• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 4
  • Tagged with
  • 4
  • 4
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Grandir avec les autres. Processus de socialisation et évolutions des réseaux personnels

Bidart, Claire 15 May 2012 (has links) (PDF)
La socialisation est le double processus par lequel se construit et se renouvelle l'entourage social d'un individu, et par lequel cet entourage contribue à orienter le parcours de l'individu. L'individu choisit les personnes et les cercles qu'il fréquente, ces personnes et ces cercles en retour font de lui ce qu'il est. C'est par la fréquentation et l'entretien de relations avec les autres que l'individu " travaille " son inscription sociale, s'affilie à des milieux sociaux, construit des accords avec ses semblables, oriente et affirme ses références. Comme tout processus, la socialisation se façonne dans le temps, au fur et à mesure des jours et des années. Je propose ici de travailler, à partir de données empiriques, la question de la dynamique des environnements sociaux. Comment se construit l'entourage d'un individu ? Comment agit-il sur ses décisions ? Comment et avec qui s'élabore un parcours social ? Comment devient-on un adulte dans la société ? Comment ce parcours retentit-il à son tour sur l'entourage ? De telles questions sont au cœur de la compréhension du processus de socialisation. En prenant au sérieux les questions de la pluralité des systèmes de référence, de la multiplicité des autruis significatifs, de l'importance des relations interpersonnelles et du système qu'elles composent autour de l'individu, je montre qu'il est important de se donner les moyens de réaliser empiriquement les promesses d'une conception " relationnelle " de la socialisation. Je définis précisément ce qui constitue l'environnement social, en présentant en particulier les apports de l'analyse des réseaux sociaux et de l'étude des dynamiques relationnelles. Je travaille ensuite la notion de parcours de vie, de trajectoire, de bifurcation, en montrant ce qu'apporte une analyse processuelle capable de déceler les changements dans les logiques d'action. L'introduction, dans le système d'analyse du social, des entourages relationnels et de la perspective dynamique, s'affirment ainsi comme les points centraux de ma démarche d'étude des processus de socialisation.
2

Des repères à la construction d'un chez-soi : trajectoires de mixité conjugale au Maroc

Therrien, Catherine 12 1900 (has links)
Cette thèse part du constat que le cadre théorique dont les sciences sociales disposent pour décrire l’expérience de mixité conjugale n’est pas adapté à la mouvance de la situation contemporaine. La plupart des théories qui ont été élaborées pour parler de cette expérience de rencontre se conjuguent sous l’emprise de notions vieillies. En s’intéressant aux trajectoires de mixité conjugale dans le contexte du Maroc, cette thèse contribuera à développer un cadre conceptuel qui reflète la mouvance de la réalité contemporaine et ce, en posant les bases d’un habitus discursif valorisant, ce qui constitue l’originalité principale de ce projet de recherche. À partir d’un terrain ethnographique qui a placé l’anthropologie de l’expérience partagée et les récits d’expérience au cœur de la méthodologie de recherche, cette thèse dresse également un portrait ethnographique de la mixité conjugale au Maroc, ce qui a permis de documenter un sujet encore très peu exploré par les sciences sociales. Dans le cadre de cette thèse, la mixité conjugale a été appréhendée sous l’angle de la métaphore du voyage prolongé de Fernandez (2002), ce qui a contribué à dynamiser le cadre théorique entourant la mixité conjugale. En arrière-fond de cette thèse, une réflexion autour du concept de « home » (le chez-soi) suggère que le projet de construction de soi des individus contemporains qui négocient leur quotidien au croisement de références culturelles différentes (dont font partie les participants de cette recherche) n’est pas nécessairement synonyme de déracinement et de fragmentation, mais qu’il porte l’idée d’attachement et de cohérence. / This thesis is based on the premise that the theoretical framework used by social sciences to describe mixed couples experiences is no longer adapted to contemporary situations of mobility. Most theories that have been developed to describe this experience use concepts that are not adapted to the present. By focusing on the paths taken by mixed couples in the context of Morocco, this thesis will contribute to the development of a conceptual framework reflecting the phenomenon as it exists today. Furthermore, the originality of this project lies mainly in the fact that it offers a habitus discursif valorisant for mixed unions. Based on ethnographic field work that puts narratives of experience at the heart of its research methodology, this thesis also offers an ethnographic portrait of mixed couples in Morocco, a subject that has received little attention from social sciences. Mixed couples have been studied in the framework of this thesis from the angle of Fernandez’s (2002) prolonged travel metaphor, which has contributed to revitalizing the theoretical framework for looking at mixed couples. In the background of this thesis there is a reflection around the concept of « home » whereby the self-creation of contemporary individuals negotiating their daily lives at the crossroads of different cultural references (as is the case for the participants of this research) is not necessarily synonymous with uprooting and fragmentation but rather incorporates ideas of attachment and personal continuity.
3

Des repères à la construction d'un chez-soi : trajectoires de mixité conjugale au Maroc

