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Optimisation stochastique pour l'affectation du personnel polyvalent dans un centre d'appels téléphoniquesChan, Wyean January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Effet d'un DVD éducatif pré-opératoire sur les connaissances et les conduites des parents en salle de réveil: une étude clinique randomiséeChartrand, Julie January 2014 (has links)
Le but de la présente étude était d’évaluer l’effet d’un DVD éducatif pré-opératoire sur l’acquisition de connaissances, les conduites de participation et l’anxiété des parents présents en salle de réveil lors d’une chirurgie d’un jour de leur enfant. Cette étude visait également à évaluer le DVD en termes de l’anxiété des parents ainsi que de la détresse, de la douleur, des analgésiques et de la durée de la récupération post-opératoire des enfants.
Suite à l’élaboration et à l’évaluation d’un DVD éducatif bilingue destiné aux parents, une étude clinique randomisée pré- et post-test avec groupe contrôle a été effectuée auprès d’un échantillon de convenance composé de 123 dyades parent-enfant francophones ou anglophones dont l’enfant, âgé de 3 à 10 ans, a subi une chirurgie d’un jour de type ORL ou dentaire dans un hôpital pédiatrique canadien. Les parents du groupe contrôle ont reçu la préparation habituelle (information verbale et écrite sur les procédures hospitalières fournies par une infirmière et visite virtuelle de chirurgie) et les parents du groupe expérimental ont visionné le DVD éducatif et effectué la préparation habituelle. Les parents et les enfants étaient observés en salle de réveil au moyen d’une caméra vidéo; la participation des parents et la détresse des enfants ont été mesurées à l’aide de grilles d’observation. Un questionnaire maison validé a été utilisé pour évaluer l’acquisition des connaissances des parents alors qu’une échelle visuelle analogue a servi aux parents pour rapporter leur anxiété avant, pendant et après leur séjour en salle de réveil. Les données relatives à la douleur post-opératoire des enfants, aux doses d’analgésiques post-opératoires administrés aux enfants et à la durée de la récupération post-opératoire des enfants ont été recueillies à partir du dossier médical des enfants. Des analyses statistiques du test-t, du chi-carré et des ANOVA à mesures répétées ont été effectuées auprès de 105 dyades afin de mesurer l’effet du DVD sur les variables reliées aux parents et aux enfants.
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Les parents du groupe expérimental ont acquis plus de connaissances et ont démontré plus de conduites de participation reliées au renforcement positif, à la distraction et à la relaxation que les parents du groupe contrôle. La douleur post-opératoire des enfants à l’unité de chirurgie d’un jour était significativement moins élevée chez les enfants du groupe expérimental que ceux du groupe contrôle. Il n’y a pas eu toutefois de différence significative entre les groupes en regard de l’anxiété des parents, de la détresse des enfants, des doses d’analgésiques post-opératoires administrés aux enfants et de la durée de la récupération post-opératoire des enfants.
Grâce au DVD éducatif pré-opératoire, les parents peuvent adopter un plus grand nombre de conduites de renforcement positif, de distraction et de relaxation auprès de leur enfant en salle de réveil et contribuer à la diminution de la douleur post-opératoire de leur enfant. En plus du DVD, le personnel infirmier doit appuyer les parents par un soutien psychologique et physique afin d’atténuer les retombées négatives d’une chirurgie d’un jour sur l’enfant et ses parents.
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Supplémentation en vitamine D chez des enfants ayant l’anémie falciforme : une étude pilote randomisée contrôléeGrégoire-Pelchat, Pascale 06 1900 (has links)
Introduction : La majorité des enfants ayant l’anémie falciforme (AF) sont déficients en vitamine D. Cette déficience causerait ou exacerberait possiblement les complications de l’AF telles que les crises de douleur et les complications osseuses. Nous avons récemment publié que près de 70% des enfants suivis à notre clinique d’AF étaient déficients en vitamine D (<50 nmol/L), que ceux-ci avaient de faibles apports alimentaires en vitamine D et prenaient peu de suppléments. Cliniquement, les enfants déficients en vitamine D avaient un moins bon profil hématologique que les enfants suffisants en vitamine D. Ces résultats nous ont amené à proposer une intervention pour résoudre ces problèmes.
