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La phobie sociale chez les adolescents : état des connaissances et efficacité d'un traitement comportementalMonfette, Marie-Eve 17 May 2021 (has links)
La dernière décennie a vu l'émergence des travaux sur la phobie sociale chez les adolescents. Actuellement, les résultats des interventions comportementales et cognitives disponibles pour cette population sont mitigés. Il importe donc de faire la synthèse des connaissances sur cette problématique et de valider des interventions efficaces pour cette population. Le présent travail comprend deux parties qui visent ces objectifs. Le premier article présente les résultats d'un essai clinique sur l'efficacité d'un traitement comportemental adapté aux particularités développementales des adolescents atteints de phobie sociale. Il présente non seulement des indices de signification statistique, mais également une analyse systématique des indices de signification clinique des résultats. Le second article fait la synthèse historique et critique des connaissances sur les manifestations, l'étiologie, l'évaluation et le traitement de la phobie sociale chez les adolescents. L'ensemble de ce travail permet de documenter l'efficacité d'un programme de traitement de la phobie sociale chez les adolescents. De plus, il permet de dégager des pistes de recherches futures pour faire avancer les connaissances sur la phobie sociale chez les adolescents, de manière à mieux informer les interventions auprès de cette population.
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Efficacité de l'exposition in vivo et de l'entraînement aux habiletés sociales chez les adolescents atteints de phobie sociale /Lavoie, Marie-Pier. January 2003 (has links)
Thèse (M.Ps.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr. Publié aussi en version électronique.
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Apports de la réalité virtuelle à la prise en charge de troubles cognitifs et comportementaux /Klinger, Évelyne. January 1900 (has links)
Thèse de doctorat--Informatique et réseaux--Paris--ENST, 2006. / Bibliogr. p. 205-224. Résumé en anglais et en français. Index.
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Relation entre la phobie sociale et la victimisation par les pairs à l'adolescence /Grimard, François. January 2003 (has links)
Thèse (M. Ps.)--Université Laval, 2003. / Bibliogr.: f. 30-34. Publié aussi en version électronique.
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La relation entre la faible estime de soi sociale et la phobie socialeLapointe, Karine 03 March 2021 (has links)
Ce mémoire a pour objectif principal d’examiner l’incidence de la phobie sociale chez les sujets qui présentent une estime de soi sociale faible et de la comparer aux sujets qui présentent une estime de soi sociale élevée. Pour examiner cette question, 20 participants ayant obtenu un score faible à l’Inventaire d’estime de soi sociale et 20 participants ayant obtenu un score élevé à ce même questionnaire font l’objet d’une entrevue clinique structurée pour le DSM-IV (Structured Clinical Interwiew for DSM-IV) afin de déterminer ceux qui remplissent les critères diagnostiques de la phobie sociale. Les résultats démontrent que presque la totalité des sujets qui présentent une estime de soi sociale faible répondent aux critères diagnostiques de la phobie sociale. Au contraire, aucun des sujets qui présentent une estime de soi sociale élevée ne répond aux critères diagnostiques de cette psychopathologie. Également, une analyse discriminante permet de démontrer que l’Inventaire d’estime de soi sociale permet de classer correctement 97.4% des sujets avec une sensibilité de 100% et une spécificité de 95.2%. Ces résultats permettent d’établir un lien entre l’estime de soi sociale et la phobie sociale et démontrent que l’Inventaire d’estime de soi sociale pourrait être utilisé comme outil efficace de dépistage de la phobie sociale dans la population générale.
