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La participation à des activités parascolaires et les sympômes dépressifs chez les élèves du secondaire

Breton, Julie January 2012 (has links)
Cette étude examine de manière longitudinale le lien entre la participation à des activités parascolaires et les symptômes dépressifs chez les adolescents en vérifiant 1) selon le sexe, le profil de participation des élèves qui atteignent ou non le seuil clinique de dépression, 2) si les trois dimensions de la participation à des activités parascolaires (durée, intensité et diversité) peuvent prédire une diminution du nombre de symptômes dépressifs chez les adolescents et si chacune des dimensions a une contribution unique et 3) si le sexe des élèves et la présence ou non du seuil clinique agissent à titre de modérateurs sur le lien de prédiction entre la participation et le nombre de symptômes dépressifs. Pour cette étude, 1617 adolescents (55% de filles) ont été suivis pendant trois ans. Chaque année, les adolescents ont complété un questionnaire sur les activités parascolaires afin de mesurer leur participation à ces activités, ainsi que la traduction française du Center for Epidemiological Studies Depression Scale for Children (CES-DC, Radloff, 1977) pour évaluer leurs symptômes dépressifs. Les autres variables considérées pour cette étude sont le sexe et le niveau scolaire des élèves, ainsi que le niveau de défavorisation des écoles, qui sert ici d'indice du statut socioéconomique. De manière générale, les résultats suggèrent 1) que les élèves auraient tendance à moins participer en ce qui concerne la durée et l'intensité lorsqu'ils atteignent le seuil clinique, sans différence au niveau de la diversité, et que les filles se situant au-dessus du seuil clinique présenteraient moins de participation, en ce qui concerne la durée et la diversité, que les filles qui se situent sous le seuil clinique, sans différence chez les garçons, 2) que l'intensité de la participation ne permet pas de prédire une diminution des symptômes dépressifs lorsque les variables de contrôle sont prises en considération (seule cette dimension a été considérée dans les analyses étant donné le patron de corrélations) et 3) qu'il n' y a pas d'effet modérateur du sexe sur le lien de prédiction entre l'intensité de participation à des activités parascolaires et le nombre de symptômes dépressifs, mais qu'il y a un effet modérateur du seuil clinique, suggérant que plus l'intensité de la participation est élevée, plus elle prédit une diminution des symptômes dépressifs et ce, seulement chez les élèves se situant au dessus du seuil clinique.
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Hétérogénéité des troubles de l'attention associés aux états dépressifs

Lemelin, Sophie. 18 November 2021 (has links)
Un trouble de l'attention se trouverait au cœur des perturbations cognitives des déprimés mais la nature exacte de ce trouble reste méconnue. Cette thèse, qui comporte quatre études, utilise trois niveaux d'analyse (cognitif, clinique, neuropharmacologique) afin de préciser la nature des troubles de l'attention associés aux états dépressifs. Des déprimés non traités réalisent des épreuves attentionnelles informatisées. La distribution de leurs temps de réaction est analysée suivant le modèle Poisson-Erlang. Ces déprimés participent aussi à un test pharmacologique en aigu à l'aide du méthylphénidate. Ces études rassemblent plusieurs arguments en faveur de l'hétérogénéité des perturbations de l'attention des déprimés. Une réduction des ressources attentionnelles est mise en évidence chez un sous-groupe de déprimés caractérisés par un ralentissement psychomoteur net. Chez les autres déprimés, les résultats suggèrent plutôt un trouble de l'inhibition des distracteurs. Une stimulation des systèmes catécholaminergiques par le méthylphénidate atténue le ralentissement psychomoteur des déprimés mais n'améliore pas leur déficit des ressources.
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Depressives' perception of social anxiety and social skills

