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The question of being

Haines, David 24 April 2018 (has links)
La difficulté éprouvée lorsqu'on considère la question de l'être est décrite par Étienne Gilson de la manière suivante : Dans « un domaine où la démonstration dialectique perd ses droits, chacun ne peut que regarder, dire ce qu'il voit et inviter les autres à tourner comme lui le regard vers la vérité. » En fait, Gilson dit, dans le même article : « De deux métaphysiciens également compétents et jouissant d'une égale habileté dans le maniement des arguments dialectiques, il se peut qu'aucun ne réussisse jamais à convaincre l'autre, parce qu'ils ne voient pas les mêmes choses. » Cela semblerait être le sort du vrai philosophe, qui est, comme il est décrit dans le Sophiste, difficile à voir, « car cette région est si brillante, et les yeux de l'âme de la plupart des gens ne peuvent pas supporter de regarder ce qui est divin. » Si le philosophe, la personne qui interroge l'Être, est difficile à voir, à cause de ce qu'il poursuit, alors ce qu'il poursuit doit être encore plus difficile à saisir. Comme Josef Pieper le dit, « La personne philosophante se trouve dans une telle situation ; ceci est, en effet, exactement ce que la distingue, c'est-à-dire, qu'elle est obligée de parler de quelque chose qui soit indéniablement rencontré, mais qui ne peut être exprimé avec des mots précis. » Cette thèse est divisée en deux grandes sections. La première pourrait être décrite comme une section interprétative. Nous essayons ici de mettre en place, aussi précisément que possible, les différentes tentatives de répondre à la question de l'être proposées par Platon, Aristote et Martin Heidegger. Nous cherchons, dans un sens, à tracer les chemins qu'ils ont pris dans leur quête vers le sommet du mont Être. Chacune de ces subdivisions contiennent nos propres contributions à ce que nous proposons comme la bonne approche interprétative de ces trois philosophes. Ces appoints prennent en compte une interprétation préliminaire de ces auteurs, suivies d'une tentative de naviguer dans un véritable marécage de textes interprétatifs qui prétendent nous dire, une fois pour toutes, comment bien comprendre les revendications ontologiques de Platon, d'Aristote et de Martin Heidegger. Nos contributions à la pensée philosophique entourant ces penseurs particuliers ne constituent pas, cependant, l'objectif principal de cette thèse. Au contraire, ils serviront à nous aider dans notre tentative d'atteindre, nous-mêmes le sommet du la montagne de l'Être. Après avoir jalonné ces parcours, nous devrions être en mesure de mieux planifier notre propre approche à la question de l'Être. La première section sous-tendra ainsi la deuxième afin d'aborder, à nouveau, la question de l'Être. Cette deuxième section doit être considérée comme une section philosophique-la poursuite active de la sagesse. Dans cette deuxième partie, nous proposons d'aborder la question de l'Être, tout d'abord par la comparaison, l'analyse et la critique des trois penseurs que nous avons examinés dans la première section ; nous proposerons ensuite nos propres tentatives de répondre à la question de l'Être. Nous allons conclure avec quelques brèves réflexions sur la façon dont nos découvertes concernant l'Être pourraient affecter d'autres domaines de la connaissance. / The difficulty of approaching the question of Being is described, by Étienne Gilson as follows, "in a domain where dialectical demonstration loses its rights, one can do no more than look, say what he sees, and invite others to turn, like himself, their eyes towards the truth." In fact, says Gilson, earlier in this same article, "Take two metaphysicians who are equally competent and in possession of equal ability in the handling of dialectical arguments, it is possible that neither of them will ever succeed in convincing the other, because they do not see the same things." This seems to be the fate of the true philosopher, as he is described in the Sophist, who is hard to see "because that area is so bright and the eyes of most people's souls cannot bear to look at that which is divine." If the philosopher, the person who questions Being, is difficult to see, because of that which he is pursuing, then that which he is pursuing must be even more difficult to grasp. As Josef Pieper puts it, "The philosophizing person finds himself in just such a situation; this is precisely what singles him out, that is, that he is obliged to speak of something undeniably encountered but that cannot be expressed exactly in words." This dissertation can be divided into two major sections. The first major section could be portrayed as an interpretative section. We here attempt to establish, as accurately as possible, the differing attempts to answer the question of Being that were proposed by Plato, Aristotle and Martin Heidegger. We are, in a sense, attempting to map out the paths they took in their quest to attain the summit of Mount Being. Each of these sections contain our own contributions to what we propose is the proper interpretation of these three philosophers. These contributions take into account a preliminary interpretation of these authors, followed by the attempt to wade through a veritable swamp of interpretative writings that purport to tell us, once and for all, how to properly understand the ontological claims of Plato, Aristotle and Martin Heidegger. Our contributions to philosophical thought surrounding these particular thinkers do not constitute, however, the primary goal of this dissertation. Rather, they will serve to help us in our attempt to climb the mountain of Being. Having mapped out their paths, we should be better able to plan out our own approach to the question of Being. Thus, in the second section, we will use what we have learned in the first section in order to approach the question of Being anew. This second section should be seen as a philosophical section-the active pursuit of wisdom. In this second section we propose to approach the question of Being, first of all, through a comparison, analysis, and critique of the three thinkers we examined in the first section. This will be followed by our own humble attempts to answer the question of Being. We will conclude with some brief thoughts about how our discoveries about Being may affect other domains of knowledge.
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L'ontologie d'Aristote, au carrefour du logique et du réel

