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Activation comportementale pour le traitement de la dépression sévère : évaluation de l'efficacité thérapeutique et des processus de changement

Blanchet, Valérie 17 July 2018 (has links)
Parmi les interventions ayant démontré leur efficacité pour le traitement de la dépression, la thérapie d’activation comportementale (AC) suscite l’intérêt alors que les données probantes qui appuient son efficacité continuent de s’accumuler. Néanmoins, bien que l’efficacité de l’AC ait été établie à travers de nombreux essais randomisés et contrôlés, rares sont les études ayant évalué l’efficacité de l’AC lorsqu’implanter dans les établissements du réseau de la santé. Cette étape est pourtant essentielle à la validité et à la généralisation du traitement à la réalité des milieux et de la complexité du portrait clinique des patients. De plus, peu de chercheurs jusqu’à maintenant se sont penchés sur la relation de médiation du changement de l’AC dans le traitement de la dépression, alors que l’étude des mécanismes d’action permet de tester les fondements théoriques de l’approche et favoriser le développement d’un traitement plus efficace et plus parcimonieux. La thèse comporte deux études empiriques. La première se penche sur l’AC appliquée de manière à tenir compte de la réalité clinique des milieux et des patients, et la deuxième explore les processus de changement impliqués dans l’AC en les comparant à ceux qui seraient impliqués dans la thérapie cognitive (TC) pour le traitement de la dépression. Un échantillon de 56 participants souffrant de dépression sévère a été recruté en milieu hospitalier. Les participants ont reçu une intervention de groupe d’AC, de TC ou les deux interventions successivement. Chaque traitement s’échelonnait sur 10 séances. Les résultats soutiennent l’efficacité de l’AC de groupe pour le traitement de la dépression sévère en milieu clinique auprès d’une population hétérogène en termes de diagnostic (dépression majeure, dépression bipolaire, dysthymie) et de comorbidité (Axes I et II), de même que pour le maintien des acquis à moyen terme. L’efficacité de l’AC a aussi été observée sur l’ensemble des mesures psychosociales associées. Les résultats suggèrent également un appui à la prémisse théorique selon laquelle le renforcement et l’activation seraient des médiateurs de changement spécifiques à l’AC. Finalement, les résultats des deux études sont discutés en regard de leur contribution aux connaissances sur le traitement de la dépression et des pistes à envisager pour les études à venir sont proposées.
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La thérapie cognitivo-comportementale des troubles de panique : étude des effets chez les patients avec un diagnostic secondaire de dépression majeure

Laberge, Benoît 12 November 2021 (has links)
La présente étude a été conçue pour déterminer si les patients souffrant d'un trouble de panique avec dépression secondaire peuvent bénéficier d'une thérapie cognitivo-comportementale comme c'est le cas pour les patients non-dépressifs. Deux protocoles à niveaux de base multiples A -A¹ -A -B à travers les sujets ont été utilisés, le premier pour tester huit sujets souffrent d'un trouble de panique et d'une dépression majeure et le second pour tester sept sujets souffrant exclusivement d'un trouble de panique. Pendant la phase du niveau de base (A). les sujets ont auto-enregistré leurs attaques de panique quotidiennement. Pendant la phase A¹, dans le but de contrôler pour les facteurs thérapeutiques non-spécifiques reliés à l'amélioration des sujets, un programme d'information sur le trouble de panique a été présenté comme une psychothérapie suivi d'une seconde phase de niveau de base (A). Ensuite, la thérapie cognitivo-comportementale a été administrée ( B ). Les résultats démontrent que la thérapie cognitivo-comportementale a· été significativement supérieure à la thérapie d'information dans la réduction des attaques de panique. Pas de différences significatives n'a été détectée entre les sujets dépressifs et non-dépressifs / Controlled studies indicate that cognitive-behavior therapy eliminates panic attacks in over 80% of patients who suffer from panic disorder. However, most of the screening procedures used in those studies called for excluding patients who were depressed, a question arises as to the extent to which these results apply to patients who are clinically depressed in addition to having panic attacks. Accordingly, an attempt was made in the present study to determine whether or not panic patients who are clinically depressed could be treated as successfully as those who are not clinically depressed. Two multiple baseline A - A¹ - A - B across subjects design were used, one to test 8 panic patients with major depression and the second to test 7 panic patients without major depression. ln baseline (A) subjects monitored their panic attacks daily. During the A¹ phase, a program of information on panic attacks presented as psychotherapy was instituted to assess the affects of non specific factors, followed by a second baseline phase (A) and then, cognitive-behavior therapy ( B) was introduced. Results showed that cognitive-behavior therapy was significantly superior to information based therapy in the reduction of panic attacks. No significant differences were found between depressed and non-depressed patients.
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Étude randomisée contrôlée de deux programmes d'auto-traitements guidés ciblant l'activité physique et l'activation comportementale pour les symptômes dépressifs : efficacité et faisabilité