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Exploration des habiletés de cognition sociale chez des patients souffrant du trouble d'anxiété socialePlana, India 19 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2013-2014. / Différentes pistes théoriques laissent croire que la cognition sociale pourrait être affectée chez les patients souffrant du trouble d’anxiété sociale (TAS). Une méta-analyse et une revue exploratoire effectuées en début de projet nous ont permis de constater qu’en raison des lacunes dans la littérature actuelle, il est impossible de dresser un portrait global de leurs habiletés de cognition sociale. Ce projet vise à combler certaines de ces lacunes en étudiant l’ensemble de la cognition sociale chez un échantillon de patients avec TAS. Les résultats obtenus suggèrent que les patients présentent un style attributionnel biaisé et une performance déficitaire en mentalisation de premier-ordre. Chez les patients, l’estime de soi est positivement corrélée à un style attributionnel externalisé et les symptômes d’anxiété sociale sont négativement liés au traitement des émotions. Cette étude apporte un éclairage nouveau sur le type de difficultés de cognition sociale que présentent les patients souffrant du TAS. / Several theoretical avenues point out that some social cognitive abilities may be affected in patients presenting with social anxiety disorder (SAD). A meta-analysis and scoping review made at the beginning of this project allowed us to notice that because there are gaps in the existing literature, a complete picture of their social cognitive abilities cannot be obtained. This project aims to overcome some of these gaps by studying all the social cognition domains in a sample of same patients with SAD. Results show that patients presented an attributional style bias and a deficit in first-order mentalizing. In patients, self-esteem was positively linked with an externalizing bias and social anxiety symptoms were negatively correlated with emotion processing. This study provides a new insight on the type of social cognition deficits found in patients affected by social anxiety disorder.
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Efficacité de l'exposition in vivo et de l'entraînement aux habiletés sociales chez les adolescents atteints de phobie socialeLavoie, Marie-Pier 07 May 2021 (has links)
La phobie sociale (PS) est le second trouble mental le plus répandu chez les adolescents, affectant 7,2 % d'entre eux (Wittchen, Stein, & Kessler, 1999). D'après le modèle développemental de la phobie sociale, l'évitement et le déficit d'habiletés sociales constituent des facteurs étiologiques importants. Les études empiriques appuient l'hypothèse d'un déficit d'habiletés sociales chez les mineurs atteints de PS, bien que les résultats obtenus auprès d'échantillons d'adultes soient plus contradictoires. Conséquemment, l'entraînement aux habiletés sociales continue d'être recommandé conjointement avec l'exposition in vivo pour le traitement de la PS chez les enfants et les adolescents (Albano, Detweiler & Conradsen, 1999; Beidel, Turner & Morris, 2000). Cette étude vise à comparer l'efficacité de ces deux modalités de traitement chez 16 adolescents atteints de PS et âgés entre 14 et 18 ans. Pour ce faire, un nombre égal de séances d'exposition in vivo et d'entraînement aux habiletés sociales est administré en alternance durant 12 semaines (24 rencontres) et le niveau d'anxiété sociale associé aux situations anxiogènes les plus importantes est mesuré lors de chaque rencontre. Les variables dépendantes sont calculées en soustrayant le score de la rencontre actuelle au score de la rencontre antérieure pour ces deux variables. Les résultats des analyses de variance indiquent que l'effet thérapeutique des rencontres d'exposition et d'entraînement aux habiletés sociales n'est pas statistiquement différent. Ces résultats appuient le modèle développemental de la PS et l'utilisation conjointe de ces deux modalités de traitement chez les adolescents.
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L'estime de soi sociale, les croyances irrationnelles et la perception de l'efficacité personnelle sociale chez les phobiques sociauxTurcotte, Julie 03 September 2021 (has links)
Ce mémoire a poux objectif d'évaluer l'importance de l'estime de soi sociale, des croyances irrationnelles et de la perception de l'efficacité personnelle sociale dans la phobie sociale. Ces variables sont mesurées auprès de trois groupes de personnes : un groupe dont le diagnostic principal est celui de phobie sociale ; un groupe dont le diagnostic principal est celui de trouble panique avec ou sans agoraphobie et sans présence de diagnostic secondaire de phobie sociale ; et un autre groupe ne présentant aucun diagnostic sur l'axe I. Les résultats montrent que les participants présentant un diagnostic principal de phobie sociale ont une estime de soi sociale et une perception d'efficacité personnelle sociale significativement plus faibles que les participants des deux autres groupes. De plus, les résultats révèlent que ce même groupe démontre significativement plus de croyances irrationnelles sociales que les deux autres groupes. Enfin, les résultats démontrent que l'échelle mesurant la perception de l'efficacité personnelle sociale est celle qui discrimine le mieux les trois groupes de participants.