Ducharme, Julie 23 February 2022 (has links)
Cette étude a examiné cinq variables potentiellement pertinentes à l'isolation sociale et aux relations sociales inadéquates fréquemment rapportées par les dépressifs : anxiété et évitement social, attentes et auto-perception face à une performance sociale, ainsi que perception d'autrui de leurs habiletés sociales. Seize clients dépressifs, 25 étudiants dépressifs et 22 étudiants non-dépressifs participèrent à une interaction sociale avec un complice. Les résultats indiquèrent que les deux groupes dépressifs rapportent éprouver plus d'anxiété et d'évitement social et ont des attentes plus négatives comparativement aux non dépressifs, bien que ces groupes soient similaires quant à l'auto-perception et la perception d'autrui. De plus, les étudiants dépressifs évaluèrent leurs habiletés sociales telles qu'elles furent évaluée par les observateurs,contrairement aux non-dépressifs dont l'auto-perception fut plus positive que la perception des observateurs.Ces résultats sont analysés dans le cadre des modèles théoriques et de l'hypothèse du réalisme dépressif.
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Déficits cognitifs et leur amélioration sous traitement pharmacologique chez les déprimés unipolaires et bipolaires

Paré, Nikolas. 23 February 2022 (has links)
Cette étude traite des troubles cognitifs associés à l'état dépressif et à son traitement. Elle évalue pour ce faire un groupe de patients déprimés unipolaires (N=6), un groupe de patients déprimés bipolaires {correspondant aux critères du spectre atténué de bipolarité} (N=7) et un groupe témoin (N=l3).Premièrement, elle tente de cerner plus à fond la performance pré-traitement des patients dépressifs (unipolaires et bipolaires) à l'aide d'une batterie de tests neuropsychologiques. Les tests choisis servent notamment à évaluer les fonctions mnésiques verbales et non verbales en rappel immédiat et différé (figure de Rey et échelle de mémoire de Weschler), les habiletés intellectuelles (matrices de Raven),la vigilance (test de vigilance) et les processus d'attention sélective (test des mots colorés Stroop et test d'interférence visuo-spatiale). Deuxièmement, elle évalue l'effet des antidépresseurs sur les performances cognitives de patients déprimés unipolaires et celui du lithium sur les performances de patients bipolaires. Les résultats de l'évaluation prétraitement sont significatifs pour quatre tests (test de vigilance, échelle de mémoire de Weschler, figure de Rey, matrices de Raven). Il n'y cependant aucune différence significative entre les résultats des deux groupes pathologiques et ceux du groupe témoin. Par ailleurs, les résultats aux épreuves cognitives montrent que les déprimés unipolaires ont amélioré leurs performances au test de vigilance, au test d'interférence visuo-spatiale et a l'échelle de mémoire de Weschler alors que les déprimés bipolaires ont amélioré leurs performances a l'échelle de mémoire de Weschler, au test de vigilance et aux figures complexes.
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Attachement amoureux et comportements suicidaires dans un contexte de rupture amoureuse

St-Laurent-Dubé, Marianne January 2016 (has links)
Les ruptures amoureuses et les divorces sont très fréquents dans la société actuelle. La rupture d’une relation amoureuse est une épreuve difficile (Holmes & Rahe, 1967; Scully, Tosi, & Banning, 2000) qui génère une détresse émotionnelle importante (Birnbaum, Orr, Mikulincer, & Florian, 1997; Sbarra, 2006). Certains individus qui vivent une rupture iront même jusqu’à poser un geste suicidaire. En effet, le lien entre la rupture amoureuse et le comportement suicidaire est bien documenté à ce jour (Ide, Wyder, Kolves, & De Leo, 2010). La présente étude a investigué le rôle des insécurités d’attachement amoureux (anxiété d’abandon, évitement de l’intimité) dans la survenue des symptômes dépressifs et des comportements suicidaires (pensées et tentatives) à la suite d’une rupture. Pour ce faire, 50 participants adultes ayant vécu une rupture amoureuse dans les six derniers mois ont été recrutés auprès d’organismes d’aide (centre de prévention de suicide, centre psychologique, organisme communautaire), ainsi qu’à l’aide de publicités affichées en milieu universitaire, sur les réseaux sociaux et sur des réseaux de partenaires. Un intervenant formé en crise suicidaire a administré verbalement des questionnaires validés d’attachement amoureux, de symptômes dépressifs et de comportements suicidaires lors d’une entrevue individuelle. Les résultats des analyses de régressions multiples ont montré que l’anxiété d’abandon des adultes qui vivent une rupture est liée à davantage de symptômes dépressifs, ainsi qu’à la sévérité et l’intensité des idées suicidaires. Ces effets demeurent lorsque l’utilisation du réseau social est contrôlée. L’évitement de l’intimité n’est pas lié à ces variables. La discussion porte sur l’importance de l’anxiété d’abandon comme facteur de vulnérabilité dans les difficultés d’adaptation à la rupture, au-delà du réseau social, et propose des pistes d’évaluation et d’intervention pour les cliniciens.
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Affections dermatologiques et troubles dépressifs : leur association chez les personnes âgées du Québec

