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L'intégration du mouvement syndical en vue de la construction nationale en Côte d'Ivoire depuis l'accession du pays à l'indépendance en 1960

Zaoré, Roger 20 February 2024 (has links)
« Thèse présentée à l'École des gradués de l'Université Laval pour l'obtention du grade de maître ès arts » / « Cette étude circonscrit un exemple de processus d'intégration spécifique à plusieurs pays en voie de développement et particulièrement aux pays de l'Afrique Noire. Après quelques considérations théoriques sur les notions d'intégration, de construction nationale et le modèle d'analyse (modèle de Dunlop), nous procédons à une approche du sujet en quatre points. Dans un premier temps nous présentons la Côte d'ivoire d'une manière générale, passant de la situation géographique au climat et à la population sans oublier le mode de vie, l'industrialisation et le système politique. Ceci reste une base utile à la compréhension du sujet de la thèse formulé comme suit: "L'intégration du mouvement syndical en vue de la construction nationale en Côte d'ivoire depuis l'accession du pays à l'indépendance en 1960." Le second chapitre, à caractère historique, décrit le mouvement syndical de l'Afrique Occidentale Française pendant la période coloniale. A cet effet il est mis en parallèle l'évolution du mouvement syndical et celle du système politique. Ainsi le syndicalisme passe du stade de liaison étroite avec la métropole à un stade d'autonomie et de panafricanisme syndical. De son côté, l'évolution politique, avec la Guinée en tête de liste, aboutit au mouvement des indépendances nationales avec la collaboration du mouvement syndical africain. Le troisième chapitre présente le contexte ivoirien en matière de relations du travail. C'est là que nous parlons de l'Union Générale des Travailleurs de Côte d'ivoire (U.G.T.C.I.) tout en traitant du marché de l'emploi et de la structure salariale qui soutend les relations du travail. Dans un dernier volet, nous analysons le modèle ivoirien de relations du travail à partir de l'approche de Dunlop en nous limitant au cadre général bien entendu. En fait la thèse, d'une façon générale, fait ressortir le contexte historique dont le pays a hérité au lendemain de l'indépendance. Ce contexte qui malgré des changements juridiques, politiques et constitutionnels, n'a pas vu un changement fondamental dans le rôle du mouvement syndical. En effet de son rôle de fer de lance pour la conquête de l'indépendance au temps colonial, le syndicalisme reste encore pour la plupart des anciennes colonies françaises d'Afrique et plus spécifiquement pour la Côte d'ivoire, l'instrument privilégié pour la construction nationale; d'où l'importance de son intégration même au détriment des travailleurs. »--Pages préliminaires
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Une histoire critique de l’« hiver du mécontentement » de 1978-1979- Le mouvement syndical britannique face à la crise du travaillisme, l’extension de la conflictualité sociale et la montée de la nouvelle droite thatchérienne / A critical history of the 1978-1979 « Winter of Discontent »- British trade unions in a context of crisis of Labour, extension of industrial disputes and rise of the New Right

