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Le rôle des grands sanctuaires dans la vie internationale en Grèce aux Ve et IVe siècles av. J.-C / The part of the great sanctuaries in international life in Greece in the 5th and 4th centuries B. C.

Colonge, Victor 09 December 2017 (has links)
Malgré leurs divisions politiques, les Grecs reconnaissaient l’existence de sanctuaires qui leur étaient communs. Or, à côté de leurs fonctions religieuses, ces grands sanctuaires jouèrent aussi un rôle indéniable dans la politique internationale aux Ve et IVe siècles avant notre ère. En effet, les quatre plus grands, les sanctuaires de Delphes, de l’Isthme, de Némée et d’Olympie, organisaient des concours panhelléniques et recevaient des offrandes venues de tout le monde grec. Certes, les sanctuaires communs pouvaient aussi rassembler tout ou partie des Hellènes, dans le cadre de koina ou d’alliances militaires, mais ils étaient avant tout des lieux de mise en scène des rivalités entre les États grecs. C’est pourquoi ceux-ci cherchèrent à exercer un contrôle plus ou moins direct sur eux. Ainsi, lorsque le caractère commun du lieu sacré s’était traduit par la mise en place d’institutions, celles-ci pouvaient voir s’exprimer des rapports de force entre les différents membres. Surtout, en particulier dans le cas des sanctuaires se situant sur des confins, la volonté de maîtriser des sanctuaires communs pouvait donner lieu à des conflits mêlant politique et religion, le contrôle d’un sanctuaire étant alors la clé de l’hégémonie sur la région dont il était le centre cultuel. Néanmoins, les grands sanctuaires ne furent pas que des enjeux entre puissances  : les oracles et les familles sacerdotales qui y étaient responsables du culte pouvaient incontestablement prendre position dans les luttes pour l’hégémonie en Grèce. De plus, ces sanctuaires pouvaient parfois servir d’interfaces entre la civilisation hellénique et les cultures voisines (Perses, Étrusques, Libyens…). / Despite their political divisions, Greeks knew the existence of sanctuaries who were common to them. However, in addition to their religious functions, these great sanctuaries played too an undeniable in international policy in the 5th and 4th centuries BC. The four greatest sanctuaries (Delphi, Isthmia, Nemea and Olympia) organized panhellenic games and received consecrations from all the Greek world. Moreover, common sanctuaries could gather all the Hellenes or a part of them in koina or military alliances, but they were above all places for rivalries between Greek states. That is why these tried to control them more or less directly. Thus, when the common characteristics of the sacred place had resulted in specific institutions, these could be the scene of conflicts between different protagonists. Above all, particularly with sanctuaries on the borders, the will of control of great sanctuaries coul result in both political and religious wars. The control of a sanctuary was then the key of the hegemony on the country of which it was the religious center. Nevertheless, great sanctuaries were not only stakes between powers: oracles and priestly families who were in charge of the temple could unquestionably intervene in struggles for hegemony in Greece. Moreover, these sanctuaries could sometimes be places of contact between Hellenic civilization and neighbouring cultures (Persians, Etruscans, Libyans, etc.).
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La religion de Teotihuacan (Mexique): étude iconographique et symbolique des principales divinités teotihuacaines

Couvreur, Aurélie 07 December 2004 (has links)
En l’absence de sources écrites teotihuacaines, la religion que pratiquaient les anciens Teotihuacains ne peut être appréhendée que par les traces archéologiques laissées par certains rites, par une analyse des sources écrites (mayas et aztèques) relatives à Teotihuacan, et surtout par une étude iconographique des principales figures divines de son panthéon. Après avoir détaillé les rites que pratiquaient les Teotihuacains et qui sont connus par ailleurs en Mésoamérique, la première partie de ma thèse propose une étude systématique des sources relatives à Teotihuacan (et notamment de la Relación de Teotihuacan). La seconde partie est consacrée à l’étude de l’iconographie et du symbolisme de Tlaloc, du Jaguar réticulé, de Xipe Totec, du Vieux dieu du feu, du Dieu papillon, et du Serpent à plumes. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Pachacamac (côte centrale du Pérou): aspects du fonctionnement, du développement et de l'influence du site durant l'intermédiaire récent (ca 900-1470)