Stevens, Annick January 1996 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Étude comparée de saint Thomas d'Aquin et de Suarez sur la question de l'entitatif et de l'intentionnel

Drouin, Paul-E. 07 March 2019 (has links)
Montréal Trigonix inc. 2018
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The search for public virtue

Lanza, Jean-François 31 August 2021 (has links)
Le problème central de l’éthique est le scepticisme épistémique. On considère que cela commence, à l’époque moderne, avec Hume, puis sera codifié par Hegel insistant qu’aucune expérience objective ne saurait être décrite abstraction faite de la subjectivité, à moins qu'on puisse rendre compte de manière non-subjective du processus de représentation. Le scepticisme épistémique proclame que le droit naturel classique commet le sophisme naturaliste. En y substituant le droit naturel moderne, il conduit inéluctablement au relativisme. Deux cents ans de tentatives n’ont pas produit de réfutation du scepticisme, ni aucune théorie qui puisse passer le test de Hegel. Ils ont en fait servi à démontrer qu'il est impossible d’y parvenir tant que la question métaphysique du langage n’aura été d’abord résolue. Notre thèse tente une réfutation des problèmes du scepticisme épistémique, du relativisme éthique et du nihilisme métaphysique, en dégageant les méta-théories qui sont les présupposés tacites de la philosophie contemporaine. Il s'agit de montrer qu'elles sont injustifiées, de voir comment et pourquoi on en est rendu là, et quelle métaphysique rendrait possible la réfutation qui s’impose. / The central problem for ethics is epistemic scepticism. This is taken to begin, in modem times, with Hume and to be codified by Hegel’s insistence that no objective account of experience can be given without reference to the subjectivity of the experiencer and unless there is a non-subjective account of the process of representation.Epistemic scepticism proclaims classical natural right as a naturalistic fallacy and, by the introduction of modem natural right, leads inevitably to ethical relativism. Two hundred years of attempts have not produced any refutation of scepticism, nor any theory that could pass Hegel's test. They have instead strongly indicated that there is no way to satisfy these requirements unless the metaphysical question of language is solved first.This thesis will attempt the refutation of the problems of epistemic scepticism, ethical relativism and metaphysical nihilism by shedding light on the meta-theories that are the unspoken assumptions of contemporary philosophy, by showing that they are unjustified and indicating what went wrong and why. It will also provide for the right metaphysics that will allow the required refutation.
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Par delà Heidegger et Watsuji : ontologie, tout et mécanique quantique

