• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 12
  • 1
  • Tagged with
  • 14
  • 13
  • 8
  • 8
  • 8
  • 7
  • 7
  • 7
  • 7
  • 6
  • 6
  • 6
  • 4
  • 4
  • 4
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

La qualité de vie reliée à la santé chez les femmes ménopausées en surplus de poids : Impact d’une stratégie d’intervention de 12 mois combinant l’exercice et les phytoestrogènes sur la qualité de vie reliée à la santé et les symptômes climatériques.

Gagnon, Josiane January 2014 (has links)
En 2002, certains résultats de l’étude du Women’s Health Initiative démontraient un risque accru de développer des maladies cardiovasculaires (infarctus, attaque cérébrale), certains cancers (seins, côlon, utérus) et l’ostéoporose avec l’hormonothérapie substitutive combinant l’oestrogène et la progestérone. De ce fait, malgré les impacts positifs de ce traitement sur les symptômes climatériques, certains médecins et de nombreuses femmes ménopausées ont délaissé l’hormonothérapie substitutive pour se tourner vers des moyens plus naturels tels que l’exercice et les phytoestrogènes pour diminuer ces symptômes et ainsi améliorer la qualité de vie. Plusieurs recherches ont prouvé les effets positifs des isoflavones, une molécule d’origine végétale semblable aux hormones féminines et appartenant à la famille des phytoestrogènes, sur le contrôle des symptômes climatériques. De plus, certaines études ont démontré l’effet positif de l’exercice seul sur les symptômes vasomoteurs (bouffées de chaleur et sueurs nocturnes) chez la femme ménopausée, prouvant que cette alternative diminuerait les symptômes climatériques. Toutefois, bien que les résultats de notre laboratoire aient démontré certains bienfaits de la combinaison de ces deux stratégies à court terme (6 mois), l’impact à moyen terme (1 an) sur les symptômes climatériques et la qualité de vie reliée à la santé reste à évaluer. Nous avions donc comme objectif de déterminer l’effet d’un programme d’exercice mixte de 12 mois combiné à la prise de phytoestrogènes (isoflavones de soya) sur les symptômes climatériques et la qualité de vie reliée à la santé. Dans cette étude, nous déterminerons si les effets bénéfiques de la combinaison de l’exercice et des phytoestrogènes observés après 6 mois d’intervention sur la qualité de vie reliée à la santé des femmes ménopausées obèses perdurent dans le temps. Méthodologie : Trente-deux femmes ménopausées obèses âgées de 50 et 70 ans ont participé à l’étude. L’ensemble des participantes recrutées a participé à un programme d’exercice mixte et structuré de 12 mois. La moitié des femmes ménopausées (n=16) consommaient 75 mg d’isoflavones de soya (phytoestrogènes) par jour et l’autre moitié (n= 16) étaient sous placebo (cellulose). À trois moments durant l’année, les femmes ont dû répondre à trois questionnaires pour évaluer la qualité de vie soit le SF-36, le PSS-10 et l’indice de Kupperman. Résultats : Les femmes ménopausées obèses ont amélioré certains symptômes climatériques ainsi que le bien-être mental après un programme d’un exercice mixte régulier de 12 mois. En effet, on observe une réduction des bouffées de chaleur et du score total de l’indice de Kupperman (p=0.028) chez le groupe EX+PL. De plus, l’exercice mixte sur une base régulière améliore certaines sous-échelles du SF-36 reliées plus particulièrement au bien-être mental. Après 12 mois d’intervention, les souséchelles énergie/fatigue (p=0.02), perception générale de la santé (p 0.001) et limitation émotionnelle (p=0.017) ont toutes augmenté. Néanmoins, aucun changement significatif n’a été observé pour le groupe EX+PH. Conclusion : Après 12 mois d’intervention, l’exercice mixte pratiqué sur une base régulière combiné à un placébo semble être une stratégie qui persiste mieux que l’exercice mixte combiné à un phytoestrogène concernant l’amélioration de la qualité de vie et des symptômes climatériques chez la femme ménopausée obèse.
2