Objectifs : Primaires : Évaluer la faisabilité, l’acceptabilité et la sécurité d’un bolus oral de 300 000 UI de vitamine D3, chez les enfants ayant l’AF, combiné à une supplémentation quotidienne de 1 000 UI de vitamine D3 pour 3 mois. Secondaires : Évaluer le changement des taux sériques de 25(OH)D après 3 mois ainsi que les impacts cliniques d’une telle supplémentation.
Méthode : Des enfants avec AF (5 à 17 ans, tous les génotypes) ont été randomisés à un bolus oral de vitamine D3 (300 000 UI) ou à un placebo. Tous les enfants ont également reçu une prescription pour des comprimés de 1 000 UI vitamine D3 à prendre quotidiennement. La 25(OH)D sérique a été mesurée au début de l’étude et 3 mois post-bolus (efficacité de l’intervention). Les autres paramètres mesurés lors de l’étude étaient le ratio calcium/créatinine urinaire et le calcium sérique (sécurité), la douleur musculosquelettique, la qualité de vie, l’hématologie et les marqueurs osseux (paramètres cliniques exploratoires).
Résultats : Trente-huit enfants ont participé à l’étude (âge moyen de 10,1 +/- 3,6 ans; 63% HbSS, 29% HbSC et 8% S/β thal+) : 18 ont reçu le bolus de vitamine D et 20 le placebo. Au début de l’étude, les niveaux moyens de 25(OH)D étaient de 75 +/- 27 nmol/L et 50% des enfants étaient insuffisants en vitamine D (<75 nmol/L). Chez les enfants ayant pris le bolus, les taux de 25(OH)D se sont élevés à 94 nmol/L après 3 mois et le taux d’insuffisance en vitamine D est descendu à 17%, alors que pour le placebo, les taux de 25(OH)D post 3 mois étaient de 74 +/- 19 nmol/L et le taux d’insuffisance en vitamine D était de 45% (p=0,001). Aucun épisode d’hypercalcémie, d’hypercalciurie ou d’hypervitaminose D (>250 nmol/L) n’a eu lieu durant l’étude, mais les enfants du groupe bolus ont expérimenté plus de symptômes gastro-intestinaux dans le premier mois suivant l’ingestion du bolus, comparativement au groupe placebo. Le décompte de réticulocytes était plus faible à la fin de l’étude pour les enfants du groupe bolus. Aucun autre effet clinique de l’intervention n’a été observé.
Conclusion : L’utilisation d’un bolus de vitamine D à haute dose combiné à une supplémentation quotidienne en vitamine D chez des enfants ayant l’AF était plus efficace à élever les taux de 25(OH)D à des taux supérieurs à 75 nmol/L que la supplémentation quotidienne seule. Des études multicentriques à plus grande échelle et de plus longue durée sont nécessaires afin d’évaluer les effets cliniques d’une telle supplémentation. / Background: Most children with sickle cell disease (SCD) are vitamin D deficient. This deficiency could possibly cause or exacerbate SCD complications such as pain crisis and bone complications. We previously showed that nearly 70% of children followed in our SCD Clinic were vitamin D deficient (<50 nmol/L) with low vitamin intake and poor use of supplements. Clinically, worse hematological profile was seen in vitamin D-deficient children compared to vitamin D-sufficient children. This study was designed to overcome these issues.
Objectives: Primary objectives were to assess feasibility, acceptability, and safety of a single oral bolus of 300,000 IU of vitamin D3 combined to daily 1,000 IU vitamin D3 for 3 months in children with SCD. Secondary objectives were to asses the mean change in serum 25(OH)D from baseline to 3 months post-bolus and its clinical impact.
Procedure: A randomized controlled trial was carried out in children with SCD (5-17 years, all genotypes). Children were randomized to a single bolus of vitamin D3 (300,000 IU) or placebo and also received prescription for daily 1,000 IU vitamin D3. Serum 25OHD (efficacity outcome) was measured at baseline and 3 months post-bolus. Other outcomes measured were urinary calcium/creatinine ratio and serum calcium (safety), musculoskeletal pain, quality of life as well as hematology and bone markers (exploratory outcomes).
