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Contribution relative de la végétation du sous-bois dans la consommation en eau des placettes forestières soumises aux changements de climat et de pratiques / Contribution of understorey vegetation to forest water consumption in stand under climate change and new practices

Gobin, Rémy 08 December 2014 (has links)
Avec l'augmentation des sécheresses dans les forêts tempérées, la gestion sylvicole envisage de réduire la densité des peuplements adultes pour limiter le déficit hydrique. Cependant, la réduction de la canopée arborée augmente le rayonnement dans le sous-bois et permet le développement de la strate herbacée monopoliste. Nos objectifs étaient de caractériser l'évapotranspiration (ETu) de 4 herbacées monopolistes (Molinia caerulea, Calluna vulgaris, Pteridium aquilinum and Rubus sp.) et de quantifier leur impact sur la teneur en eau du sol (SWC) dans des peuplements de Quercus petraea. L’ETu des quatre herbacées cultivées en pot a été quantifiée en conditions semi-contrôlées caractérisées par deux niveaux d’éclairement relatif et 3 niveaux de SWC. In situ, le SWC, le microclimat et l’ETu de P. aquilinum et M. caerulea ont été mesurés sur 20 dispositifs dans les peuplements forestiers de Q. petraea présentant un gradient croissant de LAI. Chaque dispositif était subdivisé en 2 placettes, l’une était désherbée et l'autre enherbée. M. caerulea et C. vulgaris ont une faible régulation de leur ETu alors que P. aquilinum et Rubus sp. ont une stratégie conservatrice face au stress hydrique. SWC diminue plus rapidement quand le LAI de la strate herbacée augmente, ce qui est directement lié à l’ouverture du couvert arboré avec une valeur seuil de LAI de la strate arborée à 2-3, sous laquelle la contribution de la strate herbacée à l’évapotranspiration du peuplement pourrait compenser la diminution de celle de la strate arborée.Ces résultats montrent la nécessité de considérer la végétation du sous-bois dans la gestion sylvicole notamment lorsque la ressource hydrique est limitante. Ainsi, la réduction de la densité de la strate arborée doit être un compromis entre la réduction de la surface foliaire des arbres pour réduire l’ET, et le maintien d’une densité suffisante de la strate arborée pour limiter la croissance et l'ETu de la végétation du sous-bois. / In the context of ongoing increase of drought in temperate forests, forest managers consider the reduction of stand density to limit soil water depletion. The reduction of tree canopy density increases light below canopy and allows the development of monopolistic understorey vegetation. Our objectives were to characterize the evapotranspiration (ETu) of common understorey plants (Molinia caerulea, Calluna vulgaris, Pteridium aquilinum and Rubus sp.) and to quantify their impacts on soil water content (SWC) in mature oak stands (Quercus petraea).A first experiment was set up in a greenhouse where the 4 understorey species were potted and subjected to 2 levels of light transmittance and 3 levels of SWC. Microclimate and ETu were monitored. A second experiment was carried out on 20 plots (10 with M. caerulea and 10 with P. aquilinum) in oak stands with contrasted LAI. On each plot, two circular areas were set up, one weeded and the other untouched. SWC, microclimate and ETu were monitored.M. caerulea and C. vulgaris are more water spenders, whereas P. aquilinum and Rubus sp. are more water savers under water stress. Soil water depletion was faster with increasing understorey vegetation LAI, which was directly linked to tree canopy opening with a threshold of tree LAI of 2-3 below which the understorey contribution could offset the reduction of tree ET. The experimentations showed that the relative contribution of understory vegetation in the ecosystem water balance is significant, and depends on SWC and on the understorey species identity. These results show the necessity to consider understorey vegetation in forest management when water availability is an issue. Lower tree canopy density could increase the understorey ETu and soil water stress for trees. From a management perspective, thinning should be designed as a compromise between the reduction of tree leaf area to reduce ET, and maintaining sufficient tree canopy to restrict the growth and ETu of understorey vegetation.