Lenormand, Marc 29 September 2012 (has links)
Ce travail s’emploie à comprendre la série de conflits sociaux dans les secteurs de l’automobile, du transport routier et des services publics qui se sont déroulés en Grande-Bretagne lors de l’hiver 1978-1979 et sont connus sous le nom d’« hiver du mécontentement » dans la mémoire collective. L’hypothèse défendue est que ces conflits prennent sens et trouvent leur portée à condition d’être analysés à la croisée de trois processus. Le premier est une crise du travaillisme, au sens de fortes tensions politiques au sein du parti travailliste et plus généralement du mouvement ouvrier. Le deuxième processus est une extension de la conflictualité sociale, non pas au sens où le portrait traditionnel des années 1970 comme décennie du militantisme triomphant devrait être accepté, mais dans la mesure où la période est marquée par une syndicalisation croissante et son extension à de nouveaux secteurs d’activité, par un renforcement des structures syndicales aussi bien au niveau national qu’au niveau local dans une logique générale de déconcentration des processus de décision, enfin par l’apprentissage de l’action collective par de nouveaux groupes de travailleurs. La troisième logique, enfin, est la montée de la droite thatchérienne qui puise un arsenal intellectuel renouvelé dans les travaux des think tanks néo-libéraux. Son discours est relayé par une presse gagnée par l’anti-collectivisme de la nouvelle droite. Ces éléments permettent de comprendre ces conflits qui, à l’hiver 1978-1979, opposent, au gouvernement travailliste arc-bouté sur la défense d’une politique de contrôle des revenus, des groupes de travailleurs et leurs organisations syndicales pourtant pro-travaillistes. / This thesis examines the industrial disputes which took place in the winter of 1978-1979 in a series of sectors – car-making, road haulage and the public sector – and are remembered in collective memory as the « Winter of Discontent ». It argues that these industrial disputes can only be properly understood in a threefold context: first, in the context of the crisis of Labour, that is to say the acute political and ideological tensions and divisions which emerged in the Labour Party from the beginning of the 1970s when the political and economic assumptions which had dominated the leadership of the party since after the War were undermined by the context of economic crisis; secondly, in a context of extension of industrial unrest into new areas such as the public sector, which experienced a rapid unionisation of its growing workforce in the 1970s and whose workers were on a militant learning curve throughout those years; finally, in the context of the rise of the New Right, as a number of think tanks provided rightwingers within the Conservative Party with new ideas and arguments to criticise the trade unions, the welfare State and the Keynesian, tripartite policies pursued in the post-War period, and as these neo-liberal ideas found an increasing number of advocates in the press. These various elements help us to understand the disputes of the winter of 1978-1979 as primarily a conflict about economic policy and priorities within the labour movement as low-paid public sector workers and traditionally loyal trade unions were pitted against a Labour government enforcing a reduction in real wages.
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Essays in Labor Economics : wages and Bargaining Power along Business Cycle / Thèse en économie du travail : salaires, pouvoir de négociation et cycle économique