Results: Thirty-eight children were randomized to received the vitamin D bolus (n=18) or the placebo (n=20) (mean age 10.1 +/- 3.6 years; 63% HbSS, 29% HbSC and 8% S/β thal+). At baseline, 50% of the children were vitamin D insufficient (<75 nmol/L) and mean serum 25(OH)D levels were 75 +/- 27 nmol/L. In the vitamin D bolus group, insufficiency dropped to 17% post 3 months and mean 25(OH)D levels raised to 94 nmol/L. In children who took the placebo, rates of vitamin D insufficiency were 45% and mean 25(OH)D levels were 74 +/-19 nmol/L post 3 months (p=0.001). The vitamin D bolus caused no hypercalcemia, hypercalciuria nor hypervitaminosis D (>250 nmol/L). However compared to the placebo group, more children in the bolus group experienced gastro-intestinal symptoms within the first month following the vitamin D bolus. As for the hematology parameters, only a slight difference in reticulocytes counts was observed with lower reticulocytes count the end of the study in children from the bolus group. No other clinical effects of the intervention were observed.
Conclusions: High-dose vitamin D bolus combined to daily supplementation in children with SCD is more efficient than daily supplementation alone to raise 25(OH)D levels ≥75 nmol/L. Large-scale multicenter studies of longer duration are needed to assess whether this intervention can improve clinical outcomes of children with SCD.
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A behavioral approach to breast cancer screening decision / Une approche comportementale du dépistage du cancer du seinGoldzahl, Léontine 19 November 2015 (has links)
Cette thèse étudie les facteurs d’offre et de demande associés au recours au dépistage du cancer du sein. Parmi les facteurs d’offre, j’examine comment la coexistence du dépistage organisé au côté du dépistage individuel influence le contenu de l’examen de dépistage ainsi que le recours régulier au dépistage. En plus des facteurs de demande tels les caractéristiques socioéconomiques, une attention particulière est portée à la possibilité d’expliquer le recours régulier au dépistage par les préférences face au risque et temporelles ainsi que les perceptions. À partir de régularités psychologiques identifiées dans les travaux d’économie comportementale et de psychologie, trois interventions de type nudge sont testées dans le cadre d’une expérience randomisée sur le terrain visant à augmenter le taux de dépistage dans le programme national. / This thesis explores supply and demand factors associated with the use of breast cancer screening. Among the supply factors, I examine how the coexistence of organized and opportunistic screenings influences the content of the screening exam and screening regularity. Besides the usual demand factors such as socioeconomic characteristics, a special attention is being given to the possibility of explaining screening regularly by individuals’ risk and time preferences and perceptions. Based on psychological patterns identified in the literature in behavioral economics and psychology, three nudge interventions are tested in a randomized field experiment to increase the national program uptake rate.
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Relation entre la satisfaction et la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire chez les patients totalement édentésMichaud, Pierre-Luc 06 1900 (has links)
Problématique : La satisfaction des patients et la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire (OHRQoL) sont deux mesures de résultats fréquemment utilisées durant les études cliniques. Néanmoins, chez les patients totalement édentés, les évidences scientifiques relatives au niveau de relation entre ces deux mesures sont faibles. De plus, on ignore toujours quels éléments de la satisfaction des patients relativement à leurs prothèses partagent la meilleure relation avec la OHRQoL.
Objectifs : Déterminer, chez les patients totalement édentés, s’il existe un lien entre leur satisfaction de leurs prothèses et leur OHRQoL et identifier les déterminants de satisfaction qui démontrent le meilleur niveau de relation avec la OHRQoL.
Méthodologie : Les données provenant de 255 patients totalement édentés qui ont participé à une étude randomisée et contrôlée ont été utilisées. La OHRQoL a été évaluée à l’aide du questionnaire Oral Health Impact Profile (OHIP-20). Le McGill Denture Satisfaction Instrument a été utilisé pour estimer la satisfaction des patients. Ces mesures ont été prises au temps initial, à 6 mois et à 12 mois suivants la mise en bouche des prothèses. Des analyses statistiques de régression linéaire simples et multiples ont été utilisées afin d’évaluer la relation entre les deux mesures.
Résultats : Une relation positive et considérable existe entre la satisfaction des patients totalement édentés et leur OHRQoL. La difficulté masticatoire (P = .005) et la condition buccale (P = .002) sont les éléments de la satisfaction qui possèdent le meilleur lien avec la OHRQoL. Ces deux facteurs expliquent 46.4% (P = .0001) de la variance dans l’amélioration d’OHIP suivant un traitement prosthodontique. La relation décrite est dépendante du temps, mais pas du type de traitement ni des variables sociodémographiques.
