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Les segments averbaux, unités syntaxiques de l'oral / Verbless segments as syntactic units in spoken French

Tanguy, Noalig 07 December 2009 (has links)
Différentes études sur de larges corpus oraux ont permis ces dernières années de mettre en lumière des structures bien particulières tout en élaborant différents modèles articulés autour de nouvelles unités opératoires censées remplacer avec efficacité la notion de phrase. Nous pensons à l’inverse que la notion de phrase comme prédication assortie d’une modalité énonciative peut aisément être conservée pour traiter du français parlé, à condition cependant d’être perçue en temps réel. La phrase, désormais analysée en « noyau + affixes », est en effet avant tout une unité de traitement et de production n’ayant qu’une existence temporaire dans le flux de l’activité productive et interprétative. Ce postulat nous permettra d’expliquer certains phénomènes averbaux typiques de l’oral comme les réalisations de compléments différés, les répétitions, les reformulations, les recatégorisations de prédicats en affixes. Nous nous sommes donc intéressée plus particulièrement aux différents fonctionnements des segments sans verbe dans un corpus oral. Un premier ensemble rassemble les segments sans verbe fonctionnant en tant que phrases selon des degrés de prédicativité plus au moins élevés : prédications averbales, prédications interjectives et réalisations averbales d’une prédication verbale implicite. Cependant, pour de nombreux segments sans verbe, l’interprétation est moins sûre et ces segments dits « flottants », en marge des emplois canoniques, nous renvoient à la problématique de la phrase. C’est par exemple le cas de compléments différés, constituants averbaux oscillant entre trois pôles : éléments intégrés, éléments détachés et éléments autonomes. / Over the last few years, various studies on large corpora in spoken French have shed light on quite specific structures and have come up with various patterns which resort to new operating units. These units are alleged to efficiently replace the notion of sentence. However, we have chosen to keep the word 'sentence', which we define as the association of a predication and of an enunciative modality. We therefore think that this definition needn’t be replaced to analyse spoken French, provided the segment under scrutiny is deciphered at the time of its utterance. In this study, we will consider that the sentence is composed of a “nucleus plus affixes” and that it is above all a means of analysis as well as a production unit which are both temporary within the process of the productive and interpretative activity. This postulate will enable us to explain why some verbless structures are only found in spoken French, such as the product! ion of deferred complements, repetitions, rewordings and the re-categorizing of predicates into affixes. We took special interest in the various functions performed by verbless segments in a spoken French corpus. A first subgroup includes verbless segments which work like sentences in so far as they express various levels of predicability, such as verbless predications, interjectional predications, or verbless realisations of an implicit verbal predication. Yet, this analysis does not seem to work when applied to many verbless segments called floating segments since they do not correspond to the canonical definitions of the sentence. We thus have to reconsider what a sentence is, especially when we tackle postponed complements, or verbless constituents which partake of the three following categories: integrated elements, detached elements and autonomous elements.
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Les segments averbaux, unités syntaxiques de l'oral

Tanguy, Noalig 07 December 2009 (has links) (PDF)
Différentes études sur de larges corpus oraux ont permis ces dernières années de mettre en lumière des structures bien particulières tout en élaborant différents modèles articulés autour de nouvelles unités opératoires censées remplacer avec efficacité la notion de phrase. Nous pensons à l'inverse que la notion de phrase comme prédication assortie d'une modalité énonciative peut aisément être conservée pour traiter du français parlé, à condition cependant d'être perçue en temps réel. La phrase, désormais analysée en " noyau + affixes ", est en effet avant tout une unité de traitement et de production n'ayant qu'une existence temporaire dans le flux de l'activité productive et interprétative. Ce postulat nous permettra d'expliquer certains phénomènes averbaux typiques de l'oral comme les réalisations de compléments différés, les répétitions, les reformulations, les recatégorisations de prédicats en affixes. Nous nous sommes donc intéressée plus particulièrement aux différents fonctionnements des segments sans verbe dans un corpus oral. Un premier ensemble rassemble les segments sans verbe fonctionnant en tant que phrases selon des degrés de prédicativité plus au moins élevés : prédications averbales, prédications interjectives et réalisations averbales d'une prédication verbale implicite. Cependant, pour de nombreux segments sans verbe, l'interprétation est moins sûre et ces segments dits " flottants ", en marge des emplois canoniques, nous renvoient à la problématique de la phrase. C'est par exemple le cas de compléments différés, constituants averbaux oscillant entre trois pôles : éléments intégrés, éléments détachés et éléments autonomes.
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Les énoncés averbaux en français et en anglais : conditions d’occurrence, interprétations, traductions et recherche d’un invariant / Verbless utterances in English and French : uses and interpretation, translation and core properties