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Tüpfelbau im Laubholz: Der aktuelle Stand der Wissenschaft mit besonderem Fokus auf Rot-Buche (Fagus silvatica L.) und Stiel- sowie Traubeneiche (Quercus robur L. und Quercus petraea Liebl.)

Hallas, Till 12 April 2011 (has links)
Tüpfel ermöglichen den interzellularen Stoffaustausch im Holzkörper. Im Zuge der Prozessgestaltung in den Bereichen Holzschutz und Zellstoffherstellung sind genauere Kenntnisse über ihren Aufbau von grundlegender Bedeutung. Das anatomische Wissen ermöglicht eine verbesserte Einschätzung der Tränkbarkeit sowie allgemein über die Eindringwege von Flüssigkeiten im Holz. Die Arbeit fasst den aktuellen Wissensstand des Baus der Tüpfel im Laubholz zusammen. Dabei stehen die in Deutschland wichtigsten Laubbaumarten, namentlich die Rot-Buche (Fagus silvatica L.) und Stiel- sowie Traubeneiche (Quercus robur L. und Quercus petraea Liebl.), im Fokus der Untersuchung. Zunächst wird der allgemeine Aufbau der Tüpfel beschrieben und besonders neuere Erkenntnisse mit aufgegriffen. Im Anschluss wird der Wissensstand zur Tüpfelbau der Rot-Buche sowie der Stiel- wie Trauben-Eiche zusammengefasst dargestellt.
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Impact de différentes stratégies sylvicoles sur la fonction "puits de carbone" des peuplements forestiers. Modélisation et simulation à l'échelle de la parcelle

Vallet, Patrick 10 1900 (has links) (PDF)
La capitalisation sur pied et la substitution d'essences sont deux stratégies sylvicoles analysées dans cette thèse, chacune pressentie pour être favorable au stockage du carbone, enjeu majeur de ce XXIème siècle pour la lutte contre le réchauffement climatique. La première correspond à un ralentissement des récoltes, qui devrait générer un puits de carbone additionnel par l'augmentation des stocks moyens de biomasse sur pied. La substitution d'essences à croissance lente comme le Chêne sessile ou le Hêtre par des essences résineuses à croissance rapide comme le Pin laricio ou le Douglas pourrait entraîner une absorption plus rapide du CO2. L'impact sur le carbone de ces deux stratégies est d'autant plus intéressant à étudier que les gestionnaires forestiers les pratiquent déjà. La construction d'une chaîne de modèles prenant en compte l'ensemble des compartiments dans lesquels le carbone est impliqué, à savoir la biomasse forestière, le sol, mais aussi les produits forestiers issus de l'exploitation, permet d'effectuer des simulations donnant des résultats quantitatifs sur ces pratiques. Nous montrons qu'une capitalisation sur pied engendrerait un puits de carbone additionnel dépendant de l'état initial des peuplements, de la fertilité et de la nouvelle sylviculture pratiquée. Il pourrait s'élever jusqu'à 142 tC/ha après obtention du régime permanent dans le cas le plus favorable. La substitution de feuillus à croissance lente par des résineux à croissance rapide serait également un puits de carbone important (jusqu'à 2 tC/ha/an) pendant plusieurs décennies, mais s'avérerait d'un stock de carbone moyen inférieur sur le long terme.
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Influence de l'espèce et de la provenance des deux principaux chênes français (Quercus robur L.

