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"Faire les nopcesℓ : pratiques religieuses et laïques du mariage noble en France à la fin du Moyen-Âge

Ribordy, Geneviève January 1999 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La lettre comme outil de l'administration abbatiale et épiscopale dans le nord de la Gaule carolingienne (800-875)

Gravel, Martin January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Sources et autonomisation du savoir historique en français : l'exemple des récits autour d'Énée dans les histoires universelles médiévales

Labelle, Kim 24 April 2018 (has links)
Alors que les XIe et XIIe siècles voient l’essor de la littérature vernaculaire, le domaine historique doit attendre le XIIIe siècle avant l’apparition de la première histoire universelle rédigée complètement en langue d’oïl, l’Histoire ancienne jusqu’à César. D’abord inspirée du genre en latin, et traduite de cette langue, l’histoire universelle en français, dans les derniers siècles du Moyen Âge, se dissocie, discrètement, de son modèle afin de devenir un genre autonome, donnant naissance à des œuvres originales. Grâce aux récits sur Énée contenus dans des histoires universelles du XIIIe au XVe siècle, il est possible d’observer les différentes manifestations de ce phénomène d’autonomisation du savoir en français. L’utilisation de sources françaises par les récits plus tardifs au lieu de l’Énéide utilisée par les premières histoires universelles vernaculaires, vient confirmer l’autorité concrète qu’acquièrent les auteurs de textes historiques médiévaux. Les récits concernant Énée étant inédits, l’objectif premier de ce mémoire est de donner à lire ces textes. Une première partie présente donc des transcriptions interprétatives des textes de sept histoires universelles utilisées pour cette étude, à savoir l’Histoire ancienne jusqu’à César, la Chronique dite de Baudouin d’Avesnes, le Manuel d’histoire de Philippe de Valois, le Myreur des histors de Jean d’Outremeuse, la Fleur des hystoires de Jean Mansel, le Miroir du Monde et la Bouquechardière de Jean de Courcy. La deuxième partie se concentre sur le genre de l’histoire universelle et se consacre plus précisément à l’évolution des récits sur Énée, leurs sources, leurs constantes, leurs différences, qui permettent d’observer la constitution d’un savoir historique autonome en français. Une attention particulière est enfin accordée à l’évolution du personnage d’Énée dans ce corpus, puisque le fils d’Anchise est le motif où on peut observer le résultat de l’évolution d’une histoire en français acquérant son indépendance face aux sources premières latines. / While the eleventh and twelfth centuries saw the rise of vernacular literature, the historical domain had to wait until the thirteenth century before the first universal history was written completely in the language of oïl, the Histoire ancienne jusqu’à César. Originally inspired by the same genre in Latin, and translated from this language, medieval universal history in French, in the last centuries of the Middle Ages, discreetly dissociates itself from its model in order to become an autonomous genre, leading to original works. Thanks to the stories about Aeneas contained in universal histories from the 13th to the 15th century, it is possible to observe the different manifestations of this phenomenon of autonomous knowledge in French. The use of French sources by later stories at the expense of the Aeneid used by the first vernacular universal histories confirms the concrete authority acquired by authors of medieval historical texts. As the stories about Aeneas are unpublished, the primary purpose of this thesis is to give readings to these texts. The first part presents interpretative transcriptions of the texts of the seven universal histories used for this study, namely, the Histoire ancienne jusqu’à César, the Chronique dite de Baudouin d’Avesnes, the Manuel d’histoire de Philippe de Valois, the Myreur des histors of Jean d'Outremeuse, Jean Mansel's Fleur des hystoires, the Miroir du Monde and the Bouquechardière of Jean de Courcy. The second part concentrates on the genre of universal history and more precisely on the evolution of the narratives about Aeneas, their sources, their constants, their differences, which make it possible to observe the constitution of a knowledge autonomous history in French. Particular attention is finally paid to the evolution of the character of Aeneas in this corpus, since the son of Anchises is the place where one can observe the result of the evolution of a history in French acquiring its independence from sources first Latin.
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Éthique et logique au XIIIe siècle : problèmes logico-épistémologiques dans les premiers commentaires artiens (1230-1250) sur l'Éthique à Nicomaque : étude doctrinale, édition critique et traduction française sélectives de l'anonyme Lectura Abrincensis in Ethicam Veterem (ca. 1230-1240)