Facteurs psychosociaux, diététiques et métaboliques associés à l'abandon dans une intervention de perte de poids, auprès de femmes post-ménopausées

Hayek, Jessy January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
3

Effets d’une diète hypocalorique contrôlée en protéines lors d’un programme de perte de poids combiné ou non à un entraînement musculaire sur la composition corporelle chez les femmes ménopausées, obèses et sédentaires

Therriault, Audrey January 2015 (has links)
Problématique : La diète hypocalorique est une approche efficace pour traiter les problèmes de surpoids et d’obésité. Toutefois, cette solution est également associée à une diminution de la MM. Des données indiquent qu’une diète avec un apport optimal en protéines aiderait au maintien de la MM. Cependant, l’impact d’une diète riche en protéines en combinaison avec un entraînement en résistance n’a jamais été étudié chez des femmes ménopausées, obèses et sédentaires jusqu’à maintenant. Objectifs : Examiner l’impact d’une diète riche en protéines contenant un minimum de 25 g de protéines d’origine animale, combinée ou non à un entraînement en résistance, sur le poids et la composition corporelle chez des femmes ménopausées, obèses et sédentaires. Méthodes : Quatorze femmes ménopausées et obèses (65,1 ± 2,8 ans; IMC 31,9 ± 2,7 kg/m²) ont été distribuées aléatoirement dans deux groupes (1 : diète riche en protéines contenant un minimum de 25 g de protéines d’origine animale et 2 : diète riche en protéines contenant un minimum de 25 g de protéines d’origine animale + entraînement en résistance) et suivies sur une période de 16 semaines. Variables d’intérêt : masse grasse (MG) et masse maigre (MM) totale (par DXA), et apports alimentaires (journaux alimentaires sur 3 jours). Résultats : Aucune différence significative n’a été observée entre les deux groupes pour les variables d’intérêt au début de l’étude. Pour les deltas de changement du journal alimentaire en valeurs absolues, l’apport énergétique était significativement différent entre les deux groupes. La consommation en grammes de protéines est demeurée similaire au début et à la fin de l’intervention pour les deux groupes. Les analyses ont révélé des diminutions significatives du poids, de l’IMC, de la MG, du % MG et de l’indice de MG (MG/taille m²) pour chacun des groupes (P< 0,05). Le delta de changements de la composition corporelle étaient similaire pour les deux groupes, sauf pour la perte de MG relative [ MG / sur poids initial) x 100] (P< 0,05). Finalement, aucun changement significatif n’a été observé pour la MM et l’indice de MM (MM/taille m²) après l’intervention pour les deux groupes. Conclusion : Les résultats démontrent qu’une diète ayant 1,27 g de protéines par kg de poids par jour (contenant un minimum de 25 g de protéines d’origine animale) permet le maintien de la MM suite à une perte de poids associée à une diète hypocalorique seule chez les femmes ménopausées. L’ajout d’un programme d’entraînement en résistance n’a pas eu d’effet additif sur la composition corporelle dans notre étude.
4

Changements dans la captation du glucose suite à une perte de poids induite par une restriction calorique chez des femmes ménopausées obèses : caractéristiques des répondants positifs et négatifs