Soulet, Valérie 28 November 2016 (has links)
Le but de cette thèse est d’apporter un éclairage nouveau sur la prédication averbale en français et en anglais, essentiellement dans le cadre théorique de la TOE. Le choix a donc été fait de parler d’énoncés averbaux plutôt que de phrases averbales. Après un important travail de définition des énoncés averbaux (que nous distinguons de l’ellipse, de l’apposition et de la prédication seconde) nous présentons les divers types d’énoncés averbaux et examinons la diversité des conditions d’occurrences dans lesquelles ils sont employés (discours littéraire et journalistique, discours muséal, contexte de signalisation, discours publicitaire), tout en ayant comme objectif la mise au jour d’un dénominateur commun, quel que soit le type de discours. Nous dressons la liste des principales différences de fonctionnement entre les deux langues, nous mettons en avant la nécessité de dépasser la typologie courante pour aboutir à un continuum interprétatif. Nous mettons en avant la dimension dialogique des énoncés averbaux ainsi que leur lien avec le présent et donc avec les paramètres qui constituent la situation d’énonciation et l’extralinguistique. Nous employons la métaphore de la proximité pour définir les relations entre l’énonciateur et divers éléments que sont l’extralinguistique, le co-énonciateur, la modalité et le contenu propositionnel des énoncés averbaux. / Our aim in this dissertation is to shed new light on verbless predication in English and French, within the theoretical framework developed by Antoine Culioli (TOE). The focus is accordingly on verbless utterances rather than verbless sentences. A general definition of verbless utterances is first given. These should not be confused with elliptical constructions, apposition and secondary predication. A typology of verbless utterances is first set up. We then provide a characterization of the different discourse types in which they occur (literature, news media, museum texts and captions, signposting, advertising). Verbless utterances, it is shown, share common, stable features, irrespective of their use and interpretation. Syntactic differences between English and French are outlined. The need for an interpretative continuum is highlighted. So is the need to underscore the dialogical dimension of verbless utterances, as well as their crucial connection to the present, i.e. to the speech situation and implied contextual parameters. The metaphorical concept of proximity is applied to describe the relationship between the speaker and the extralinguistic situation, the addressee, the modality and the propositional content of the verbless utterance.
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Modélisation de la production des énoncés averbaux ˸ le cas des compléments différés / Modeling the production of non-sentential utterances ˸ the case of postponed complements

Botalla, Marie-Amélie 14 May 2019 (has links)
Le complément différé se présente comme une unité à la fois prosodiquement ou graphiquement autonome et syntaxiquement dépendante d’un énoncé antérieur, appelé énoncé support. Notre objectif au cours de cette thèse est de concevoir une modélisation de la production des compléments différés. Nous effectuons pour cela une étude des caractéristiques syntaxiques de 893 compléments différés, extraits de corpus écrits et oraux. Nous observons ainsi la présence d’éléments averbaux (noms, prépositions, etc.) parmi les gouverneurs des compléments différés. Cela contredit les notions antérieures, telles que l’épexégèse de Bally (1944:§75), qui n’envisageaient ces unités que sous la gouvernance d’un verbe. En outre, nous mettons en évidence les différents usages que les locuteurs font du complément différé au cours de l’interaction, et montrons ainsi sa polyvalence et son intérêt en tant qu’outil à la disposition des locuteurs. Le complément différé peut en effet servir au locuteur à ajouter une nouvelle information, mais aussi à préciser, modifier ou corriger une information apportée par l’énoncé support, à questionner son interlocuteur ou à lui répondre. De même, son autonomie prosodique ou graphique ainsi que sa dépendance syntaxique à l’énoncé support jouent un rôle dans sa réception et son interprétation, et nous montrons que produire un complément différé n’équivaut strictement ni à produire un complément non différé, ni à produire une unité syntaxiquement autonome. Nous proposons finalement une modélisation de la production des compléments différés, illustrant leur rattachement à l’énoncé support ainsi que l’implication du locuteur vis-à-vis de l’information qu’ils apportent. / The postponed complement is a prosodically or graphically independant unit which is syntactically dependent on a previous utterance, called support utterance. In this thesis, we aim to develop a modeling of the production of postponed complements. For this purpose, we conduct a study of the syntactic features of 893 postponed complements from written and oral corpora. We note the presence of non-verbal elements (nouns, prepositions, etc.) among the syntactic governors of postponed complements. This contradicts earlier notions, such as Bally's epexegesis (1944:§75), which only conceived these units under the governance of a verb. In addition, we highlight the different uses that speakers make of the postponed complement during an interaction, and we thus demonstrate its versatility and interest as a tool available to the speakers. A postponed complement can be used by the speaker to add new information, but also to specify, modify or correct the information provided by the support statement and to question or answer the interlocutor. Its prosodic or graphic autonomy and syntactic dependence on the support utterance also play a role in its reception and interpretation, and we show that producing a postponed complement is strictly equivalent neither to producing a non-postponed complement nor to producing a syntactically autonomous unit. Finally, we propose a model of the production of postponed complements, illustrating its connection to the support statement as well as the speaker's involvement towards the information provided.
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L'énoncé averbal en allemand et en kabyle (berbère) / Non-verbal utterance in German and Kabyle (Berber)

