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Étude en temps réel de l'influence des écrans sur les processus d'accord sujet-verbe

Fryer, Maude 11 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise a pour but d'observer, en temps réel, l'influence de facteurs syntaxiques et sémantiques sur l'accord sujet-verbe. Afin d'avoir un regard sur les processus d'accord, nous avons examiné les temps d'écriture du verbe, et les pauses avant le verbe, avant la flexion verbale et après le verbe. Une analyse des erreurs produites a aussi été effectuée. Trente-deux participants ont écrit à l'ordinateur des phrases dictées. L'écran était soit un syntagme prépositionnel, soit une subordonnée relative. La force sémantique entre l'écran et le verbe variait également selon les phrases. Les résultats des analyses statistiques multiniveaux montrent une influence de la configuration syntaxique de l'écran sur les processus d'accord sujet-verbe. Lorsque l'écran est un syntagme prépositionnel, les pauses avant la flexion verbale, après le verbe et les temps d'écriture du verbe sont plus longs que lorsque l'écran est une subordonnée relative. Par contre, aucun effet sémantique n'a été observé dans l'analyse des temps et des pauses. Les résultats sur les erreurs non corrigées indiquent un effet de la force sémantique entre l'écran et le verbe. Les résultats de l'analyse chronométrique, qui appuient les résultats sur les erreurs d'attraction observés dans la très grande majorité des études, permettent de mettre en relief l'influence respective des aspects syntaxiques et sémantiques sur les processus d'accord sujet-verbe. Par ailleurs, ce travail légitime l'observation des pauses et des temps d'écriture comme une méthode complémentaire pertinente à l'étude de l'accord verbal. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : accord sujet-verbe, écriture en temps réel, syntaxe, sémantique, processus cognitifs.
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L'infinitif complément d'un verbe, d'un adjectif, d'un nom. Ecriture d'un fragment de grammaire

Lablanche, Anne 17 December 2007 (has links) (PDF)
Le but de cette thèse est de construire un fragment de grammaire du français rendant compte de la syntaxe de l'infinitif dans le cadre des grammaires d'arbres polychromes (GAP).<br />La thèse se compose de deux parties. La première concerne l'étude des problèmes que pose l'infinitif. L'infinitif, comme un verbe, a des compléments et le constituant qu'il forme avec ses compléments peut être lui aussi un complément d'un verbe, d'un nom, d'un adjectif. Ce que les grammaires traditionnelles traduisent en parlant d'une double nature : il possède à la fois des propriétés nominales et verbales. D'où une difficulté spécifique pour faire entrer la syntaxe de l'infinitif dans un modèle formel qui puisse se prêter au traitement automatique. Nous appelons constituant infinitif l'unité composée d'un verbe infinitif et de ses compléments. Il est expliqué pourquoi ce terme est préféré à celui de « proposition subordonnée infinitive ».<br />La seconde partie aborde l'analyse syntaxique des constituants infinitifs en GAP et s'organise autour des contextes dans lesquels apparaît l'infinitif (un verbe, un nom, un adjectif). Le choix d'une représentation en GAP permet de mettre à l'épreuve ce formalisme et de montrer l'intérêt qu'il y a de séparer les fonctions syntaxiques des catégories. Ainsi peut-on rendre compte des cas où un constituant d'une catégorie non nominale occupe une position en général occupée par un nom.<br />Ce travail aura permis, en s'intéressant à la question de la syntaxe de l'infinitif, en partant d'une réinterrogation de certaines études en provenance des grammaires traditionnelles, de parvenir à l'enrichissement d'un formalisme élaboré dans la perspective du TAL.
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L'acquisition des modifieurs nominaux : le cas de l'adjectif du français

