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The communism and philosopher-king of Plato's RepublicMaryeski, Thomas S., Maryeski, Thomas S. 04 December 2024 (has links)
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La pensée politique d'Emmanuel Mounier : la communauté internationaleBachoc, Raymond. 16 December 2024 (has links)
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Une confrontation du discours missionnaire et philosophique : l'interprétation de l'image de la Chine par Montesquieu et Voltaire, 1721-1776Janvier, Marie-Hélène 20 April 2018 (has links)
La France du XVIIIe rencontre plusieurs problèmes d'ordre religieux et politique qui ne manquent pas d'agiter la pensée critique des philosophes. Armés de leur plume, ces derniers engagent un combat contre l'intolérance religieuse et l'absolutisme à travers leurs œuvres. Étudiant différents régimes, les philosophes cherchent un modèle qui pourrait satisfaire une France en panne de ses institutions. Parmi les modèles éphémères qui leur parviennent, celui de la Chine, transmis de l'autre bout du monde par les missionnaires jésuites, éveille leur esprit et leur intérêt. Cet empire lointain est dépeint comme une terre de tolérance religieuse dirigée par un empereur bon et clément envers ses sujets. Un combat s'engage alors entre les sinophiles et les sinophobes, soit les admirateurs et les détracteurs de la référence chinoise. Parmi ces philosophes, deux figures de proue du Siècle éclairé s'affrontent, Voltaire et Montesquieu. Alors que Voltaire admire l'image de la Chine et l'utilise à plusieurs reprises pour critiquer la France, Montesquieu se montre plutôt sceptique avec les propos des jésuites et expose que cet empire ne doit pas être un modèle. Même si ces deux philosophes ont en main le même bassin de sources, leur interprétation et leur utilisation en sont complètement différentes. Entre despotisme et monarchie éclairée, entre athéisme, idolâtrie et déisme, la description de la Chine par le prisme missionnaire, puis philosophique, fait l'objet de plusieurs débats littéraires dans les milieux savants. Ceci ne manque pas d'éveiller la vieille querelle des rites chinois qui entraîne les jésuites à leur perte en même temps que le modèle chinois vers la fin du Siècle des Lumières.
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" Champion[s] de la même cause " ? : la pensée politique des rédacteurs de l'Allgemeine Zeitung des Judenthums et des Archives israélites entre Allemagne et France (1848-1914)Knörzer, Heidi 16 June 2011 (has links) (PDF)
Les textes de Ludwig Philippson, Gustav Karpeles, Isidore Cahen, Hippolyte Prague, publiés dans l'Allgemeine Zeitung des Judenthums et dans les Archives Israélites entre 1848 et 1914, témoignent d'un incessant souci politique. De l'égalité politique des minorités juives et de leur discrimination à la réflexion sur les relations entre politique et religion, en passant par les nouveaux courants politiques du XIXe siècle, tels le nationalisme, le socialisme ou encore le sionisme, nombreux sont les thèmes liés à la politique qu'ils abordent dans leurs articles. C'est le discours politique tel qu'il se donne à voir dans leurs articles qu'il s'agit d'étudierdans cette thèse. La pensée politique des minorités juives en Allemagne et en France au XIXe siècle a déjà fait l'objet de diverses études. Certaines abordent la thématique dans une perspective nationale, d'autres adoptent, comme nous, une approche comparée, en soulignant essentiellement les différences de points de vue entre les deux collectivités juives. Ces recherches partent du principe que l'Allemagne et la France sont structurées différemment, notamment en ce qui concerne les conceptions de la nation, les rôles joués par la religion et, partant, le mode d'émancipation des juifs, pour en déduire que la réalité des minorités juives et leur façon de penser, de sentir et d'agir l'est aussi. S'il ne s'agit pas de nier une certaine influence du contexte national sur lafaçon dont les journalistes voient le monde, la conviction qui anime le