Conclusions : Dans les limites de l’étude, il est conclu qu’une relation positive existe entre la satisfaction des patients et leur OHRQoL. La difficulté masticatoire et la condition buccale sont les deux éléments de la satisfaction les plus importants. / Statement of problem: Patients’ satisfaction and oral health-related quality of life (OHRQoL) are two commonly used patient-reported outcomes. Convincing evidence is lacking to demonstrate the relation between these two outcomes in completely edentate patients who receive prosthodontic treatments. In addition, it is still unclear which elements of denture satisfaction share the best association with OHRQoL.
Objectives: To evaluate the level of association between patients’ denture satisfaction and OHRQoL in edentulous patients, and to identify the determinants of satisfaction that best predict OHRQoL.
Methods: Data from 255 edentulous elders who participated in a randomized clinical trial were used to analyze the relationship between OHRQoL and denture satisfaction. OHRQoL was evaluated with the Oral Health Impact Profile (OHIP-20) questionnaire. The McGill Denture Satisfaction Instrument was used to assess patients’ satisfaction with treatment. Outcomes were measured prior to treatment and 6 and 12 months after delivery of new dentures. Simple and multiple linear regressions analyses were performed to statistically assess the relationship between the variables.
Results: A highly positive association exists between oral health-related quality of life and denture satisfaction ratings. Chewing ability (P = .005) and oral condition (P = .002) are the aspects of satisfaction presenting the best association with OHRQoL. These two variables explained 46.4% (P = .0001) of the variance in OHIP’s change score following treatment. This association varied with time, but not with type of treatment or socio-demographic variables.
Conclusions: Within the limitations of this study, a highly positive association exists between OHRQoL and denture satisfaction. Chewing ability and oral condition are the determinant of denture satisfaction best associated with OHRQoL, predicting 46.4% of its improvement following a treatment.
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Stomatite prothétique, candidose orale et leur évolution dans le tempsSavignac, Katia 07 1900 (has links)
Objectifs: Observer l’évolution de la stomatite prothétique dans le temps quant à la fréquence et la sévérité ainsi que son association avec de potentiels facteurs de risque au cours d’un suivi longitudinal de 2 ans.
Matériels et méthodes : Cent trente-cinq patients âgés complètement édentés et en bonne santé ont été sélectionnés pour participer à cette étude et ont été divisés de façon randomisée en deux groupes. Ils ont tous reçu une prothèse dentaire amovible totale conventionnelle au maxillaire supérieur. La moitié d’entre eux a reçu une prothèse totale mandibulaire implanto-portée retenue par deux attachements boule et l’autre moitié une prothèse conventionnelle. Ils ont été suivis sur une période de deux ans. Les données sociodémographiques, d’habitudes de vie, d’hygiène et de satisfaction des prothèses ont été amassées à l’aide de questionnaires. Les patients ont aussi subi un examen oral complet lors duquel une évaluation de la stomatite prothétique, basée sur la classification de Newton, a été effectuée ainsi qu’un prélèvement de la plaque prothétique. Les analyses microbiologiques pertinentes afin de détecter la présence de Candida ont ensuite été effectuées. Des tests Chi-carré de Pearson et McNemar ont été utilisés pour analyser la fréquence de la stomatite, son association avec de possibles facteurs de risque ainsi que son évolution dans le temps. Des rapports de cotes (odds ratio) et leurs intervalles de confiance (95%) ont été effectués afin de déterminer la force d’association entre les facteurs de risque et la stomatite prothétique.
Résultats : La prévalence de la stomatite a augmenté entre la première (63,6%) et la deuxième année de suivi (88,7%) avec une incidence de 78,8%. Les patients souffrant d’une stomatite de type 2 ou 3 et qui brossent leur palais ont environ 6 fois plus de chance de voir la sévérité de leur stomatite diminuer [p = 0,04 OR 5,88 CI (1,1-32,2)]. Il n’y a pas d’association statistiquement significative entre la fréquence de la stomatite et les facteurs de risque investigués. La prévalence de la candidose est demeurée stable dans le temps (45,8% et 49,2% à la première et deuxième année de suivi respectivement, p > 0,05). Il n’y a pas d’association entre la présence d’une candidose orale, la stomatite prothétique et les facteurs de risque étudiés.
