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The paradox of ethical immediacy : Levinas and Kant /Stolle, Jeffrey James, January 2001 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of Oregon, 2001. / Typescript. Includes vita and abstract. Includes bibliographical references (leaves 222-228). Also available for download via the World Wide Web; free to University of Oregon users.
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Jung, lecteur de KantMaynard, Camille 01 1900 (has links)
Ce mémoire a pour objectif de cibler l’un des rapports possibles entre psychologie et philosophie, à travers la lecture que fait Carl Gustav Jung des textes d’Emmanuel Kant. La théorie de la connaissance de Kant, telle que présentée dans sa Critique de la raison pure, apparaît comme étant l’un des piliers philosophiques à la base des développements conceptuels jungiens. Le psychiatre l’a affirmé à plusieurs reprises, notamment dans son ouvrage autobiographique (Carl Gustav Jung, Ma vie, 1963). Il sera question, d’une part, d’évaluer la position scientifique de Jung en tant que construite à partir de celle proposée par Kant. Entre idéalisme et empirisme, Jung semble vouloir se frayer une place dans la science à la manière de l’idéalisme allemand. D’autre part, ce sera l’occasion d’étudier les structures élaborées par Jung, notamment l’inconscient collectif et les archétypes, qui selon lui, sont analogues à certains concepts de Kant tel que la chose en soi et les catégories a priori. Enfin, c’est à travers l’individuation, processus central de la recherche jungienne, que nous tenterons de comprendre de quelle façon les structures se dynamisent et peuvent faire écho à la dialectique de la Raison pure tel que présentée par Kant. Il sera dès lors possible de situer la psychologie analytique de Jung entre esthétique et éthique, telle une théorie éthique s’élaborant à même le développement du Soi. / This dissertation aims to target one of the possible relationships between psychology and philosophy, through Carl Gustav Jung's reading of Immanuel Kant's texts. Kant's theory of knowledge as presented in his Critique of Pure Reason appears to be one of the philosophical pillars at the basis of Jungian conceptual developments. The psychiatrist affirmed this on several occasions, notably in his autobiographical work (Carl Gustav Jung, Ma vie, 1963). To do so, on the one hand, we will evaluate Jung's scientific position as constructed from the one proposed by Kant. Between idealism and empiricism, Jung seems to want to make his own way in science like the manner of German idealism. On the other hand, it will be the occasion to study the structures elaborated by Jung, in particular the collective unconscious and the archetypes, which, according to him, are analogous to certain Kant’s concepts such as the thing in itself and the a priori categories. Finally, it is through individuation, the central process of Jungian research, that we will try to understand how structures are dynamized and can echo the dialectic of Pure Reason as presented by Kant. It will then be possible to situate Jung's analytical psychology between aesthetics and ethics, as an ethical theory formulated within the development of the Self.
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Théâtre et philosophie chez Gilles Deleuze. La notion de dramatisation / Theatre and philosophy by Gilles Deleuze, The notion of dramatisationJude, Ismaël 20 January 2012 (has links)
La notion de « dramatisation » a été formulée par Gilles Deleuze en 1967 dans Différence et répétition pour être délaissée ensuite. Cette recherche tâche de clarifier le sens de ce concept en distinguant une acception « dramatique » d’une acception « scénique ». Deleuze n’ayant cependant pas énoncé explicitement de théorie de la scène, une partie de l’entreprise vise à déduire, des textes de Deleuze et des auteurs qui lui servent de référence, l’hypothèse de cette définition. La formulation de cette hypothèse s’inscrit dans un environnement problématique déterminé par les ouvrages de Denis Guénoun et Esa Kirkkopelto. La notion prend son sens dans le cadre d’une critique de « la représentation », dont seraient captifs Platon, Aristote, Kant et Hegel, et d’une élaboration du concept de répétition à partir de Kierkegaard et Nietzsche. Une interprétation de la méthode de division platonicienne, de la méthode transcendantale kantienne et de l’éternel retour nietzschéen contribue ainsi à énoncer l’agencement conceptuel du drame, de la scène et de la répétition / The notion of “dramatisation” was formulated by Gilles Deleuze in his 1967 text Difference and Repetition, only later to be abandoned. This piece of research sets out to clarify the meaning of this concept by distinguishing its “dramatic” acceptance from its “scenic” one. Since Deleuze never explicitly expressed his theory of the stage this thesis project intends to determine from Deleuze’s texts, as well as from the authors to whom he himself referred, the hypothesis at work within the philosopher’s definition of this term. The statement of this hypothesis takes place in a problematic conceptual environment, as described in the works of Denis Guénoun and Esa Kirkkopelto. The notion of “dramatisation” derives its meaning through a critique of a particular understanding of “representation” within which Plato, Aristotle, Kant and Hegel are held captive, as well as through a certain construal of Kierkegaard and Nietzsche’s concept of repetition. Interpretations of Plato’s method of dichotomous division, Kant’s transcendental method and Nietzsche’s eternal return contribute in this thesis to articulating the way in which drama, the stage and repetition combine.