Bakour, Riad 12 1900 (has links) (PDF)
L'objectif de cette étude est d'estimer et de préciser la qualité du bois du chêne pédonculé (Quercus robur) et du chêne rouvre ou sessile (Quercus petraea) qui constituent une ressource en bois feuillu d'une importance économique considérable, notamment pour leur aptitude à être utilisés en bois de tonnellerie. Dans les vingt dernières années, il a été constaté que : - La demande annuelle de grumes de chênes français pour la fabrication de merrain avait augmenté régulièrement pour atteindre 320 000 m3 en 2002, soit près de 10% de la récolte totale en chêne français, soit une fabrication de 650 000 fûts d'une capacité de 228 litres qui se commercialisent à un prix unitaire de 500
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Croissance et δ13C des cernes de trois essences forestières tempérées (Fagus sylvatica, Quercus petraea et Pinus sylvestris) face aux variations climatiques à l'échelle interannuelle et saisonnière

Michelot, Alice 01 July 2011 (has links) (PDF)
Il est probable que les changements climatiques futurs diminuent la croissance forestière en région tempérée. Cette vulnérabilité des espèces face aux contraintes du climat peut être étudiée via les cernes des arbres. Ces derniers sont en effet des archives du carbone utilisé par les arbres pour leur croissance, en lien avec les caractéristiques spécifiques de gestion du carbone et de réponse au climat. L'objectif principal de cette thèse est de déterminer, à partir des cernes, les réponses fonctionnelles de trois essences forestières tempérées (Fagus sylvatica, Quercus petraea et Pinus sylvestris) aux variations climatiques. Pour cela, nous avons réalisé une approche expérimentale en étudiant deux proxys (ou indices climatiques) : la croissance et la composition isotopique en 13C (δ13C) des cernes, à deux échelles temporelles : interannuelle et saisonnière. A l'échelle interannuelle, sur la période 1960-2007, une étude dendrochronologique a été réalisée sur les trois essences et a été complétée par l'analyse du δ13C des cernes (en relation avec le climat). A l'échelle saisonnière, nous avons déterminé précisément, sur une année (2009), les dynamiques de croissance du cerne et les variations de δ13C intra-cerne. Nos résultats mettent en évidence une sensibilité de la croissance et du δ13C des cernes des trois essences aux sécheresses estivales. Grâce à la complémentarité des proxys et des échelles temporelles, nous avons également trouvé des réponses climatiques contrastées entre espèces. La croissance du Hêtre est la plus réactive au climat d'une année à l'autre. Cette croissance ainsi que le δ13C des cernes sont fortement sensibles aux températures de juillet, en plus des précipitations printanières et estivales. Cette réponse immédiate au climat peut être expliquée par une forte dépendance de la croissance au fonctionnement foliaire et une faible utilisation des réserves carbonées pour assurer le début de la croissance. Le Chêne présente lui des arrières-effets climatiques sur sa croissance, via une forte sensibilité aux sécheresses de l'automne précédent, contrairement aux deux autres espèces. Ce résultat est à mettre en relation avec l'utilisation importante de réserves carbonées par rapport aux assimilats pour la croissance du bois initial, cette dernière étant très rapide, comme nous l'avons observé grâce à l'analyse saisonnière de la croissance. Concernant le Pin, la croissance, parce qu'elle dure plus longtemps que celle des décidues, est influencée par les températures et les précipitations de juin jusqu'à août. Le δ13C des cernes de pins est celui qui enregistre le plus la réponse au VPD, aussi bien à l'échelle saisonnière qu'interannuelle, probablement du fait d'une forte sensibilité de la conductance stomatique à ce paramètre. Les informations fournies par les cernes permettent d'appréhender la survie des espèces face aux changements climatiques futurs et peuvent être utilisées pour comprendre le dépérissement lié à ces changements.
