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Approches théoriques des modes d'organisation spatiale des architectures multimédias / Theoretical approaches of spatial organization modes in multimedia architectures

Papaconstantinou, Georgios 11 October 2014 (has links)
Notre implication personnelle dans le design de projets de multimédias culturels nous a conduits à nous intéresser plus particulièrement aux architectures multimédias, qui constituent le sujet de cet ouvrage. Le terme «architectures multimédia» décrit trois axes différents: les architectures spatiales, les architectures du contenu et les architectures de programmation et de navigation interactive. Des analogies et des relations peuvent être établies entre l’organisation spatiale et la structure programmatique du projet architectural et les propriétés correspondantes d’une œuvre multimédia. L’accent est mise sur les multimédias culturels de la période 1990-2005 dans le but de découvrir des éléments innovants dans la conception de l’interface graphique et interactive. Ces innovations, qui constituent des programmes artistiques nouveaux, ont contribué à faire progressivement émerger un nouveau langage propre à l’espace numérique multimédia. Un nouvel habitus de la production artistique s’est développé sur l’héritage des vieux moyens d’expression et sur l’assimilation des nouveaux médias. / Through our personal involvement in the design of cultural multimedia projects we have developed a special interest in multimedia architectures, which are the subject of this text. The term “multimedia architectures” denotes three different axes: spatial architecture of screens and interfaces, architecture of the content organisation and the architecture of programming and navigation design. Analogies and relations can be established between the spatial organization and the program structure of the architectural project and the corresponding properties of a multimedia work. The cultural multimedia of the period 1990-2005 have been analysed with the aim of discovering innovative elements in the design of the graphical and interactive interface. These innovations represent new artistic programs and have contributed to the gradual emergence of a new language, specific to the digital space of interactive multimedia. A new habitus of artistic production has developed on the legacy of the old means of expression and on the assimilation of new media.
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Étude des relations entre les formes de documents, les stratégies de lecture et la compréhension chez des élèves de 3e secondaire

Carignan, Isabelle January 2007 (has links)
No description available.
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Associations prospectives entre l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents et le bien-être psychosocial au début de l’adolescence

Bernard, Jessica 08 1900 (has links)
Objectif. Les avancées technologiques procurent aux jeunes enfants un accès sans précédent aux médias violents. Pourtant, l’étendue et la persistance des risques psychosociaux et scolaires à long terme découlant de l’exposition précoce à des médias violents demeurent méconnues. Cette étude vise donc à examiner les associations prospectives entre l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents et le bien-être psychosocial des filles et des garçons au début de l’adolescence. Méthode. Les participants (978 filles et 998 garçons) de cette étude longitudinale prospective proviennent de la cohorte de naissances de l'Étude longitudinale du développement des enfants du Québec (ÉLDEQ). Les parents ont rapporté la fréquence d’exposition à des contenus télévisuels violents de leur enfant à l’âge de 3,5 ans et 4,5 ans. Huit ans plus tard, huit indicateurs importants du bien-être psychosocial de l’enfant à 12 ans ont été rapportés par l’enseignant et l’adolescent. Pour mesurer les associations prospectives, les indicateurs de bien-être psychosocial à 12 ans ont d’abord été régressé linéairement sur l’exposition à des contenus télévisuels violents à l’âge de 3,5 et 4,5 ans, et cela, pour chaque enfant, sans distinction du sexe. Puis, des analyses stratifiées par le sexe ont été effectuées. L’ensemble des analyses ont été contrôlées pour des caractéristiques individuelles et familiales confondantes. Résultats. Pour les filles, l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents est associée à une augmentation de la détresse