Gontijo Guerra, Samantha January 2014 (has links)
Résumé : Les liens entre les maladies dermatologiques et les troubles de santé mentale, dont la dépression, sont reconnus depuis longtemps. Cependant, peu d’études de population ont examiné cette problématique et aucune n’a été faite auprès des aînés. Le but de ce mémoire est d’explorer l’association entre les affections dermatologiques et les troubles dépressifs chez les personnes âgées vivant à domicile. Pour ce faire, deux études ont été réalisées. La première visait à décrire les caractéristiques dermatologiques de la population à l’étude et la deuxième avait pour but de tester l’hypothèse d’une association bidirectionnelle entre les problèmes mentionnés. Il s’agit d’une analyse secondaire des données de l’Enquête sur la Santé des Aînés (ESA) qui a été menée auprès d’un échantillon représentatif de la population âgée (≥ 65 ans) vivant à domicile au Québec. Des mesures répétées à un an d’intervalle (T1 et T2) ont été obtenues auprès de 2 cohortes successives fixes. Les données de l’enquête ESA ont été appariées à celles des registres de la Régie de l’assurance maladie du Québec (RAMQ). Les troubles dépressifs ont été définis en se basant sur les critères du DSM-IV et les affections dermatologiques ont été mesurées à partir de deux sources de données (enquête et registres administratifs de la RAMQ). Des modèles autorégressifs bivariés ont été utilisés pour tester l’hypothèse d’association bidirectionnelle entre les affections dermatologiques et les troubles dépressifs. Nos résultats ont montré que près de 13% et 21% des répondants ont rapporté des affections dermatologiques auto-rapportées ou avaient été diagnostiqués selon les registres de la RAMQ. En plus, près de 6% des participants rapportaient un trouble dépressif probable au T1 et au T2. Nos résultats suggèrent la présence d’une association synchronique (transversale) entre les affections dermatologiques et les troubles dépressifs. Ce projet souligne l’importance d’évaluer et d’explorer la cooccurrence de ces deux pathologies afin d’améliorer la prise en charge des individus atteints simultanément par ces deux problèmes. Nous suggérons l'inclusion des affections dermatologiques dans les futures études épidémiologiques visant à explorer les liens entre les troubles de santé mentale et de santé physique chez les personnes âgées.//Abstract : The relationship between skin conditions and mental health disorders, which includes depression, has long been recognized. However, few population - based studies have examined this issue and none were carried out in older - adults. The aim of this project was to explore the associations between skin conditions and depressive disorders affecting the elderly living at home. To do this, two studies were conducted; the first aimed to describe the dermatological features of the study population. The second was designed to test the hypothesis of a bidirectional association between the conditions mentioned above. We carried out secondary data analyses from data collected in the Study on the Health of Seniors (ESA ) survey, which consisted of a representative sample of the elderly population (≥ 65 years) living at home in Quebec. Two repeated measurements one year apart (T1 and T2) were obtained from two fixed successive cohorts. Participants in both phases of the investigation and with available health service information from Quebec’s health insurance plan agency (Régie de l'assurance maladie du Québec - RAMQ) were selected for this project. Depressive disorders were defined based on DSM - IV criteria and dermatological conditions were measured from two data sources (survey and administrative records). Cross - lagged panel models were used to test the hypothesis of association between the two mentioned conditions. Our results showed that nearly 13% and 21% of respondents have self - reported and diagnosed skin conditions, respectively. In addition, about 6% of participants reported symptoms that were consistent with a probable depressive disorder on T1 and T2. Our results suggested the presence of synchronous (cross - sectional) associations between skin conditions and depressive disorders in the elderly. This research highlights the importance of assessing and exploring the co - occurrence of these two conditions to improve the management of individuals who are affected. We suggest the inclusion of dermatological conditions in future/further studies exploring the comorbidity between mental and physical health in the older adults.
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Trajectoires de symptômes dépressifs chez les sujets âgés : profils, déterminants et évènements évolutifs à partir des données sur 20 ans de la cohorte PAQUID. / Trajectories of depressive symptoms in community-dwelling older adults : course predictive factors and outcomes