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La chose en soi comme concept «critique» : le problème de la limitation de la connaissance dans la Critique de la raison pure de KantHotes, Maria 08 1900 (has links)
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La chose en soi comme concept «critique» : le problème de la limitation de la connaissance dans la Critique de la raison pure de KantHotes, Maria 08 1900 (has links)
Dans ce mémoire, nous nous proposons de montrer que le concept kantien de chose en soi est à la fois un concept métaphysique et un concept critique. En ce sens, la chose en soi doit être comprise comme un objet transcendantal réel qui existe à titre de cause des phénomènes. Si, contrairement à ce que soutenaient F.H. Jacobi (1787) et G.E. Schulze (1791), cela ne suppose pas de sortir du criticisme, c'est qu'une telle affirmation prend la forme d'une connaissance analogique qui respecte les limites de la connaissance humaine. De fait, la connaissance analogique permet de pointer en direction de quelque chose dont la nature (Beschaffenheit) peut demeurer problématique, tout en permettant d'affirmer son existence (Dasein). Nous serons dès lors conduite à montrer que la Critique de la raison pure fournit bel et bien les outils nécessaires permettant de rendre compte de l’existence des choses en soi à titre de causes des phénomènes. / In the following thesis, we will claim that Kant’s concept of a thing-in-itself is both a metaphysical and a critical concept. Accordingly, the thing-in-itself must be understood as a real transcendental object that grounds phenomena. Thus, we maintain – contrary to F.H. Jacobi’s (1787) and G.E. Schulze’s (1791) harsh objections – that this assertion does not violate the structures of critical philosophy. Indeed, this particular claim is arrived at through analogical cognition, which does not transgress the boundaries of human knowledge: as a matter of fact, analogical cognition allows us to point towards and assert the existence (Dasein) of something the nature (Beschaffenheit) of which may remain problematic. Thus, we believe that Kant’s metaphysical commitment with regard to the existence of the thing-in-itself as ground of phenomena can be fully justified within the Critique of Pure Reason.