Eeckhout, Peter 24 March 1997 (has links)
<p align='justify'>Le fameux centre monumental de Pachacamac a fait l'objet d'investigations incessantes depuis la fin du siècle dernier, mais c'est surtout depuis les années '60 que l'intérêt des chercheurs s'est porté sur les pyramides à rampe. Les pyramides à rampe sont des édifices monumentaux construits en briques d'adobe et en tapia sur le même modèle architectonique général. On compte quatorze pyramides à rampes sur le site de Pachacamac, et d'autres dans la vallée du Lurin et les vallées voisines. La plupart des auteurs considèrent que ces constructions remontent à la période Intermédiaire récent (ca AD900-I470), le site portait alors le nom de la divinité principale de la Côte centrale, Ychsma, rebaptisé Pachacamac par les Incas à l'Horizon récent. Le consensus s'est fait autour du modèle explicatif de la "théorie des ambassades", que l'on peut résumer de la façon suivante :lors de la période Intermédiaire récent, une série de sanctuaires dédiés chacun à un membre de la parentèle mythique du dieu auraient été établis dans divers paliers écologiques. Ces sanctuaires auraient eu chacun leur correspondant, leur "ambassade", dans l'enceinte du centre cérémoniel. Le tribut récolté dans les "provinces" était ainsi concentré à Pachacamac-Ychsma, où il faisait l'objet d'échanges entre les différentes "ambassades".</p><p><p align='justify'>Celles-ci, du point de vue architectural, comprendraient un certain nombre d'éléments structurels communs permettant de les ranger sous un même patron désigné sous l'appellation de "pyramide à rampe". Ce modèle aux bases discutables a été largement commenté et étoffé. En réalité, la révision des données disponibles indique que les hypothèses relatives au fonctionnement, au développement et à l'influence du site nécessitent une réévaluation. Celle-ci a constitué l'objectif principal des recherches menées par l'auteur sur le terrain durant quatre campagnes successives comprenant des prospections, des ramassages de surface, des relevés planimétriques et des fouilles à Pachacamac et dans l'ensemble du bas-Lurin.</p><p><p align='justify'>Les résultats des fouilles indiquent qu'à l'Intermédiaire récent, ces structures étaient occupées par une élite restreinte, qui y donnait des banquets et présidait vraisemblablement à des cérémonies. L'ensemble des données convergent vers l'hypothèse selon laquelle les pyramides seraient avant tout des palais, occupées par des personnages de haut statut auxquels les structures servent de tombeau. Chaque pyramide correspondrait au palais d'un chef qui la construit, l'occupe de son vivant et y est enterré à sa mort. La pyramide en tant que siège du pouvoir serait alors abandonnée au profit d'une autre, construite par le successeur du chef défunt. Le modèle de succession dynastique fournit une explication plausible à la multiplication des pyramides à rampe dans le site de Pachacamac mais s'avère difficilement compatible avec la théorie des ambassades. Ainsi, la distribution des pyramides à rampe montre qu'un site spécifique entretenait des relations privilégiées avec Pachacamac dans le Lurin :Pampa de las Florès. Les autres sites comprenant des pyramides à rampe centrale dans le Lurin fonctionnaient par paires selon le même principe, mais à un niveau d'autorité inférieur. Certains sites d'élite sans pyramides à rampe faisaient également partie de la chefferie. Celle-ci englobait vraisemblablement le bas Lurin, une partie du moyen Lurin, le moyen Chilca (au sud du Lurin) et peut-être le bas Chilca.</p><p><p align='justify'>L'hypothèse selon laquelle les pyramides constitueraient autant de palais successifs de chefs locaux permet d'expliquer aussi bien, sinon mieux, le fonctionnement du site. En effet, si l'on accepte de considérer l'idée que les seigneurs ychsma résidant à Pachacamac exerçaient leur autorité sur l'ensemble de la chefferie et recevaient une part des surplus de production locaux, il n'est pas nécessaire de faire appel à d'hypothétiques foules de fidèles "étrangers" (?) pour justifier la construction des diverses pyramides du site et l'entretien de leurs occupants. Les ressources humaines locales suffisaient largement à construire et à entretenir une pyramide par génération (voire même plusieurs pyramides dans l'éventualité d'une autorité bi-partite ou quadri-partite). Il ressort également des recherches que le développement spatial de Pachacamac suit un processus complexe que l'on ne saurait réduire à une simple croissance centrifuge ou à une addition des complexes pyramidaux les uns aux autres au cours du temps. Il est vraisemblable que ce processus a été dicté à la fois par des critères physiques, sociaux et conjoncturels. En ce qui concerne l'influence du site, Pachacamac présente davantage de points communs avec certains établissements et cultures de la Côte centrale-sud et centrale-nord qu'avec sa propre vallée haute, pourtant plus proche dans l'espace. Il est possible de situer la limite supérieure de l'influence du site vers 1000-1200m. Sous l'impulsion des peupIades issues des hautes terres à la fin de l'Intermédiaire récent et à l'Horizon récent, cette limite a sans doute reculé jusqu'en vallée moyenne, vers 450-700m. D'autre part les éléments archéologiques semblent confirmer les données ethnohistoriques évoquant l'existence de la seigneurie de Ychsma dans la zone Rimac-Lurin et l'appartenance des diverses chefferies qui la composaient à une même culture, dont la spécificité reste à définir.</p><p><p align='justify'>Lors de la conquête inca de Pachacamac, le pouvoir local ychsma est relégué à un rôle subalterne. L'occupation inca se manifeste sous différentes modalités :les anciens palais, abandonnés depuis une période plus ou moins lointaine, sont utilisés comme campements et dépotoirs par les pèlerins. Les autorités incas ne réoccupent pas les pyramides à rampe mais construisent leurs propres structures administratives et résidentielles. La situation est différente dans le reste de la zone d'étude, où l'on observe que les structures locales d'autorité et de production continuent de fonctionner à l'Horizon récent, mais sous le contrôle plus ou moins direct de l'Empire. Tout cela sera radicalement bouleversé au XVIe s. lors de la colonisation du Pérou par les Espagnols.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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