Endo, Charles-Anica 23 April 2018 (has links)
La crise écologique comme les débats entourant les avancements technologiques en biologie moléculaire ou en nanotechnologie sont au cœur d’un questionnement sur la relation que nous entretenons envers la nature, mais également avec nous-mêmes. En effet, des catastrophes comme celle de la centrale nucléaire de Fukushima ou les controverses entourant les organismes génétiquement modifiés nous rappellent la portée de nos choix individuels et collectifs en nous questionnant sur la justesse de nos modèles; ce sont ces paradigmes qui structurent nos pensées et qui servent d’assises à nos actions. C’est justement en ayant pour objectif de trouver une alternative à la modernité occidentale que ce modèle de pensée, qui a servi au développement de la science moderne depuis Descartes, mais également de prétexte à un asservissement de la nature, que cela nous amène à nous engager dans ce processus de réflexion. Pour cheminer philosophiquement dans ce projet d’une nouvelle fondation de notre relation à la nature et à nous-mêmes, nous explorerons la question du rapport sujet/objet à travers l’histoire de la philosophie. Ensuite, nous procurerons ce même débat à travers l’interprétation de Copenhague de la théorie de la mécanique quantique pour situer cette question dans le développement de la physique actuelle. Nous emprunterons ensuite les chemins philosophiques de l’ontologie heideggérienne pour nous donner un nouveau point de départ à cette discussion. Nous ferons alors le lien entre la philosophie de Heidegger et la mécanique quantique par l’entremise de Bohr et de Heisenberg. Nous étudierons alors la question de l’être humain conceptualisée dans un contexte non occidental par la thèse du philosophe japonais Watsuji Tetsuro. Cette dernière étape nous aidera à trouver des solutions au dépassement des problèmes éprouvés par Heidegger à la complétion de son projet d’ontologie fondamentale. C’est par une tentative de synthèse de la pensée de Heidegger et de Watsuji sur l’être et par-delà les conséquences philosophiques de la mécanique quantique sur la conscience que nous pourrons alors proposer les bases d’une nouvelle ontologie du Tout qui servira à un renouveau des relations que nous entretenons avec la nature et nous-mêmes.
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Phénoménologie, ontologie et réalité : Hegel et Marx

Talbot, François 20 April 2018 (has links)
Le mémoire présente l’analyse de l’expérience de la conscience, la dialectique de la reconnaissance et la construction du concept de raison exposées dans la Phénoménologie de l’esprit. Il les comprend comme moments de la fondation d’une « ontologie de la connaissance » qui fait de la structure logique du rapport d’objectivation, l’Idée absolue, la matrice de production de la réalité en général. Il examine avec une attention particulière la conception de la réalité sociale comme savoir de soi de l’esprit qui accompagne cette construction. Il suit encore les grandes lignes de la critique opérée par Marx de la construction spéculative de l’Idée hégélienne et isole les éléments centraux de l’ontologie de la praxis sur lesquels elle repose. Finalement, le mémoire interroge la signification et la possibilité du passage d’une ontologie de la connaissance à une ontologie de la praxis.
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Saint-Denys Garneau : l'art et l'être

Lagacé, Martin 20 April 2018 (has links)
Saint-Denys Garneau est connu pour être le premier poète québécois moderne, mais sa pensée philosophique et esthétique est peu connue du grand public, sans doute parce qu'elle est dispersée dans des fragments de son journal, de sa correspondance et quelques articles de revue. Ce mémoire s'est donné comme objectif de rassembler cette pensée pour en montrer la cohérence profonde et la beauté. « C'est l'être qui fut présent, visible, par le côté de la beauté », écrit Garneau. Cette phrase illustre bien comment l'auteur situe le beau, dans le sillage de la pensée thomiste, comme un transcendantal, c'est-à-dire un versant de l'être, comme le sont la bonté, l'unité et la véracité. La mission de l'artiste consiste à aborder le réel par ce versant; d'en pénétrer les richesses pour en gravir les degrés, et en indiquer le sommet dans l'être subsistant.
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Autoréflexivité du concept et de l'être : recherches sur le sens du spéculatif chez Hegel

Anderson, Thomas 13 February 2020 (has links)
L’objectif de ce mémoire est de répondre à la question : Pourquoi la philosophie doit-elle nécessairement être spéculative, pour Hegel? Notre recherche interroge la manière dont la philosophie doit envisager son propre discours afin d’assurer sa scientificité, et de prouver ainsi la nécessité de son contenu. Nous expliquons d’abord que la philosophie ne peut rendre compte de sa légitimité que par un effort pour dé-sédimenter les formes figées de la pensée et mettre en lumière la vie du concept dans son identification dynamique à l’être. Hegel nomme « spéculation » cette connaissance de l’identité du concept et de l’être, le savoir le plus concret à ses yeux. Nous défendons que la spéculation permet d’appréhender l’adéquation interne de la pensée et de son contenu, leur immanence. La pensée n’est dès lors plus suspendue à un être hors de soi : elle devient un mouvement de libre détermination. Nous soutenons par ailleurs que le savoir spéculatif ne serait pas possible sans la « méthode » dialectique qui accompagne la progression de la pensée. Loin de se surajouter extérieurement à son objet, la « méthode » dialectique est le cheminement de la chose même. Le discours exprime ce cheminement par des propositions particulières que nous examinons en dernier lieu : les propositions spéculatives.
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L'expérience de l'être et la conscience de soi