Montagnier, Delphine 26 March 2014 (has links)
L’objectif de ce travail était d’étudier l’évolution des symptômes dépressifs (SD) chez 2590 sujets âgés français, issus de la population générale et suivis pendant 20 ans entre 1988 et 2008. Une méthode d’analyse du changement fondée sur l’identification de trajectoires individuelles de développement a été utilisée afin de tenir compte de l’hétérogénéité pressentie dans cette population. Les facteurs et évènements évolutifs associés aux trajectoires de SD ont été étudiés. Nous avons identifié cinq trajectoires d’évolution de SD entre 1988 et 2008 et trois trajectoires entre 65 et 104 ans. La majorité des individus ne présentait pas ou peu de SD au cours des 20 ans de suivi. Cependant, environ une personne sur dix suivait une trajectoire compatible avec un diagnostic de dépression chronique. Les antécédents psychiatriques, la polymédication, les comorbidités somatiques et la perte d’autonomie étaient des facteurs fortement prédictifs de dépression « émergente » ou « persistante ». Le veuvage apparaissait être un facteur protecteur d’appartenance à la trajectoire de dépression « persistante » pour les femmes uniquement. L’entrée en institution et le décès étaient plus fréquents dans les trajectoires les plus défavorables. Les trajectoires de SD étaient significativement associées aux trajectoires de consommation d’antidépresseur. Notre travail confirme l’hétérogénéité de l’évolution des symptômes dépressifs en population âgée. Il alerte sur la prévalence préoccupante de la chronicité et aide à déterminer des sujets à plus haut risque d’évolution défavorable qui pourraient faire l’objet d’actions de prévention. / The aim of this study was to investigate patterns of the course of depressive symptoms (DS) in 2590 community-dwelling older adults followed over a period of 20 years, between 1988 and 2008. Using a group-based trajectory method, we modelled the course of DS and examined associations between trajectory patterns and baseline socio-demographic and health variables, as well as outcomes. We identified five time-related trajectories between 1988 and 2008, and three age-related trajectories between 65 and 104 years old. A majority of participants experienced no or only mild DS. However, about one to ten belonged to high-level trajectories consistent with clinically relevant chronic depression. Psychiatric history, polypharmacy, somatic comorbidities and functional limitation were strongly associated with membership to increasing and persistently high trajectories. Being widowed seemed to be a protective factor for membership of this persistently high trajectory group only in women. Institutionalization and death were more prevalent in worse trajectories. Trajectories of DS and trajectories of antidepressant use were significantly associated. Our study confirmed heterogeneity of the evolution of DS in late-life and highlighted the problematic risk of chronicity. We identified several high-risk groups for later-life depression that can be easily detected and that are amenable to preventive intervention.
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La thérapie cognitivo-comportementale des troubles de panique : étude des effets chez les patients avec un diagnostic secondaire de dépression majeure

