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La cinématographie-attraction à Montréal à la lumière de la législation (1896-1913)

Marzloff, Alice 05 1900 (has links)
La cinématographie-attraction a longtemps été considérée comme les débuts du cinéma, jusqu’à ce qu’une controverse, en 1978, marque une rupture historiographique et la considère comme un objet d’études à part entière, distinct du cinéma institutionnel. Nous l’analysons ici dans le contexte de Montréal, entre la présentation du Cinématographe Lumière en 1896 et l’entrée en fonction du Bureau de censure des vues animées de la province du Québec en 1913. Plus précisément, nous interrogeons son institutionnalisation à la lumière de la législation ; les représentants du gouvernement canadien donnent un statut juridique aux vues animées en modifiant et en votant des textes légaux. Cette étude définit le contexte cinématographique, historique et géographique. Elle aborde ensuite trois domaines de la cinématographie-attraction qui ne sont pas les mêmes que ceux du cinéma : la fabrication (le financement, le tournage et la modification des œuvres cinématographiques), l’exhibition (les séances de projections payantes d’images animées) et la réception (les jugements portés sur les vues animées). Nous montrons comment la cinématographie-attraction est d’abord contrôlée par de nombreuses personnes (celles qui financent, celles qui tournent les vues animées, les propriétaires de lieux d’amusements, le policier ou le pompier présent au cours des projections), puis par des institutions reconnues et les représentants du gouvernement. En nous appuyant sur la presse montréalaise, les discours officiels, les discours diocésains, les textes légaux, les catalogues publiés par les compagnies de fabrication et sur les vues animées, nous montrons quels sont les enjeux de l’institutionnalisation pour les différents groupes sociaux. / Cinématographie-attraction / kine-attractography has for a long time been associated with the origins of cinema. But in 1978, an academic controversy created a rift in cinematic historiography and these works were subsequently deemed to be a separate object of study, one distinct from institutional cinema. This thesis will focus on kine-attractography in the setting of Montreal from the use of the Lumière Cinematograph projector in 1896 to the founding of the Quebec Board of Censorship in 1913. The legislative context surrounding these new forms of ‘amusement’ will be discussed (bills were modified or created to address legal questions). This thesis will investigate these events within the relevant historical, geographical and cinematographic contexts. It will then consider three aspects of kine-attractography that differ from those in cinema: manufacturing (which includes the way cinematic works were financed, shot and later modified), exhibition (the matter of where and how these works were shown) and reception (the ways these works were evaluated or judged). We will discuss how kine-attractography was initially overseen by diverse groups of people (from those who financed or shot the moving pictures, to the owners of ‘amusement’ theatres, to the policeman or fireman who was present at each projection), and then subsequently overseen by recognized institutions, government representatives included. We will explore the issues which accompanied its institutionalisation relative to these various groups by studying articles and ads in Montreal’s newspapers, legal texts, official pronouncements, diocese speeches, catalogues published by manufacturing companies, and the moving pictures themselves.
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Propositions pour un paradigme culturel de la phono-cinématographie: des phono-scènes aux vidéoclips et au-delà

Gille, Quentin 26 May 2014 (has links)
La proposition centrale de cette thèse est double. D’une part, il s’agit de jeter les bases d’un modèle historique qui réunirait tous les dispositifs audiovisuels qui associent des images animées à une chanson populaire qui leur est préexistante sous un même paradigme culturel que nous baptiserons « phono-cinématographie ». Celui-ci aurait débuté vers la fin du XIXe siècle, avec l’invention du kinétoscope d’Edison, pour aboutir à nos jours avec l’émergence des vidéos musicales interactives sur Internet. D’autre part, il s’agit de nous interroger sur le rôle a priori central que les Beatles occupent au sein de cette histoire de la chanson populaire mise en image. Notre hypothèse principale est que le vidéoclip, tel qu’il s’est institutionnalisé au début des années 1980 pour ensuite se perpétuer jusque dans les années 2000, n’a rien d’une pratique culturelle (voir même d’un média) figé(e) :bien au contraire, cette pratique/ce média a été l’objet de réélaborations continues tant sur le plan de la production, de la diffusion que de la fonction.<p>Notre approche se situe à cheval sur l’histoire du cinéma, de la musique populaire et de la télévision. En nous appuyant sur certaines propositions théoriques et certains concepts formulés dans le champ des études cinématographiques ainsi que dans le champ des performance studies, nous serons particulièrement attentif aux questions de représentation qui se déploient dans ces différents dispositifs phono-cinématographiques :à savoir, les premiers films chantants (les phono-scènes Gaumont et les Vitaphone shorts), les juke-boxes équipés d’un écran (les Soundies et les Scopitones) et enfin les vidéos musicales télévisées (les films promotionnels et les vidéoclips). / Doctorat en Information et communication / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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