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Apologétique et métaphysique dans la pensée de Leibniz et de Berkeley / Apologetics and metaphysics by Leibniz and Berkeley

Pedrono, Laure 26 October 2016 (has links)
Face à un monde qui ne tardera pas à mettre les lumières de la raison à la place de Dieu, alors que la prolifération des sectes dissidentes, que le déisme et la libre-pensée mènent chaque jour de nouvelles âmes sur la voie de l'hétérodoxie, voire de l'athéisme, Leibniz et Berkeley prennent la plume pour défendre la cause d'un Créateur attaqué de toutes parts. L'apologétique, qui se donne pour double objectif de prouver la vérité de là religion et de montrer que le Dieu du christianisme est digne d'amour, est une exigence de l'intelligence et du cœur, elle est ce qui permet de pouvoir croire en raison. Pour le philosophe, la défense de la religion fait nécessairement corps avec la compréhension générale du monde et de ses principes, tandis que la métaphysique ne doit pas contredire les visées apologétiques et les présupposés théologiques qui l'accompagnent. Il existe, chez Leibniz et Berkeley, un va-et-vient constant entre le dieu de la raison, créateur des substances et de l'univers, simple cause première, et le Dieu d'amour des Évangiles qu'il faut défendre contre les accusations faites à l'encontre de sa bonté. Étudier la manière dont l'apologétique et la métaphysique s'entremêlent dans un système philosophique, c'est interroger les rapports de la raison et de la religion pour savoir si l'apologétique peut être une propédeutique à la foi chrétienne ou si elle n'atteint jamais que la cause première des déistes. / In a world where God will soon be replaced by the lights of reason, where dissident sects are multiplying, and where deism and free thinking lead ever more souls on the path to heterodoxy and even atheism, Leibniz and Berkeley stand up to defend the cause of a creator attacked on every side. Apologetics, whose goals are both to prove the truth of religion and to show that the Christian God is worthy of love, require mind and heart, and allow to believe in reason. When philosophers defend religion, it is inevitably linked to a global understanding of the world and its principles, when on the other hand metaphysics should not refute apologetic designs and theological presupposition. Leibniz and Berkeley go back and forth between the god of reason, creator of the substances and the universe, simple root cause, and the loving God from the Gospels, who needs to be defended against the accusations against his goodness. To study how apologetics and metaphysics intertwine in a philosophical system is to question the relationship between reason and religion: can apologetics be a propaedeutic to the Christian faith, or does it only achieve the root cause of the deists?
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Rousseau et l'héritage de Montaigne / Rousseau and Montaigne’s legacy

Gittler, Bernard 25 September 2015 (has links)
Cette recherche porte sur le rôle joué par la lecture de Montaigne dans la philosophie de Rousseau.Il convenait d’abord de repérer les traces de cette lecture et les différents témoignages qu’en donnent son œuvre publiée ainsi que ses manuscrits, d’établir les éditions dans lesquelles Rousseau lit les Essais et les perspectives dans lesquelles il le fait. Il fallait établir également les médiations qui ont joué un rôle dans la réception de Montaigne par Rousseau. Les Essais sont édités et lus au XVIIIe siècle selon des perspectives auxquelles il ne cesse de se confronter. Nombre d’auteurs du XVIIe siècle sur lesquels il s’appuie dialoguent avec Montaigne. L’étude de la relation que Rousseau entretient avec lui demande donc l’examen de toute une tradition philosophique qui s’appuie elle-même sur Montaigne.Cette dimension de l’héritage conduit à trianguler les références, implicites ou explicites, que Rousseau fait à Montaigne dans son œuvre philosophique. Il lui sert de point d’appui pour dialoguer avec Diderot traducteur de Shaftesbury et pour prendre parti, dès le premier Discours, en faveur de la religion naturelle. La lecture politique des Essais qu’il produit nourrit son opposition à toute forme de domination et lui permet de critiquer la position de Montesquieu sur le luxe. Cette lecture politique se développe dans le second Discours, pour dénoncer les effets de l’intérêt particulier, qui détruit le lien politique. Rousseau s’appuie encore sur les principes de La Boétie qu’il trouve dans les Essais pour penser la dépravation de l’homme en société. Le lien social ne demande pas de suivre une morale opposée à l’intérêt, mais de poursuivre l’intérêt universel qui nous lie aux autres hommes. Montaigne occupe aussi une place déterminante dans le dialogue que Rousseau entretient avec des auteurs comme Barbeyrac, Mandeville ou Locke.Cette thèse montre ainsi que la référence à Montaigne met en jeu les principes fondamentaux de la philosophie politique et morale de Rousseau. / The aim of this study is to analyze the role of Montaigne’s legacy in Rousseau’s philosophy.First, evidences and views of Rousseau’s reading of Montaigne have been examined in his published works and in his manuscripts. Editions in which Rousseau was reading Montaigne have also been identified.Then, mediations between Rousseau and Montaigne’s reception have been reviewed. Rousseau reads the Essais with the 18th century points of view. He relies on 17th century authors who judge Montaigne. Therefore, thanks to this philosophical tradition who deals with Montaigne, links between Montaigne and Rousseau are analysed.The implicit and explicit references to Montaigne in Rousseau’s work are triangulated. Rousseau quotes Montaigne to deal with Diderot, – translator of Shaftesbury, to defend natural religion as early as in his First Discourse on the Sciences and Arts.Rousseau has a political reading of the Essais. He denounces all kind of domination, and criticizes Montesquieu’s apology of luxury. The political reading of Montaigne increases in the second Discourse : the possessive individualism destroys the social link.Rousseau underlines the La Boétie’s principles in the Essais, which show the political depravation of society. The social link does not demand to follow moral rules against citizen’s interests. Humanity has to pursue a universal interest, which establishes a relationship between each human being and the whole humanity.Montaigne has a central position to understand the dialogues between Rousseau and Barbeyrac, Mandeville, and Locke. Rousseau refers to Montaigne when he defends his moral and politic fundamental principles.
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La question du fondement et de l'unité de la morale chez J.J. Rousseau / The question of the fondation and the unity of the morality in Jean Jacques Rousseau