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Spatial and temporal patterns in the climate-growth relationships of Fagus sylvatica across Western Europe, and the effects on competition in mixed species forest

Cavin, Liam January 2013 (has links)
Increases in temperature, altered precipitation patterns, and the occurrence and severity of extreme climatic events have been important characteristics of the climate change observed to date. This has had many and diverse impacts upon the living world, with one recent observation being a global reduction in the net primary production of all terrestrial vegetation. Increases in temperature and the frequency of extreme events are predicted to continue throughout the 21st century, and can be expected to have far reaching effects on global terrestrial ecosystems. Increases in temperature and drought occurrence could fundamentally impact upon the growth rates, species composition and biogeography of forests in many regions of the world, with many studies indicating that this process is already underway. European beech, Fagus sylvatica, is one of Europe’s most widespread and significant broadleaved tree species, forming an important and frequently dominant component of around 17 million hectares of forest. However, the species is also considered to be drought sensitive. Thus, much research interest has focused on eliciting the details of its physiological response to increased water stress, whilst dendroecological studies have attempted to identify sites and regions where reductions in growth might be found. A significant knowledge gap exists regarding a multi-regional, range-wide view of growth trends, growth variability, climate sensitivity, and drought response for the species. Predicting the potential effects of climate change on competition and species composition in mixed species forests remains an important challenge. In order to address this knowledge gap, a multi-regional tree-ring network was constructed comprising of 46 sites in a latitudinal transect across the species’ Western European range. This consisted of 2719 tree cores taken from 1398 individual trees, which were used to construct tree-ring chronologies for each site in the network. As a first step in a multi-regional assessment for F. sylvatica, a combination of the tree-ring chronologies and environmental data derived from a large scale gridded climate dataset were used in a multivariate analysis. Sites in the latitudinal transect were partitioned into geographically meaningful regions for further analysis. The resulting regions were then studied using climate-growth analysis, pointer year analysis of drought years, analysis of growth trends and growth variability, in order to examine regional variation in the response of the species to climate. Furthermore, a combination of long-term monitoring data from one specific site was combined with tree-ring sampling of multiple cohorts of F. sylvatica and one co-dominant competitor, Quercus petraea, to study the effects of an extreme drought event in 1976 on mortality and subsequent recovery. Key results of the multi-regional analysis are that large scale growth reductions are not evident in even the most southerly and driest portions of the species’ range. Radial growth is increasing, both in the north and in the core of the species’ range, with southern range edge forests maintaining stable growth. However, the variability of growth from year to year is increasing for all regions, indicative of growing stress. Crucially, the southern range edge, which previous studies had identified as an ‘at risk’ region, was shown to be more robust than expected. Climate sensitivity and drought impacts were low for this region. Instead, forests in the core of the species range, both in continental Europe and in the south of the UK, were identified as having the highest climate sensitivity, highest drought impacts, and experiencing periodic reductions in growth as a result. Northern range edge forests showed little sign of being affected by drought, instead having low climate sensitivity and strongly increasing growth trends. Extreme drought was found to affect species differently: the dominant species (F. sylvatica) failed to recover pre-drought levels of growth, whilst a transient effect of competitive release occurred for the co-dominant species (Q. petraea). There was also a long term effect on the relative abundance of the two species within the woodland, due to differences in the levels of drought induced mortality experienced by the species. This shows that in the case of extreme climatic events where thresholds in the ability of species to tolerate water stress are breached, the effects of drought can be rapid and long lasting. Drought impacts can cascade beyond that experienced by the most drought sensitive species, due to changes in competitive interactions between species in mixed species forests. The implications of this work suggest opportunities, risks and strengths for F. sylvatica. In the northern portion of the species’ range, predicted increases in productivity are confirmed by recent growth trends, indicating a good outlook for the species. At the southern range edge, F. sylvatica forests exist either in locations where precipitation is high or locations where local environmental conditions buffer them from an inhospitable regional climate. These factors result in southern range edge forests which are highly resilient to the effects of increasing climate stress. It is instead in the core of the species’ range where the most sensitive forests are found. The effects of extreme drought on a range core forest demonstrated here provide a cautionary note: where drought stress tolerance thresholds are breached, rapid and long lasting effects on growth and mortality can occur, even in regions where drought has not previously been considered to pose a strong risk to the species.