présent travail est que les contextes nationaux apparemment différents ne doivent pas nous empêcher de voir que leurs discours politiques obéissent à une logique commune. La thèse que nous nous proposons de démontrer dans cette étude consiste à dire que les discours politiques des juifs allemands et français, loin de former deux discours disjoints et opposés, se sont mutuellement rencontrés et fertilisés pour former un discours largement transnational. Grâce à leurs revues, il existait en effet de nombreux contacts entre les journalistes qui pourraient expliquer, entre autres, les parallèles et ressemblances dans leur manière d'aborder certaines questions politiques
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Économie et politique chez John LockeBouchard, Martial 04 December 2024 (has links)
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Former l'individu, profiter du territoire, élever la nation : la pensée libérale de Lomer Gouin, 1897-1920Pontbriand, Mathieu 20 April 2018 (has links)
Le rôle de Lomer Gouin dans l’histoire du Québec est loin d’être négligeable puisqu’il tient les rênes du pouvoir provincial durant 15 ans. C’est aussi sous ses différents mandats que l’économie québécoise accentue son industrialisation et que l’urbanisation s’accélère. Sa pensée politique, inspirée du libéralisme, reste encore toutefois mal définie. Celle-ci se trouve aux carrefours de différentes tendances idéologiques de son époque. En effet, il occupe une position privilégiée dans la tendance libérale de l’époque : gendre du premier ministre nationaliste Honoré Mercier; un premier mandat comme député marqué par les querelles entre son chef, Félix-Gabriel Marchand, et l’Église catholique; relations avec Godfroy Langlois, un libéral progressiste. De plus, il doit faire face à une vague nationaliste qui agite le Québec et le Canada. Sa conception du développement du Québec dévoile la culture libérale modérée dans toute sa vigueur au début du XXe siècle.
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Dialogue entre la morale existentialiste beauvoirienne et les éthiques du careMarcotte, Romane 12 November 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 5 juin 2023) / La pensée existentialiste de Beauvoir et les éthiques du care ont été la cible de critiques symétriques de la part des philosophes féministes au cours des dernières décennies. Avec la publication du Deuxième Sexe en 1945, Simone de Beauvoir démontre que l'oppression sexiste entraîne les femmes à la passivité et à la servitude, et exige la transformation nos sociétés pour permettre à toutes les personnes opprimées d'exercer leur liberté. Plusieurs féministes ont reproché à Beauvoir son exaltation de l'exercice de la liberté, qui inciterait les femmes à imiter les hommes, et sa sévère critique des attitudes comme des activités typiquement féminines, qui resterait aveugle à leur potentiel éthique. À partir des années 1980, les éthiques du care ont justement voulu souligner ce potentiel, en revalorisant les dispositions à la sollicitude développées par bien des femmes ainsi que les activités de prise en charge de la vulnérabilité humaine. Pourtant, on leur a reproché de proposer une éthique de la servitude, idéalisant des activités qui ont contribué à l'exploitation des femmes. Ce mémoire s'intéresse à la tension dévoilée par la réception de ces deux pensées féministes : comment prendre au sérieux l'effet nocif des attitudes et activités imposées aux femmes, sans en présenter une description caricaturale qui empêcherait de les considérer comme des sujets moraux ou invisibiliserait des activités essentielles à la survie de nos communautés ? Pour explorer cette tension, nous proposons un dialogue critique entre ses philosophies féministes, parfois afin de souligner leurs lacunes, parfois afin de nuancer les reproches qui leur ont été adressés et de souligner entre elles des points communs inattendus. Ce dialogue abordera trois thèmes : leur vision du sujet moral, leur conception du care, ainsi que leur évaluation des points de vue marginalisés.
