooy & Viswesvaran, 2004) le bien-être psychologique et physique ainsi que la santé mentale (Martins, Ramalho & Morin, 2010; Schutte, Malouff, Thorsteinsson, Bhullar & Rooke, 2007). En outre, les recherches étudiant les effets des formations en Compétences Émotionnelles (CE) montrent que ces dernières permettent d’améliorer certaines dimensions cognitives, émotionnelles et comportementales liées à la santé (Schutte, Malouff & Thorsteinsson, 2013). Notre recherche examine si (a) les CE peuvent être développée chez les adultes chômeurs, (b) si ces effets de formation sont modérés par la durée du chômage et (c) si les changements en CE contribuent aux changements de bien-être physique et psychologique (étude 1). Nous faisons par ailleurs l’hypothèse que les perspectives d'employabilité des chômeurs adultes peuvent être améliorées après la formation (étude 2). La recherche d'emploi est testée, comme un possible facteur déterminant des effets de l'intervention, de même que nous examinons si les changements en CE sont associés aux des ressources et des stratégies d'adaptation (étude 3). Les résultats montrent un impact différentiel de la formation en fonction de la durée du chômage et de la recherche d'emploi. En outre, le changement dans la CE prédit de façon significative des changements dans le stress perçu, les plaintes somatiques, la santé mentale, les deux dimensions de l'humeur, la satisfaction avec la vie, l'optimisme, la qualité des relations sociales ainsi que les stratégies d'adaptation orientées vers les problèmes. En outre, l'intervention a eu des effets positifs sur l'employabilité perçue, l’employabilité réelle et l'auto-efficacité entrepreneuriale. Les résultats sont discutés au regard du potentiel de développement des CE et de l'efficacité de l'intervention en CE pour les chômeurs. / Numerous studies showed that Emotional Intelligence (EI) is related to and can predict variety of cognitive and behavioural outcomes (Di Fabio, Palazzeschi, Asulin-Peretz & Gati, 2013; Fugate, Kinicki & Ashfort, 2004; Joseph & Newman, 2010; Van Rooy & Viswesvaran, 2004) and psychological and physical well-being and mental health (Martins, Ramalho & Morin, 2010; Schutte, Malouff, Thorsteinsson, Bhullar & Rooke, 2007). Besides, the results of previous EI or Emotional Competences (EC) trainings showed that EI/EC and different cognitive, behavioral and health-related aspects can be improved and developed (Schutte, Malouff & Thorsteinsson, 2013). Expanding the results of the previous studies, the present study examines whether EC can be developed among unemployed adults, whether the training effects are moderated by the unemployment duration and whether changes in EC can predict changes physical and psychological well-being (Study 1). Second, it is hypothesized that the EC intervention can increase employability prospects of unemployed adults (Study 2). Finally, job search is tested, as a possible determinant of the intervention effects, and whether changes in EC after the intervention can predict changes in positive psychological strengths and adaptive coping strategies (Study 3). The results showed a differential impact of the training depending on the unemployment duration and job search. Besides, change in EC significantly predicted changes in perceived stress, somatic complaints, mental health, two mood dimensions, satisfaction with life, optimism, quality of social relationships and problem oriented coping strategies. Besides, the intervention had positive effects on self-perceived employability, reemployment success and entrepreneurial self-efficacy. The results are discussed focusing on the potential of EC development and the effectiveness of the EC interventions for different life outcomes of unemployed people. / Numerosos estudios han demostrado que la Inteligencia Emocional (IE) está vinculada y que puede predecir la variedad de resultados cognitivos y conductuales (Di Fabio, Palazzeschi, Asulin-Peretz y Gati, 2013; Fugate, Kinicki y Ashfort, 2004; José y Newman, 2010; Van Rooy y Viswesvaran, 2004) y el bienestar físico, psicológico y la salud mental (Martins, Ramalho y Morin, 2010; Schutte, Malouff, Thorsteinsson, Bhullar y Rooke, 2007). Además, los resultados de los entrenamientos anteriores basados en la IE o las Competencias Emocionales (CE) mostraron que la IE/CE y diferentes aspectos cognitivos, conductuales y de salud pueden ser mejorados y desarrollados (Schutte, Malouff y Thorsteinsson, 2013). Ampliando los resultados de los estudios previos, el presente estudio examina si las CE se pueden desarrollar entre los adultos desempleados, si los efectos del entrenamiento son modulados por la duración del desempleo y si los cambios en las CE pueden predecir los cambios en bienestar físico y psicológico (Estudio 1). En segundo lugar, se plantea la hipótesis de que la intervención en las CE puede aumentar las perspectivas de empleabilidad de los adultos desempleados (Estudio 2). Por último, se analiza la búsqueda de empleo, como un posible factor determinante de los efectos de la intervención, y si los cambios en las CE después de la intervención pueden predecir los cambios en las fortalezas psicológicas positivas y estrategias de afrontamiento adaptativo (Estudio 3). Los resultados mostraron un impacto diferencial del entrenamiento en función de la duración del desempleo y de la búsqueda de trabajo. Además, los cambios en las CE predijeron significativamente los cambios en la percepción de estrés, quejas somáticas, salud mental, dos dimensiones del estado de ánimo, satisfacción con la vida, optimismo, calidad de las relaciones sociales así como las estrategias de afrontamiento orientadas al problema. Además, la intervención tuvo efectos positivos en la percepción subjetiva de la empleabilidad, el éxito real en encontrar empleo y en la autoeficacia emprendedora. Los resultados se discuten centrando en el potencial de desarrollo de las CE y de la eficacia de la intervención en CE para diferentes resultados de la vida de las personas desempleadas.