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La théorie kantienne du mal comme manière de penser : la gravité du mensonge à soi-mêmeRamirez Giraldo, Juan Pablo 09 1900 (has links)
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L'optimisme de Kant : les décennies 1750-1760Brisson, Alexandre 08 1900 (has links)
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Sur l'interprétation Heideggérienne du chapitre "Du schématisme des concepts purs de l'entendement" de la critique de la raison pure de KantSt-Aubin Fréchette, Laurence 08 1900 (has links)
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Sur l'interprétation Heideggérienne du chapitre "Du schématisme des concepts purs de l'entendement" de la critique de la raison pure de KantSt-Aubin Fréchette, Laurence 08 1900 (has links)
Cette analyse porte sur le schématisme des concepts purs de l’entendement, tel que présenté par Emmanuel Kant dans la Critique de la raison pure et interprété par Martin Heidegger. La lecture proposée par Heidegger est critiquée par un bon nombre de commentateurs dans la
mesure où ils considèrent que son interprétation ne lui sert qu’à faire valoir ses propres
théories philosophiques au sujet du Dasein et de l’ontologie fondamentale. Notre approche se
distingue de la leur dans la mesure où nous tentons de comprendre les raisons qui ont poussé Heidegger à défendre l’interprétation du schématisme qui est la sienne. Notre étude s’attarde au texte de Kant de manière à en souligner les éléments qui ont permis à Heidegger d’établir sa lecture, telle qu’il la présente dans son ouvrage de 1929, ayant pour titre Kant et le
problème de la métaphysique. La méthode utilisée est comparative, car notre but est de
démontrer la valeur de l’interprétation heideggérienne contre celle des commentateurs qui le
critiquent pour des raisons insuffisantes. Bref, le thème du schématisme kantien est analysé de long en large et la conclusion à laquelle nous parvenons est que Heidegger a permis des
avancées philosophiques considérables par son herméneutique de la Critique et qu’il est
nécessaire de leur accorder l’attention qui leur est due. / The subject of this analysis is the schematism of the pure concepts of understanding, as
presented by Emmanuel Kant in The Critique of Pure Reason and interpreted by Martin
Heidegger. The reading proposed by Heidegger is criticized by a large number of commentators because they consider that his interpretation only serves to give value to his
own philosophical theories on Dasein and on fundamental ontology. Our approach is different
from theirs in that we are trying to understand the reasons that justify Heidegger in his
interpretation of schematism. Our study dwells on Kant's text in order to extract the elements
that allowed Heidegger to build up his thoughts, as he presented them in 1929 in Kant and the
Problem of Metaphysics. The method used is comparative, since our goal is to demonstrate the relevance of Heidegger's interpretation against the commentators who have insufficient
reasons to criticize him. In short, the theme of Kant's schematism is analyzed thoroughly and
the conclusion we come to is that Heidegger allowed for considerable philosophical progress
with his hermeneutics of the Critique and that it is necessary to give them the attention they
deserve.
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Réinventer Montréal : une archéologie du discours urbanistique des Trente GlorieusesMercure Jolette, Frédéric 11 1900 (has links)
Cette thèse porte sur le fonctionnement du discours urbanistique à Montréal durant les Trente Glorieuses. Contre l’interprétation dominante selon laquelle l’urbanisme des Trente Glorieuses serait démesurément technophile et confisquerait le pouvoir de parler de la ville, nous montrons qu’en dramatisant la décomposition de l’objet urbain et en faisant de la définition même de la ville un problème, l’urbanisme crée un espace discursif ouvert dans lequel la technique se présente à la fois comme un problème et une solution.
Dans un premier temps, nous analysons la prégnance de la critique de l’urbanisme technocratique (dont l’expression typique se trouve chez Jane Jacobs) dans la théorie politique contemporaine, au moyen d’une analyse du livre à succès Seeing Like a State de James C. Scott. Nous montrons que cette critique repose sur une hypothèse du surplomb dont le fonctionnement est analogue à ce que Michel Foucault appelle « l’hypothèse répressive ». Nous expliquons son succès en montrant qu’elle correspond à la vision dominante de la critique comme procès de la raison. Rejetant la réception qui en a été faite par les anti-planificateurs, nous montrons enfin que l’on retrouve dans la méthode archéologique de Foucault des éléments pour une analyse de l’urbanisme qui ne soit pas uniquement centrée sur les tares de l’idéologie moderniste et la croissance démesurée du pouvoir technocratique.
Dans un deuxième temps, nous forgeons une hypothèse quant à la structure du discours urbanistique au moyen d’une relecture d’Emmanuel Kant, Reinhart Koselleck et Hans Jonas. Plutôt que d’assimiler l’urbanisme à une forme démesurée (hubris) du rationalisme, il s’agit d’y trouver une réflexion particulièrement sophistiquée sur les limites du pouvoir de connaître, dont l’analytique de la finitude kantienne est la forme paradigmatique. Nous utilisons ensuite l’histoire des concepts de Koselleck pour éclairer le fonctionnement et les effets intradiscursifs de la remise en question du concept traditionnel de ville à laquelle procède l’urbanisme. Enfin, l’éthique de la technique de Jonas nous permet de montrer que la planification moderne s’appuie sur (et se justifie par) les dangers que pose un développement techno-industriel incontrôlé.