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L'engagement intellectuel de Gérard Bergeron, 1956-1998Olivier, David 13 December 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 12 juin 2023) / Dans ce mémoire, nous portons notre attention sur l'engagement intellectuel de Gérard Bergeron dans les médias écrits entre 1956 et 1998. Nous constatons qu'il s'apparente à un « intellectuel spécifique ». En tant que tel, Gérard Bergeron a su pratiquer une éthique de l'engagement public similaire à celle du parrèsiaste de la Grèce Antique. En retraçant sa trajectoire intellectuelle, nous montrons comment le fils d'un petit marchand de Charny, à l'époque de la Grande Dépression et de la Deuxième Guerre mondiale, a su traduire ses inquiétudes en une volonté de comprendre le monde dans lequel il vit. Cela l'entraine vers le développement de ses compétences spécifiques lié à l'étude du politique à travers les sciences sociales et de la théorie de l'État, ce qui explique la correspondance de son mode d'engagement avec celui de l'intellectuel spécifique. Son engagement se développe selon trois types, suivant la chronologie de son parcours professionnel. En filigrane de ces trois types se profile la figure du parrèsiaste qui saisit l'occasion de prendre publiquement la parole en fonction d'une éthique du dire-vrai dans le but de faire comprendre aux détenteurs du pouvoir le sens de leurs propres actions. Entre 1956 et 1963, Bergeron agit comme un intellectuel masqué : il utilise le pseudonyme Isocrate pour dissimuler sa fonction d'universitaire rattaché à la Faculté des Sciences sociales de l'Université Laval, mais surtout pour que sa parole soit considérée pour la pertinence de son contenu et non en vertu de l'appartenance de l'énonciateur à une institution dont la notoriété est une source de querelle à cette époque. En 1964-1966, son statut de « théorisateur » fait sauter le masque de l'intellectuel. Grâce à sa thèse, Gérard Bergeron est reconnu comme un théoricien de calibre international. Il acquiert à cette époque une crédibilité qui lui est propre ainsi qu'une légitimité pour intervenir sur la place publique en fonction d'un savoir spécifique. Enfin, entre 1967 et 1998, il peut légitimement se positionner en tant qu'observateur-participant. Muni d'un bagage théorique, son engagement public dans le débat constitutionnel consiste à s'adresser aux tenants d'une reconnaissance interne et à ceux d'une autodétermination pour leur signaler les exigences que leurs options respectives comportent ainsi que les conséquences qu'elles risquent d'entrainer. La pertinence du propos de Bergeron réside ici encore dans une éthique du dire-vrai fondée sur un savoir spécifique. / In this essay, we focus on Gérard Bergeron's intellectual engagement in the written media between 1956 and 1998. We find that he is similar to the "specific intellectual". As such, Gérard Bergeron was able to practice an ethic of public engagement similar to that of the parrhèsiaste of Ancient Greece. By tracing his intellectual trajectory, we show how the son of a small merchant from Charny, at the time of the Great Depression and the Second World War, was able to translate his concerns into a desire to understand the world in which he lived. This leads him to the development of his specific skills related to the study of politics through social sciences and the theory of the State, which explains the correspondence of his mode of commitment with that of the specific intellectual. His commitment develops according to three types, following the chronology of his professional career. Underlying these three types is the figure of the parrhèsiaste who seizes the opportunity to speak publicly according to an ethic of telling the truth in order to make those in power understand the meaning of their own actions. Between 1956 and 1963, Bergeron acted as a masked intellectual: he used the pseudonym Isocrate to conceal his function as an academic attached to the Faculty of Social Sciences at Laval University, but above all to ensure that his words were considered for the relevance of their content and not by virtue of the enunciator's membership in an institution whose notoriety was a source of contention at that time. In 1964-1966, his status as a "theorist" broke the mask of the intellectual. Thanks to his thesis, Gérard Bergeron was recognized as a theorist of international calibre. At that time, he acquired his own credibility and the legitimacy to intervene in the public arena on the basis of his specific knowledge. Finally, between 1967 and 1998, he could legitimately position himself as an observateur-participant. Equipped with a theoretical background, his public engagement in the constitutional debate consists of addressing the advocates of internal recognition and those of self-determination in order to point out to them the demands that their respective options entail, as well as the consequences that they may entail. The relevance of Bergeron's argument lies here again in an ethic of truth-telling based on specific knowledge.
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La personne et la société politique selon Emmanuel MounierBoutin, Bernard 22 October 2021 (has links)
Le personnalisme se fait le défenseur de la personne car il connaît l'importance de la dignité humaine. Il défend la personne contre le libéralisme et le totalitarisme. le personnalisme a mis en garde la personne contre l'ampleur du fascisme et du marxisme. Ces courants d'idées amènent la personne à vivre une fausse liberté. C'est dans cette confusion qu'un groupe de jeunes chrétiens langèrent le personnalisme. Emmanuel Mounier a été l'un des personnages les plus influents. le personnalisme exprime la personne dans son sens total aussi bien au niveau physique, moral, social et spirituel. le libéralisme nuit au devenir communautaire de la personne et le totalitarisme méprise la personne. l'individu et la personne sont confondus. Dans ce mémoire, nous démontrerons comment la personne a évolué dans ces courants selon Emmanuel Mounier.