Conclusion : Les résultats de cette étude suggèrent que la stomatite prothétique progresse dans le temps indépendamment de la présence d’une candidose. Le brossage du palais pourrait être une approche simple à conseiller aux patients souffrant d’une stomatite prothétique de type 2 ou 3. / Objectives: To assess the evolution of denture stomatitis in term of frequency and severity and its association with potential risk factors over a two-year period.
Methods: One hundred thirty five healthy edentulous elders who were randomly rehabilitated with a maxillary complete denture opposed by a conventional denture or an implant-supported overdenture retained by two ball attachments were followed over two years. Demographic and clinical data concerning oral and general health, smoking, denture status and hygienic habits were obtained from oral examination and standard questionnaires. Denture stomatitis was evaluated according to Newton’s classification. Microbiological analyses consist of detection of Candida species in denture plaque and inoculation in selective growth medium. Pearson Chi-square and McNemar tests were used to analyse the frequency of denture stomatitis, its association with potential risk factors and it’s evolution over time. Odds ratios and their 95% confidence intervals were calculated to determine the strength of association between risk factors and denture stomatitis.
Results: The prevalence of denture stomatitis increased between the first (63.6%) and second year follow-up (88.7%) with an incidence rate of 78.8%. Those individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis and who brushed their palate had approximately 6 times more chance of observing a decrease in the severity of their condition [p=0.04 OR 5.88 CI (1.1-32.2)]. There was no statistically significant association between the frequency of denture stomatitis and classical risk factors at both follow-ups. The carriage rate of Candida species remained stable over time (45.8% and 49.2% first and second year of follow-up consecutively, p > 0.05). There was no association between the presence of oral candidiosis and denture stomatitis or its potential risk factors.
Conclusion: The results of this study suggest that denture stomatitis progresses overtime independent of Candida carriage. Palatal brushing could be a preventive approach to minimise the inflammation in individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis.
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Étude d’impact de l’alimentation entérale précoce sur la durée de séjour hospitalier pour la chirurgie coliqueBendavid, Yves 12 1900 (has links)
Introduction: La réinstitution de l’alimentation entérale en deçà de 24h après une chirurgie digestive semble a priori conférer une diminution du risque d’infections de plaie,
de pneumonies et de la durée de séjour. Le but de cette étude est de vérifier l’effet de la reprise précoce de l’alimentation entérale sur la durée de séjour hospitalier suite à une chirurgie colique.
Méthodes: Il s’agit d’une étude prospective randomisée dans laquelle 95 patients ont été divisés aléatoirement en deux groupes. Dans le groupe contrôle, la diète est réintroduite
lorsque le patient passe des gaz ou des selles per rectum, et qu’en plus il n’est ni nauséeux ni ballonné. Les patients du groupe expérimental reçoivent pour leur part une diète liquide dans les 12 heures suivant la chirurgie, puis une diète normale aux repas subséquents. L’objectif primaire de cette étude est de déterminer si la réinstitution précoce de l'alimentation entérale post chirurgie colique diminue la durée de séjour hospitalier lorsque comparée au régime traditionnel de réintroduction de l’alimentation. Les objectifs secondaires sont de quantifier l’effet de la réintroduction précoce de la diète sur les morbidités periopératoires et sur la reprise du transit digestif.
Résultats: La durée de séjour hospitalier a semblé être légèrement diminuée dans le groupe expérimental (8,78±3,85 versus 9,41±5,22), mais cette difference n’était pas statistiquement significative. Des nausées ou des vomissements furent rapportés chez 24 (51%) patients du bras experimental et chez 30 (62.5%) patients du groupe contrôle. Un tube nasogastrique a du être installé chez un seul patient du groupe experimental. La morbidité périopératoire fut faible dans les deux groupes.
Conclusion: Il semble sécuritaire de nourrir précocément les patients suite à une chirurgie colique. Cependant cette étude n’a pu démontrer un impact significatif de la
reintroduction précoce de l alimentation per os sur la durée de séjour hospitalier. / Introduction: of early feeding within 24 hours of intestinal surgery seems advantageous in terms of reduction of wound infection, pneumonia and length of hospital stay. The aim of the study is to evaluate the impact of early enteral nutrition in length of hospital stay in comparison to traditional postoperative feeding regimen.