Fox, Gwendoline 04 December 2012 (has links) (PDF)
Acquérir l'adjectif épithète pose deux problèmes majeurs en français. D'abord, l'adjectif dénote une propriété à propos d'un nom, les enfants doivent donc pouvoir concevoir un objet comme un tout et comme un ensemble de propriétés pour manier un SN avec épithète. Ensuite, l'alternance est un trait définitoire de l'adjectif du français, mais son placement n'est pas aléatoire et les contraintes en jeu sont multiples et d'ordre tendanciel. De plus, bien que les locuteurs connaissent cette possibilité, ils optent plutôt pour un placement fixe en usage. Ces faits nous ont amenée à nous demander si l'input permet à l'enfant de se construire la notion d'adjectif épithète sans avoir recours à des connaissances langagières innées. Pour y répondre, nous proposons une étude comparant les usages de trois enfants à ceux de leur famille à deux temps de leur acquisition (T1 : 3 ;8, T2 : 4 ;6). Nous étudions quatre aspects de l'usage de l'épithète (lexique, placement, combinaison avec d'autres modifieurs ou un dépendant adjectival) et nous confrontons l'adjectif aux autres modifieurs nominaux. Ces phénomènes montrent tous la même évolution. À T1, les enfants emploient la construction la plus fréquente des adultes, avec un fort degré de spécificité lexicale. À T2, d'autres constructions émergent selon leur ordre de fréquence chez les adultes. Le lexique de la construction de T1 s'est en outre élargi dans le champ de la classe sémantique des usages de T1. Les enfants montrent ainsi une sensibilité aux informations quantitatives et une abstraction graduelle des structures par analogie sémantique, qui plaident pour une construction progressive de la notion d'adjectif épithète à partir de l'input.
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Extraction et regroupement de descripteurs morpho-syntaxiques pour des processus de Fouille de Textes

Béchet, Nicolas 08 December 2009 (has links) (PDF)
Les mots constituent l'un des fondements des langues naturelles de type indo-européenne. Des corpus rédigés avec ces langues sont alors naturellement décrits avec des mots. Cependant, l'information qu'ils véhiculent seuls est assez réduite d'un point de vue sémantique. Il est en effet primordial de prendre en compte la complexité de ces langues comme par exemple leurs propriétés syntaxiques, lexicales et sémantiques. Nous proposons dans cette thèse de prendre en considération ces propriétés en décrivant un corpus par le biais d'informations syntaxiques permettant de découvrir des connaissances sémantiques. Nous présentons dans un premier temps un modèle de sélection de descripteurs SelDe. Ce dernier se fonde sur les objets issus des relations syntaxiques d'un corpus. Le modèle SelDe a été évalué pour des tâches de classification de données textuelles. Pour cela, nous présentons une approche d'expansion de corpus, nommée ExpLSA, dont l'objectif est de combiner les informations syntaxiques fournies par SelDe et la méthode numérique LSA. Le modèle SelDe, bien que fournissant des descripteurs de bonne qualité, ne peut être appliqué avec tous types de données textuelles. Ainsi, nous décrivons dans cette thèse un ensemble d'approches adaptées aux données textuelles dites complexes. Nous étudions la qualité de ces méthodes avec des données syntaxiquement mal formulées et orthographiées, des données bruitées ou incomplètes et finalement des données dépourvues de syntaxe. Finalement un autre modèle de sélection de descripteurs, nommé SelDeF, est proposé. Ce dernier permet de valider de manière automatique des relations syntaxiques dites “induites”. Notre approche consiste à combiner deux méthodes. Une première approche fondée sur des vecteurs sémantiques utilise les ressources d'un thésaurus. Une seconde s'appuie sur les connaissances du Web et des mesures statistiques afin de valider les relations syntaxiques. Nous avons expérimenté SelDeF pour une tâche de construction et d'enrichissement de classes conceptuelles. Les résultats expérimentaux montrent la qualité des approches de validation et reflètent ainsi la qualité des classes conceptuelles construites.
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Les segments averbaux, unités syntaxiques de l'oral

Tanguy, Noalig 07 December 2009 (has links) (PDF)
Différentes études sur de larges corpus oraux ont permis ces dernières années de mettre en lumière des structures bien particulières tout en élaborant différents modèles articulés autour de nouvelles unités opératoires censées remplacer avec efficacité la notion de phrase. Nous pensons à l'inverse que la notion de phrase comme prédication assortie d'une modalité énonciative peut aisément être conservée pour traiter du français parlé, à condition cependant d'être perçue en temps réel. La phrase, désormais analysée en " noyau + affixes ", est en effet avant tout une unité de traitement et de production n'ayant qu'une existence temporaire dans le flux de l'activité productive et interprétative. Ce postulat nous permettra d'expliquer certains phénomènes averbaux typiques de l'oral comme les réalisations de compléments différés, les répétitions, les reformulations, les recatégorisations de prédicats en affixes. Nous nous sommes donc intéressée plus particulièrement aux différents fonctionnements des segments sans verbe dans un corpus oral. Un premier ensemble rassemble les segments sans verbe fonctionnant en tant que phrases selon des degrés de prédicativité plus au moins élevés : prédications averbales, prédications interjectives et réalisations averbales d'une prédication verbale implicite. Cependant, pour de nombreux segments sans verbe, l'interprétation est moins sûre et ces segments dits " flottants ", en marge des emplois canoniques, nous renvoient à la problématique de la phrase. C'est par exemple le cas de compléments différés, constituants averbaux oscillant entre trois pôles : éléments intégrés, éléments détachés et éléments autonomes.
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Recherche de similarité dans du code source