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Sur les fondements marxiens et chrétiens de la pensée sociopolitique de René CosteJoseph, Enrico 11 April 2018 (has links)
Cette thèse sur de Mgr. René Coste p.s.s. a pour but de démontrer la proximité de la pensée de ce théologien moraliste avec la pensée sociale de Karl Marx. Aussi, nous avons analysé le discours de Coste sur Marx. Marx est le penseur qui a le plus marqué l'Occident au 20e siècle. Que l'on soit pour ou contre Marx, on ne peut pas rejeter cet auteur. Coste, en tant qu'internationaliste et théologien concerné par les problèmes sociopolitiques de l'Humanité, s'est aussi intéressé à Karl Marx parce que celui-ci fut le plus grand contestataire idéologique de l'ordre capitaliste. De surcroît, il ne fut pas qu'un simple contestataire. Marx a été un penseur ayant compris ce qu'était le capitalisme et l'ordre social qui en découlait. Nombre de ses dires sont encore valables de nos jours. Il n'est pas étonnant que les chrétiens ayant des vues socialistes sur le monde s'en soient inspirés. Devant cet engouement pour un tel homme, l'Église catholique romaine a vu plusieurs de ses théologiens se pencher sur la question marxiste. Et Coste fut l'un de ces théologiens. L'humanisme de Marx transmet des valeurs qu'aucun théologien ne pourrait logiquement rejeter s'il tient compte des véritables valeurs sociales chrétiennes. D'ailleurs, c'est aussi pour cette raison que Coste a écrit énormément sur le marxisme et le christianisme. L'autre partie de la thèse concerne les idées morales qui sont proposées dans la doctrine sociale de l'Église catholique. En fait, cette thèse fera la démonstration de la proximité de Coste à la doctrine sociale de l'Église catholique. Ceci est décidément important si on tient compte du fait que l'Église catholique, voyant le succès de la pensée de Marx au sein de la classe ouvrière, s'est mise à produire une morale sociale chrétienne répondant à la dogmatique catholique romaine. Notons que Coste et son appréciation pour Marx ne se fait pas à l'extérieure de la pensée de la doctrine sociale de l'Église catholique. Comme plusieurs avant lui, Coste a travaillé la pensée marxienne et marxiste de façon à ce qu'elle soit plus acceptable pour les chrétiens et la curie romaine. Car Coste ne rejette pas les idées humanistes de Marx. Au contraire, il les promeut chrétiennement! L'humanisme chrétien peut très bien assimiler plusieurs éléments de l'humanisme marxien. Notre méthodologie consiste à démontrer les liens entre Marx en Coste en recourant aux textes de ces deux auteurs. Alternativement, on explique leurs idées pour, par la suite, faire le lien entre les idées de ces deux auteurs sur les questions concernant la morales sociales et politiques. Constamment, on travaille les mêmes thèmes afin de bien démontrer la proximité de la pensée humaniste costienne à celle de Marx. Ensuite, on recourt au même procédé pour la pensée théologique costienne et la doctrine sociale de l'Église catholique dans le but de démontrer encore une fois que Coste est près de cette doctrine de l'Église, et par conséquent, près de l'Église catholique. En somme, on a pu démontrer clairement que Coste est près de la pensée sociale et humaniste de Karl Marx. Coste est un théologien catholique ayant une réelle appréciation de Marx pour son incontestable humanisme. S'ajoutant à cela, on a pu remarquer que Coste est aussi un partisan de la doctrine sociale de l'Église catholique. De fait, la justice sociale, l'éthique néo-testamentaire et l'humanisme marxien permettent à Coste de souscrire aux principes moraux proposés par la doctrine sociale de l'Église catholique et de la promouvoir à travers son oeuvre théologique.
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