Cervera Novo, Violeta 24 April 2018 (has links)
"Thèse en cotutelle" / Au début du XIIIe siècle, les maîtres ès arts de l'Université de Paris donnent des cours sur l'Éthique à Nicomaque d'Aristote, récemment incorporée au corpus scolaire dans la traduction latine de Burgundio de Pise. Cette première réception de l'Éthique (fondée sur une version incomplète comportant uniquement les trois premiers livres) a été l'objet de diverses discussions. Faut-il voir dans les premières tentatives d'interprétations des artiens une lecture naïve, fort influencée par la théologie, qui « mésinterprète » le texte en le rendant compatible avec la vision chrétienne ? Ou est-il possible de trouver dans ces premiers commentaires une interprétation de l'Éthique qui peut être appelée philosophique au sens propre, et qui est capable de reconnaître les problèmes posés par le texte aussi bien qu'un lecteur d'aujourd'hui ? Ce travail essaie de mettre en relief la valeur proprement philosophique de ces premiers cours artiens sur l'Éthique à travers l'étude approfondie de l'un de ces premiers commentaires : la Lectura Abrincensis in Ethicam Veterem (ca. 1230-1240), texte anonyme qui est ici, pour la première fois, l'objet d'une édition critique sélective (accompagnée d'une traduction française). L'étude propose aussi de comparer la Lectura Abrincensis avec d'autres textes artiens de la période 1230-1250 : le Commentaire de Paris (anonyme, ca. 1235-1240), l'Expositio super Ethica Nova et Vetere de Robert Kilwardby (ca. 1245) et la Lectura cum questionibus in Ethicam Novam et Veterem de l'anonyme communément appelé Pseudo-Peckham (1240-1244). Cette étude comparative se développe autour d'un thème bien précis : les problèmes logico-épistémologiques qui découlent des considérations méthodologiques faites par Aristote lui-même dans ÉN II, 2 (1103b25-30), ÉN I, 1 (1094b11-21), et ÉN II, 2 (1103b34-1104a8). Reconnaissant que l'Éthique a une double finalité, l'une pratique (devenir bons) l'autre théorique (connaître ce qu'est la vertu), les maîtres essayeront de trouver la meilleure manière d'articuler ces deux dimensions sans nuire au caractère proprement scientifique de l'Éthique.
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L'Abbaye d'Auberive et la vallée de l'Aujon aux XII-XIIIe siècles : réussite d'une entreprise cistercienne

Calfat, Marc 25 April 2018 (has links)
L'historiographie monastique, les études antérieures consacrées à Auberive et l'organisation topographique du cartulaire ont conduit à l'examen de deux des onze granges créées par l'abbaye cistercienne d'Auberive. Le caractère stéréotypé des quelque 200 chartes du dossier et le traitement statistique des informations qui en découle nous amènent à poser une triple interrogation qui détermine la structure de la démonstration. Comment et â quel rythme les granges ont-elles été implantées et se sont-elles développées dans la vallée de l'Aujon? Quelle fut la nature de l'exploitation et comment a-t-elle évolué? Pouvons-nous enfin saisir l'impact de cette implantation sur la région? En filigrane et coiffant le tout, la question essentielle: l'entreprise auberiveraine dans la vallée correspond-elle toujours à l'idéal économique des Cisterciens? La pénétration de la vallée fut progressive et se déroula en trois étapes: le démarrage (1135-1179); puis, quarante années d'intense activité (1180-1220); enfin, la consolidation (1220-1279). Même s'il faut prendre garde au vocabulaire qui masque souvent les motivations réelles, se dégagent néanmoins les grandes lignes d'un processus de l'appropriation du territoire: les sollicitations qui attirent les donations (55%), l'installation subséquente qui provoque des accrochages, d'où querelles et abandons (36%); cette situation, enfin, fait intervenir les compensations financières (9%). L'analyse des acquisitions et de la production spécifique de la vallée nous amène à conclure que l'économie auberiveraine intégra à la pratique du faire-valoir direct des méthodes d'exploitation seigneuriale et s'ouvrit lentement à une économie de marché. Trois étapes marquent ce changement. De la fondation à 1185, l'idéal cistercien fut respecté: le recrutement fut aisé, nulle dîme ne fut acceptée, etc.; la vallée pourvoit la communauté en laine. L'étape décisive à cet égard se situe entre 1190 et 1220. Quelques écarts à la morale cistercienne sont alors apparus: transactions financières, réceptions de dîme, possession de main-d'oeuvre laïque. L'ouverture d'une seconde exploitation à Pelonqerot accentua la vocation pastorale de la vallée. A partir de 1220, l'abbaye opta définitivement pour une économie ouverte. Les religieux investirent dans l'acquisition de droits et de revenus seigneuriaux. Les troupeaux d'ovins atteignirent une envergure que seule la commercialisation peut expliquer. Cette marche vers la spécialisation et l'exploitation seigneuriale explique en partie le succès économique d'Auberive. D'autres éléments doivent également être considérés. Les appuis d'abord. L'évêque de Langres et son vidame, la famille Saulz-Grancey, traditionnellement allié au duc de Bourgogne, soutinrent Auberive tout au long de sa croissance. Ensuite, Auberive sut tirer au maximum de l'environnement physique en reconnaissant les capacités pastorales de la vallée. Enfin, le succès auberiverain découle d'une administration prévoyante et suivie. Le trait le plus important de la gestion fut la recherche constante de la concentration des biens et la poursuite d'une politique de rentabilité. Les perspectives économiques pour les communautés habitant la vallée de l'Aujon, aux XIIe-XIIle siècles, paraissaient excellentes. Mais l'installation d'une maison cistercienne à Auberive bouleversa le dynamisme de cette région. La pénétration presqu'exclusive des finages, les méthodes particulières d'exploitation (concentration, faire-valoir direct) et la nature même de cette exploitation (élevage) entraînèrent une nette diminution de l'aire économique des communautés aujonnaises. Les paysans furent expulsés et plusieurs localités disparurent. Chevaliers et seigneurs de la vallée ne purent freiner l'élan des Cisterciens. Leur action se limita à négocier des ententes entre leurs hommes et les religieux, au sujet des droits d'usage dans les finages. Bref, la domination auberiveraine sur la vallée fut incontestable. Pénétration, mise en valeur et domination du territoire s'expliquent selon des concepts écologiques. L'agrosystème mis en place par Auberive correspondait très bien aux capacités de l'écosystème aujonnais mais déséquilibra l'agrosystème des communautés de la vallée. Ces communautés, qui ne comptaient que sur un seul agrosystème, résistaient difficilement a une entreprise dont la force économique reposait sur plusieurs agrosystèmes dispersés sur un vaste territoire. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2012
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Bestiaire mythique, légendaire et merveilleux dans la tradition celtique : de la littérature orale à la littérature écrite : étude comparée de l'évolution du rôle et de la fonction des animaux dans les traditions écrites et orales ayant trait à la mythologie en Irlande, Ecosse, Pays de Galles, Cornouailles et Bretagne à partir du Haut Moyen Âge, appuyée sur les sources écrites, iconographiques et toreutiques chez les Celtes anciens continentaux