Morin, Annäïg 10 June 2011 (has links)
Les effets de la sévère crise économique qui a suivi la crise financière en 2007-2008 s’est fait fortement ressentir sur le marché du travail. La croissance du chômage et l’insécurité de l’emploi ont considérablement influencé le pro­cessus de négociation salariale entre employeurs, employés et syndicats. Cette évolution a mis en avant la nécessité de comprendre à quel point ce processus ainsi que le rapport de force entre les parties en présence diffèrent en période de croissance et en période de ralentissement économique. A.n de répondre à cette question, la présente thèse étudie le comportement des employeurs, des employés et des syndicats lors du processus de fixation des salaires, en mettant partic­ulièrement l’accent sur l’évolution de l’interaction entre ces trois agents à travers le cycle économique. Les deux premiers chapitres de ma thèse analysent les fluc­tuations du pouvoir des syndicats à travers le cycle et relient ces fluctuations aux fluctuations des salaires. Le premier chapitre propose un cadre théorique qui associe frictions d’appariement et syndicats et démontre que les rigidités salariales proviennent de façon endogène du comportement des syndicats. Le deuxième chapitre de ma thèse teste ces prédictions empiriquement, en utilisant un panel d’industries sur la période 1987-2000 aux États-Unis. Les résultats confirment l’hypothèse que les salaires sont moins corrélés au niveau de pro­ductivité lorsqu’ils sont négociés collectivement. L’intensification des propriétés contracycliques de la part salariale est au coeur du mécanisme. Le troisième chapitre propose un modèle avec affichage des salaires qui examine l’évolution du pouvoir de monopsone des entreprises à travers le cycle économique. Les conséquences en termes de dispersion des salaires sont étudiées. Le premier chapitre de ma thèse propose un modèle dynamique du marché du travail qui associe deux caractéristiques principales : frictions d’appariement et syndicats. A.n d’étudier comment les syndicats influencent la volatilité des salaires à travers le cycle, je dissocie les deux composants de la volatilité des salaires : la volatilité du surplus total et la volatilité du pouvoir de négocia­tion effectif des syndicats. Le pouvoir de négociation effectif des syndicats est dé.ni comme la part du surplus total alloué aux travailleurs. Je prouve que ce pouvoir de négociation effectif est endogène et contracyclique, résultat qui provient directement de la fonction d’utilité des syndicats. L’intuition est la suivante. Du fait que les syndicats internalisent la relation entre le niveau des salaires et la création de postes, ils font face à un arbitrage entre le niveau des salaires et le niveau de l’emploi. Ainsi, les préférences des syndicats (donnant la priorité aux salaires ou à l’emploi) fluctuent à travers le cycle, et il en est de même du pouvoir de négociation effectif des syndicats. Il en résulte que, lorsque l’économie est touchée par un choc de productivité, la dynamique du pouvoir de négociation effectif des syndicats neutralise partiellement la dynamique du surplus total, mécanisme qui crée de la rigidité salariale. Le modèle est carac­térisé par la coexistence d’un secteur non syndiqué, dans lequel les salaires sont individuellement négociés à la Nash, avec un secteur syndiqué. En calibrant ce modèle avec des données américaines, j’obtiens qu’un choc positif entraine, au moment du choc, une compression de la prime syndicale, suivi par une aug­mentation régulière de cette prime à mesure que la proportion de travailleurs employés augmente. En corollaire, l’emploi réagit plus fortement lorsque les salaires sont négociés collectivement, mais l’effet est moins persistent. / The consequences of the sudden and severe contraction of industrial output in the aftermath of the .nancial crisis of 2007-2008 are increasingly being felt in the labor market. Rising unemployment and job insecurity has greatly in­.uenced wage bargaining interactions between firms, workers and trade unions. It pointed out the necessity to understand how di.erent were the wage-setting process and the balance of power between the main actors in good times and bad. As an answer to this issue, this dissertation investigates the wage-setting behavior of .rms, workers and trade unions, placing particular emphasis on how the interaction between these three economic agents changes over the business cycle. The two first chapters of the thesis analyze the fluctuations of the power of trade unions over the cycle, and relate these .uctuations to the .uctuations of wages. The .rst chapter proposes a theoretical framework with search and matching frictions and trade unions and shows how wage rigidity arises endoge­nously due to the behavior of unions. The second chapter tests these predictions empirically, using a panel of U.S. industries over the period 1987-2000. The re­sults confirm the predictions that wages are less correlated with productivity when collectively bargained. The intensi.cation of the countercyclicality of the labor share is at the core of the mechanism. The third chapter proposes a model with wage posting and investigates how them onopsonistic power of firmse volves along the cycle. The consequences in terms of wage dispersion are examined. The .rst chapter of the dissertation proposes a dynamic model of the labor marketwhichintegratestwomainfeatures: matchingfrictionsandtradeunions. To examine how trade unions shape the volatility of wages over the business cycle, I decompose the volatility of wages into two components: the volatil­ity of the match surplus and the volatility of the e.ective bargaining power. Formally, I de.ne the e.ective bargaining power of the union as the share of the total surplus allocated to the workers. Starting from the union’s objective function, I prove that its e.ective bargaining power is endogenous and coun­tercyclical. Intuitively, because the union internalizes the relationship between the wage level and the job creation, it faces a trade-o. between the wage rate and the employment rate. Therefore, the union’s preferences (wage-oriented or employment-oriented) fluctuate along the cycle and so does its effective bargain­ing power. As a result, when the economy is hit by a productivity shock, the dynamics of the union’s effective bargaining power partially counteract the dy­namics of the total surplus and this mechanism delivers wage rigidity. I specify a model in which a non unionized sector, where wages are negotiated through a standard individual Nash bargaining, coexists with a unionized sector. In the model calibrated with U.S. data, I .nd that a positive productivity shock leads, on impact, to a compression of the union wage premium, followed by a steady increase of this premium as the proportion of employed workers in the trade unions increases. Relatedly, employment reacts stronger when wages are collectively bargained, but its pattern features less persistence.
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Les cadres à l'épreuve de l'employabilité. Le chômage des cadres dans les années 1990 en France