Nedelec, Bruno 28 November 2018 (has links)
Le projet de notre étude s’enracine dans un constat : alors que les multiples travaux sur Rousseau portent sur ses textes autobiographiques, politiques, anthropologiques, religieuses, esthétiques voire ses préoccupations scientifiques, ses réflexions morales n’ont pas ou peu été l’objet d’études systématiques. Or, nous sommes partis de l’hypothèse que l’interrogation morale constituait l’un des centres si ce n’est le coeur de son oeuvre. Plus précisément, partant d’une interrogation sur la nature de l’homme, cet être à l’origine naturel en même temps susceptible de se dénaturer en s’écartant de la règle de la nature, il en est venu à déployer et à explorer une série de possibilités pour que l’homme échappe à ce processus historique de dénaturation, autant dans l’ordre social que dans l’ordre moral. S’il se montre pessimiste sur les conditions de réalisation d’un ordre politique conforme aux principes du droit politique énoncé dans le Contrat social, il développe les conditions d’une éducation morale dans son ouvrage qu’il a toujours considéré comme le plus achevé : l’Émile. C’est dans ce texte que le projet moral transparaît clairement. Surtout, il souligne que le fondement de la morale n’est pas à situer dans l’amour de soi, qui n’est qu’un principe naturel, mais dans l’ordre de la nature. La lecture de l’Émile et d’autres textes conduit à poser que le fondement ultime de la morale est Dieu lui-même. L’amour de soi, expression de la bonté humaine, n’est que l’expression de la nature ou de Dieu qui parle en nous lorsque nous écoutons la conscience. En regardant l’interrogation morale comme le centrale de philosophie de Rousseau, nous tentons d’exhumer l’unité des œuvres en apparence hétérogènes, ses œuvres autobiographiques et la valorisation de l’existence de l’homme naturel, les concepts d’ordre et de la nature, les rapports entre vertu civique et vertu morale, la place de la croyance religieuse. / The project of our study takes root in the following observation : whereas a considerable work has been done on Rousseau autiographical, political, anthropological, religious and aesthetic texts, or even on his scientific concerns, his moral insights have not been, or nearly not, the subject of systematic studies. At the opposite, we have taken as our starting point that the moral reflection is in the centre, if not at the heart of his work. More specifically, starting with questioning the very nature of the human being, this being primarily natural at the same time able to denature himself by deviating from the rule of nature, he comes to deploy and explore a whole series of possibilities so that the human can escape himself from his historical denturation process, as much for social order as for the moral order. Although he is pessimistic about the condition of application for a political order that would comply with the political law principles which ar set out in the Contrat Social, he develops the moral education conditions within his publication he has always considered as the most completed l’Émile. It is in that text tthat the moral project is clearly reflected. Most of all, he underlines that the moral cornerstone has not to be placed in the love of self, which is only a natural principle, but in the natural order. Reading l’Émile and some others texts leads to think that the ultimate fondation of moral is God himself. The self love, expression of human goodness, is only the expression of nature or of God who speaks inside us when we listen to the awareness. By loocking at the moral reflection as being Rousseau’s philosophy center, we try to resurect the unity from some works which seen heterogeneous, that are his autiographical works and the esteem of the natural human existence, the order concepts, the connections between civic virtue and moral virtue, the place of religious belief.
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La place de Jean-Jacques Rousseau dans la philosophie kantienne de l'éducation

Sarbazevatan, Sourena 03 1900 (has links)
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La place de Jean-Jacques Rousseau dans la philosophie kantienne de l'éducation

Sarbazevatan, Sourena 03 1900 (has links)
En vue de saisir la pensée kantienne dans toute sa virulence, on ne peut jamais faire abstraction de la place éminente de Jean-Jacques Rousseau dans cette philosophie qui ne cesse pas à marquer, à définir et à poser des jalons de la pensée moderne. À cet égard, si le Genevois communique les grandes leçons de sa théorie de l’homme sous la guise d’une éducation, il s’agit ici non pas d’une philosophie de l’éducation mais bien plus d’une philosophie comme éducation. C’est effectivement cette thèse que Kant reprend, suit et enrichie d’une manière sui generis pour renverser l’ordre théorique mais surtout pratique de religion-moralité-devoir et libérer une fois pour toutes la morale des dogmes théologiques et finalement pour édifier une philosophie pratique comme l’éducation de l’espèce humaine. Le but de cette étude est de jeter quelques lumières sur la place sans pareille de Jean-Jacques Rousseau dans la philosophie kantienne de l’éducation. / The decisive influence of Immanuel Kant in the course of modern philosophy is incontrovertible. In a sense, had it not been for this monumental figure of the 18th century, philosophy would have never reached the flair to convey the existential, analytical and phenomenological questions of modernity. However, if Kant set the agenda for any posterior thought, he was not himself Kantian until Jean-Jacques Rousseau disenchanted him. In this regard, if the Genevois philosopher communicated his philosophy in the guise of an education, philosophy in itself is defined by the education of humanity. It is indeed this perspective of Rousseau that put the German philosopher on the right track to find the ultimate goal of philosophy in the moral education as the sum and substance of the practical philosophy. The objective of this study is to shed some lights on the unparalleled role of Jean-Jacques Rousseau in Kant’s philosophy of education as the harbinger of the universal ethics beyond the dogmas of a blind theology: the question which still remains crucial today.

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