Soucy, Isabelle. 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015 / Nous observons, depuis une dizaine d’années, un regain d’intérêt pour les interventions comportementales dans le traitement de la dépression. Des études se penchent sur l’efficacité de l’activation comportementale, une sous-composante de la thérapie cognitivo-comportementale, pour le traitement de la dépression. Dans le domaine de l’activité physique, de plus en plus d’études démontrent l’impact bénéfique de l’activité physique sur la santé mentale. Bien que l’activation comportementale et l’activité physique impliquent toutes les deux une réactivation de l’individu, ces interventions n’ont à ce jour jamais été comparées en terme d’efficacité pour le traitement de la dépression. L’essai clinique randomisé contrôlé décrit dans cette thèse et dans les articles qui la composent évalue l'efficacité et la faisabilité de l’activation comportementale et de l'activité physique sous forme d'auto-traitements guidés pour le traitement de la dépression. Cinquante-neuf participants présentant des symptômes de dépression légers à modérés ont été assignés aléatoirement à une intervention d’auto-traitement guidé d’activation comportementale (n = 20), à une intervention d’auto-traitement guidé d’activité physique (n = 19), ou à un groupe contrôle en liste d’attente (n = 20) pendant huit semaines. Des analyses de variance à modèle mixte et des contrastes déterminées a priori ont été réalisées. L'activation comportementale et l'activité physique se sont avérées significativement supérieures pour réduire les symptômes dépressifs comparativement au groupe contrôle. Des améliorations significatives ont été détectées concernant les variables d’auto-efficacité, de satisfaction de vie, d’affect positif et négatif, et de perception de la solitude. Les implications de ces résultats et des pistes de recherches futures sont discutées. Notamment, l’efficacité de ces interventions minimales offre des options prometteuses pour favoriser la dissémination de traitements supportés empiriquement pour le traitement des symptômes dépressifs.
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Effets à long terme de la thérapie cognitivo-comportementale dans le traitement du trouble panique

Pelletier, Marie-Hélène 12 January 2022 (has links)
Ce mémoire traite des effets à court et à long terme des thérapies comportementales et cognitives dans le traitement du trouble panique avec et sans agoraphobie. Il contient deux articles: un relevé de la littérature et un article empirique. Le premier vise à faire le point sur l'état des connaissances à ce sujet en examinant de façon critique la documentation scientifique. Bien que les données empiriques soient limitées et souvent incomplètes, les résultats font généralement état d'un maintien ou d'une amélioration des gains thérapeutiques lors des suivis. Plusieurs améliorations méthodologiques pour les études à venir sont proposées. Le deuxième article vise à évaluer l'efficacité à court et à long terme de la thérapie cognitivo-comportementale chez 43 sujets traités depuis 6 mois et depuis 5 ans. Les résultats révèlent un bon maintien des gains thérapeutiques, indépendamment de la durée du rappel.
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L'efficacité de l'exposition et de la restructuration cognitive dans le traitement du trouble panique