Boekhoorn, Dimitri Nikolai 26 June 2008 (has links) (PDF)
L'auteur propose d'étudier le « bestiaire celtique », entendu comme l'ensemble des animaux réels avant tout, dans la littérature celtique du Moyen Âge. A travers les textes mythologiques, héroïques et hagiographiques surtout, une vue d'ensemble sera établie. Il veut savoir ce que sont devenus les animaux cultuels de l'Antiquité dans les textes médiévaux ; il étudie également le rôle et le symbolisme des autres animaux de la tradition médiévale, qui n'étaient pas forcément importants pendant l'Antiquité ; il fait le tour de la question en donnant un aperçu du corpus étudié, en faisant des références à d'autres traditions (indo-européennes entre autres), en comparant la tradition médiévale au folklore (pré-moderne), en décrivant plusieurs aspects du bestiaire : la question épineuse de l'existence de pratiques comme le chamanisme et le totémisme et de l'applicabilité de ces termes sera abordée ; il sera question des sonorités et de la musique que produisent les animaux ; des aspects comme la métamorphose, la métaphore, l'onomastique et la classification animales seront discutés avant de fournir, dans la deuxième partie, un catalogue des animaux, dans lequel le symbolisme et le rôle de chaque espèce seront analysés de façon succincte ; la troisième partie est une étude type qui vise à analyser le bestiaire contenu dans un texte hagiographique breton, la Vie de saint Malo et à apporter quelques éléments qui prouveraient l'appartenance de la Bretagne armoricaine à l'espace culturelle des îles celtiques, qui comprend aussi l'Irlande, l'Île de Man, l'Ecosse, le Pays de Galles et la Cornouailles
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Le censier de Saint-Mayeul : un reflet de la société clunisoise au XIVe siècle

Taillefer, Ian 12 April 2018 (has links)
Le censier de Saint-Mayeul compte parmi les sources peu exploitées de l'historiographie de la ville de Cluny. Daté de l'an 1333, il concerne la paroisse Saint-Mayeul de la ville de Cluny (Bourgogne, France), une petite ville établie au pied de la plus grande abbaye d'Occident. Ce manuscrit énumère les sources de revenu du curé et des prêtres rattachés à la paroisse Saint-Mayeul. On y retrouve des données sur l'urbanisme clunisois mais également sur la vie paroissiale et les activités socio-économiques du bourg. De plus, les nombreuses informations anthroponymiques consignées offrent un regard unique sur les liens familiaux des Clunisois au XIVe siècle. La transcription, le traitement et l'analyse des entrées originales de 1333 dans ce mémoire permettront au lecteur d'apprécier le quotidien d'une petite communauté en marge de ce géant que fut l'abbaye de Cluny. / Conceived and written in 1333 as an administrative tool listing the different revenus owed by the priests attached to Saint-Mayeul parish, « Le censier de Saint-Mayeul » also details parts of everyday life in a small town born in the shadow of Cluny Abbey. These details are various in nature and concern urbanism, anthroponymy and the socio-economics of a small town parish in medieval Burgundy. The manuscript is a great source of knowledge and this transcription and analysis of the original entries dating from 1333 will no doubt offer a unique perspective on every day life in this community.
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Des moines dans les bois : gestions et représentations de la forêt dans les actes de l'abbaye de la Ferté-sur-Grosne de 1113 à 1178