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Variations altitudinales de traits fonctionnels foliaires chez les arbres : déterminismes environnemental et génétique / Altitudinal trends in leaf functional traits of tree populations : environmental vs. genetic determinism

Bresson, Caroline 24 January 2011 (has links)
Le changement climatique rapide auquel nous assistons actuellement est déjà en train de modifier le cycle de vie d’un grand nombre d’organismes. Des études basées sur des modèles d’enveloppe bioclimatique apportent des réponses mais ces prédictions de nouvelles aires de répartition ne tiennent pas compte d’une part de l’adaptation rapide des espèces (plasticité phénotypique et diversité génétique non neutre), et d’autre part des interactions interspécifiques ou de la dynamique des populations. Ce travail de recherche est centré sur les mécanismes permettant la persistance des individus dans un environnement changeant.Nous avons travaillé dans les Pyrénées françaises sur deux espèces à large répartition européenne (chêne sessile et hêtre commun) sur un gradient altitudinal de 1500 m de dénivelé correspondant en moyenne à 8°C d’amplitude thermique. Ce gradient a été répété dans deux vallées parallèles, distantes de 30 km. Basée sur l’étude de traits fonctionnels, nous avons caractérisé les variations altitudinales de traits morphologiques et physiologiques de ces caractères dans des conditions naturelles. Les capacités écophysiologiques apparaissent plus élevée pour le chêne et pour les populations de haute altitude, suggérant une adaptation locale à un environnement stressant. Dans une étude préliminaire, nous avons établi qu’il était nécessaire d’intégrer les variations de pression partielle de dioxyde de carbone et non se concentration dans les mesures d’échanges gazeux. Tous les traits fonctionnels mesurés en populations naturelles varient avec l’altitude. Ainsi la taille des feuilles diminue avec l’altitude tandis que les autres traits augmentent, avec des valeurs de 1.3 à 3.9 fois supérieures entre le haut et le bas du gradient tous traits confondus. Nous avons ensuite cherché à déterminer l’origine de ces variations phénotypiques. Une expérimentation en test de provenance a ainsi permis de déterminer les traits dont la variation in situ était en partie sous contrôle génétique. Les résultats de notre étude montrent que le gradient altitudinal a induit une différenciation génétique au niveau de la croissance, de la phénologie et de traits fonctionnels foliaires pour ces espèces, malgré la proximité des populations étudiées dans leur milieu naturel. Néanmoins, les capacités photosynthétiques pour le hêtre et la surface spécifique foliaire pour le chêne ne montre aucune différentiation génétique, ainsi que la densité stomatique pour les deux espèces. D’autre part, l’expérimentation de transplantations réciproques le long du gradient, a mis en évidence une forte plasticité phénotypique pour les deux espèces, ce qui suggère que les populations peuvent dans une certaine mesure répondre immédiatement aux variations climatiques rencontrées le long de ce gradient. Cependant, tandis que la température optimale pour la longueur de saison de végétation ne semble pas encore atteinte, les populations pourraient réagir négativement à une élévation de la température en terme de croissance. En conclusion, les mécanismes adaptatifs mis en évidence le long d’un gradient climatique naturel, pourraient permettre aux populations de faire face au changement climatique actuel. / The rapid climate change, which we are currently witnessing, is already modifying the physiology and distribution of species. Predictions of changes in species distributions do not take evolutionary mechanisms and biotic interactions into account. Our main objective was to assess the inherent adaptive capacities of tree populations by i) quantifying the phenotypic variations of functional traits with altitude and ii) studying the extent to which these variations are environmentally driven (phenotypic plasticity) and/or genetically fixed (adaptation). The study took place in the French Pyrenees along an altitudinal gradient range of 1500 m corresponding on average to 8°C of thermal amplitude. We focused on two broadleaved species with a wide European distribution (sessile oak and common beech). This gradient was repeated in two parallel valleys, distant from 30 km. Altitudinal trends were investigated for several morphological, physiological and phenological traits in natural conditions (in situ), in a common garden experiment and in reciprocal transplant experiments (RTEs). The phenotypic variability observed in situ showed significant altitudinal trends for all the studied traits and followed similar patterns for both species. We established that together with temperature, it was also necessary to integrate the variations of atmospheric gas partial pressure along the altitudinal gradient. In the common garden experiment, our results showed that the altitudinal gradient induced genetic differentiations for growth, leaf phenology and several morphological and physiological traits. This experiment made it possible to demonstrate, for both species, a weaker effect of genetic variations than in situ observed variations, suggesting a strong effect of the environment on leaf functional traits. A higher intrapopulation than interpopulation genetic variability was also observed for all traits. Finally, the reciprocal transplant experiments highlighted a high magnitude of phenotypic plasticity whatever the trait and the species.