Method: This prospective study enrolled 95 patients randomized in two groups: control group patients receive enteral feeding in absence of nausea or vomiting, abdominal
distension and after passage of flatus or stools, while patients in experimental group were fed a liquid diet within 12 hours of surgery, followed by a regular diet at the next meal. The primary endpoint was the impact of early oral feeding on hospital length of stay. The secondary endpoint was to measure the impact of the diet reintroduction modality on the incidence of early postoperative morbidity and return of bowel function.
Result: Length of hospital stay was slightly diminished in the experimental group compared to control (8,78±3,85 versus 9,41±5,22), but the difference was not statistically
significant. Postoperative nausea and vomiting were reported in 24 (51,0%) patients in experimental group and 30 (62,5%) in control group. Only one patient required nasogastric
tube insertion. The majority of patients did not demonstrate any postoperative morbidity in both groups.
Conclusion: Early enteral nutrition is safe after intestinal surgery. However we did not demonstrate that early enteral feeding diminished length of hospital stay or hastened the
return of bowel function.
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Étude d’impact de l’alimentation entérale précoce sur la durée de séjour hospitalier pour la chirurgie coliqueBendavid, Yves 12 1900 (has links)
Introduction: La réinstitution de l’alimentation entérale en deçà de 24h après une chirurgie digestive semble a priori conférer une diminution du risque d’infections de plaie,
de pneumonies et de la durée de séjour. Le but de cette étude est de vérifier l’effet de la reprise précoce de l’alimentation entérale sur la durée de séjour hospitalier suite à une chirurgie colique.
Méthodes: Il s’agit d’une étude prospective randomisée dans laquelle 95 patients ont été divisés aléatoirement en deux groupes. Dans le groupe contrôle, la diète est réintroduite
lorsque le patient passe des gaz ou des selles per rectum, et qu’en plus il n’est ni nauséeux ni ballonné. Les patients du groupe expérimental reçoivent pour leur part une diète liquide dans les 12 heures suivant la chirurgie, puis une diète normale aux repas subséquents. L’objectif primaire de cette étude est de déterminer si la réinstitution précoce de l'alimentation entérale post chirurgie colique diminue la durée de séjour hospitalier lorsque comparée au régime traditionnel de réintroduction de l’alimentation. Les objectifs secondaires sont de quantifier l’effet de la réintroduction précoce de la diète sur les morbidités periopératoires et sur la reprise du transit digestif.
Résultats: La durée de séjour hospitalier a semblé être légèrement diminuée dans le groupe expérimental (8,78±3,85 versus 9,41±5,22), mais cette difference n’était pas statistiquement significative. Des nausées ou des vomissements furent rapportés chez 24 (51%) patients du bras experimental et chez 30 (62.5%) patients du groupe contrôle. Un tube nasogastrique a du être installé chez un seul patient du groupe experimental. La morbidité périopératoire fut faible dans les deux groupes.
Conclusion: Il semble sécuritaire de nourrir précocément les patients suite à une chirurgie colique. Cependant cette étude n’a pu démontrer un impact significatif de la
reintroduction précoce de l alimentation per os sur la durée de séjour hospitalier. / Introduction: of early feeding within 24 hours of intestinal surgery seems advantageous in terms of reduction of wound infection, pneumonia and length of hospital stay. The aim of the study is to evaluate the impact of early enteral nutrition in length of hospital stay in comparison to traditional postoperative feeding regimen.
Method: This prospective study enrolled 95 patients randomized in two groups: control group patients receive enteral feeding in absence of nausea or vomiting, abdominal
distension and after passage of flatus or stools, while patients in experimental group were fed a liquid diet within 12 hours of surgery, followed by a regular diet at the next meal. The primary endpoint was the impact of early oral feeding on hospital length of stay. The secondary endpoint was to measure the impact of the diet reintroduction modality on the incidence of early postoperative morbidity and return of bowel function.