Myette-Côté, Étienne January 2012 (has links)
Pour les besoins du présent mémoire, nous avons étudié quarante-deux femmes obèses ménopausées (pourcentage de masse grasse initiale: 45 +/- 4%) âgées de 57 +/- 4 ans qui ont suivi une diète hypocalorique sur une période de six mois. À l'aide de la méthode par absorptiométrie biphotonique à rayons X (dual energy X-ray absorptiometry "DXA") et celle de la tomodensitométrie axiale (CT-scan), plusieurs variables telles l'indice de masse corporelle (IMC), la masse maigre (MM), l'indice de MM (IMM), la masse grasse (MG), la graisse viscérale (GV) et la graisse abdominale sous-cutanée (GAS) ont été évaluées. De plus, des prélèvements sanguins nous ont permis d'obtenir un bilan lipidique sanguin complet, les niveaux de hsCRP ainsi que le glucose et l'insuline à jeun. La captation du glucose (mg/kg MM/min et mg/kg/min) quant à elle a été analysée à l'aide d'un clamp hyperinsulinémique-euglycémique. Les participantes ont ensuite été divisées en deux groupes selon leur changement de captation du glucose en réponse à la perte de poids [répondants négatifs : < -1,0 mg/kg MM/min (n= 19) vs. répondants positifs > 1,0 mg/kg MM/min (n= 23)]. Avant le début de l'intervention, nous avons observé une différence significative entre nos deux groupes pour l'IMM (17,5 +/- 2,6 vs 15,9 +/- 1,5 kg/m² ; P < 0,05) et les niveaux de hsCRP (5,04 +/- 3,67 vs 2,36 +/- 1,75 mg/L; P < 0,01); lesquels étaient plus élevés chez les répondants positifs. De plus, la disposition relative du glucose était moins importante chez les répondants positifs (P < 0,001). L'ANOVA à mesure répétée a révélé une diminution significative de l'IMC (-7,4%), du %MG (-6,1%), de la MG (-12,2%), de la GV (-15,7%), de la GAS (-11,4%) et de l'insuline à jeun (-13,6%) pour l'ensemble des sujets (p [plus petit ou égal à] 0.005 pour tous les changements). De plus, une interaction (temps x groupe) a révélé que nos deux groupes répondaient différemment au traitement au niveau du poids corporel (P < 0,01), de la protéine C-réactive (P < 0,005) et des mesures de masse maigre (P < 0,001). En effet, les répondants positifs ont vu des diminutions plus importantes que le groupe de répondants négatifs. Au niveau du profil lipidique, malgré une forte tendance au niveau des triglycérides plasmatiques, aucun changement ne fut enregistré. Finalement, les répondants positifs ont significativement augmenté leur captation du glucose suite à la perte de poids, tandis que les répondants négatifs ont plutôt vu cette dernière se détériorer significativement (P < 0,001 dans les deux cas); la différence de changements entre les deux groupes étant significative (P < 0,005). En conclusion, notre étude démontre qu'il existe d'importantes variabilités interindividuelles en ce qui a trait aux changements de la sensibilité à l'insuline en réponse à une perte de poids chez les femmes ménopausées. Les femmes ménopausées obèses présentant des valeurs élevées d' IMM et de hsCRP élevés, ainsi qu'une faible captation du glucose seront celles qui bénéficieraient davantage d'une perte de poids. Il est d'une grande importance d'être en mesure de développer des programmes d'interventions personnalisées au profil métabolique et physiologique de chaque individu.
5

Restriction calorique et entrainement contre résistance : effets sur le profil inflammatoire de femmes ménopausées obèses présentant une inflammation silencieuse

Pouliot, Julie January 2014 (has links)
L'objectif de cette étude est d'examiner si les améliorations du profil inflammatoire induites par une perte de poids sont similaires entre les femmes ménopausées à haut risque de maladies chroniques âgées de plus 60 ans et à leurs homologues plus jeunes. Les résultats obtenus permettre de démontrer qu’un programme de perte de poids de 6 mois induit une diminution du TA viscéral et souscutané abdominal chez toutes les femmes ménopausées atteintes d'inflammation silencieuse alors que des améliorations du profil inflammatoire ne surviennent que chez les femmes ménopausées plus jeunes.
6

Effets de l'entraînement en résistance et d'une diète hypocalorique riche en protéines d'origine animale sur la force musculaire de femmes ménopausées obèses et sédentaires: Projet pilote