Mercier, François 13 April 2018 (has links)
Au printemps 1113, des moines quittèrent la communauté de Cîteaux pour s'installer un peu plus au sud dans le grand massif forestier de Bragny et y fonder l'abbaye de La Ferté-sur-Grosne, comme on l'avait fait quinze ans plus tôt avec le Nouveau Monastère. Pourquoi des moines s'installaient-ils en forêt? Pour répondre à cette question, il faut d'abord avoir conscience de la complexité au XIIe siècle de ce concept qui semble pourtant simple pour l'esprit du XXIe siècle par la multitude de termes utilisés pour désigner la forêt et la place spécifique qu'elle occupait au sein du mouvement monastique, en particulier dans la communauté cistercienne. La forêt était également un élément économique central dans une civilisation aussi rurale que l'Occident médiéval. Ainsi, elle devait être un enjeu important dans les transactions sociales. Les actes de La Ferté permettent d'éclaircir en partie les modes de gestion et de représentation de la forêt dans la société occidentale du XIIe siècle.
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La sedes fortunae : logiques figurales et dynamiques historiques de la roue de fortune (XIe-XIVe siècles)

Gauthier, Jean-Luc 18 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2011-2012 / L'allégorie antique de la roue de fortune inspire des formulations visuelles originales au Moyen Âge central. Du XIe au XIVe siècle, les nombreuses confrontations dialectiques mises en scène autour de la roue déploient la sémiologie des images de la roue de fortune. En résulte un réseau de tensions figuratives par lequel les structures du thème se dévoilent : mère des vices et ennemies des vertus, Fortune est une figure antithétique de la Sagesse divine tandis que son instrument, la roue sur laquelle siègent les souverains pérennes, apparaît comme un motif inverse du Trône de Sagesse. Les usages de la roue de fortune intensifient les antagonismes figuratifs et précisent ses fonctions sociales. En conjoignant des valeurs opposées, unissant sans paradoxe des conceptions en apparence contraires, la roue de fortune est un thème littéralement renversé : ses revers sont profitables et favorisent le salut des âmes.
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"Ritus hereticorum" : les rites de l'hérésie des "bons hommes" comme construction cléricale au sein de deux registres d'Inquisition (Albi, 1286-1287 et 1299-1300)

Marcoux-Fortier, Jean-Philippe 17 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / Ce mémoire s'applique à analyser les descriptions de rites des « bons hommes » languedociens au sein de la dynamique du discours inquisitorial de deux registres albigeois (lat. 11847 de la BnF, procédure de 1299-1300; lat. 12856 de la BnF, procédure de 1286-1287), tant dans leur mise en forme écrite que dans leur contenu. Il s'appuie sur le renouvellement des études sur ce sujet au cours des dernières décennies, privilégiant une approche déconstructionniste des sources. On y expose en premier lieu comment toute une mise en forme des manuscrits met en évidence certains rites, notamment par des annotations tant au sein des tables construisant une image graphique de la communauté de la dissidence religieuse que dans la mise en page des dépositions. La répartition de ces dernières annotations marginales semblent créer l'image type de l'hérétique autour des pratiques rapportées par les déposants-clefs de chaque procès. Est ensuite expliqué comment la répartition des descriptions dans les registres propose que les rites hérétiques étaient les principales preuves d'hérésie au sein de ces procédures, l'évolution de ces dernières étant tributaire du nombre et du type de ces rituels au sein de chaque témoignage. En dernier lieu, l'analyse du contenu des descriptions suggère que les rites sont décrits dans ces documents à partir du vocabulaire et de referents propres à l'orthodoxie chrétienne, projetant sur les pratiques dissidentes une image de dépravation fondée sur des balises catholiques. Les caractéristiques de ces rites propres à la dissidence sont ainsi difficilement décelables, mais semblent sous-tendues par un ritualisme et une hiérarchie moins rigides que ceux de l'Église romaine, se rapprochant de caractéristiques propres aux confréries laïques de l'époque.

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