Therrien, Catherine 12 1900 (has links)
Cette thèse part du constat que le cadre théorique dont les sciences sociales disposent pour décrire l’expérience de mixité conjugale n’est pas adapté à la mouvance de la situation contemporaine. La plupart des théories qui ont été élaborées pour parler de cette expérience de rencontre se conjuguent sous l’emprise de notions vieillies. En s’intéressant aux trajectoires de mixité conjugale dans le contexte du Maroc, cette thèse contribuera à développer un cadre conceptuel qui reflète la mouvance de la réalité contemporaine et ce, en posant les bases d’un habitus discursif valorisant, ce qui constitue l’originalité principale de ce projet de recherche. À partir d’un terrain ethnographique qui a placé l’anthropologie de l’expérience partagée et les récits d’expérience au cœur de la méthodologie de recherche, cette thèse dresse également un portrait ethnographique de la mixité conjugale au Maroc, ce qui a permis de documenter un sujet encore très peu exploré par les sciences sociales. Dans le cadre de cette thèse, la mixité conjugale a été appréhendée sous l’angle de la métaphore du voyage prolongé de Fernandez (2002), ce qui a contribué à dynamiser le cadre théorique entourant la mixité conjugale. En arrière-fond de cette thèse, une réflexion autour du concept de « home » (le chez-soi) suggère que le projet de construction de soi des individus contemporains qui négocient leur quotidien au croisement de références culturelles différentes (dont font partie les participants de cette recherche) n’est pas nécessairement synonyme de déracinement et de fragmentation, mais qu’il porte l’idée d’attachement et de cohérence. / This thesis is based on the premise that the theoretical framework used by social sciences to describe mixed couples experiences is no longer adapted to contemporary situations of mobility. Most theories that have been developed to describe this experience use concepts that are not adapted to the present. By focusing on the paths taken by mixed couples in the context of Morocco, this thesis will contribute to the development of a conceptual framework reflecting the phenomenon as it exists today. Furthermore, the originality of this project lies mainly in the fact that it offers a habitus discursif valorisant for mixed unions. Based on ethnographic field work that puts narratives of experience at the heart of its research methodology, this thesis also offers an ethnographic portrait of mixed couples in Morocco, a subject that has received little attention from social sciences. Mixed couples have been studied in the framework of this thesis from the angle of Fernandez’s (2002) prolonged travel metaphor, which has contributed to revitalizing the theoretical framework for looking at mixed couples. In the background of this thesis there is a reflection around the concept of « home » whereby the self-creation of contemporary individuals negotiating their daily lives at the crossroads of different cultural references (as is the case for the participants of this research) is not necessarily synonymous with uprooting and fragmentation but rather incorporates ideas of attachment and personal continuity.
4

Les chemins internationaux de la mobilité sociale : expériences de mobilité et d’immobilité sociale dans les parcours migratoires comparés d’émigrés comoriens et togolais / International paths of social mobility : experiences of social mobility and immobility in Comorian and Togolese's migrant life course

Bréant, Hugo 27 June 2016 (has links)
Cette thèse prend pour objet les parcours biographiques d'émigrés comoriens et togolais, en s'intéressant à la double dimension de ces mobilités internationales, entendues à la fois comme des processus de mobilité spatiale et comme des trajectoires de mobilité sociale. Pour étudier ces mobilités, l'enquête a été menée en France et dans les deux pays d'origine. Près de 200 récits de vie, complétés par des observations au sein des familles, ont pu être réalisés auprès de non-émigrés, d'émigrés, d'émigrés de retour et de leurs proches. La recherche questionne le franchissement des frontières internationales comme moyen de s'affranchir des frontières sociales nationales, c'est-à-dire les manières dont les émigrés s'approprient la mobilité internationale et peuvent converti leurs expériences migratoires en ressources leur permettant de s'engager dans un processus de mobilité sociale ascendante. Cette enquête souligne que les histoires migratoires nationales, les conditions politiques restrictives de la mobilité internationale et les dispositions familiales à la migration se combinent pour construire des parcours inégaux. La comparaison multidimensionnelle entre des émigrés originaires de deux pays, aux propriétés sociales diverses, met d'abord en lumière l'influence centrale des histoires familiales et du milieu social d'origine des émigrés dans l'explication des parcours individuels. L'enquête démontre par ailleurs que les mobilités internationales conduisent les émigrés à traverser plusieurs espaces sociaux et nationaux et à s'engager dans des trajectoires qui mêlent à la fois des expériences d'immobilité et de mobilité sociale. Au-delà de ces expériences individuelles contrastées, la thèse indique enfin que la migration participe tout autant à reproduire les inégalités qu'à brouiller les frontières sociales du pays d'origine. / This thesis explores the life course of Comorian and Togolese migrants by focusing on. the dual dimension of international mobility, understood both as a spatial mobility process and as a social mobility trajectory. In order to investigate this mobility, the study was both conducted in France and in the two countries of origin. Nearly 200 life stories of non-migrants. migrants, returning migrants and their close relations were collected and completed by observations within the families. The research questions the crossing of international borders as a mean to overcome national social boundaries, that is to say, the ways migrants appropriate international mobility and convert their experiences into resources allowing them to begin a process of upward social mobility. This study stresses that the national migration history, the restrictive political conditions of international mobility and the families' dispositions for migration ail combine to create unequal individual courses. The multidimensional comparison of migrants from both countries that show diverse social characteristics highlights the central influence of family history and migrants' social background in the explanation of their persona! trajectories. The study also demonstrates that international mobility pushes migrants to cross several national and social spaces and to engage in paths that combine both experiences of immobility and social mobility. Beyond these contrasting individual experiences, the thesis finally shows that the migration process is perpetuating inequalities as well as blurring the social boundaries in the countries of origin.

Page generated in 0.0801 seconds