émotionnelle (β = 0,11; intervalle de confiance [IC] 95 %, 0,13 à 0,49) et à une diminution de l’engagement en classe (β = -0,10; IC 95 %, -1,55 à -0,40), du rendement scolaire (β = -0,16; IC 95 %, -3,48 à -1,72) et de la motivation intrinsèque scolaire (β = -0,07; IC 95 %, -1,09 à -0,07) à l’âge de 12 ans. Pour les garçons, l’exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents est associée à une augmentation de la détresse émotionnelle (β = 0,10; IC 95 %, 0,13 à 0,53), de l’inattention (β = 0,08; IC 95 %, 0,06 à 0,45), des comportements découlant du trouble des conduites (β = 0,06; IC 95 %, 0,00 à 0,21) et de retrait social (β = 0,08; IC 95 %, 0,05 à 0,40), ainsi qu’à une diminution de l’engagement en classe (β = -0,07; IC 95 %, -1,57 à -0,12), du rendement scolaire (β = -0,07; IC 95 %, -2,15 à -0,23) et de la motivation intrinsèque scolaire (β = -0,07; IC 95 %, -1,13 à -0,03) à l’âge de 12 ans. Conclusion. Nos résultats révèlent des risques psychosociaux et scolaires distincts et persistants au début de l'adolescence associés à l'exposition préscolaire à des contenus télévisuels violents pour les filles et les garçons. La diminution de l'exposition à des contenus violents à l'écran durant les années préscolaires représente une intervention parentale bénéfique et un objectif d'éducation aux médias. / Objective. The extent to which the long-term risks of early exposure to media violence remains unclear. This study aims to examine whether preschool exposure to violent media predicts a range of associated psycho-social and academic risks for boys and for girls in early adolescence. Methods. Participants (978 girls and 998 boys) are from the Quebec Longitudinal Study of Child Development birth cohort. Self- and teacher-reported measures of child psycho-social and academic adjustment indicators at age 12 years were linearly regressed on parent-reported child exposure to televised violence at age 3.5 and 4.5 years, while adjusting for potential confounders. Results. For girls, violent televiewing during preschool years was associated with increases in emotional distress (β = 0.11; 95% confidence interval [CI], 0.13 to 0.49) and decreases in classroom engagement (β = -0.10; 95% CI, -1.55 to -0.40), academic achievement (β = -0.16; 95% CI, -3.48 to -1.72), and intrinsic academic motivation (β = -0.07; 95% CI, -1.09 to -0.07) at age 12 years. For boys, violent televiewing during preschool years was associated with increases in emotional distress (β = 0.10; 95% CI, 0.13 to 0.53), inattention (β = 0.08; 95% CI, 0.06 to 0.45), and conduct disordered (β = 0.06; 95% CI, 0.00 to 0.21) and socially withdrawn behavior (β = 0.08; 95% CI, 0.05 to 0.40), as well as decreases in classroom engagement (β = -0.07; 95% CI, -1.57 to -0.12), academic achievement (β = -0.07; 95% CI, -2.15 to -0.23) and intrinsic academic motivation (β = -0.07; 95% CI, -1.13 to -0.03) at age 12 years. Conclusion. Our findings in early adolescence reveal distinct, persistent risks associated with preschool exposure to violent televiewing for boys and girls. Diminishing preschool screen violence exposure represents a useful parent intervention and media literacy target.
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Physical activity and screen time trajectories in adolescents

Riglea, Teodora 08 1900 (has links)
Introduction : Seulement 7% des Canadiens de 17 ans et moins pratiquent 60 minutes d’activité physique modérée à vigoureuse quotidiennement. La majorité dépasse le temps d’écran quotidien recommandé de deux heures. Plusieurs études transversales indiquent que les deux comportements évoluent indépendamment et ne seraient que faiblement corrélés. Objectifs et hypothèses : Les objectifs de ce mémoire est d’identifier des trajectoires d’activité physique et des trajectoires de temps devant l’écran durant l’adolescence, par sexe, et de décrire la distribution des individus selon l’appartenance simultanée aux deux trajectoires. Nos hypothèses stipulent que des trajectoires différentes seront observées pour les deux sexes et que les deux comportements ne s’influenceront pas. Méthodes : Les données proviennent d’une étude prospective de 1294 adolescents de la région de Montréal, recrutés en 1999 à l’âge de 12-13 ans. Des questionnaires ont été remplis en classe à chaque 3 mois, de la première à la cinquième année du secondaire. Des modélisations de trajectoires de groupe ont identifié des trajectoires d’activité physique et de temps devant l’écran. Une modélisation de trajectoires jointes a rapporté des probabilités d’appartenance aux trajectoires des deux variables. Résultats : Cinq groupes ont été identifiés pour les trajectoires d’activité physique pour les deux sexes. Quatre groupes ont été identifiés pour les garçons et 5 pour les filles concernant le temps passé devant l’écran. 