Chilowicz, Michel 25 November 2010 (has links) (PDF)
La duplication de code source a de nombreuses origines : copie et adaptation inter-projets ou clonage au sein d'un même projet. Rechercher des correspondances de code copié permet de le factoriser dans un projet ou de mettre en évidence des situations de plagiat. Nous étudions des méthodes statiques de recherche de similarité sur du code ayant potentiellement subi des opérations d'édition telle que l'insertion, la suppression, la transposition ainsi que la factorisation et le développement de fonctions. Des techniques d'identification de similarité génomique sont examinées et adaptées au contexte de la recherche de clones de code source sous forme lexemisée. Après une discussion sur des procédés d'alignement de lexèmes et de recherche par empreintes de n-grams, est présentée une méthode de factorisation fusionnant les graphes d'appels de fonctions de projets au sein d'un graphe unique avec introduction de fonctions synthétiques exprimant les correspondances imbriquées. Elle utilise des structures d'indexation de suffixes pour la détermination de facteurs répétés. Une autre voie d'exploration permettant de manipuler de grandes bases indexées de code par arbre de syntaxe est abordée avec la recherche de sous-arbres similaires par leur hachage et leur indexation selon des profils d'abstraction variables. Des clones exacts de sous-arbres de forte proximité dans leurs arbres d'extraction peuvent alors être consolidés afin d'obtenir des correspondances approchées et étendues. En amont et en aval de la recherche de correspondances, des métriques de similarité sont définies afin de préselectionner les zones d'examen, affiner la recherche ou mieux représenter les résultats
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Les survivances du vocatif dans le français parlé

Bruno, Christophe 07 October 2013 (has links) (PDF)
Les récents modèles d'intonation du français (Philippe Martin) ont mis en évidence l'existence d'une macro-syntaxe du discours à l'oral (Blanche-Benveniste). L'application de ces modèles à la tournure rhétorique appelée " apostrophe " apporte plusieurs éclairages sur le fonctionnement de cette tournure. Notamment, elle permet d'expliquer la distinction entre apostrophe référentielle (du type de l'appel) et apostrophe prédicative (du type de l'insulte). Fort de ces résultats, l'étude de la parole parlée fournit alors un compendium d'observations et d'outils applicables au matériel de la linguistique historique.
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Untersuchungen zur Grammatik der Adjunkte /

Beckmann, Frank. January 1997 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fakultät für Philologie--Bochum--Ruhr-Universität, 1994. / Bibliogr. p. 252-264. Index.
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La diathèse circonstancielle en français au moyen du verbe voir : étude syntaxique, sémantique et pragmatique / The adverbial diathesis in French syntactic, semantic and pragmatic approches of sentences including the verb voir (to see)