Bouchard, Stéphane 09 December 2021 (has links)
Cette thèse de doctorat vise à répondre à deux questions de recherche auprès de personnes souffrant du trouble panique avec agoraphobie. Premièrement, est-ce qu'il y a une différence dans la rapidité avec laquelle l'exposition et la restructuration cognitive produisent des gains significatifs? Deuxièmement, quel est le mécanisme thérapeutique sous-jacent à ces deux stratégies cognitivo-comportementales? Après avoir fait état des modèles théoriques expliquant l'étiologie et le maintien du trouble panique, les résultats de deux études empiriques sont rapportés. L'objectif de la première étude est d'évaluer, auprès des personnes souffrant d'un trouble panique avec agoraphobie, les différences dans la rapidité avec laquelle l'exposition et la restructuration cognitive produisent des changements sur les variables cliniques, comportementales et cognitives. Vingt-huit sujets recevant un diagnostic de trouble panique avec agoraphobie sont assignés aléatoirement à l'une des deux conditions expérimentales suivantes: Exposition ou Restructuration Cognitive. Les sujets sont évalués à quatre reprises, soit: lors du prétraitement, après 5, 10 et 15 (posttraitement) semaines de traitement. La seconde étude vise à démontrer que les changements dans l'intensité des croyances précèdent les changements du niveau d'appréhension d'une attaque de panique. Deux variables sont mesurées quotidiennement, soit: la force de la principale croyance que chaque sujet entretient envers les attaques de panique, et le niveau d'appréhension d'une attaque de panique. Les ANOVAs indiquent la présence d'un effet "Temps" statistiquement significatif et important pour l'ensemble des instruments de mesure. Toutefois, aucun effet d'interaction "Groupe par Temps" n'est significatif. Ces résultats et des analyses de puissance statistique suggèrent que l'exposition et la restructuration cognitive sont à toutes fin pratique d'une rapidité comparable. Un plus grand nombre de sujets s'avère nécessaire pour confirmer ces résultats. Parmi les sujets qui ne ressentent plus aucune attaque de panique à la fin de ces interventions thérapeutiques, des analyses de séries chronologiques multivariées et des tests de causalité permettent de conclure que les changements de croyance précèdent la réduction du niveau d'appréhension d'une attaque de panique pour 75% d'entre eux. Le mécanisme thérapeutique de l'exposition et de la restructuration cognitive s'avère donc similaire: a savoir la modification des croyances. / The aim of this doctoral thesis is to answer two research questions among people suffering from panic disorder with agoraphobia. First, is there a difference in the rate of change between exposure and cognitive restructuring? Second, what is the treatment mechanism operating during exposure and cognitive restructuring? After describing the etiological and maintaining model of panic disorder, results of two empirical studies are described. The aim of the first study was to assess the rate of change on clinical, behavioral and cognitive variables during exposure and cognitive restructuring in the treatment of panic disorder with agoraphobia. A total of 28 subjects who received a diagnosis of panic disorder with agoraphobia were randomly assigned to either of two treatment conditions: Exposure orCognitive Restructuring. Subjects were assessed on four occasions: pretreatment, after 5, 10,and 15 (post-treatment) weeks of treatment. The aim of the second study was to demonstrate that changes in beliefs precede changesin apprehension of a panic attack. Two variables were measured: the strength of each subject'smain beliefs toward the consequence of a panic attack, and the level of apprehension of a panic attack. ANOVAs revealed strong and statistically significant Time effect on all measures. However, no Group X Time interaction reached statistical significance. Furthermore, power analyses sugest that any difference that might exist in the rate of improvement between exposure and cognitive restructuring in the treatment of panic disorder with agoraphobia is marginal. More subjects are needed to confirm these results. However, no Group X Time interaction reached statistical significance. Furthermore, power analyses sugest that any difference that might exist in the rate of improvement between exposure and cognitive restructuring in the treatment of panic disorder with agoraphobia is marginal. More subjects are needed to confirm these results. Multivariate time series analysis and causality testing showed that, for 75% of the subjects who were panic-free at post-treatment, changes in beliefs preceded improvement. Thus, it would seem that the modification of beliefs is involved in the therapeutic mechanism of both exposure and cognitive restructuring.
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Efficacité personnelle et observance au traitement behavioral-cognitif de l'insomnie

Bouchard, Sébastien 11 March 2021 (has links)
L'objectif du présent mémoire est de développer une échelle d'efficacité personnelle (EP) et d'évaluer le rôle que joue cette variable dans l'observance au traitement behavioral-cognitif (TBC) de l'insomnie. Un total de 39 personnes souffrant d'insomnie chronique ont participé à l'étude. L'échelle demandait aux participants de juger de la force de leur confiance en leur capacité à observer toutes les procédures du TBC. Elle comportait 3 sous-échelles: EP globale, EP liée à la tâche et EP liée aux capacités d'autorégulation. Les résultats montrent que l'échelle d'EP possède des qualités psychométriques satisfaisantes et que les trois sous-échelles n'ont pas le même pouvoir de prédiction. Dans l'ensemble, il apparaît que l'observance détermine en partie l'efficacité du TBC et que l'EP joue un rôle important dans la prédiction de l'observance au TBC de l'insomnie.
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Traitement comportemental pour le trouble du sommeil lié à l'horaire de travail chez les travailleurs de nuit : une étude exploratoire

Claveau, Sonia 20 April 2018 (has links)
Le travail à horaire non conventionnel est une réalité dans notre société et peut causer des problèmes de sommeil et de santé importants. L’efficacité de la thérapie comportementale pour le Trouble de l’insomnie est bien établie dans la littérature. Toutefois, peu d’études s’intéressent au traitement de l’insomnie au sein du Trouble de l’horaire de travail (THT). L’objectif du présent mémoire doctoral est d’explorer l’efficacité d’un traitement comportemental pour le THT. Quatre participants âgés entre 20 et 36 ans ont reçu un traitement en huit séances. Pour identifier la présence d’un THT, l’EDI (Échelle Diagnostique de l’Insomnie) adaptée à la situation du travail de nuit a été utilisée. Les résultats obtenus révèlent que le traitement comportemental semble diminuer les symptômes d’insomnie et de somnolence excessive ainsi que les symptômes dépressifs chez les personnes en souffrant. Ces résultats illustrent l’efficacité potentielle d’un traitement comportemental pour le THT.
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Caractéristiques et traitements de l'obsession sans compulsion manifeste