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Croissance et δ13C des cernes de trois essences forestières tempérées (Fagus sylvatica, Quercus petraea et Pinus sylvestris) face aux variations climatiques à l'échelle interannuelle et saisonnière

Michelot, Alice 01 July 2011 (has links) (PDF)
Il est probable que les changements climatiques futurs diminuent la croissance forestière en région tempérée. Cette vulnérabilité des espèces face aux contraintes du climat peut être étudiée via les cernes des arbres. Ces derniers sont en effet des archives du carbone utilisé par les arbres pour leur croissance, en lien avec les caractéristiques spécifiques de gestion du carbone et de réponse au climat. L'objectif principal de cette thèse est de déterminer, à partir des cernes, les réponses fonctionnelles de trois essences forestières tempérées (Fagus sylvatica, Quercus petraea et Pinus sylvestris) aux variations climatiques. Pour cela, nous avons réalisé une approche expérimentale en étudiant deux proxys (ou indices climatiques) : la croissance et la composition isotopique en 13C (δ13C) des cernes, à deux échelles temporelles : interannuelle et saisonnière. A l'échelle interannuelle, sur la période 1960-2007, une étude dendrochronologique a été réalisée sur les trois essences et a été complétée par l'analyse du δ13C des cernes (en relation avec le climat). A l'échelle saisonnière, nous avons déterminé précisément, sur une année (2009), les dynamiques de croissance du cerne et les variations de δ13C intra-cerne. Nos résultats mettent en évidence une sensibilité de la croissance et du δ13C des cernes des trois essences aux sécheresses estivales. Grâce à la complémentarité des proxys et des échelles temporelles, nous avons également trouvé des réponses climatiques contrastées entre espèces. La croissance du Hêtre est la plus réactive au climat d'une année à l'autre. Cette croissance ainsi que le δ13C des cernes sont fortement sensibles aux températures de juillet, en plus des précipitations printanières et estivales. Cette réponse immédiate au climat peut être expliquée par une forte dépendance de la croissance au fonctionnement foliaire et une faible utilisation des réserves carbonées pour assurer le début de la croissance. Le Chêne présente lui des arrières-effets climatiques sur sa croissance, via une forte sensibilité aux sécheresses de l'automne précédent, contrairement aux deux autres espèces. Ce résultat est à mettre en relation avec l'utilisation importante de réserves carbonées par rapport aux assimilats pour la croissance du bois initial, cette dernière étant très rapide, comme nous l'avons observé grâce à l'analyse saisonnière de la croissance. Concernant le Pin, la croissance, parce qu'elle dure plus longtemps que celle des décidues, est influencée par les températures et les précipitations de juin jusqu'à août. Le δ13C des cernes de pins est celui qui enregistre le plus la réponse au VPD, aussi bien à l'échelle saisonnière qu'interannuelle, probablement du fait d'une forte sensibilité de la conductance stomatique à ce paramètre. Les informations fournies par les cernes permettent d'appréhender la survie des espèces face aux changements climatiques futurs et peuvent être utilisées pour comprendre le dépérissement lié à ces changements.