57% des garçons et 46% des filles ont fait des activités physiques pendant 6-7 jours par semaine, durant toute l’adolescence. Toutes les trajectoires de temps devant l’écran accumulent plus de deux heures d’écran quotidiennement. Les probabilités conditionnelles suggèrent une relation entre l’activité physique et le temps devant l’écran. Conclusion : Le développement de l’activité physique et du temps devant l’écran est hétérogène durant l’adolescence. Leur coévolution doit être prise en compte par les professionnels en santé publique. / Introduction: Only 7% of Canadians age ≤ 17 years engage in the recommended 60 minutes or more of moderate-to-vigorous physical activity (PA) daily. Further, most youth surpass the recommended screen time maximum of 2-hours daily. Many cross-sectional studies suggest that PA and screen time are only weakly correlated and that they evolve independently. Objectives and hypotheses: The first objective of this MSc thesis was to model PA and screen time trajectories during adolescence, in boys and girls. The second objective was to describe the distribution of participants according to concurrent membership in the two sets of trajectories. Our hypotheses were that trajectories differ by sex and that PA trajectories are independent of screen time trajectories. Methods: Data were drawn from an ongoing longitudinal study of 1294 adolescents age 12-13 years recruited in 1999-2000 in 10 Montreal-area high schools. Self-report questionnaires were completed during class time, every 3 months from grade 7 to 11. Group-based trajectory modeling identified PA and screen time trajectories. Joint trajectory models provided membership probabilities in both PA and screen time trajectories. Results: Five groups of PA trajectories were identified in both sexes. Four and five screen time trajectory groups were identified in boys and girls, respectively. Half (57%) of boys and 46% of girls engaged in PA 6-7 days weekly during the entire 5-year follow-up. All screen time trajectories were above the recommended 2-hours daily. Conditional probabilities suggested weak associations between PA and screen time. Conclusion: Patterns of PA and screen time are heterogeneous during adolescence. Their co- evolution may need to be considered by public health practitioners.
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Des champs du signe<br />Du design hypermédia à une écologie de l'écran

Dall'Armellina, Luc 30 January 2003 (has links) (PDF)
Avec le pixel pour alphabet, le signe pour vocabulaire, l'algorithmique pour grammaire et l'interactivité pour mode de lecture, nos langages dans l'écran sont fragmentés, mais pourtant présents peut-être comme jamais auparavant. Ils semblent s'inscrire sur une surface sans mémoire, à la manière des ardoises magiques de notre enfance...<br />Nos langages s'écrivent, se dessinent et se design(ent) : lettres et signes (indiciels, iconiques et symboliques) prennent place dans l'environnement changeant de l'écran, devenu aujourd'hui capable de se changer lui-même.<br /><br />Le design consiste à donner un champ esthétique en même temps qu'une forme plastique, et ergonomique à une chose. Cette chose peut-être un objet (un signe), un événement (une action), un espace (une interface) ou un jeu d'interaction (comportement). C'est l'art de la configuration des signes pensé dans un usage social. Le design tient un rôle central dans le champ de la création numérique. Il concerne maintenant le son, l'image fixe et animée, le texte, et les conditions même du dévoilement et de la présence des signes, soit l'interactivité. La question du design est celle de la technologie immiscée par effraction dans le champ de l'art. La technologie interroge et bouscule fortement la doxa comme la critique, la pratique artistique comme celle de la monstration.<br /><br />Nous reformulons l'activité du design avec le qualificatif de néo-design, marquant ainsi l'évolution de celui-ci par rapport aux pratiques pré-numériques. Nous rencontrons le terme de meta-design (LAB-au) et proposons celui de meta-signe, insistant sur le fait que le designer numérique produit aujourd'hui moins des représentations (images) que des systèmes capables de générer, organiser des agencements (interfaces) qui opèrent un environnement intelligent.