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Pour une aide au Sisyphe de la carrière: nouvelles études empiriques du rôle de quelques variables décisionnelles explicatives / For an help to career Sisyphus: new empirical studies on the role of some explanatory decisional variablesDi Fabio, Annamaria 20 February 2013 (has links)
Résumé. Le but de cette thèse de doctorat est d’analyse le rôle des quatre variables individuelles (traits de personnalité, sentiment d’efficacité de la décision de carrière, support social perçu et intelligence émotionnelle) dans l’explication des différents aspects décisionnels (difficultés à prendre des décisions de carrière, styles décisionnels, indécision généralisée). Dans ce travail de doctorat on va utiliser les résultats des articles suivants qui ont été publiés ou sont sous presse sur journaux. L’article de Di Fabio et Palazzeschi (2009a) permet de mettre en évidence chez les apprentis italiens une relation entre les difficultés à prendre des décisions de carrière (Manque de promptitude, Manque d’information et Inconsistance de l’information) et les traits de personnalité (liaison négative avec l’Extraversion et positive avec le Névrosisme) et négatives avec l’intelligence émotionnelle. L’étude montre également comment l’intelligence émotionnelle est en mesure d’expliquer un pourcentage de variance incrémentale de chacune des trois dimensions du CDDQ par rapport aux traits de personnalité. L’article de Di Fabio et Blustein (2010) permet de démontrer chez des lycéens italiens l’existence de relations entre l’intelligence émotionnelle et les styles décisionnels du modèle de Mann et al. (1997), en montrant comment, parmi les dimensions de l’intelligence émotionnelle, c’est l’Intrapersonnelle qui apporte le plus grand pourcentage d’explication inverse des styles non adaptifs du MDMQ (évitement, procrastination, hypervigilance) tandis que c’est l’Adaptabilité qui apporte le plus grand pourcentage d’explication positive du style adaptatif vigilance du MDMQ. L’article de Di Fabio et Kenny (2012) permet de confirmer chez des lycéens italiens l’existence de relations entre l’intelligence émotionnelle et les styles décisionnels dans ce cas définies selon le modèle de Scott et Bruce (1995). Cette étude permet de souligner aussi que c’est surtout l’intelligence émotionnelle auto-évaluée plutôt que l’intelligence émotionnelle comme habileté qui explique les styles décisionnels. L’article de Di Fabio, Palazzeschi, Asulin-Peretz et Gati (sous presse) permet de démontrer que l’intelligence émotionnelle explique un pourcentage de variance incrémentale soit par rapport à les traits de personnalité soit par rapport à le sentiment d’efficacité de la décision de carrière et au support social perçu en ce qui concerne tant les difficultés à prendre des décisions de carrière que l’indécision généralisée. L’étude a aussi révélé que les difficultés à prendre des décisions de carrière sont mieux expliquées par l’intelligence émotionnelle alors que l’indécision généralisée est mieux expliquées par les traits de personnalité. L’article de Di Fabio et Kenny (2011) a montré l’efficacité d’une formation pour le développement de l’intelligence émotionnelle conçue spécifiquement pour des lycéens italiens selon le modèle des habiletés, en montrant comment cette formation augmente l’intelligence émotionnelle tant comme habileté qu’ auto-évaluée et diminue l’indécision de carrière et l’indécision généralisée. Les hypothèses ont été confirmées par les articles présentés, ouvrant de nouvelles perspectives de recherche et d’intervention. <p><p>Références bibliographiques<p><p>Di Fabio, A. & Blustein, D. L. (2010). Emotional intelligence and decisional conflict styles: Some empirical evidence among Italian high school students. Journal of Career Assessment, 18, 71-81.<p>Di Fabio, A. & Kenny, M. E. (2011). Promoting emotional intelligence and career decision making among Italian high school students. Journal of Career Assessment, 19, 21-34.<p>Fabio, A. & Kenny, M. E. (2012). The contribution of emotional intelligence to decisional styles among Italian high school students. Journal of Career Assessment, 20, 404-414. <p>Di Fabio, A. & Palazzeschi, L. (2009a). Emotional intelligence, personality traits and career decision difficulties. International Journal for Educational and Vocational Guidance, 9(2), 135-146.<p>Di Fabio, A. Palazzeschi, L. Asulin-Peretz, L. & Gati, I (sous presse). Career indecision versus indecisiveness: Associations with personality traits and emotional intelligence. Journal of Career Assessment./Abstract. The aim of this doctoral dissertation is to analyse the role of four individual variables (personality traits, career decision-making self-efficacy, perceived social support and emotional intelligence) in explaining different decisional aspects (career decision-making difficulties, decisional styles, indecisiveness). In this doctoral work, it was using the results of the following articles that were published or were in press on journals. The article of Di Fabio and Palazzeschi (2009a) highlighted in Italian young workers engaged in paid professional training a relationship between career decision-making difficulties (Lack of readiness, Lack of information, Inconsistent information) and personality traits (inverse relationship with Extraversion and positive with Neuroticism) et inverse with emotional intelligence. The study also showed how