Bouzidi, Said 10 July 2015 (has links)
Cette étude compare le fonctionnement de l’énoncé averbal (EAV) en kabyle et en allemand, en prenant comme cadre théorique la triade sémantico-logique établie par Zemb (1978), i. e. le thème (ce dont on parle), le rhème (ce qu’on en dit) et le phème (lieu d’articulation de la modalisation et de la négation) appliquée par Behr et Quintin (1996) et Behr (2013) à la catégorisation des EAV de l’allemand. Nous postulons que chaque langue dispose de moyens morphosyntaxiques, contextuelles et situationnelles contribuant à la réalisation d’EAV et que ces moyens sont plus étendus en kabyle. Nous supposons qu’il existe des structures sémantico-logiques uniques qui pourraient s’exprimer à travers des structures morphosyntaxiques variées. Nous supposons enfin que les EAV réalisent toutes les modalités, disposent de moyens morphologiques et/ ou contextuels permettant de les localiser dans le cadre temporel. Parmi les résultats, nous avons constaté que les EAV sont plus fréquents en kabyle grâce aux structures prédicatives grammaticalisées, sauf l’EAV représentant une continuité syntaxique avec le segment de gauche dont la fréquence en allemand est due au scrambling. Au niveau syntaxique, la pré-/postposition du thème par rapport au rhème obéit à des contraintes liées à la langue, i. e. l’état du nom en kabyle et la définitude du GN en allemand ; des contraintes propres à l’EAV se manifestent dans la prédilection pour l’ordre rhème-thème en allemand. Les EAV expriment toutes les modalités, ils sont situés dans le temps par les circonstants, certains démonstratifs ou le contexte, et les nominalisations en tant que rhème existentiel expriment l’aspectualité télique et atélique. / The study compares the functioning of non-verbal utterances in German and Kabyle (Berber) using the Zemb’s (1978) semantico-logical triad as a theoretical framework, i.e. the theme (what is being talked about), the rheme (what is said about the theme) and the phème (place of articulation of modalisation and negation), applied by Behr and Quintin (1996) and Behr (2013) to categorisation of German non-verbal utterances. We posit that each language has morphosyntactic, contextual and situational means allowing the construction of non-verbal utterances and that these means are more extensive in Kabyle.We also hypothesise that there are unique semantico-logical structures which could be expressed through varied morphosyntactical structures. Finally, we presume that non-verbal utterances express all the modalities; they have morphological and/ or contextual possibilities which locate them within the temporal framework. We have observed, among other results, that the frequency of non-verbal utterances is higher in Kabyle due to grammaticalized predicative structures, except for those depending syntactically on a main sentence, which could be explained by the scrambling-process. At the syntactic level, the pre-/postposition of the rheme in relation to the theme is subject to language specific constraints, i.e. changes in the noun state in Kabyle, the determination and definiteness in German; constraints concerning non-verbal utterances appear in the preference of the rheme-theme order in German. Non-verbal utterances express all modalities; they are located in time by circumstances, by some demonstratives or by the context, and nominalisations as existential rheme express telic and atelic aspectuality.

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