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Entwicklung von Managementstrategien zur Etablierung von Naturverjüngung der Traubeneiche (Quercus petraea (Matt.) Liebl.) mit Hilfe eines individuen-basierten Modells

Hamkens, Hans Friedrich 20 December 2019 (has links)
Diese Arbeit beschäftigt sich mit der Naturverjüngung von Traubeneiche (Quercus petraea (Matt.) Liebl.) unter Kiefernschirm. Eine erfolgreiche Verjüngung von Traubeneiche ist ohne menschliche Hilfe nur schwer umzusetzen. Als Ursache wird in der Literatur die Konkurrenzsituation von Begleitvegetation um die Ressource Wasser besonders hervorgehoben. Um künftige Managementmaßnahmen von Oberstand und Begleitvegetation bezüglich der Eichenverjüngung bewerten zu können, wurde das individuen-basierte Modell oak-lay entwickelt, das die Konkurrenz um Wasser explizit auf pflanzenphysiologischer Basis berücksichtigt. Die Kombination von individuen-basierten und prozess-basierten Ansätzen wird auch als Hybrid-Modell bezeichnet. In der Verjüngungsmodellierung ist bisher keine Anwendung eines Hybrid-Modells bekannt, so dass es sich vermutlich um das erste Modell seiner Art handelt. Die Arbeit ist in drei große Arbeitsschwerpunkte aufgeteilt. Im ersten Teil wird oak-lay detailliert vorgestellt und analysiert. Dabei kommen standardisierte Verfahren wie eine globale Sensitivitätsanalyse oder eine Analyse der Rechenzeit mittels Landau-Symbole zum Einsatz. Der zweite Teil analysiert mit Hilfe von Simulationsexperimenten eine neue Methode der Mortalitätsbeschreibung in individuen-basierten Modellen auf physiologischer Basis. Die prozess-basierte Wasserhaushaltsberechnung des oak-lay ermöglicht die Festsetzung einer Mortalitätsschwelle über das Druckpotential der Individuen. Für die Analysen wurde auf Ereigniszeitanalysen zurückgegriffen. Konkret angewandt wurden der Kaplan-Meier Schätzer und das semiparametrische Cox-Modell. Der dritte und letzte Teil wendet das Modell beispielhaft in einer Reihe von Simulationsexperimenten an. Dabei werden unterschiedliche Managementmaßnahmen am Oberstand und der Begleitvegetation simuliert und auf Unterschiede im Verjüngungserfolg und der räumlichen Verteilung getestet. Das Modell oak-lay konnte erfolgreich nachweisen, dass Hybrid-Modelle im Bereich der Verjüngungsmodellierung entwickelt und angewendet werden können. Die globale Sensitivitätsanalyse des Wasserhaushaltsmodells konnte die einflussreichsten Parameter identifizieren und das Laufzeitverhalten des Modells konnte ebenso analysiert werden. Die Einhaltung bestimmter Selbstdifferenzierungsmuster wurde über alle Simulationen geprüft. Dabei wurde erfolgreich die Mortalität über den Wassergehalt der Individuen bestimmt. Die Simulationsexperimente der verschiedenen Managementmaßnahmen haben gezeigt, dass eine Anwendung als Managementtool möglich ist. Die Entwicklung eines neuen Modelltyps bei der Verjüngungsmodellierung hat allerdings auch einigen neuen Forschungsbedarf generiert. Um oak-lay weiterzuentwickeln sind weitere Arbeiten nötig.
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Differences in photosynthesis and plant water status between coppice and high forest

Matoušková, Marie January 2017 (has links)
This diploma thesis focuses on comparison of photosynthesis and tree water status between high forest and coppice of Quercus petraea (Matt.) Liebl. Four different types of management were investigated during vegetation season 2016: high forest, coppice on clear-felled site, coppice with standards and seedlings. Methods of leaf gas exchange and water potential measurements allowed to study transpiration, photosynthesis and its response to light and CO2 concentration and leaf water potential. All these physiological parameters were studied as linked to weather conditions and various levels of drought stress. When the soil water was not limiting factor trees in all variants of experiment behaved similarly. However, during mild to severe drought stress the coppice was superior to seedlings and to high forest. It showed higher photosynthesis rate (2.49 umol m-2 s-1) than seedlings (0.86 umol m-2 s-1), both under moderate water stress. Coppice also had higher stomatal conductance and quantum yield of fluorescence than high forest which allowed to higher photosynthetic rates. The lowest value of predawn water potential was in high forest (-3.27 MPa) whereas highest in coppice (-2.01 MPa) which indicated better water availability and lower evapotranspiration demands imposed on coppice sprouts due to their lower height and therefore lower overall aerodynamic conductance. Response of net photosynthesis to CO2 concentration revealed higher carboxylation rates in high forest than in coppice but low stomatal conductance was a reason for overall lower photosynthetic rates in high forest than in coppice. Due to its superiority under water stress coppice forest may be a viable option for forest management on dry sites during the climate change.

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