emotional intelligence was able to explain a percentage of incremental variance in each of the three dimensions of CDDQ in relation to personality traits. The article of Di Fabio and Blustein (2010) demonstrated in Italian high school students the existence of relationships between emotional intelligence and decisional styles according to Mann et al. (1997) model showing how, among emotional intelligence dimensions, was the Intrapersonal which provided the largest percentage of inverse explanation of non-adaptive styles of the MDMQ (avoidance, procrastination, hypervigilance) whereas was Adaptability which brought the highest percentage of positive explanation of vigilance adaptive style of the MDMQ. The article of Di Fabio and Kenny (2012) confirmed in Italian high school students the existence of relationships between emotional intelligence and decisional styles in this case defined according to Scott and Bruce (1995) model. This study also underlined that it was especially self-reported emotional intelligence rather than ability-based emotional intelligence which explained decisional styles. The article of Di Fabio, Palazzeschi, Asulin-Peretz and Gati (in press) demonstrated that emotional intelligence explained a percentage of incremental variance in relation to both personality traits and career decision-making self-efficacy and perceived social support with regards to both career decision-making difficulties and indecisiveness. The study also revealed that career decision-making difficulties were better explained by emotional intelligence while indecisiveness was better explained by personality traits. The article of Di Fabio and Kenny (2011) showed the effectiveness of a training for the development of emotional intelligence designed specifically for Italian high school students according to ability-based model, showing how this training increased emotional intelligence both ability-based and self-reported and decreased career indecision and indecisiveness. The hypotheses were confirmed by the described articles, opening new perspectives for research and intervention.<p><p>References<p><p>Di Fabio, A. & Blustein, D. L. (2010). Emotional intelligence and decisional conflict styles: Some empirical evidence among Italian high school students. Journal of Career Assessment, 18, 71-81.<p>Di Fabio, A. & Kenny, M. E. (2011). Promoting emotional intelligence and career decision making among Italian high school students. Journal of Career Assessment, 19, 21-34.<p>Fabio, A. & Kenny, M. E. (2012). The contribution of emotional intelligence to decisional styles among Italian high school students. Journal of Career Assessment, 20, 404-414. <p>Di Fabio, A. & Palazzeschi, L. (2009a). Emotional intelligence, personality traits and career decision difficulties. International Journal for Educational and Vocational Guidance, 9(2), 135-146.<p>Di Fabio, A. Palazzeschi, L. Asulin-Peretz, L. & Gati, I. (in press). Career indecision versus indecisiveness: Associations with personality traits and emotional intelligence. Journal of Career Assessment.<p> / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Émotions et gestion : une exploration de la représentation sociale de l'affectivité chez des gestionnaires québécoisBeaulieu, Josée 11 April 2018 (has links)
L'analyse des perceptions des gestionnaires par rapport à l'affectivité dans les fonctions de gestion nous a semblé une voie de recherche prometteuse. Nous avons tenté de cerner la représentation sociale de l'affectivité chez les gestionnaires en décomposant celle-ci en diverses dimensions. Outre, les compétences dites émotionnelles telles que définies par Goleman (1999), nous avons inclus d'autres dimensions que sont Y expression des émotions, la prise de décision et la dimension genre et émotions. Le premier objectif de cette recherche est d'appréhender la représentation sociale de l'affectivité chez les gestionnaires québécois dans l'exercice de leurs fonctions. Le deuxième objectif consiste à établir une comparaison entre les perceptions des gestionnaires masculins à l'égard de l'affectivité en gestion et celles des gestionnaires féminins. À cet effet, nous avons recruté un échantillon de 77 gestionnaires québécois (42 hommes et 35 femmes) auquel nous avons administré un questionnaire portant sur la représentation sociale de l'affectivité en gestion. Les résultats de cette enquête ont permis de mettre en lumière l'importance relative qu'accordent les gestionnaires aux diverses dimensions de l'affectivité visées par cette étude. Ainsi, la connaissance de soi est la dimension qui obtient l'appui le plus marqué (90,9 %) chez les répondants, alors que Y expression des émotions et la prise de décision (50,6 %) sont les dimensions auxquelles les gestionnaires sont le moins favorables. En réalisant une analyse de similitude, nous avons ensuite exploré les relations qui existent entre les dimensions de l'affectivité en gestion. Enfin, à l'aide de diverses méthodes d'analyse utilisées dans cette recherche, nous avons procédé à comparer les perceptions des gestionnaires masculins et féminins. Ces analyses ne nous ont pas permis de cerner de différences profondes en ce qui concerne leurs perceptions relatives à chacune des dimensions de l'affectivité en gestion. Par contre, nous avons observé certaines divergences dans les dimensions privilégiées par les hommes et les femmes.
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