Simard, Yanik 16 April 2021 (has links)
La philosophie lavellienne s'appuie sur l'intuition métaphysique de l'expérience de l'Être. Dans son œuvre, cependant, Lavelle ne s'est pas attardé à la distinction des trois saisies indissociables qui en font partie. La présente cette thèse tente de mettre en lumière le caractère particulier de chacune des trois saisies de l'expérience de l'Être. La première saisie, soit celle de la présence de l'être, est celle d'une unité indifférenciée. Il n'y a encore aucune distinction entre l'affirmant et l'affirmé. La seconde saisie, soit celle de notre présence à l'être permet de dire je . C'est l'apparition de la conscience de soi, la naissance du moi. La troisième saisie est celle du lien de participation à l'être ou des propriétés de l'être : l'antériorité, l'universalité et l'univocité.
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De l'optimisation à la décomposition de l'ontologique dans la logique de description

Le Pham, Anh 21 January 2008 (has links) (PDF)
Le raisonnement efficace dans une grande base de connaissance en logique de description est un défi actuel en raison des inférences "insurmontables", même pour des langages des logiques de description relativement inexpressives. En effet, la présence des axiomes dans la terminologie (TBox) est une des raisons importantes causant une augmentation exponentielle de la taille de l'espace de recherche explorée par les algorithmes d'inférence. Le raisonnement dans la logique de description (LD), c'est essentiellement le test de la relation de la subsomption entre les concepts. Par conséquent, on cherche toujours les expédients pour optimiser ce raisonnement. Des techniques d'optimisation pour améliorer la performance du raisonneur d'une LD se divisent donc naturellement en trois niveaux. Le premier est le niveau conceptuel considérant des techniques pour optimiser les structures d'axiomes dans la TBox. Le deuxième, le niveau algorithmique examinant des techniques pour réduire les exigences de stockage de l'algorithme de tableaux et pour optimiser le test de la relation de subsomption (satisfaisabilité). Le troisième, l'optimisation de requête cherchant des stratégies d'exécution optimales d'une requête d'interrogation dans une base de connaissances. Dans ce mémoire, nous avons étudié une approche de décomposition de l'ontologie s'appelant la "décomposition overlay" qui vise à un deux objectifs principaux : l'optimisation du raisonnement et la méthodologie de conception des ontologies. D'une part l'optimisation pour laquelle nous cherchons à diviser une ontologie dans un ensemble de sous ontologies dont chacune contient une partie de l'ensemble d'axiomes de l'ontologie originale permet d'obtenir ainsi une réduction relative du temps de raisonnement ; d'autre part la méthodologie de conception qui permet de remplacer une ontologie par un ensemble d'ontologies dans une organisation plus ou moins "optimale". Pour le premier objectif, la décomposition overlay d'une ontologie a comme résultat un ensemble de sous-ontologies regroupées dans une ontologie distribuée, appelée ontologie-décomposante (TBox-décomposante) et représentée par la logique de description distribuée. Intuitivement, le fait de pouvoir raisonner parallèlement sur ces sous-ontologies ayant chacune un espace de recherche réduit peut conduire à une réduction du temps relatif du raisonnement. Une propriété importante de cette ontologie est d'être interprétée dans le même domaine que l'ontologie originale. Ceci est une base qui nous suggère la proposition de deux algorithmes de raisonnement pour cette ontologie-décomposante. Concernant l'objectif de méthodologie de conception, nous introduisons deux méthodes de décomposition de l'ontologie reposant sur la décomposition heuristique des graphes. Une méthode repose sur la décomposition selon les séparateurs minimaux des graphes triangulaires et la seconde sur la décomposition selon la mesure des coupes normalisées des régions d'un graphe.

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