Result: Length of hospital stay was slightly diminished in the experimental group compared to control (8,78±3,85 versus 9,41±5,22), but the difference was not statistically
significant. Postoperative nausea and vomiting were reported in 24 (51,0%) patients in experimental group and 30 (62,5%) in control group. Only one patient required nasogastric
tube insertion. The majority of patients did not demonstrate any postoperative morbidity in both groups.
Conclusion: Early enteral nutrition is safe after intestinal surgery. However we did not demonstrate that early enteral feeding diminished length of hospital stay or hastened the
return of bowel function.
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Relation entre la satisfaction et la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire chez les patients totalement édentésMichaud, Pierre-Luc 06 1900 (has links)
Problématique : La satisfaction des patients et la qualité de vie reliée à la santé bucco-dentaire (OHRQoL) sont deux mesures de résultats fréquemment utilisées durant les études cliniques. Néanmoins, chez les patients totalement édentés, les évidences scientifiques relatives au niveau de relation entre ces deux mesures sont faibles. De plus, on ignore toujours quels éléments de la satisfaction des patients relativement à leurs prothèses partagent la meilleure relation avec la OHRQoL.
Objectifs : Déterminer, chez les patients totalement édentés, s’il existe un lien entre leur satisfaction de leurs prothèses et leur OHRQoL et identifier les déterminants de satisfaction qui démontrent le meilleur niveau de relation avec la OHRQoL.
Méthodologie : Les données provenant de 255 patients totalement édentés qui ont participé à une étude randomisée et contrôlée ont été utilisées. La OHRQoL a été évaluée à l’aide du questionnaire Oral Health Impact Profile (OHIP-20). Le McGill Denture Satisfaction Instrument a été utilisé pour estimer la satisfaction des patients. Ces mesures ont été prises au temps initial, à 6 mois et à 12 mois suivants la mise en bouche des prothèses. Des analyses statistiques de régression linéaire simples et multiples ont été utilisées afin d’évaluer la relation entre les deux mesures.
Résultats : Une relation positive et considérable existe entre la satisfaction des patients totalement édentés et leur OHRQoL. La difficulté masticatoire (P = .005) et la condition buccale (P = .002) sont les éléments de la satisfaction qui possèdent le meilleur lien avec la OHRQoL. Ces deux facteurs expliquent 46.4% (P = .0001) de la variance dans l’amélioration d’OHIP suivant un traitement prosthodontique. La relation décrite est dépendante du temps, mais pas du type de traitement ni des variables sociodémographiques.
Conclusions : Dans les limites de l’étude, il est conclu qu’une relation positive existe entre la satisfaction des patients et leur OHRQoL. La difficulté masticatoire et la condition buccale sont les deux éléments de la satisfaction les plus importants. / Statement of problem: Patients’ satisfaction and oral health-related quality of life (OHRQoL) are two commonly used patient-reported outcomes. Convincing evidence is lacking to demonstrate the relation between these two outcomes in completely edentate patients who receive prosthodontic treatments. In addition, it is still unclear which elements of denture satisfaction share the best association with OHRQoL.
Objectives: To evaluate the level of association between patients’ denture satisfaction and OHRQoL in edentulous patients, and to identify the determinants of satisfaction that best predict OHRQoL.
Methods: Data from 255 edentulous elders who participated in a randomized clinical trial were used to analyze the relationship between OHRQoL and denture satisfaction. OHRQoL was evaluated with the Oral Health Impact Profile (OHIP-20) questionnaire. The McGill Denture Satisfaction Instrument was used to assess patients’ satisfaction with treatment. Outcomes were measured prior to treatment and 6 and 12 months after delivery of new dentures. Simple and multiple linear regressions analyses were performed to statistically assess the relationship between the variables.
Results: A highly positive association exists between oral health-related quality of life and denture satisfaction ratings. Chewing ability (P = .005) and oral condition (P = .002) are the aspects of satisfaction presenting the best association with OHRQoL. These two variables explained 46.4% (P = .0001) of the variance in OHIP’s change score following treatment. This association varied with time, but not with type of treatment or socio-demographic variables.
Conclusions: Within the limitations of this study, a highly positive association exists between OHRQoL and denture satisfaction. Chewing ability and oral condition are the determinant of denture satisfaction best associated with OHRQoL, predicting 46.4% of its improvement following a treatment.