Comte, Francis January 2015 (has links)
Non disponible
7

Estrogènes endogènes et risque cardiovasculaire chez les femmes ménopausées / Endogenous estrogens and cardiovascular risk in postmenopausal women

Scarabin-Carré, Valérie 27 March 2015 (has links)
La relative immunité des femmes vis-à-vis du risque cardiovasculaire a longtemps été attribuée aux hormones sexuelles. Néanmoins, le rôle protecteur des estrogènes dans le développement de l’athérosclérose et de ses complications a été récemment remis en cause chez les femmes ménopausées. A partir de la cohorte française des Trois Cités incluant environ 10.000 sujets de plus de 65 ans, j’ai évalué l’association entre les estrogènes endogènes et le risque de maladies cardiovasculaires chez des femmes n’utilisant pas de traitement hormonal. J’ai montré pour la première fois que des taux élevés d’estradiol plasmatique étaient associés à une augmentation du risque artériel ischémique à 4 ans, indépendamment des facteurs de risque cardiovasculaire traditionnels, notamment l’obésité ou le diabète. Dans une deuxième partie, j’ai étudié le rôle modulateur des polymorphismes génétiques des récepteurs des estrogènes α (ESR1) et β (ESR2). J’ai montré que le risque cardiovasculaire augmentait avec les taux élevés d’estradiol chez les femmes porteuses du génotype rs9340799-AA mais pas chez celles avec le génotype rs9340799-AG/GG. Des analyses complémentaires m’ont également permis de suggérer que l’effet des estrogènes était lié en partie à une hypercoagulabilité et un état inflammatoire. Dans une dernière étape, j’ai évalué le rôle prédicteur à long terme des estrogènes endogènes. J’ai confirmé la relation indépendante entre les taux élevés d’estrogènes et la survenue d’un évènement cardiovasculaire après 10 ans de suivi. Globalement, ces résultats suggèrent un effet délétère des estrogènes dans le développement des maladies artérielles ischémiques chez les femmes ménopausées après 65 ans . Si ces résultats étaient confirmés, une meilleure stratification du risque artériel pourrait être proposée chez les femmes ménopausées avec des implications potentielles dans la prévention des maladies cardiovasculaires. / The low incidence of coronary heart disease among women has often been attributed to sex hormones. However, adverse effects of estrogens on arterial disease have been recently reported in older postmenopausal women. In the French Three-City prospective cohort study of subjects over 65 years of age, I investigated the association of endogenous estradiol with cardiovascular risk among postmenopausal women who did not use any hormone therapy. In a first part, I showed that high levels of plasma estradiol were related to the 4-year incidence of ischemic arterial disease (IAD), independently of traditional cardiovascular risk factors such as obesity or diabetes. Then, I reported that the relation between estrogens and IAD risk could be modulated by estrogen receptor-α (ESR1) polymorphisms. Indeed, endogenous estrogens were positively associated with IAD risk in women carrying the ESR1 rs9340799-AA genotype but not in those carrying the ESR1 rs9340799-AG/GG genotype. Further analyses revealed that both hypercoagulability and inflammatory state might act as mediators. Finally, I assessed the long-term predictor role of endogenous estrogens in arterial disease. I showed a positive and independent association of estrogens levels with the 10-year incidence of cardiovascular disease. Overall, high plasma levels of endogenous estradiol emerge as a new significant predictor of cardiovascular disease in older postmenopausal women. If confirmed, these findings could have the potential to improve the stratification of IAD risk in postmenopausal women.
8

Effets de l'entraînement en résistance sur le regain de poids et l'inflammation chez des femmes post-ménopausées en surpoids ou obèses