Dans un troisième temps, nous testons cette hypothèse au moyen d’une étude du discours urbanistique montréalais de 1941 à 1967. Analysant comment les premiers professionnels du Service d’urbanisme de la Ville se représentent Montréal, nous traitons de l’idée de « ville en mouvement », des modalités de représentation de l’espace urbain et de l’injonction à réinventer la ville que l’on retrouve dans le discours urbanistique. À partir de trois figures transversales, soit Hans Blumenfeld, Claude Robillard et Jean-Claude La Haye, nous montrons que le discours urbanistique montréalais des Trente Glorieuses est polyphonique, c’est-à-dire qu’on y retrouve différentes tactiques de légitimation qui forment toutes des variations d’une même grande stratégie discursive de décomposition et recomposition de l’objet urbain. Nous verrons ces tactiques à l’œuvre dans la rénovation urbaine (le plan Dozois et le projet pour le quartier de la Petite-Bourgogne), l’organisation de l’expertise urbanistique (l’Institut d’urbanisme et la Commission provinciale d’urbanisme), et les velléités de planification métropolitaine (Horizon 2000). / This dissertation focuses on the structure of the urban discourse in Montreal during the Trente Glorieuses (Glorious Thirty). Against the dominant interpretation, according to which the urban planning of the Glorious Thirties was disproportionately technophile and had confiscated the power to speak of the city, we show that by dramatizing the decomposition of the urban object and by making the very definition of the city a problem, urban planning creates a discursive space in which technique presents itself as both a problem and a solution.
First, we analyze the significance of the critique of technocratic urban planning (the typical expression of which is found in Jane Jacobs) in contemporary political theory, by means of an analysis of the best-selling book Seeing Like a State by James C. Scott. We show that this critique is based on an “overhang hypothesis”, the operation of which is analogous to what Michel Foucault calls “the repressive hypothesis”. We explain its success by showing that it corresponds to the dominant view of criticism as the trial of reason. Rejecting the reception given to it by the anti-planners, we then show that one can find in Foucault's archaeological method elements for an analysis of urban planning that is not only centered on the flaws of modernist ideology and the disproportionate growth of technocratic power.
Secondly, we forge a hypothesis about the structure of the urbanistic discourse by means of a rereading of Immanuel Kant, Reinhart Koselleck and Hans Jonas. Rather than assimilating urban planning with a disproportionate form (hubris) of rationalism, it is a question of finding in it a particularly sophisticated reflection on the limits of the power to know, of which the analytic of Kantian finitude is the paradigmatic form. We then use the history of Koselleck's concepts to shed light on the functioning and the intradiscursive effects of the questioning of the traditional concept of city that is carried out by urban planners Finally, Jonas’s ethics of technology allows us to show that modern planning relies on (and is justified by) the dangers of uncontrolled techno-industrial development.
Thirdly, we test this hypothesis by means of a study of Montreal's urban planning discourse from 1941 to 1967. Analyzing how the first professionals of the City's Planning Department represented Montreal, we deal with the idea of a city in motion, the methods of representing urban space and the injunction to reinvent the city that we find in urban discourse. Based on three transversal figures—namely Hans Blumenfeld, Claude Robillard and Jean-Claude La Haye—we show that the urban planning discourse of the Glorious Thirties in Montreal is polyphonic, which is to say, we find different legitimization tactics that all form variations of the same great discursive strategy of decomposing and recomposing the urban object. We will see these tactics at work in urban renewal (the Dozois plan and the project for the Little Burgundy district (Petite-Bourgogne)), the organization of urban planning expertise (l’Institut d’urbanisme et la Commission provinciale d’urbanisme), and metropolitan planning ideas (Horizon 2000).
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