Freeston, Mark H. 03 December 2021 (has links)
Malgré les progrès substantiels de l'approche cognitive béhaviorale dans le traitement du Trouble obsessionnel-compulsif(TOC), les obsessions sans compulsion manifeste demeurent un défi pour le clinicien. Les trois présentes études constituent une première description détaillée d'un échantillon important composé de 29patients souffrant du trouble obsessionnel sans compulsion manifeste. La première étude confirme que les patients utilisent un vaste répertoire de stratégies pour chasser la pensée et pour diminuer le malaise. La deuxième démontre que l'évaluation des pensées varie en fonction des fluctuations de l'état émotionnel. La troisième étude montre qu'un traitement basé sur l'exposition, la prévention de la réponse et la restructuration cognitive produit des gains thérapeutiques cliniquement et statistiquement significatifs. Elle démontre clairement que la thérapie cognitive-comportementale est efficace pour des patients souffrant de pensées obsessionnelles alors que ceux-ci furent longtemps considérés comme réfractaires au traitement. Ces études fournissent un appui empirique aux modèles théoriques formulés pour expliquer le Trouble obsessionnel-compulsif. Les implications théoriques et cliniques sont discutées.
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Verbalisations associées aux réussites et aux échecs thérapeutiques d'un traitement auto-administré pour les joueurs problématiques

Théberge, Camille 27 January 2024 (has links)
Les traitements auto-administrés (TAA) incluant des entretiens motivationnels ont montré leur efficacité à réduire les comportements de jeu problématiques et les conséquences associées. Les paroles du joueur sont au cœur des entretiens motivationnels et fournissent de l’information sur la motivation du joueur à changer ses comportements. Ces entretiens permettent de travailler l’ambivalence et d’augmenter sa motivation à changer. La présente étude vise à explorer le contenu d’un entretien motivationnel d’un TAA afin d’identifier de quelle façon s’articule le discours motivationnel selon les différentes issues du traitement des joueurs, soit la réussite, l’abandon ou la non-réponse au traitement. Le contenu du discours autre que motivationnel est aussi exploré afin de compléter le portrait. Douze verbatims d’entretiens motivationnels de joueurs problématiques (quatre abandons, réussites et noncomplétion) ont fait l’objet d’une analyse qualitative du contenu et d’un accord interjuge. La motivation représentée par l’engagement, les raisons, la capacité, le désir, l’action et le besoin se retrouve verbalisée pour le changement dans chaque trajectoire. Toutefois, l’engagement contre le changement et le besoin de ne pas changer ne se retrouvent que dans la trajectoire de l’abandon alors que la trajectoire de non-réponse présente spécifiquement la mise en action de stratégies de contrôle externes. Une faible perception de la capacité de changer en raison de facteurs personnels est également relevée dans ces deux trajectoires. Le discours autre que motivationnel révèle des attentes élevées envers le traitement ainsi que l’utilisation du jeu comme stratégie de gestion émotionnelle dans les trajectoires d’abandon et de nonréponse au traitement. Les résultats de cette étude appuient la richesse du contenu du discours des joueurs lors d’un entretien motivationnel. Les études cliniques gagneraient à se servir de ce matériel en cours de traitement pour le personnaliser aux besoins des joueurs.
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Les variables cognitives associées au trouble obsessionnel-compulsif

Rhéaume, Josée 30 August 2021 (has links)
Malgré le fait que les traitements basés sur l'exposition et la prévention de réponse ont clairement démontré leur efficacité avec le Trouble Obsessionnel- Compulsif (TOC), les résultats cliniques avec cette combinaison sont loin d'être optimaux. La thérapie cognitive pour le TOC est prometteuse. Les quatre études présentées ici ont pour but d'approfondir la compréhension des variables cognitives associées au TOC. La première étude appuie empiriquement le lien entre la surestimation du danger, la responsabilité et le perfectionnisme et les symptômes obsessionels-compulsifs (OC). La deuxième étude démontre que la correction des croyances idéographiques sans aucune forme d’exposition ou de prévention de réponse représente un traitement efficace avec les vérificateurs compulsifs. La troisième étude suggère qu'au moins un des mécanismes impliqués dans le traitement cognitif et le traitement comportemental impliquerait la précédence d'un changement cognitif sur la diminution de symptômes. Utilisant la même méthodologie, la quatrième étude démontre les liens bidirectionnels entre les états émotionnels indépendants, les cognitions et les symptômes. De plus, cette étude suggère que le processus de changement entre ces trois variables pourrait être différent chez les patients qui répondent bien ou non au traitement. Ces quatre études fournissent un appui empirique aux modèles théoriques formulés pour expliquer le TOC. Elles comportent également des implications cliniques considérables.

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