Messier, Virginie 07 1900 (has links)
Objectifs: Évaluer si un programme d’entraînement en résistance d’une durée d’un an prévient le regain de poids et majore l’amélioration du profil inflammatoire. Le second objectif de cette étude était de déterminer si la variation du tissu adipeux viscéral est associée aux changements dans les concentrations sanguines des marqueurs inflammatoires. Méthodes: Soixante-dix femmes post-ménopausées en surpoids ou obèses ont été randomisées dans un des deux groupes suivants : (1) Contrôle ou (2) Entraînement en résistance. La composition corporelle (absorptiométrie double à rayons X et tomographie axiale) et les marqueurs inflammatoires (protéine C-réactive, orosomucoïde, haptoglobine) ont été évalués avant et après la période de suivi d’une durée d’un an. Résultats: Suite à la période de suivi, un regain significatif de poids corporel et de masse grasse était observé dans le groupe contrôle et le groupe entraînement en résistance (p < 0,05). Une réduction des concentrations sériques de l’orosomucoïde et une hausse des niveaux sériques de l’haptoglobine étaient également notées dans les deux groupes (p < 0,05). La variation du tissu adipeux viscéral était seulement associée aux changements dans les concentrations sériques de la protéine C-réactive (r = 0,373, p < 0,05). Conclusion: Nos résultats suggèrent que l’entraînement en résistance ne prévient pas le regain de poids corporel et ne majore pas l’amélioration du profil inflammatoire chez des femmes post-ménopausées en surpoids ou obèses. De plus, nos résultats indiquent que la variation du tissu adipeux viscéral ne semble pas être un facteur clé impliqué dans les changements des concentrations sanguines des marqueurs inflammatoires. / Objectives: To evaluate if a 1-year resistance training program improved weight loss maintenance and the inflammatory profile in overweight and obese postmenopausal women. The second objective of this study was to determine if the variation in visceral adipose tissue was associated with the changes in inflammatory markers concentrations. Methods: Seventy overweight and obese postmenopausal women were randomized to a control group or a resistance training group. Body composition (dual energy X-ray absorptiometry and computed tomography) and inflammatory markers (C-reactive protein, orosomucoid, haptoglobin) were measured before and after the 1-year weight loss maintenance intervention. Results: Following the weight loss maintenance intervention, we observed a significant body weight and fat mass regain in the control group and the resistance training group (p < 0.05). Significant reductions in orosomucoid and increases in haptoglobin concentrations were noted in both groups (p < 0.05). The variation in visceral adipose tissue was only associated with the changes in C-reactive protein concentrations (r = 0,373, p < 0.05). Conclusion: Our results suggest that resistance training do not improve weight loss maintenance and the inflammatory profile in overweight and obese postmenopausal women. Moreover, our results indicate that the variation in visceral adipose tissue may not be a key factor implicated in the changes in inflammatory markers concentrations.
9

Effets de l'entraînement en résistance sur le regain de poids et l'inflammation chez des femmes post-ménopausées en surpoids ou obèses