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Facteurs prédictifs de la dépression chez les gens souffrant d'anxiété socialePlante-Jean, Marie-Andrée 18 April 2018 (has links)
La phobie sociale et la dépression sont deux troubles souvent retrouvés en comorbidité. Plusieurs études ont démontré que la phobie sociale se manifestait en premier et constituerait ainsi un facteur de risque pour le développement de la dépression. Toutefois, aucune étude à ce jour n'a identifié les facteurs plus précis associés à l'anxiété sociale qui pouvaient mener à la dépression. La présente thèse se propose de répondre à cette question par le biais de deux études. La première vise à identifier un ensemble de facteurs permettant de prédire la présence d'un épisode dépressif majeur au cours des douze derniers mois dans un large échantillon représentatif de gens souffrant de phobie sociale, en vérifiant plus spécifiquement le rôle de la qualité de vie et du soutien social. L'étude est réalisée auprès de 1189 personnes ayant reçu un diagnostic de phobie sociale, à l'aide des données de / 'Enquête sur la Santé dans les collectivités canadiennes (ESCC): Santé mentale et bien-être (cycle 1.2), menée par Statistique Canada en 2002. Une deuxième étude vise à identifier les médiateurs de la relation entre l'anxiété sociale et les symptômes dépressifs et à confirmer la séquence temporelle des relations proposées. Un modèle est élaboré et testé auprès de 321 personnes de la population générale, en majorité des étudiants, qui ont rempli des questionnaires sur différentes variables psychologiques. Une étude longitudinale est par la suite réalisée afin d'identifier des facteurs associés au développement, à la rémission et à la chronicité des symptômes dépressifs chez les personnes socialement anxieuses. De façon générale, les études confirment le rôle des cognitions, de l'évitement des expériences internes, des habiletés sociales, de l'évitement des situations sociales, de la qualité de vie et du soutien social dans l'augmentation du risque de présenter des symptômes dépressifs. Dans l'ensemble, les résultats pourraient permettre de cibler les personnes les plus à risque de développer une dépression parmi les personnes souffrant de phobie sociale, en plus de proposer des cibles d'intervention pouvant prévenir le développement de la dépression ou en favoriser la rémission, ou encore pouvant être priorisées chez les gens souffrant des deux troubles en comorbidité.
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Relation entre la phobie sociale et la victimisation par les pairs à l'adolescenceGrimard, François 23 April 2021 (has links)
Sur le plan empirique, la phobie sociale et la victimisation affectent l'estime de soi et provoquent du retrait social et de la solitude chez certains adolescents qui en souffrent. De plus, les modèles étiologiques associent l'émergence de ces problématiques à un déficit d'habiletés sociales, à de l'inhibition sociale ainsi qu'aux relations inadéquates avec les pairs. Toutefois, aucune donnée ne permet de lier ces phénomènes empiriquement. Cette recherche vise à vérifier l'existence d'une relation entre la phobie sociale et la victimisation par les pairs à l'adolescence. Dix-neuf adolescents âgés de 14 à 19 ans et qui sont atteints d'une phobie sociale composent le groupe cible. Le groupe de comparaison comprend 19 pairs sociables tirés d'un échantillon plus vaste et jumelés selon le sexe et l'âge avec les participants anxieux. Une ANOVA effectuée sur les scores de victimisation révèle que les adolescents atteints d'une phobie sociale sont davantage victimisés que leurs pairs non anxieux (p≤0001). L'absence d'amis significatifs pourrait expliquer qu'un fort pourcentage des adolescents atteints d'une phobie sociale soient victimisés.
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