Pochic, Sophie 22 December 2001 (has links) (PDF)
Cette thèse essaye d'évaluer dans quelle mesure le chômage des cadres au début des années 1990 a contribué à la " déstabilisation des stables ". Le chômage des cadres a contribué à mettre en débat les représentations de la catégorie, la figure du " cadre-à-statut " (stabilité, homogénéité, spécificité), considérée comme obsolète, est remplacée dans les discours des journalistes, des Ressources Humaines et des syndicats par deux nouvelles figures : une négative " le cadre précaire " (rapprochement cadres / non - cadres dans la précarité) et une positive " le cadre nomade " (rapprochement cadres / entrepreneurs dans la mobilité et le risque). Mais les réflexions en terme de figure sous-estiment le rôle des porte-parole et des experts, l'hétérogénéité structurelle et la féminisation croissante des cadres et sont fortement nuancées par les analyses statistiques des flux de mobilité et de trajectoires de retour à l'emploi de chômeurs (vulnérabilité / employabilité), réalisées avec l'enquête Emploi. La deuxième partie est centrée sur les conditions sociales de diffusion et d'appropriation de la figure du " cadre nomade ". La recherche d'emploi est un espace de socialisation à ces nouvelles normes d'emploi fondée sur la logique employabilité, versant externe de la logique compétences. Cette rhétorique permet aux cadres d'adopter des status de substitution et d'éviter le stigmate du " chômeur assisté, et correspond à leur " ethos " (psychologisation, individualisme, rationalisation), mais l'étude de sa mise en pratique rappelle l'hétérogénéité des cadres, notamment en terme de diplôme, d'âge et de type de professions/secteurs d'activité. Pour comprendre les carrières et les transitions professionnelles des cadres, il faut enfin se situer à l'articulation sphère professionnelle / sphère privée. Les cadres ne sont pas des " nomades ", définis comme individus légers, mobiles, pour qui le chômage est un événement banal. Ce sont des individus sexués inscrits dans une configuration familiale : les hommes essayent dans cette épreuve de garder leur place, tandis que les femmes essayent de conserver leur autonomie. La place centrale du travail reste en définitive confirmée par l'épreuve du chômage, qui parfois génère même une resacralisation du travail, notamment pour ceux qui cherchent désormais une vocation et un sens à la vie à travers leur nouvel emploi.
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Die katholische Arbeiterbewegung in Bayern nach dem Zweiten Weltkrieg (1945-1963) /

Grypa, Dietmar. January 2000 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Philosophische Fakultät für Geschichts- und Kunstwissenschaften--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 1999. / Bibliogr. p. 523-571. Index.
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L'eurosyndicalisme par l'action : cheminots et routiers en Europe /

Hilal, Nadia. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Science politique--Paris--Institut d'études politiques, 2005. Titre de soutenance : La naissance d'une coordination syndicale européenne : les mobilisations sociales dans le secteur des transports ferroviaires et routiers. / Bibliogr. p. 283-293.
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Organisation des négociations salariales en union monétaire

Zimmer, Blandine Sidiropoulos, Moïse. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse doctorat : Sciences Economiques : Strasbourg : 2006. / Titre provenant de l'écran-titre. Bibliogr. 12 p.
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Les femmes dans la CGT stratégie confédérale et implications départementales, 1945-1985 /

Olmi, Janine Andolfatto, Dominique January 2005 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Science politique : Nancy 2 : 2005. / Bibliographie.
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The Confédération des syndicats nationaux, the idea of independence, and the sovereigntist movement, 1960-1980 /

Güntzel, Ralph Peter January 1991 (has links)
During most of the 1960s, the CSN was both an advocate of provincial autonomy and a defender of federalism. In the late 1960s and early 1970s, however, a majority of its leaders and militants came to favour separatism. Many of them saw independence as a precondition for the creation of a socialist Quebec. In 1972, the CSN rejected capitalism, endorsed socialism, and envisaged an internal referendum on the independence issue. The internal debate, however, took place only after the Parti quebecois was elected to power in 1976. Fearing internal divisions and disaffiliations, the CSN did not endorse separatism. Being disappointed with the Parti quebecois' governmental record, the CSN was content to give a critical support to a yes vote in the referendum in 1980.
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Voluntarism in organized labor in the United States, 1930-1940

Higgins, George, January 1944 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Catholic University of America, 1944. / Bibliography: p. 164-179.

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