Messier, Virginie 07 1900 (has links)
Objectifs: Évaluer si un programme d’entraînement en résistance d’une durée d’un an prévient le regain de poids et majore l’amélioration du profil inflammatoire. Le second objectif de cette étude était de déterminer si la variation du tissu adipeux viscéral est associée aux changements dans les concentrations sanguines des marqueurs inflammatoires. Méthodes: Soixante-dix femmes post-ménopausées en surpoids ou obèses ont été randomisées dans un des deux groupes suivants : (1) Contrôle ou (2) Entraînement en résistance. La composition corporelle (absorptiométrie double à rayons X et tomographie axiale) et les marqueurs inflammatoires (protéine C-réactive, orosomucoïde, haptoglobine) ont été évalués avant et après la période de suivi d’une durée d’un an. Résultats: Suite à la période de suivi, un regain significatif de poids corporel et de masse grasse était observé dans le groupe contrôle et le groupe entraînement en résistance (p < 0,05). Une réduction des concentrations sériques de l’orosomucoïde et une hausse des niveaux sériques de l’haptoglobine étaient également notées dans les deux groupes (p < 0,05). La variation du tissu adipeux viscéral était seulement associée aux changements dans les concentrations sériques de la protéine C-réactive (r = 0,373, p < 0,05). Conclusion: Nos résultats suggèrent que l’entraînement en résistance ne prévient pas le regain de poids corporel et ne majore pas l’amélioration du profil inflammatoire chez des femmes post-ménopausées en surpoids ou obèses. De plus, nos résultats indiquent que la variation du tissu adipeux viscéral ne semble pas être un facteur clé impliqué dans les changements des concentrations sanguines des marqueurs inflammatoires. / Objectives: To evaluate if a 1-year resistance training program improved weight loss maintenance and the inflammatory profile in overweight and obese postmenopausal women. The second objective of this study was to determine if the variation in visceral adipose tissue was associated with the changes in inflammatory markers concentrations. Methods: Seventy overweight and obese postmenopausal women were randomized to a control group or a resistance training group. Body composition (dual energy X-ray absorptiometry and computed tomography) and inflammatory markers (C-reactive protein, orosomucoid, haptoglobin) were measured before and after the 1-year weight loss maintenance intervention. Results: Following the weight loss maintenance intervention, we observed a significant body weight and fat mass regain in the control group and the resistance training group (p < 0.05). Significant reductions in orosomucoid and increases in haptoglobin concentrations were noted in both groups (p < 0.05). The variation in visceral adipose tissue was only associated with the changes in C-reactive protein concentrations (r = 0,373, p < 0.05). Conclusion: Our results suggest that resistance training do not improve weight loss maintenance and the inflammatory profile in overweight and obese postmenopausal women. Moreover, our results indicate that the variation in visceral adipose tissue may not be a key factor implicated in the changes in inflammatory markers concentrations.
10

Inflammation, stress oxydant, profil métabolique : influence des apports alimentaires et de la dépense énergétique