Laberge, Benoît 12 November 2021 (has links)
La présente étude a été conçue pour déterminer si les patients souffrant d'un trouble de panique avec dépression secondaire peuvent bénéficier d'une thérapie cognitivo-comportementale comme c'est le cas pour les patients non-dépressifs. Deux protocoles à niveaux de base multiples A -A¹ -A -B à travers les sujets ont été utilisés, le premier pour tester huit sujets souffrent d'un trouble de panique et d'une dépression majeure et le second pour tester sept sujets souffrant exclusivement d'un trouble de panique. Pendant la phase du niveau de base (A). les sujets ont auto-enregistré leurs attaques de panique quotidiennement. Pendant la phase A¹, dans le but de contrôler pour les facteurs thérapeutiques non-spécifiques reliés à l'amélioration des sujets, un programme d'information sur le trouble de panique a été présenté comme une psychothérapie suivi d'une seconde phase de niveau de base (A). Ensuite, la thérapie cognitivo-comportementale a été administrée ( B ). Les résultats démontrent que la thérapie cognitivo-comportementale a· été significativement supérieure à la thérapie d'information dans la réduction des attaques de panique. Pas de différences significatives n'a été détectée entre les sujets dépressifs et non-dépressifs / Controlled studies indicate that cognitive-behavior therapy eliminates panic attacks in over 80% of patients who suffer from panic disorder. However, most of the screening procedures used in those studies called for excluding patients who were depressed, a question arises as to the extent to which these results apply to patients who are clinically depressed in addition to having panic attacks. Accordingly, an attempt was made in the present study to determine whether or not panic patients who are clinically depressed could be treated as successfully as those who are not clinically depressed. Two multiple baseline A - A¹ - A - B across subjects design were used, one to test 8 panic patients with major depression and the second to test 7 panic patients without major depression. ln baseline (A) subjects monitored their panic attacks daily. During the A¹ phase, a program of information on panic attacks presented as psychotherapy was instituted to assess the affects of non specific factors, followed by a second baseline phase (A) and then, cognitive-behavior therapy ( B) was introduced. Results showed that cognitive-behavior therapy was significantly superior to information based therapy in the reduction of panic attacks. No significant differences were found between depressed and non-depressed patients.
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Performance des déprimés en frappe cadencée : un test de l'horloge interne

Labbé, Rémi 06 December 2021 (has links)
Il est communément accepté que des patients déprimés rapportent que le temps semble passer lentement. Des travaux récents ont démontré l’existence d’une horloge interne responsable de la mesure du temps psychologique. Cette horloge est associée à l’activité d’un réseau cérébral complexe impliquant les noyaux gris centraux, la région préfrontale et le cervelet. Le but de l’étude est de vérifier si cet allongement du temps perçu serait lié à une déficience de l’horloge interne chez les déprimés et si le ralentissement psychomoteur (RPM) est lié à cette perception. Pour ce faire, les performances de quatorze patients atteints de dépression majeure sont comparées à celles de quatorze volontaires sains dans une tâche de frappe cadencée. Les sujets devaient taper, sur une touche, une série de 40 frappes à la même vitesse qu’une cadence sonore qu’ils venaient d’entendre. La frappe cadencée se faisait Hans trois conditions: 1) la plus rapide possible, 2) à intervalle de 500ms et 3) à intervalle d’une seconde. Le modèle de Wing et Kristofiferson (1973) a permis d’identifier un déficit dans la variabilité processus d’horloge chez les déprimés. Le RPM ne semble pas lié aux processus d’horloge interne.
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Troubles du désir sexuel et séropositivité au VIH : prévalence et relation avec l'anxiété et la dépression

Champagne, Élise 03 February 2022 (has links)
Ce mémoire poursuit deux objectifs dont le premier est de comparer la prévalence des troubles du désir sexuel (DSM-IV) chez les personnes séropositives au VIH à celle des personnes séronégatives. Le second vise à explorer la relation possible entre les troubles du désir sexuel et les troubles dépressifs et anxieux. Une entrevue menée à l'aide du "Structured Clinical Interview for DSM-111-R" (SCID) est administrée individuellement à un échantillon représentatif de 54 patients séropositifs au VIH atteint depuis plus de 5 ans et à 36 personnes séronégatives. Les personnes composant les deux groupes sont comparables sur le plan des variables sociodémographiques et sont majoritairement d'orientation homosexuelle. Afin d'évaluer la sévérité de l'humeur anxieuse et dépressive, les participants répondent aux versions françaises du "Beck Depression Inventory" (BDI), du "State Anxiety Inventory" (STAI) et du "Hospital Anxiety and Depression Scale" (HADS). Un questionnaire évaluant le désir et l'activité sexuels est également administré. Les résultats indiquent une prévalence de troubles du désir sexuel de 13% chez les personnes séropositives au VIH et de 8% chez les personnes séronégatives. Aucune différence significative n'est observée entre ces deux groupes. Le VIH ne semble donc pas augmenter le risque de développer de tels troubles. Par ailleurs, les résultats indiquent une humeur dépressive et anxieuse plus intense chez les personnes souffrant de trouble du désir sexuel. Ces résultats indiquent donc que l'état émotionnel des personnes souffrant de troubles du désir sexuel nécessite probablement une attention clinique.

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