Gmir-Ezzine, Raja 07 January 2014 (has links)
Ce travail est une étude syntaxique, sémantique et pragmatique des énoncés où le verbe voir a pour sujet un circonstant.Voix ou diathèse ? Telle est la première question qui est posée à propos de la tournure qui caractérise des phrases comme :(ex) L'année 1981 voit s'atténuer, du moins publiquement, les grandes polémiques politico-religieuses.Le sujet de la phrase peut être restitué en tant que circonstant dans un énoncé standard :(ex) Durant l’année 1981, les grandes polémiques politico-religieuses s’atténuent, du moins publiquement.Nous montrons que cette construction relève de la diathèse circonstancielle où le verbe voir doit être considéré comme un semi-auxiliaire de diathèse et non comme le verbe voir dans son sens plein.Nous menons ensuite une étude syntaxique et sémantique sur un corpus de 338 exemples extraits du Monde Diplomatique. Tous les éléments autour de voir, son sujet, le verbe ou le SNPred qui le suit, l’adjectif et enfin le participe passé passif, sont analysés des deux points de vue, syntaxique d’abord, puis sémantique.Du point de vue syntaxique, grâce à des tests auxquels nous soumettons ces éléments, nous montrons que voir forme un tout avec les éléments qui l’entourent, ce qui empêche de considérer que la proposition infinitive ou le SN prédicatif complexe qui le suivent immédiatement soit COD de voir. Par ailleurs, il ressort que les prédicats intransitifs et pronominaux dominent quantitativement.L’étude sémantique montre que la syntaxe propre à cette construction se traduit par une perte de la signification de voir en proportion du degré de grammaticalisation de ce verbe : son sujet devenant progressivement /-animé/. Le rôle d’expérient attribué par voir au sujet reste mais s’affaiblit. Nous l’avons appelé expérient "métaphorique". Par ailleurs, nous montrons que dans notre corpus les prédicats associés à voir sont tous de type dynamique.L’étude des contextes dans lesquels les constructions à diathèse circonstancielle montrent que leur choix par le journaliste peut être libre ou contraint. / This work is a syntactic, semantic and pragmatic study of the sentences of French in which the subject of the verb voir is a noun phrase with an adverbial (time or place).Is it an instance of voice or of diathesis? Such is the first question concerning such sentences as:L'année 1981 voit s'atténuer, du moins publiquement, les grandes polémiques politico-religieuses.In a standard sentence, the subject would appear as an adverbial complement referring to time or place:Durant l’année 1981, les grandes polémiques politico-religieuses s’atténuent, du moins publiquement.The voir structure is analysed as a case of adverbial diathesis, in which voir is considered as a semi-auxiliary of diathesis, not as the verb voir with its original meaning.The syntactic and semantic study is based on a corpus of 338 examples from Le Monde Diplomatique. All the terms around voir (its subject, the infinitive verb or the nominalised verb or the passive past participle that follow) have been analysed from both the syntactic and the semantic point of view.From the syntactic point of view, thanks to a number of tests, it can be shown that voir and the terms around it make up a whole, so that is impossible to consider the infinitive clause or the complex verb-derived NP as objects of voir. Moreover, the quantitative study shows that intransitive and pronominal (se) verbs are a majority.The semantic study shows that the syntax that is typical of the structure is related to a loss of meaning of voir in proportion to its degree of grammaticalization as its subject progressively becomes /-animate/. The role of experiencer of the subject of voir remains only in a weakened form. I have called this role metaphorical experiencer. Moreover, all the verbs or nominalizations after voir that occur in the corpus are shown to be of the dynamic type.Finally, the study of the contexts where the adverbial diathesis structure occurs shows that the choice of the structure by the journalist can be either free or constrained
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Structure, syntaxe et stemmatologie de la cadence polyphonique dans le rondeau français entre 1250 et 1450

Margot, Sylvain 23 August 2018 (has links)
Le rondeau est une forme musicale médiévale, basée sur le poème de même nom, caractérisée par une reprise cadentielle interne nommée apertum et une reprise cadentielle finale appelée clausum. Il a été populaire dans le nord de la France, dans les Pays-Bas bourguignons, dans le nord de l’Italie, à Chypre et en Avignon, du milieu du XIIIe siècle jusqu’à la fin du XVe siècle. Certains aspects du rondeau restent mal compris, en partie à cause de l’inadéquation frappante entre les traités théoriques et la pratique compositionnelle de l’époque. Pour répondre aux problèmes posés par l’évolution des cadences polyphoniques du rondeau entre le XIIIe et le XVIe siècle, nous avons établi dans un premier temps une nouvelle nomenclature plus proche de la pensée médiévale que celles habituellement proposées par les musicologues. Nous avons ensuite mis en place une théorie de la syntaxe décrivant les liens entre sonorité initiale, apertum et clausum. Puis nous avons créé un modèle quantitatif permettant d’analyser les liens entre la sémantique du texte poétique et les paramètres cadentiels. À l’aide d’outils informatiques, nous avons déterminé les caractéristiques de deux importants espaces géo-culturels. Le premier, centré sur le nord de la France, se traduit par un goût de l’imitation, des cadences imparfaites, et des syntaxes divergentes. Le second, irradiant depuis le nord de l’Italie, penche vers une utilisation quasi-systématique de cadences en sixte-octave, des syntaxes dirigées, du mode de ré, et de poèmes à teneur négative. En plus d’identifier le rôle important de transition joué par Avignon entre ces espaces, nous avons aussi pu associer un large corpus de rondeaux d’origine inconnue aux pratiques observées dans le nord de la France.

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