Lavoie, Marie-Ève 02 1900 (has links)
Le risque cardiométabolique (RCM) représente l’ensemble de tous les facteurs de risque pour les maladies cardiovasculaires et le diabète de type 2, incluant les facteurs de risque traditionnels et ceux émergents. Les évidences indiquent que la résistance à l’insuline, l’inflammation et le stress oxydant jouent un rôle clé dans le RCM, bien que l’acteur initiateur des altérations métaboliques caractéristiques du RCM reste encore à définir. Les femmes post-ménopausées constituent un sous-groupe important de la population puisque le risque de complications cardiométaboliques augmente après la ménopause. Les facteurs de RCM peuvent être modulés par l’alimentation, l’activité physique et la perte de poids. Alors que l’étude de nutriments / aliments spécifiques a permis de mieux comprendre l’implication de l’alimentation dans le RCM, celle de la qualité de l’alimentation est prometteuse. L’activité physique a des effets bénéfiques sur le RCM bien démontrés chez des personnes actives. Cependant, la relation entre la dépense énergétique et le RCM chez des individus sédentaires a été moins investiguée. De même, peu ou pas de données existent quant à une interaction synergique possible entre l’alimentation et l’activité physique sur le RCM. L’objectif de la présente thèse est d’investiguer les relations entre l’alimentation, l’activité physique, le stress oxydant et le RCM chez des femmes post-ménopausées en surpoids ou obèses, sédentaires et sans autres complications métaboliques. Les résultats montrent que d’une part, chez ces femmes sédentaires, une dépense énergétique active (DÉAP) élevée est associée à un meilleur profil inflammatoire, indépendamment de l’adiposité. D’autre part, il existe une relation synergique entre la qualité alimentaire et la DÉAP associée à un meilleur RCM. Une qualité alimentaire élevée combinée à une DÉAP élevée est associée à un meilleur profil lipidique et lipoprotéique et à une inflammation sub-clinique moindre, indépendamment de l’adiposité. Par ailleurs, dans une étude pilote, seuls des effets indépendants des changements de la qualité alimentaire et de la DÉAP sur les changements dans les facteurs de RCM ont été observés suite à cette diète hypocalorique de 6 mois, indépendamment du changement de l’adiposité encouru. En effet, au-delà de la réduction de l’adiposité et de l’amélioration du profil lipoprotéique induites par l’intervention, l’amélioration de la qualité alimentaire et de la DÉAP est associée, indépendamment l’une de l’autre, à une meilleure pression artérielle et un meilleur profil lipidique. Par ailleurs, une modification du système glutathion, un des systèmes antioxydants les plus communs de l’organisme, est associée à un RCM élevé. Une activité élevée de la glutathion peroxydase est associée à une résistance à l’insuline et à une épaisseur plus importante de l’intima-media de la carotide. Ces relations pourraient être médiées par un stress réducteur. En conclusion, l’adoption d’une saine alimentation et la pratique d’activités physiques doivent être encouragées dans les interventions visant à contrer l’obésité et ses complications, même en absence d’un changement d’adiposité. D’autre part, l’activité de la glutathion peroxydase pourrait être un paramètre impliqué dans le développement de désordres cardiométaboliques sub-cliniques et asymptomatiques chez des femmes obèses. D’autres investigations sont requises pour confirmer ces observations et élucider les mécanismes d’action impliqués. / The cardiometabolic risk represents all risk factors for cardiovascular diseases and type 2 diabetes, including the traditional and the emerging risk factors. Accumulating evidences indicate that insulin resistance, inflammation and oxidative stress are key players in the cardiometabolic risk, although the main cause initiating the metabolic alterations associated with the cardiometabolic risk has to be identified. Postmenopausal women are an important sub-group of the general population because the risk of developing cardiometabolic complications increases after menopause. The cardiometabolic risk factors can be modulated by dietary intake, physical activity and weight loss. Despite the fact that the study of specific nutrients or foods provided a better understanding of the implication of nutrition in the cardiometabolic risk, the relationship between diet quality and cardiometabolic risk has been less studied. Beneficial effects of physical activity on the cardiometabolic risk have been demonstrated in physically active individuals. However, the relationship between energy expenditure and the cardiometabolic risk in sedentary individuals has been less investigated. Similarly, it is unknown whether dietary intake interacts with physical activity in order to have greater beneficial effects on the cardiometabolic risk. The objective of this thesis is to determine the relationships between diet quality, physical activity and oxidative stress on the cardiometabolic risk in sedentary postmenopausal overweight and obese women without cardiometabolic complications. The results showed that, in these sedentary women, physical activity energy expenditure is associated with reduced inflammation, independently of adiposity. Moreover, there is a synergistic relationship between quality and physical activity energy expenditure (PAEE) which is associated with a reduced cardiometabolic risk compared to their separate effects. Indeed, high diet quality combined to high PAEE levels is associated with a better lipid and lipoprotein profile and a lower inflammatory status, independently of adiposity. However, in a pilot study, only independent effects of changes in diet quality and PAEE on the changes in cardiometabolic risk factors was observed following a 6-month hypocaloric diet. Indeed, beyond the reduction of adiposity and improvement of the lipoprotein profile induced by this diet, improved diet quality and increased PAEE are associated with beneficial changes in blood pressure and lipid profile. On the other hand, modification in the glutathione system, which is one of the most common antioxidant systems in the body, is associated with a higher cardiometabolic risk. Greater glutathione peroxidase activity is associated with insulin resistance and greater intima-media thickness of blood vessels. These relationships may be mediated through a reductive stress. In conclusion, a healthy diet and physical activity should be emphasized in interventions aimed to reduce obesity and its related complications, even in absence of change in adiposity. Moreover, glutathione peroxidase activity may be a parameter contributing to the development of sub-clinical but clinically relevant asymptomatic cardiometabolic abnormalities in obese women. Further investigations are needed to confirm these results and to elucidate the underlying mechanisms.

Page generated in 0.0482 seconds