<br /><br />Cet environnement est fait de nouveaux types de signes que nous avons génériquement nommés e-mouvants, soulignant la particularité associant l'électronique et le mouvant, pour rendre compte si besoin de ce nouveau champ du sensible. Ce qui a pour effet direct de ne plus pouvoir considérer la technologie seulement dans ses modes opératoires d'outils, mais de la considérer comme une production de l'esprit matérialisée et en actes.<br /><br />L'écran connecté au computer nous fait donc passer d'un régime de signes lié à la représentation à un régime lié à l'émergence et à l'expérience du monde. Nous passons progressivement à un environnement sémiotique, complexe et fortement interconnecté, autopoïétique. Cette transformation profonde de notre environnement symbolique peut désormais être abordée à travers ce que nous avons nommé une écologie de l'écran.<br /><br />C'est donc le système dans son entier qui porte et relaie l'opérabilité. Pourquoi ce terme ? Il a l'avantage de trouver son origine dans le mot œuvre (du latin opera). Opérer, c'est « être au travail, diriger un travail intellectuel » (« Robert électronique » 1992), mais c'est aussi mettre en œuvre, un travail par la pratique. L'opérateur est bien lié à l'œuvre, c'est celui qui œuvre, man-œuvre, ou œuvre avec ses mains en vue de réaliser certaines opérations. L'opérabilité en tant que ce qui peut être opéré, c'est-à-dire « accompli (une action), effectué (une transformation), par une suite ordonnée d'actes ou d'opérations » se constitue comme l'espace d'émergence d'un méta langage et dont la programmation est le mode d'écriture et dont l'action génère l'accomplissement.<br /><br />L'écran est le lieu et l'acteur d'un changement radical du paradigme espace-temps pour le lecteur comme pour l'auteur, au profit d'une triade systémique que nous avons nommée espace-temps-opérabilité dessinant en son centre le concept de praxis hypermédia. Cette dimension émerge dans le double mouvement de l'opérabilité de la machine calculante et de l'engagement du lecteur devenu un scripteur, c'est-à-dire un acteur-acté-actant.<br /><br />Cette praxis, dans le sens d'une activité qui unit l'action, l'intellection et l'expérience sensible dessine une éco-sémio-systémie, ou plus simplement une écologie des signes de l'écran. Elle inscrit de nouvelles modalités de saisie de nos univers symboliques où l'espace comme lieu et mémoire, le temps (boucle, ritournelle, temps suspendu) et la présence (contrôle, action, engagement) altèrent et revisitent profondément la notion d'espace-temps connue jusqu'ici.<br /><br />Ce qui a pu s'énoncer comme une praxis hypermédia fait reposer le récit sur de nouvelles bases. L'analyse de quelques œuvres a permis de proposer l'idée de l'e-narratif (narratif électronique) qui serait cette forme qu'il conviendrait d'appeler encore l'épi-narratif , comme l'épiphénomène électronique du narratif, venant augmenter le narratif tel que nous le connaissions jusqu'ici.<br /><br />L' e- narratif serait constitué d'au moins deux composantes :<br /><br />L'infra-narratif, qui opère des constructions de sens par le jeu complexe des signes e-mouvants dans l'environnement de l'écran agi. L'infra-narratif se situerait au niveau perception-réception des signes dynamiques en permettant à l'opérateur une construction du sens dynamique non liée à la succession temporelle narrative habituelle mais s'articulant plutôt sur un axe paradigmatique des signes en mouvement et selon un processus sémiotique dynamique, dans un temps de perception très court.<br />Le praxo-narratif, généré par l'action dans l'environnement processuel de l'écran et dans le temps d'une praxis peut être rapproché du l'« extra-noématique » d'Espen Aarseth. Ce qui le distingue du narratif est le caractère « agi » qui n'existe pas – sauf exception - comme tel dans les médias pré-numériques. Ce qui se produit de narratif dans la suite ou conséquence de l'action n'est peut-être pas encore déterminant pour le narratif mais l'est pour assurer l'engagement du lecteur comme acteur dans le dispositif. C'est à ce titre l'effectuation du mouvement d'identification du spectateur tel qu'il n'était pas effectué au cinéma, d'un dasein, ou d'une existence incarnée.

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