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Stomatite prothétique, candidose orale et leur évolution dans le tempsSavignac, Katia 07 1900 (has links)
Objectifs: Observer l’évolution de la stomatite prothétique dans le temps quant à la fréquence et la sévérité ainsi que son association avec de potentiels facteurs de risque au cours d’un suivi longitudinal de 2 ans.
Matériels et méthodes : Cent trente-cinq patients âgés complètement édentés et en bonne santé ont été sélectionnés pour participer à cette étude et ont été divisés de façon randomisée en deux groupes. Ils ont tous reçu une prothèse dentaire amovible totale conventionnelle au maxillaire supérieur. La moitié d’entre eux a reçu une prothèse totale mandibulaire implanto-portée retenue par deux attachements boule et l’autre moitié une prothèse conventionnelle. Ils ont été suivis sur une période de deux ans. Les données sociodémographiques, d’habitudes de vie, d’hygiène et de satisfaction des prothèses ont été amassées à l’aide de questionnaires. Les patients ont aussi subi un examen oral complet lors duquel une évaluation de la stomatite prothétique, basée sur la classification de Newton, a été effectuée ainsi qu’un prélèvement de la plaque prothétique. Les analyses microbiologiques pertinentes afin de détecter la présence de Candida ont ensuite été effectuées. Des tests Chi-carré de Pearson et McNemar ont été utilisés pour analyser la fréquence de la stomatite, son association avec de possibles facteurs de risque ainsi que son évolution dans le temps. Des rapports de cotes (odds ratio) et leurs intervalles de confiance (95%) ont été effectués afin de déterminer la force d’association entre les facteurs de risque et la stomatite prothétique.
Résultats : La prévalence de la stomatite a augmenté entre la première (63,6%) et la deuxième année de suivi (88,7%) avec une incidence de 78,8%. Les patients souffrant d’une stomatite de type 2 ou 3 et qui brossent leur palais ont environ 6 fois plus de chance de voir la sévérité de leur stomatite diminuer [p = 0,04 OR 5,88 CI (1,1-32,2)]. Il n’y a pas d’association statistiquement significative entre la fréquence de la stomatite et les facteurs de risque investigués. La prévalence de la candidose est demeurée stable dans le temps (45,8% et 49,2% à la première et deuxième année de suivi respectivement, p > 0,05). Il n’y a pas d’association entre la présence d’une candidose orale, la stomatite prothétique et les facteurs de risque étudiés.
Conclusion : Les résultats de cette étude suggèrent que la stomatite prothétique progresse dans le temps indépendamment de la présence d’une candidose. Le brossage du palais pourrait être une approche simple à conseiller aux patients souffrant d’une stomatite prothétique de type 2 ou 3. / Objectives: To assess the evolution of denture stomatitis in term of frequency and severity and its association with potential risk factors over a two-year period.
Methods: One hundred thirty five healthy edentulous elders who were randomly rehabilitated with a maxillary complete denture opposed by a conventional denture or an implant-supported overdenture retained by two ball attachments were followed over two years. Demographic and clinical data concerning oral and general health, smoking, denture status and hygienic habits were obtained from oral examination and standard questionnaires. Denture stomatitis was evaluated according to Newton’s classification. Microbiological analyses consist of detection of Candida species in denture plaque and inoculation in selective growth medium. Pearson Chi-square and McNemar tests were used to analyse the frequency of denture stomatitis, its association with potential risk factors and it’s evolution over time. Odds ratios and their 95% confidence intervals were calculated to determine the strength of association between risk factors and denture stomatitis.
Results: The prevalence of denture stomatitis increased between the first (63.6%) and second year follow-up (88.7%) with an incidence rate of 78.8%. Those individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis and who brushed their palate had approximately 6 times more chance of observing a decrease in the severity of their condition [p=0.04 OR 5.88 CI (1.1-32.2)]. There was no statistically significant association between the frequency of denture stomatitis and classical risk factors at both follow-ups. The carriage rate of Candida species remained stable over time (45.8% and 49.2% first and second year of follow-up consecutively, p > 0.05). There was no association between the presence of oral candidiosis and denture stomatitis or its potential risk factors.
Conclusion: The results of this study suggest that denture stomatitis progresses overtime independent of Candida carriage. Palatal brushing could be a preventive approach to minimise the inflammation in individuals suffering from type 2 or type 3 denture stomatitis.
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